Au début de la vidéo vous dîtes que c'est risqué pour un film comme celui-ci d'être en compétition. Je pense que le sujet des festivals et cette notion stratégique de la compétition est peu traitée et mériterait d'être vulgarisée. Ca serait top que vous fassiez une vidéo pour faire comprendre les enjeux de Cannes et d'autres festivals pour un film, éventuellement d'avoir quelques exemples de films qui en ont bénéficié ou inversement. Si jamais ça peut vous donner une idée de vidéo
au vu des témoignages qui sont sortis sur le tournage, avec Coppola qui change tout le temps d'avis du jour au lendemain, qui faisait patienter toute l'équipe des plombes à fumer dans sa caravne , ce qui fait que personne ne savait trop dans quel direction ça va ça n'a pas du aider. Le manque de contrainte et de personnes pour le "piloter" un peu à du manquer
Je suis un peu d'accord avec chacun d'entre vous. Megalopolis est un film que j'attendais avec une grande impatience or, j'ai commencé à m'ennuyer très vite, entre dialogues pompeux, décors surchargés et intrigue foutraque au dernier degré. J'ai même envisagé de quitter la salle mais n'ai pas osé. Et pourtant, c'est un film qui fascine et qui ne quitte pas mes pensées depuis que je l'ai vu. J'ai presque envie de le revoir pour mieux me l'approprier. Comme l'un des deux chroniqueurs, j'aurais aimé aimer tout de suite. Le mot sidération employé par le second est tout à fait approprié.
Moi j'ai aimé "Megalopolis" même si je ne crie pas au chef d'oeuvre. C'est un film déroutant et fascinant, un film en liberté, un blockbuster d'auteur avec sa vision. Je pense qu'il est important de classer le film comme un essai cinématographique plus qu'un film réellement narratif et de s'y abandonner.
Mais ça ne raconte rien ? C'est pas beau ? ça ne procure aucune émotion ? C'est chiant ? Aucun personnage n'est attachant ? Les relations/intéractions entre personnages sont plates ? En sortant du film tu t'es vraiment dis "l'histoire était cool quoi" alors que ya pas d'histoire ?
Il y en a qui ont tellement envie d 'aimer ce film et tellement peur d'être déçus et de pas aimer au final, qu'ils peuvent pas entendre qu'on leur dise autre chose que "Ce film est magnifique, c'est un chef-d'oeuvre". C'est juste ridicule et pathétique. Comme tu dis, on dirais qu'on leur a traité leur mère ou leur père, tellement ils prennent la rage...
La trilogie Le Parrain et Dracula sont des Romans (ses meilleurs films), toutes des adaptations de Romans. Francis Ford Coppola est un exellent réalisateur et un médiocre scénariste ; tout comme Riddley Scott. Leurs Chef-d’œuvres sont des adaptations.
Ça fait bien longtemps que je n'ai pas été intrigué à ce point par un film, de part les critiques et les commentaires qui sont faits dessus. Du coup même si j'ai la sensation que je ne vais pas aimer, j'ai très envie de le voir.
Je suis allée le voir, il est génial tout est à l'intérieur de ce que nous vivons, tout est dit en peu de temps sur plusieurs générations, biensur tout le monde ne va pas comprendre car notre vie à tellement été mise ds l'ignorance et enfermé, la solution d'une vie meilleure et à la fin.
