Tu 'as donné grave envie d'aller voir ce film en fait! J'avoue que j'aime ce genre d'ovnis cinématographiques et je veux le voir pour voir ce que ça me fait et pour vivre une expérience étrange!
On est content d'avoir sa carte UGC en voyant ce genre d'OVNI cinématographique. !
2 дні тому+3
ce film moi m'a ouvert le coeur, et il m'a dit : ce monde est compliqué, ce monde est absurde, Gwen j'ai pigé comme tu comprend pas notre monde, je montre aux autres comment tu penses et vois aux autre comme toi tu vois, et ce que tu voudrais voir ...
@lambda6291 n'empêche que mon rapport au réel est souvent tout suffisant pour comprendre ce qui est étrange pour vous, mais au fur et à mesure que ma schizophrénie s'aggrave je peux de moins en moins travailler, je dois de plus en plus jouer un rôle pour m'intégrer et je comprends de moins en moins votre monde en compensant avec mon imaginaire. Quand je plane à donf il arrive qu'un psychiatre, un psychologue et des infirmier psy se relais me voir au travail, donc le coût de fonctionnement pour mon poste de technicien supérieur. Avant que ma maladie s'aggrave je préparait le concours du CAPLP lol... maintenant je coûte un pognon de dingue, mais je reste heureux d'avoir encore le droit de travailler
Être heureux c'est le principal. Non,tu coutes rien si problème. Ce qui coûte cher ce sont les personnes en pleines santé et qui profitent. Bonne journée et merci pour la réponse.
16 годин тому+1
@@lambda6291 joyeux halloween 🎃 en plus je suis sur que lily doit être ravi d'avoir un occasion avouables de ressortir les vieux classiques de l'horreur ^^
Ah cette performance, ton imitation de mec de 20 bourré est divin. Bravo pour cette vidéo. On attend avec impatience la prochaine vidéo 😉 P.S. On t'as compris. 😉
Probablement ta meilleure analyse, j'ai ressenti exactement le même chaos devant l'oeuvre ! "Ce film essaye de m''étouffer" VOILA tu mets des mots sur ce que j'ai ressenti 😂
Aubrey Plaza est une actrice juste incroyable, si tu n'as pas vu la série Legion ou elle brille eh bien vas y c'est un régal. Bien résumé, vivement Megalopolis 2 ;).
@@lily_sennuie Ca tombe bien les producteurs aussi x). En tout cas Legion série sur le fils de Charles Xavier en hopital psychiatrique dispo sur Disney + je pense que tu adorerais ;)
Bon, il faut que je complete…: Légion: dérangeant, étrange, bien foutu, beau… fascinant… bref, la série est tellement folle, que j’ai de la peine en parler sans me sentir obligé de spoiler… Tentez l’expérience !!
Alors, j'ai vu le film 3 fois, pas que je le trouve exceptionnel, mais je le trouve fascinant, il est un peu trop boursouflé de references actuelles, visiblement coppola voulait faire le conjuration de Catilina en partant du principe que Catilina pouvait avoir raison, en faire un artiste c'est en gros pour "l'art peut sauver le monde" (le truc d'arreter le temps c'est pas le megalon, c'est le fait que Cesar Catilina est un artiste et un artiste fige le temps, au travers de ses oeuvres), tout ca est sans doute tres capilotracté et naif mais il en reste un film qui tente 1000 choses et qui a, pour ma part, un fort gout de reviens y, un cote "ce que t'as vu, tu l'as jamais vu et tu le reverras sans doute jamais" et qui a fait que c'est le seul film de l'année que j'ai eu besoin de revoir (les defauts ne s'amenuisent pas aux visions suivantes, mais il y a quand meme des passages assez incroyable et lorsque je vois des pubs du film ... j'ai envie de lui redonner sa chance ... c'est tres etrange)
Son Dracula c'est le seul film sur Dracula que j'avais vraiment kiffé !! Donc il reste culte mais surtout personne n'a su refaire aussi bien que cette version , de mon point de vue .
Le bébé ne s'appelle pas Francis, le bébé est une fille et s'appelle donc Sunny Hope. Bon moi j'aime bien les films qui secouent et font se poser plein de questions. En fait, y a beaucoup trop de films qui justement ne le font plus, te mettent bien au chaud et te donnent plein de doudous avec des easter eggs et de la nostalgie. Du coup, on dort et on oublie aussi vite, y a encore de la place pour plein d'autres "contenus". Ce film-là, de cette ampleur là a fait beaucoup de bien et rejoint le propos du film : "même si ça paraît dingue, c'est possible."
" La montagne qui accouche " ( Jean de la Fontaine ) Une montagne en mal d ' enfant Jetait une clameur si haute Que chacun au bruit accourant Crut qu ' elle accoucherait sans faute D ' une cjté plus grosse que Paris Elle accoucha d' une souris ......" J ' ai l ' impression que ce poème a été écrit pour ce film !