Plutôt sensé et pertinent de retenir sa verve (bien que vous soyez payés pour tout lâcher par principe) en se projetant dans 20 ans avec l'idée que d'autres, potentiellement plus intelligents, l'auront compris (?) ou simplement réhabilité. J'ai très envie d'y croire, vraiment très très envie, mais je sais que Coppola m'a déjà déçu plus d'une fois donc la circonspection s'impose et l'anticipation de la déception. Son cinéma est parfois très intellectuel au sens où ses sujets sont re-digérés plusieurs fois avant d'être mis à l'écran et il arrive donc qu'ils aient perdu leur saveur lors de cette opération (oui, cette métaphore est dégueulasse). Je pense par exemple à Cotton Club car j'adore One From the Heart depuis day one et je l'ai défendu sans cesse depuis face à des cinéphiles qui ignoraient généralement son existence alors qu'il est plus que significatif dans la carrière du monsieur et que, selon moi, il est personnel et sincère même si artificiel) ou face à d'autres qui préféraient le considérer comme un support de salissures vaguement méprisable. Que Coppola soit gâteux, c'est toujours possible mais j'aurais tendance à croire qu'il pêche plutôt soit par trop d'intelligence (la multiplication des propos rendant le métrage incompréhensible au dessous d'une dizaine de revisionnages en mode de concentration intense et avec les bonnes refs en tête), soit par condescendance pédagogique vis à vis d'un grand public qu'il méprise intrinsèquement (comme Spielberg mais en moins subtil, en plus frontal) ou soit, et c'est le plus probable à mon sens, par un orgueil et une ambition qui ne trouvent pas le lieu où s'épanouir. Je pense à certains films de Fellini, je pense aussi à Von Sternberg et aussi un peu à Welles évidemment qui ont eu ce genre d'approches à la fois trop ambitieuses en voulant peindre non tant un microcosme qu'un macrocosme (ce film là le reconnaît dans son titre même qui joue évidemment d'autodérision, j'en ai la certitude) et à la fois de vouloir le faire tenir dans un film de moins de cinq heures comme le 1900 de Bertolucci disons en se prenant pour DeMille mais en tentant de nous expliquer Nietzsche en surcouche, en multipliant les angles et les sujets sans prendre le temps d'en traiter aucun avec profondeur et en s'abîmant avec régularité dans la caricature impertinemment démonstrative. Ça semble tendre dans cette direction. Je suis certain que le "meilleur" film (selon lui) d'un des cinq plus grands réalisateurs de sa génération et à l'écriture duquel il a consacré toutes ces années de sa vie et toute sa fortune ne peut pas être un vague ratage mais je crois comprendre que sans un mode d'emploi (je subodore beaucoup de symbolisme, d'expressionisme aussi et je n'oublie pas que l'homme est un grand défenseur de Méliès, du carton-pâte et des effets spéciaux qui se voient, d'une artificialité patente, dérangeante parfois, qui en déconcerte beaucoup et passe pour du ratage quand c'était au contraire l'intention première) et je me figure que sans l'avoir vu au moins cinq fois on ne peut pas prétendre l'avoir reçu tel qu'il a été pensé. Voilà qui pousse à l'humilité non ? Coppola n'a pas à plaire, il prétend faire de l'art et non satisfaire les appétits aveugles des consommateurs conditionnés par des produits flatteurs, esthétiquement tapageurs, aux thématiques sensationnalistes mais sans aspérité, sans saveur ni personnalité, il prétend faire de l'art et c'est comme cela que ce film mérite d'être analysé à mon sens. Je pense qu'il y aura un avant et un après Megalopolis mais qu'on ne le réalisera pleinement que lorsqu'une prochaine génération de jeunes réalisateurs arriveront les uns après les autres en disant "Quand j'ai vu ce film, j'ai réalisé ce que pouvait devenir le cinéma" (les artistes devenant de plus en plus superfétatoires à un cinéma d'exploitation Disneyisé-Marvelisé que des IA pourront bientôt nous pondre en flux tendu et en direct toute la journée sans pré-production ni réflexion préalable d'aucune sorte, ces artistes devant, du coup, se recentrer sur la créativité, la passion sans faille et leur personnalité singulière pour garder une raison d'exister ou d'exercer).
J'ai trouvé les personnages très bien campés et cohérents, quant au film, pour moi l'originalité y est totalement maîtrisée et avec son côté archaïque, désuet dans le propos, j'y ai vu un film super sympa, complètement hippie et niais à la fois. En tout cas comme d'hab' merci pour votre critique, je l'avais mise de côté le temps de voir le film 😅
J'aime beaucoup votre parallèle avec "La source vive". J'ai aussi ressenti ça pendant le visionnage. Cela dit, là où ça me déçoit, c'est que je n'ai pas l'impression qu'il y ait une réelle critique finale du personnage d'Adam Driver et de son travail. Même s'il a évolué et ne travaille plus seule, Julia lui apportant beaucoup voire prenant le relais sur lui, il reste LE créateur au-dessus des gens, celui qui sait mieux qu'eux ce dont ils ont besoin, etc. Ça ne me semble pas être remis en question en finalité, et c'est un raté pour moi. Son message optimiste aurait dû se faire en créant pour les gens, certes, mais surtout par/avec les gens, pas comme un génie dans sa tour d'ivoir. Ça rompt avec l'évolution que le personnage aurait pu et dû avoir, et ça ne sort pas de l'ombre de l'objectivisme.