Bah j'avais vraiment pas forcément envie de voir le film vu les retours mais en vrai je le rajoute à ma liste et il se peut qu'un jour je tente l'expérience merci beaucoup pour ton avis en tout cas 🫶
Tout est dit Il me reste à te féliciter pour t'être rappelé de la scène du bureau dans le sable 1 SEMAINE après avoir vu le film, quand tu en as parlé je me suis demandé de quelle scène tu parlais (merci pour le visuel du coup) J'étais plutôt content d'ajouter un 1 au box-office à ce film quasiment auto-produit par ce grand réalisateur qui avait déjà su me plaire (plutôt que faire une entrée pour énième nanar Marvel et consorts) mais j'ai presque renié mon choix... Le seul bon moment que j'ai passé : les allégories en forme de statues (et allez, la première scène sur le toit) Et pendant que je tentais de digérer ce que je venais de voir, encore assis sur mon siège au cinéma, je jure avoir pensé "c'est donc ça la solution à la décadence de l'humanité dans la tête d'un vieux c**..." J'attendais impatiemment une critique par un vidéaste ciné de ce film, merci de t'y être collée et de m'avoir conforté dans mon avis
Personnellement j'ai adoré ce film , il m'a fait penser a la phrase "Le cinéma substitue à notre regard un monde qui s'accorde à nos désirs" . Cette citation attribuée à André Bazin que l'on peut lire dans l'ouverture du film le mépris, souvent réutilisée dans le milieu de la critique de manière plus ou moins pertinente, constitue pour moi comme une porte d'entrée pour aborder ce Megalopolis tout aussi Godardien que le film de 1963 avec Bardot et Piccoli, en quelque sorte la fable de Coppola substitue à notre vision un univers ou plutôt une ville qui s'accorde à nos rêves et don les habitants ,les spectateurs de cinéma ou l'humanité tout entière en constitueraient l'étoffe (Humphrey Bogart et le faucon maltais) dans le film de Godard , le personnage de Fritz Lang comme un double du réalisateur de la nouvelle vague et par prolongement de Coppola lui même, tourne un péplum tout en poésie et bout de ficelle , qui aurait pu être ce Megalopolis, le Alphaville de Coppola en quelque sorte. Mais là où le cinéaste français laisse cette épopée, ce film dans le film en arrière plan comme pour symboliser les tourments des protagonistes principaux et se focaliser sur la réalité d'une histoire d'amour banale, Coppola lui décide de filmer sa fresque dans toute son immensité et son exubérance, en dépit peu-être de toutes identifications aux personnages, sacrifiant l'émotion , délaissant les scènes de dialogues à des champs contre champs beaucoup moins inspirés, comme si d'une certaine manière la trivialialité du quotidien des films de Godard rencontrait l'amplitude et l'expressionnisme du metteur en scène Allemand de Metropolis, que les 2 finissaient par ne faire qu'un et dans un pure geste Godardien s'entre mêlant ,s'opposant et s'attirant perpétuellement , dans un déluge de forme , laissant tout éléments discursifs de côté ,pour se concentrer sur une musicalité des images plus qu'une cohérence ou une continuité narrative. Comme si en gros Godard décidait d'adapter la source vive d'Ayn Rand , avec l'équipe technique du Blade Runner de Scott, et le symbolisme tape a l'oeil des métaphores sexuelles et phalliques appuyées du rebelle de King Vidor , avec ses grattes ciels dressés devant les yeux d'une Patricia Neal bouche bée. Il faut ce souvenir que Coppola s'étant très vite débarrassé des conventions imposer par le nouvel Hollywood dans sa deuxième partie de carrière , aura laisser sur le carreau une grande partie du publique et de ses fans avec des propositions jusqu'au boutiste comme Twixt ou Tetro, et que contrairement à ses confrères Spielberg ou Scorsese ce sera tourné vers une radicalité esthétique , le rapprochant encore plus du parcours d'un Godard lui aussi entièrement tourné vers un absolue de cinéma et une volonté tenace à perpétuer la grande déconstruction de la nouvelle vague alors que Chabrol et Truffaut ce seront finalement adapter a leur temps et à un cinéma plus Mainstream . Et c'est dans ce collage d'idées absconses que la forme et le fond de Megalopolis font sens, dans ce rêve de cinéma ou chaque arcs narratifs paraît avortés comme un songe a moitié terminé ,ou le voyage psychanalytique d'un créateur suicidé en début de film, nous perd dans les dédales d'un purgatoire urbain hanté par les visions d'une femme morte ,une Eurydice attendant son Orphée ou peu être l'épouse de Coppola a qui il dédiera le film, nous conduisant à travers une scène de filature très Hitchcokienne a la bande son très jazzy et mélancolique rappelant les compositions de coup de coeur, dans une Sodome et Gomorrhe courant vers sa propre perte, ou même les statues prennent vie pour s'effondrer comme celle de Thèmis terrassée par tant d'injustice. Ce long cheminement intérieur sera dévié de sa route en milieu de film par la chute d'un météore,un satellite semblable au jugement dernier , une apocalypse annoncée par un conte à rebours permanent qui parcourt le film des tic tac et des orages a travers toute la première partie du film détruisant un monde et le quatrième mur par la même occasion avec cette scène de l'interview en milieu de film ,comme pour effacer un monde et la diégese elle même, allant jusqu'à brûler la pellicule pour mieux reconstruire les bases d'un nouveau jardin d'Éden. Facturant son récit en deux ,comme il fractura la frontière entre fantastique et science-fiction , rétro futurisme et péplum, un peu a la manière de Lang et son Metropolis dystopique, perturbé par des visions mythologiques de squelettes dansants et d'un Moloch dévoreur d'âmes, les citées obscures de Peeters et Shuiten et ses constructions d'architectes fous ,moitié homme moitié batiment, les pouvoirs de certains personnages, comme la capacité de contrôler le temps de César qui ne trouvera jamais aucune justification durant le film, si ce n'est pour Coppola, de laisser parler la beauté visuelle du phénomène fantasmagorique du pure fantastique au sens extraordinaire du terme, loin du fantastique Todorovien et son incursion de l'étrange dans la réalité ,comme si l'exercice de style de son Dracula de 1992 avait été la passerelle entre la magie du Murnau des origines et la modernité ésotérique et artistique du cinéma de Lynch, Jodorowsky ou Bunuel. Ressuscitant un objectivisme rétro , et une science fiction européenne de début de siècle encore mal définie entre la fable et le steampunk ,des effets à la Méliès ( la main attrapant le lune) comme pour mieux souligner son anachronisme ,sa volonté de n'appartenir à aucune génération de renouer avec la partie foraine du nickelodeon ,l'imagerie des pionniers du cinéma ,le "Safety Last" de 1923 et son Harold Lyod suspendu au dessus du vide , et le vertige du sueur froide avec James Stewart. On peu être frustré de la promesse d'une mégalopole a peine esquissée , une utopie inatteignable comme l'était la Tomorrowland de Brad Bird, et critiqué a la sortie du film pour sa non représentation, alors qu'elle courait avec les personnages à travers tout le film dans un road movie inventif, par l'intermédiaire d'idées de mise en scène ,ou chaque éléments suggéraient aux spectateurs ,les contours d'une ville a l'imagination sans limite, s'étant auto détruite , comme l'empire Disney en 2015 par son manque de créativité , mais Megalopolis ne représente elle pas un avenir encore incertain, impossible à représenter ? Ou alors le Paradis des âmes perdues de cette New Rome décadente , l'étape final de César après avoir traversé son enfer de Dante, et cette Rome moderne de Coppola n'est elle pas une satire du Hollywood actuel ? Et le Mégalon cette matière versatile, représente-t-il le cinéma ? capable de construire une ville imaginaire , de re façonner un visage comme avec les progrès du numérique ou les dérives du deepfake, comme dans cette scène du cirque , et ce concert d'une Starlette Vierge , salie par une vidéo compromettante et truquée, une idole déchue ,qui l'instant d'après devient une simili Miley Cyrus ou un ersatz d'enfant star de chez Disney , le personnage de Wow caricature de femme fatale qui de ses doigts restructure le montage , jusqu'à couper les cheveux de son neveu pour prendre le contrôle de l'intrigue et les enjeux politiques souvent confus, qui en réalité n'intéressent pas vraiment coppola . Alors oui le discours est problématique , misogyne et même par moment homophobe , mais comment un film aussi libre et fou pourrait-il se plier aux désidératas du marché ? Oui Coppola est parfois a côté de la plaque et d'une nativité évidente quand il s'agit d'analyser les questionnements sociaux contemporains ,comme un vieux con dépassé par son époque, oui le montage est souvent deceptif et le crescendo final expédié,mais il me semble que le final de Pierrot le fou ou de Vivre sa vie ( encore Godard ) étaient tout autant saboté, peu être volontairement ou pas , qui pourrai le dire ? La ou les gens voient un grand n'importe quoi et un je-m'en-foutisme un peu réducteur ,je vois des idées pas toujours homogènes mais par moment puissantes , stimulantes et quelques images déjà gravées dans ma mémoire de cinéphile déjà pleine a craquer , par son ratio d'images parfois moches, quelque fois sublimes et son rythme inégale, le film invite sans cesse a être reconsidérer,et travail notre regard de spectateur blasé . Loin d'être parfait, il est a parier que ce Mégalopolis restera un ofni dans l'histoire du cinéma , comme le film expérimental le plus cher et ambitieux jamais réalisé, une goutte de créativité dans un océan de cinéma consensuel
Copolla a lancé le projet il y a cinq ans. Il avait alors 80 ans. Il en arrive au bout à 84 ans. En général, les gens de cet âge sont très doués pour raconter leur jeunesse et c'est à peu près tout.
Film pieuvres qui va dans tous les sens en s'y perdant 😵💫. Le film d'une vie d'un réalisateur oui mais très spécial et pourtant j'étais concentré. Un film a la singularité similaires "The Brutalist" sortira le 12/02/25 avec le rarissime Adrien Brody d'une durée accroché vous de 3h55 😱. La B.A est mystérieuse et signé du studio A24 .
« Le film parle de décadence et le film est décadent par ses excès » interessant 👍 cette annulation est la même dans « Apocalyse Now » : il parle de la guerre du Vietnam en effaçant la guerre du Vietnam par son côté spectaculaire
À mon avis Coppola a voulu faire accomplir son grand opéra...où plutôt son grand œuvre, qui illustrerai ainsi toute sa carrière. Mais le léger problème je pense est qu'il a juste condensé 40 ans de pensée en 3h d'image. C-a-d que tenter de faire cohabiter la pensée que tu avais adolescent avec celle que tu as aujourd'hui vers la fin de ta vie...oui ça ne pourrait être cohérent sans une réelle remise en question de tes propres choix.