Antoine en petit look de Max dans Max Payne 3 c'est un grand oui évidemment ahah Sinon vous m'avez carrément donné envie de découvrir le film mais le besoin de plusieurs visionnages me rebute un peu
Alors je ne comprend pas pourquoi ce film c'est fait allumé à ce point la. Effectivement c'est loin d'être conventionnel, mais y a rien d'incompréhensible dans l'intrigue, alors oui il y a un trop plein de thèmes peut-être, mais tout est limpide et souvent pertinent. Je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus expérimental mais c'est très terre à terre en terme de narration en réalité, on peut tout à fait suivre l'intrigue sans décrocher. Ce qui est certain c'est que le film est bourré de cadres magnifiquement composés, et d'idées poétiques purement visuelles marquantes. C'est pas son chef d’œuvre mais personnellement je trouve que le film est franchement réussi.
Si le film avait été fait par un réalisateur lambda, les critiques s'accorderait toutes pour dire que c'est un nanar absolu. Certains crient au génie parce qu'ils voient ce film de l’extérieur, comme le dernier film de Coppola, payé de sa poche, etc. mais le film en lui-même un naufrage absolu, un patchwork d'idées, de personnages, de scènes, sans aucune cohérence, même sans clarté. Les effets sont aléatoires, les dialogues aussi, même les costumes. Oui on peut trouver cela original, mais c'est surtout parce que c'est veritablement n'importe quoi.
Vu vos goûts de manière générale ces dernières années plus le pitch que vous donnez ça me donne vraiment envie de le voir et oui je pense être agréablement surpris
Je viens de voir le film et je suis globalement d'accord avec votre critique, notamment l'alternance entre scènes magnifiques et scènes kitsch. Il y a aussi ce côté New Age que j'ai trouvé un peu pénible, mais à la fois nous épargne le discours apocalyptique ambiant. Il y a ce bordel du montage et des personnages, mais en même temps j'ai aimé cette fluidité et cette continuité du temps. J'ai un peu pensé au 8 et Demi de Fellini, pour ce côté "continuum bordélico-poétique", mais malheureusement certaines scènes auraient mérité bien plus de démesure. Particulièrement la scène dans les arènes qui aurait justement mérité d'être plus fellinesque qu'elle ne l'est, plus grandiose. Car on attend quelque chose de plus fou, qui apparait par touches mais ne se déploie pas assez à mon goût. Sans dévoiler la fin, on peut regretter qu'il fasse une synthèse positive un peu facile. J'ai pensé là à la fin de Métropolis de Fritz lang, qui m'avait déçue pour des raisons "politiques" un peu similaires. D'un côté c'est pas mal qu'il nous épargne la désespérance de l'époque, mais la conclusion reste un peu facile. Et finalement, une réponse positive, peu critique, face aux dérives des puissants ne parvient pas vraiment à contrer le sentiment de désespérance. Le "peuple" y apparait comme une masse idiote, prête à se faire manipuler par le premier Trump venu, sans qu'on aperçoive en son sein la moindre poche de résistance ou de contestation. C'est un film que, comme vous, j'ai envie d'aimer, mais qui me rend un peu triste quand je pense à ce qu'il aurait pu ou dû être. Il faudra que je le revoie.
Les critiques pleuvent sur le Megalopolis de Coppola depuis sa première à Cannes en mai dernier. Et reprennent de plus belle à sa sortie officielle en ce début d'automne. D'un simple fait de caractère, comme je le pense, le très grand nombre s'est arrêté à une lecture de premier degré, sans prendre en compte que tout l'ensemble des rôles joués ne sont qu'un reflet allégorique dont il ne fallait pas pour ces personnes spectatrices s'en arrêter à l'apparence. Les acteurs principaux du film se font appeler César, Cicéron, et bon nombre de noms romains, le film se passant dans une ville de New-York qui décrirait un empire en chute, où la chute de l'empire romain. Ne pas retenir le nom des personnages au film n'a que peu d'importance, s'agissant d'une allégorie. Il ne faut pas s'arrêter à la première lecture mais se positionner dans une deuxième lecture, et cela directement dès le commencement du film. Une allégorie, mais qui a une vision qui reflète un aspect très engagé du réalisateur Coppola, d'une critique acerbe de nos sociétés actuels. Une sonnette d'alarme tirée par Coppola, qui par un aspect carnavalesque scénaristique semble faire croire à brouiller les pistes mais retombe toujours sur ses pattes. A ceux qui se seraient perdus au film ont en somme fléchies sur le fait qu'il s'agit également d'une œuvre avec quelques aspects philosophiques, et contrairement aux apparences promeut une réflexion qui pour le cercle désormais acquis de l'ensemble de la profession s'est perdu en chemin à ce que doit apporter le cinéma en dehors du divertissement. De mon avis sincère, je pense à ces personnes jusqu'aux critiques de "spécialistes cinéma" n'ayant guère compris le but recherché par l'auteur qui se voulait de faire une fable dystopique. Sans aucun doute un reflet de nos sociétés actuelles, apposé dans cette œuvre. A noter au cours de la projection les moments clés pour une meilleure compréhension, les citations de Ralph Emerson et Rousseau.