Je me demande si je ne pourrais pas adorer ce film… Parce que le film que je je vénère le plus, est un film que j’ai détesté au premier visionnement : « Brazil » de Terry Gilliam…. Et depuis je l’ai maté au moins 40x… et chaque fois je vois d’autres choses…
je ne me déplacerais pas en salle pour ça et le résultat chaotique du métrage n'est guère étonnant quand on sait que coppola passait plus de temps à fumer de la weed ( et certainement d'autres substance) dans sa caravane qu' à tourner son film donc si il était dans le même mood quand il a écrit le film ça peu que donner ce genre de truc, et perso mon coppola préféré c'est dracula
@lily_sennuie il n'y a même pas un moment du film où je pourrais dire "c'était pas si mal". L'impression d'avoir pris un truc pas net avant d'entrer dans la salle. Et on était 5 dans la grande salle le vendredi de la sortie... Tristesse infinie
non ça va tu est arrivé à nous retranscrire ton avis avec ton brio habituel , je n'avais pas encore vue le film et ta critique me pousse à trouver que j'attende son passage sur de services svod :-)
Francis Ford Coppola est un génie, mais son génie c'est arrêté en 2007 avec l'homme sans âge, après, c'est pompeux, daté et sans intérêt, passez votre chemin et revoyez le début de sa carrière. Heureusement, il reste des réalisateurs de son âge qui n'ont rien perdu de leur talent : Ridley Scott, George Miller, Martin Scorsese.
En résumé, un film trop simpliste dans son scénario et dans l'écriture des personnages mais qui compense avec une narration visuelle très complexe. Chaque image semble être une devinette mais elles sont trop nombreuses et s'enchaînent très vite. C'est pourquoi le film manque de sens et en a trop en même temps. "Une vision de certaines démocraties modernes que nous avons dans certains pays dont je ne citerai pas le nom". Je le cite pour toi : La France.
t'es pas une vraie cinéphile puisque t'es pas une fan inconditionnelle de la trilogie le Parrain, je devrais me désabonner direct mais comme j'ai pas vu le Parrain je reste abonné 😂😂😂
Je trouve le ton de ta critique pour le moins méprisant... Coppola est un homme en fin de vie (85 ans), qui a décidé d’entamer grandement sa fortune personnelle pour financer un ultime projet qui lui tenait à cœur (fait important que tu ne mentionnes à aucun moment). Que le résultat soit bon ou pas, je pense que la démarche impose le respect et qu’il faudrait éviter de qualifier le film de vulgaire délire de mégalomane bourré…
Tu as vu le film ? Je serais vraiment curieux de savoir ce qui t'a plu dedans. Je n'y ai vu qu'un caprice de vieux multimillionnaire (rappelons que sa fortune est estimé à plusieurs centaines de millions de dollars grâce à ses vignes) complètement déconnecté de la réalité. Je suis certain que dans 10 ans on apprendra qu'il s'agissait d'une gigantesque opération de blanchiment d'argent.
Pourquoi devrais je dire d'où vient l'argent ? Cela ne change rien au scénario, au sens, au rythme, a la photo, aux messages,... L'âge du Mr non plus d'ailleurs. Ce n'est pas le contexte de l'oeuvre qui m'intéresse, c'est l'oeuvre.
Elle n'est en aucun cas méprisant, donner son avis c'est toujours décevoir certains. Elle dit ce qu'elle aime et ce qu'elle n'aime pas. J'ai vu aussi le film et ça devient abjecte et outrancier à bien des moments donc oui je comprends totalement!
@@lily_sennuie "Pourquoi devrais je dire d'où vient l'argent ?" Tout simplement parce que, contrairement à ce que tu affirmes, cela change beaucoup de chose : au final, c'est celui qui paie qui impose sa vision. "L'âge du Mr non plus d'ailleurs." Tu crois sincèrement qu'on envisage une œuvre de la même manière à 20 ans qu'en fin de vie ? Je t'invite à relire Rimbaud, tu verras que son âge juvénile transparaît dans toute sa poésie. "Ce n'est pas le contexte de l'oeuvre qui m'intéresse, c'est l'oeuvre." Une œuvre n'est pas créée ex nihilo, elle est toujours produite dans un contexte. Si tu n'en tiens pas compte, tu te prives de nombreuses clés de compréhension et d'interprétation.
Tu 'as donné grave envie d'aller voir ce film en fait! J'avoue que j'aime ce genre d'ovnis cinématographiques et je veux le voir pour voir ce que ça me fait et pour vivre une expérience étrange!
Merci! Pour cet avis 😊
On est content d'avoir sa carte UGC en voyant ce genre d'OVNI cinématographique. !
ce film moi m'a ouvert le coeur, et il m'a dit : ce monde est compliqué, ce monde est absurde, Gwen j'ai pigé comme tu comprend pas notre monde, je montre aux autres comment tu penses et vois aux autre comme toi tu vois, et ce que tu voudrais voir ...
J'vais te relire mais ...un whisky d'abord 😅😅😅
@@lambda6291 juste un doigt svp
@lambda6291 n'empêche que mon rapport au réel est souvent tout suffisant pour comprendre ce qui est étrange pour vous, mais au fur et à mesure que ma schizophrénie s'aggrave je peux de moins en moins travailler, je dois de plus en plus jouer un rôle pour m'intégrer et je comprends de moins en moins votre monde en compensant avec mon imaginaire. Quand je plane à donf il arrive qu'un psychiatre, un psychologue et des infirmier psy se relais me voir au travail, donc le coût de fonctionnement pour mon poste de technicien supérieur. Avant que ma maladie s'aggrave je préparait le concours du CAPLP lol... maintenant je coûte un pognon de dingue, mais je reste heureux d'avoir encore le droit de travailler
Être heureux c'est le principal.
Non,tu coutes rien si problème.
Ce qui coûte cher ce sont les personnes en pleines santé et qui profitent.
Bonne journée et merci pour la réponse.
@@lambda6291 joyeux halloween 🎃 en plus je suis sur que lily doit être ravi d'avoir un occasion avouables de ressortir les vieux classiques de l'horreur ^^
Ah cette performance, ton imitation de mec de 20 bourré est divin. Bravo pour cette vidéo. On attend avec impatience la prochaine vidéo 😉 P.S. On t'as compris. 😉
Merci ! Des années d'entraînement !
Probablement ta meilleure analyse, j'ai ressenti exactement le même chaos devant l'oeuvre !
"Ce film essaye de m''étouffer" VOILA tu mets des mots sur ce que j'ai ressenti 😂
Aubrey Plaza est une actrice juste incroyable, si tu n'as pas vu la série Legion ou elle brille eh bien vas y c'est un régal. Bien résumé, vivement Megalopolis 2 ;).
Hola non je passe pour le 2 😂
@@lily_sennuie Ca tombe bien les producteurs aussi x). En tout cas Legion série sur le fils de Charles Xavier en hopital psychiatrique dispo sur Disney + je pense que tu adorerais ;)
Légion est vraiment bien ! En tout cas la saison 1 est vraiment top.🤩
C'est clair, trop bien cette série et très originale. Dommage qu'elle soit aussi méconnue 😕
Bon, il faut que je complete…:
Légion: dérangeant, étrange, bien foutu, beau… fascinant… bref, la série est tellement folle, que j’ai de la peine en parler sans me sentir obligé de spoiler…
Tentez l’expérience !!
Alors, j'ai vu le film 3 fois, pas que je le trouve exceptionnel, mais je le trouve fascinant, il est un peu trop boursouflé de references actuelles, visiblement coppola voulait faire le conjuration de Catilina en partant du principe que Catilina pouvait avoir raison, en faire un artiste c'est en gros pour "l'art peut sauver le monde" (le truc d'arreter le temps c'est pas le megalon, c'est le fait que Cesar Catilina est un artiste et un artiste fige le temps, au travers de ses oeuvres), tout ca est sans doute tres capilotracté et naif mais il en reste un film qui tente 1000 choses et qui a, pour ma part, un fort gout de reviens y, un cote "ce que t'as vu, tu l'as jamais vu et tu le reverras sans doute jamais" et qui a fait que c'est le seul film de l'année que j'ai eu besoin de revoir (les defauts ne s'amenuisent pas aux visions suivantes, mais il y a quand meme des passages assez incroyable et lorsque je vois des pubs du film ... j'ai envie de lui redonner sa chance ... c'est tres etrange)
Son Dracula c'est le seul film sur Dracula que j'avais vraiment kiffé !! Donc il reste culte mais surtout personne n'a su refaire aussi bien que cette version , de mon point de vue .
Le bébé ne s'appelle pas Francis, le bébé est une fille et s'appelle donc Sunny Hope.
Bon moi j'aime bien les films qui secouent et font se poser plein de questions. En fait, y a beaucoup trop de films qui justement ne le font plus, te mettent bien au chaud et te donnent plein de doudous avec des easter eggs et de la nostalgie. Du coup, on dort et on oublie aussi vite, y a encore de la place pour plein d'autres "contenus". Ce film-là, de cette ampleur là a fait beaucoup de bien et rejoint le propos du film : "même si ça paraît dingue, c'est possible."
" La montagne qui accouche "
( Jean de la Fontaine )
Une montagne en mal d ' enfant
Jetait une clameur si haute
Que chacun au bruit accourant
Crut qu ' elle accoucherait sans faute
D ' une cjté plus grosse que Paris
Elle accoucha d' une souris ......"
J ' ai l ' impression que ce poème a été
écrit pour ce film !
Mais exactement ! Tout a fait !
Bah j'avais vraiment pas forcément envie de voir le film vu les retours mais en vrai je le rajoute à ma liste et il se peut qu'un jour je tente l'expérience merci beaucoup pour ton avis en tout cas 🫶
Ca m'a donné envie de voir ce film.
Tout est dit
Il me reste à te féliciter pour t'être rappelé de la scène du bureau dans le sable 1 SEMAINE après avoir vu le film, quand tu en as parlé je me suis demandé de quelle scène tu parlais (merci pour le visuel du coup)
J'étais plutôt content d'ajouter un 1 au box-office à ce film quasiment auto-produit par ce grand réalisateur qui avait déjà su me plaire (plutôt que faire une entrée pour énième nanar Marvel et consorts) mais j'ai presque renié mon choix...
Le seul bon moment que j'ai passé : les allégories en forme de statues (et allez, la première scène sur le toit)
Et pendant que je tentais de digérer ce que je venais de voir, encore assis sur mon siège au cinéma, je jure avoir pensé "c'est donc ça la solution à la décadence de l'humanité dans la tête d'un vieux c**..."
J'attendais impatiemment une critique par un vidéaste ciné de ce film, merci de t'y être collée et de m'avoir conforté dans mon avis
Personnellement j'ai adoré ce film , il m'a fait penser a la phrase "Le cinéma substitue à notre regard un monde qui s'accorde à nos désirs" .