C'est pas parcequ'on fait un film avec des messages simples amener de manières compliqué sans apporter une structure narrative claire qu'on a fait un bon film. Et les gens comme les critiques ont le droit de ne pas adhérer. J'ai vu beaucoup de film honnirique, métaphorique, avec des messages cachés et des sous textes que j'ai adoré. Mais ils étaient mieux écrit et mieux amener. Et pas aussi bavard que celui là.. Visuellement se film est très riche et a une réalisation intéressante mais le scénario est au fraise et il serait malhonnête de ne pas le reconnaître...
Sans aucun cynisme de ma part ; mais vous m’avez grave envie de le voir. Mais à 200%, quoi. Il y a bcp trop de termes « positifs » que vous employez qui me motivent.
Je suis critique et me débrouille pour payer ma place à chaque film sur lequel je dois écrire. Pour éviter ce ridicule argument. J'ai payé ma place sur Megalopolis et il faut avouer que le film est souvent ridicule dans son propos et sa réalisation.
Je pense que le côté chaotique et "incohérent" dans la réalisation du film, fait beaucoup sens. Un chaos qui semble provocateur à l'écran mais ce même chaos que l'on voit ou on vit au quotidien ne choque pas tant que ça. L'hypocrisie et l'orgueil propre de l'humanité qui veut accepter l'information de la manière qu'il trouve acceptable. La raison pour laquelle l'humanité évolue si lentement; car elle refuse d'être choquée et elle refuse de changer à la provocation. La "vraie histoire" est racontée si on veut bien la voir.
Je suis venu (au ciné), j'ai vu, et j'ai pas tout comprendu. Ce qui me réconforte au visionnage de votre critique (que je ne découvre qu'aujourd'hui) c'est que je ne suis pas le seul. Moi aussi j'y suis allé avec le désir d'aimer ce film, mais ouch.
1:12 Rhooo, mettre un spot jaune sur le "trophée" UA-cam des 100000 abonnés pour qu'il ressemble à celui des 1 million... fallait y penser. Allez, courage un jour vous y arriverez, on y croit, lachez rien !
Il faut attendre la sortie. Attendons de voir la version pour le publique. Peut etre il a fait comme Clint Easwood avec la grand bataulle du pacifique, deux versions pour une meme histoire.
Shia Labeouf ne représente pas Trump comme on l'entend partout. Il représente plutôt tous les mecs ratés, sans talents qui ne se servent de la décadence que pour foutre encore plus le bordel sans jamais se confronter au pouvoir. Trump peut-être représenté par le personnage de Jon Voight, milliardaire libidineux vieux mais encore vif et plein d'humour. D'ailleurs, le film est parsemé de moments humoristiques réels parfois totalement gratuit et souvent drôles. J'ai peu de doute que ce film sera réévalué avec le temps. Merci pour votre approche contrastée.
Moi j'ai aimé ce film mais quand je l'ai vu je me suis dit qu'il allait avoir du mal à séduire en particulier aux USA où l'Américain moyen a plutôt le niveau culturel d'un bulot. Et chez nous ce n'est pas terrible non plus. Ce film met en avant l'immense culture de Coppola et beaucoup de références. Autant Italien qu'Américain Coppola a signé une oeuvre complexe un peu comme le 2001 de Kubrick que vous pouvez voir des tas de fois en vous interrogeant à chaque fois. On a la chance en France d'avoir un cinéma varié et de qualité. Concentrons nous sur le positif et laissons les fâcheux à leurs affaires.