Cette citation attribuée à André Bazin que l'on peut lire dans l'ouverture du film le mépris, souvent réutilisée dans le milieu de la critique de manière plus ou moins pertinente, constitue pour moi comme une porte d'entrée pour aborder ce Megalopolis tout aussi Godardien que le film de 1963 avec Bardot et Piccoli, en quelque sorte la fable de Coppola substitue à notre vision un univers ou plutôt une ville qui s'accorde à nos rêves et don les habitants ,les spectateurs de cinéma ou l'humanité tout entière en constitueraient l'étoffe (Humphrey Bogart et le faucon maltais) dans le film de Godard , le personnage de Fritz Lang comme un double du réalisateur de la nouvelle vague et par prolongement de Coppola lui même, tourne un péplum tout en poésie et bout de ficelle , qui aurait pu être ce Megalopolis, le Alphaville de Coppola en quelque sorte.
Mais là où le cinéaste français laisse cette épopée, ce film dans le film en arrière plan comme pour symboliser les tourments des protagonistes principaux et se focaliser sur la réalité d'une histoire d'amour banale, Coppola lui décide de filmer sa fresque dans toute son immensité et son exubérance, en dépit peu-être de toutes identifications aux personnages, sacrifiant l'émotion , délaissant les scènes de dialogues à des champs contre champs beaucoup moins inspirés, comme si d'une certaine manière la trivialialité du quotidien des films de Godard rencontrait l'amplitude et l'expressionnisme du metteur en scène Allemand de Metropolis, que les 2 finissaient par ne faire qu'un et dans un pure geste Godardien
s'entre mêlant ,s'opposant et s'attirant perpétuellement , dans un déluge de forme , laissant tout éléments discursifs de côté ,pour se concentrer sur une musicalité des images plus qu'une cohérence ou une continuité narrative.
Comme si en gros Godard décidait d'adapter la source vive d'Ayn Rand , avec l'équipe technique du Blade Runner de Scott, et le symbolisme tape a l'oeil des métaphores sexuelles et phalliques appuyées du rebelle de King Vidor , avec ses grattes ciels dressés devant les yeux d'une Patricia Neal bouche bée.
Il faut ce souvenir que Coppola s'étant très vite débarrassé des conventions imposer par le nouvel Hollywood dans sa deuxième partie de carrière , aura laisser sur le carreau une grande partie du publique et de ses fans avec des propositions jusqu'au boutiste comme Twixt ou Tetro, et que contrairement à ses confrères Spielberg ou Scorsese ce sera tourné vers une radicalité esthétique , le rapprochant encore plus du parcours d'un Godard lui aussi entièrement tourné vers un absolue de cinéma et une volonté tenace à perpétuer la grande déconstruction de la nouvelle vague alors que Chabrol et Truffaut ce seront finalement adapter a leur temps et à un cinéma plus Mainstream .
Et c'est dans ce collage d'idées absconses que la forme et le fond de Megalopolis font sens, dans ce rêve de cinéma ou chaque arcs narratifs paraît avortés comme un songe a moitié terminé ,ou le voyage psychanalytique d'un créateur suicidé en début de film, nous perd dans les dédales d'un purgatoire urbain hanté par les visions d'une femme morte ,une Eurydice attendant son Orphée ou peu être l'épouse de Coppola a qui il dédiera le film, nous conduisant à travers une scène de filature très Hitchcokienne a la bande son très jazzy et mélancolique rappelant les compositions de coup de coeur, dans une Sodome et Gomorrhe courant vers sa propre perte, ou même les statues prennent vie pour s'effondrer comme celle de Thèmis terrassée par tant d'injustice.
Ce long cheminement intérieur sera dévié de sa route en milieu de film par la chute d'un météore,un satellite semblable au jugement dernier , une apocalypse annoncée par un conte à rebours permanent qui parcourt le film des tic tac et des orages a travers toute la première partie du film détruisant un monde et le quatrième mur par la même occasion avec cette scène de l'interview en milieu de film ,comme pour effacer un monde et la diégese elle même, allant jusqu'à brûler la pellicule pour mieux reconstruire les bases d'un nouveau jardin d'Éden.
Facturant son récit en deux ,comme il fractura la frontière entre fantastique et science-fiction , rétro futurisme et péplum, un peu a la manière de Lang et son Metropolis dystopique, perturbé par des visions mythologiques de squelettes dansants et d'un Moloch dévoreur d'âmes, les citées obscures de Peeters et Shuiten et ses constructions d'architectes fous ,moitié homme moitié batiment, les pouvoirs de certains personnages, comme la capacité de contrôler le temps de César qui ne trouvera jamais aucune justification durant le film, si ce n'est pour Coppola, de laisser parler la beauté visuelle du phénomène fantasmagorique du pure fantastique au sens extraordinaire du terme, loin du fantastique Todorovien et son incursion de l'étrange dans la réalité ,comme si l'exercice de style de son Dracula de 1992 avait été la passerelle entre la magie du Murnau des origines et la modernité ésotérique et artistique du cinéma de Lynch, Jodorowsky ou Bunuel.
Ressuscitant un objectivisme rétro , et une science fiction européenne de début de siècle encore mal définie entre la fable et le steampunk ,des effets à la Méliès ( la main attrapant le lune) comme pour mieux souligner son anachronisme ,sa volonté de n'appartenir à aucune génération de renouer avec la partie foraine du nickelodeon ,l'imagerie des pionniers du cinéma ,le "Safety Last" de 1923 et son Harold Lyod suspendu au dessus du vide , et le vertige du sueur froide avec James Stewart.
On peu être frustré de la promesse d'une mégalopole a peine esquissée , une utopie inatteignable comme l'était la Tomorrowland de Brad Bird, et critiqué a la sortie du film pour sa non représentation, alors qu'elle courait avec les personnages à travers tout le film dans un road movie inventif, par l'intermédiaire d'idées de mise en scène ,ou chaque éléments suggéraient aux spectateurs ,les contours d'une ville a l'imagination sans limite, s'étant auto détruite , comme l'empire Disney en 2015 par son manque de créativité , mais Megalopolis ne représente elle pas un avenir encore incertain, impossible à représenter ?
Ou alors le Paradis des âmes perdues de cette New Rome décadente , l'étape final de César après avoir traversé son enfer de Dante, et cette Rome moderne de Coppola n'est elle pas une satire du Hollywood actuel ? Et le Mégalon cette matière versatile, représente-t-il le cinéma ? capable de construire une ville imaginaire , de re façonner un visage comme avec les progrès du numérique ou les dérives du deepfake, comme dans cette scène du cirque , et ce concert d'une Starlette Vierge , salie par une vidéo compromettante et truquée, une idole déchue ,qui l'instant d'après devient une simili Miley Cyrus ou un ersatz d'enfant star de chez Disney , le personnage de Wow caricature de femme fatale qui de ses doigts restructure le montage , jusqu'à couper les cheveux de son neveu pour prendre le contrôle de l'intrigue et les enjeux politiques souvent confus, qui en réalité n'intéressent pas vraiment coppola .
Alors oui le discours est problématique , misogyne et même par moment homophobe , mais comment un film aussi libre et fou pourrait-il se plier aux désidératas du marché ? Oui Coppola est parfois a côté de la plaque et d'une nativité évidente quand il s'agit d'analyser les questionnements sociaux contemporains ,comme un vieux con dépassé par son époque, oui le montage est souvent deceptif et le crescendo final expédié,mais il me semble que le final de Pierrot le fou ou de Vivre sa vie ( encore Godard ) étaient tout autant saboté, peu être volontairement ou pas , qui pourrai le dire ?
La ou les gens voient un grand n'importe quoi et un je-m'en-foutisme un peu réducteur ,je vois des idées pas toujours homogènes mais par moment puissantes , stimulantes et quelques images déjà gravées dans ma mémoire de cinéphile déjà pleine a craquer , par son ratio d'images parfois moches, quelque fois sublimes et son rythme inégale, le film invite sans cesse a être reconsidérer,et travail notre regard de spectateur blasé .
Loin d'être parfait, il est a parier que ce Mégalopolis restera un ofni dans l'histoire du cinéma , comme le film expérimental le plus cher et ambitieux jamais réalisé, une goutte de créativité dans un océan de cinéma consensuel
Très bonne vidéo. Merci
Copolla a lancé le projet il y a cinq ans. Il avait alors 80 ans. Il en arrive au bout à 84 ans. En général, les gens de cet âge sont très doués pour raconter leur jeunesse et c'est à peu près tout.
Eastwood a 95 ans je crois et il ne me semble pas que ses films soient si chaotique. Le prochain sort demain d'ailleurs !
A vrai dire j'ai vu une vidéo (sur la chaîne Calmos) qui disait qu'il travaille sur ce film depuis les années 80 avec quelques versions annulées
Film pieuvres qui va dans tous les sens en s'y perdant 😵💫.
Le film d'une vie d'un réalisateur oui mais très spécial et pourtant j'étais concentré.
Un film a la singularité similaires "The Brutalist" sortira le 12/02/25 avec le rarissime Adrien Brody d'une durée accroché vous de 3h55 😱.
La B.A est mystérieuse et signé du studio A24 .
toujours excellente ! ce film était tellement ennuyant ...
C'était pas l'éclate en effet
@@lily_sennuiecontrairement à toi j ai bien aimé la bande annonce.. et elle était 1000 fois mieux … ça craint.
Coppola fait partie de ses rare réalisateur hyper connue et dont je n'ai vu aucun film de sa par comme Tarantino
Dracula ❤❤❤
« Le film parle de décadence et le film est décadent par ses excès » interessant 👍 cette annulation est la même dans « Apocalyse Now » : il parle de la guerre du Vietnam en effaçant la guerre du Vietnam par son côté spectaculaire
Bonjour lily 😮tu me fait peur 😱
Très bonne vidéo. J'espère que un jour tu donneras ton avis sur "the penguin" le spin off de the batman.
À mon avis Coppola a voulu faire accomplir son grand opéra...où plutôt son grand œuvre, qui illustrerai ainsi toute sa carrière.
Mais le léger problème je pense est qu'il a juste condensé 40 ans de pensée en 3h d'image. C-a-d que tenter de faire cohabiter la pensée que tu avais adolescent avec celle que tu as aujourd'hui vers la fin de ta vie...oui ça ne pourrait être cohérent sans une réelle remise en question de tes propres choix.
coucou et merci a toi
Merci a toi !!
Impatient de voir ta critique sur '' the substance '' 🤔🤔🤔
J'attends sa sortie
Je me demande si je ne pourrais pas adorer ce film…
Parce que le film que je je vénère le plus, est un film que j’ai détesté au premier visionnement : « Brazil » de Terry Gilliam…. Et depuis je l’ai maté au moins 40x… et chaque fois je vois d’autres choses…
Coucou ! L’amour ouf, vous allez être étonné aussi.
Vous savez que me parler de ce film sous chacune de mes vidéos, post ou short depuis plus d'une semaine à l'effet inverse de celui escompté 😅
Ce running gag 😂
@@lily_sennuie mince alors 🥲
@@linkzila9622 j’adore les running gag. Déjà 2millions d’entrées en moins de 15 jours …
Je suis désolée de vous taquiner..
je ne me déplacerais pas en salle pour ça et le résultat chaotique du métrage n'est guère étonnant quand on sait que coppola passait plus de temps à fumer de la weed ( et certainement d'autres substance) dans sa caravane qu' à tourner son film donc si il était dans le même mood quand il a écrit le film ça peu que donner ce genre de truc, et perso mon coppola préféré c'est dracula
Si c'est vrai, j'imagine que des liens peuvent être fait
Coppola j'ai décroché après Tucker...🤥
C'est du PICASSO 😊
Mon trauma est de retour. Tout est détestable, c'est clair
Ces personnages, si peu attachant 😂
@lily_sennuie il n'y a même pas un moment du film où je pourrais dire "c'était pas si mal". L'impression d'avoir pris un truc pas net avant d'entrer dans la salle.
Et on était 5 dans la grande salle le vendredi de la sortie... Tristesse infinie
En tout cas Coppola sait toujours faire des films marquants.
Ça c'est sûr !
Paillettes
non ça va tu est arrivé à nous retranscrire ton avis avec ton brio habituel , je n'avais pas encore vue le film et ta critique me pousse à trouver que j'attende son passage sur de services svod :-)
Je suis ravie d'avoir été entendue
✨✨✨
Francis Ford Coppola est un génie, mais son génie c'est arrêté en 2007 avec l'homme sans âge, après, c'est pompeux, daté et sans intérêt, passez votre chemin et revoyez le début de sa carrière.
Heureusement, il reste des réalisateurs de son âge qui n'ont rien perdu de leur talent : Ridley Scott, George Miller, Martin Scorsese.
En résumé, un film trop simpliste dans son scénario et dans l'écriture des personnages mais qui compense avec une narration visuelle très complexe. Chaque image semble être une devinette mais elles sont trop nombreuses et s'enchaînent très vite. C'est pourquoi le film manque de sens et en a trop en même temps.
"Une vision de certaines démocraties modernes que nous avons dans certains pays dont je ne citerai pas le nom". Je le cite pour toi : La France.
Film à laisser maturer.
la démocratie moderne dans certians pays s'applique en France
Pas que
Ça veut rien dire…
✨✨
Une croûte artistique
J’ai quitté la salle au bout d’une heure… film insupportable, ampoulé et d’une prétention incroyable
non,bordel c'est pas vulgaire
Oh mon dieu ce film j’en fais encore des cauchemars, c’était si mauvais
Hahaha c'est sur que c'est un matériel a cauchemars
t'es pas une vraie cinéphile puisque t'es pas une fan inconditionnelle de la trilogie le Parrain, je devrais me désabonner direct mais comme j'ai pas vu le Parrain je reste abonné 😂😂😂
magnifique synthèse de mec bourré ! ce film est un mauvais cubis.
est-ce-que vous pourriez parler plus vite, s'il vous plait?
Je le peux, je suis ici a mon minimum 😉
Je trouve le ton de ta critique pour le moins méprisant... Coppola est un homme en fin de vie (85 ans), qui a décidé d’entamer grandement sa fortune personnelle pour financer un ultime projet qui lui tenait à cœur (fait important que tu ne mentionnes à aucun moment). Que le résultat soit bon ou pas, je pense que la démarche impose le respect et qu’il faudrait éviter de qualifier le film de vulgaire délire de mégalomane bourré…
Tu as vu le film ? Je serais vraiment curieux de savoir ce qui t'a plu dedans. Je n'y ai vu qu'un caprice de vieux multimillionnaire (rappelons que sa fortune est estimé à plusieurs centaines de millions de dollars grâce à ses vignes) complètement déconnecté de la réalité. Je suis certain que dans 10 ans on apprendra qu'il s'agissait d'une gigantesque opération de blanchiment d'argent.
Pourquoi devrais je dire d'où vient l'argent ? Cela ne change rien au scénario, au sens, au rythme, a la photo, aux messages,... L'âge du Mr non plus d'ailleurs. Ce n'est pas le contexte de l'oeuvre qui m'intéresse, c'est l'oeuvre.
Elle n'est en aucun cas méprisant, donner son avis c'est toujours décevoir certains. Elle dit ce qu'elle aime et ce qu'elle n'aime pas. J'ai vu aussi le film et ça devient abjecte et outrancier à bien des moments donc oui je comprends totalement!
@@lily_sennuie
"Pourquoi devrais je dire d'où vient l'argent ?"
Tout simplement parce que, contrairement à ce que tu affirmes, cela change beaucoup de chose : au final, c'est celui qui paie qui impose sa vision.
"L'âge du Mr non plus d'ailleurs."
Tu crois sincèrement qu'on envisage une œuvre de la même manière à 20 ans qu'en fin de vie ? Je t'invite à relire Rimbaud, tu verras que son âge juvénile transparaît dans toute sa poésie.
"Ce n'est pas le contexte de l'oeuvre qui m'intéresse, c'est l'oeuvre."
Une œuvre n'est pas créée ex nihilo, elle est toujours produite dans un contexte. Si tu n'en tiens pas compte, tu te prives de nombreuses clés de compréhension et d'interprétation.