Nous ne sômmes pas le public cible, aucun d'entre nous, pas avant 40 ans. Ce film est à destination de la génération prochaine comme démonstration de ce qu'a était l'Amérique, et à travers lui le monde.
C'est son bûcher des vanités, il part sur un feu d'artifice, pas sur un magnum opus. Il veut se faire plaisir, et avec cet etat d'esprit, faire du bon boulot ou juste être grand public, ça va pas toujours main dans la main 😂😂
Je pense à Dune de Lynch qui est pour moi culte et par ailleurs tout à fait bancal et critiquable, et pourtant… je ne suis pas le seul je crois! Après certains grands réalisateurs y’a trop de monde trop content de travailler avec et ne se permettent même plus de le contrer, le recentrer, etc. Néanmoins les tentatives de création, même un peu raté, questionnent et c’est déjà pas mal vis à vis du plus grand nombre de films qui sortent
Les projets de longue date sont souvent déçus . Je pense à don quichotte de terry guilians tellement attendu par une génération. Le film existe il tiens la route mais trop d attente , pour Coppola je jugerais sur le visionage.
Ça donne encore plus envie de le voir car j’ai l’intuition que ce film est très cohérent dans ce qu’il dénonce et le côté megalo, comme une forme d’absurdité palpable et cette fin de civilisation. Vivement septembre
Je me disais bien que les romans d'Ayn Rand était une inspiration pour le film, les parallèles avec la source vive étaient clairs. De plus, si le personnage d'Adam Driver met au point un nouvel alliage, c'est une référence à l'alliage de Hank Rearden dans La Grève. Au delà de ça, le film m'intrigue beaucoup et j'ai vraiment envie de le voir.
Ça semble être tellement le bordel que c’est intrigant. Question à vous Écran Large: est-ce qu’il ne manquait pas un producteur pour mettre un peu d’ordre dans cette production ?
Il y en a qui ont tellement envie d 'aimer ce film et tellement peur d'être déçus et de pas aimer au final, qu'ils peuvent pas entendre qu'on leur dise autre chose que "Ce film est magnifique, c'est un chef-d'oeuvre". C'est juste ridicule et pathétique. On dirait qu'on vous a traité votre mère ou votre père, tellement vous prenez la rage...
Vous casser ce film, mais ds tout ce que vous dites C exactement ce qu'il a voulu faire ressortir de ce que nous vivons rn ce moment lol... C vous qui avait pas du tout compris ds la société que nous vivons et ce que l'on en cours. Il révèle la vérité depuis des siècles. Tout les personnes révèlent la vérité
Comment parler du vide total du cinéma par des petits bobos aussi vides artistiquement...Vous voulez découvrir des merveilles en noir et blanc, je vous propose casque d'or et persona, les fraises sauvages du seul grand réal du siècle, vous verrez vous apprendrez beaucoup sur qu'est le "cinéma" Ne perdez pas votre temps à disséquer le cadavre d'un cinéma américain sous la poussière, qui veut encore surprendre. Mais il n'en a plus les capacités !
Au début de la vidéo vous dîtes que c'est risqué pour un film comme celui-ci d'être en compétition.
Je pense que le sujet des festivals et cette notion stratégique de la compétition est peu traitée et mériterait d'être vulgarisée. Ca serait top que vous fassiez une vidéo pour faire comprendre les enjeux de Cannes et d'autres festivals pour un film, éventuellement d'avoir quelques exemples de films qui en ont bénéficié ou inversement. Si jamais ça peut vous donner une idée de vidéo
Entièrement d'accord
Effectivement, ce serait un bon sujet à proposer
au vu des témoignages qui sont sortis sur le tournage, avec Coppola qui change tout le temps d'avis du jour au lendemain, qui faisait patienter toute l'équipe des plombes à fumer dans sa caravne , ce qui fait que personne ne savait trop dans quel direction ça va ça n'a pas du aider. Le manque de contrainte et de personnes pour le "piloter" un peu à du manquer
Je suis un peu d'accord avec chacun d'entre vous. Megalopolis est un film que j'attendais avec une grande impatience or, j'ai commencé à m'ennuyer très vite, entre dialogues pompeux, décors surchargés et intrigue foutraque au dernier degré. J'ai même envisagé de quitter la salle mais n'ai pas osé. Et pourtant, c'est un film qui fascine et qui ne quitte pas mes pensées depuis que je l'ai vu. J'ai presque envie de le revoir pour mieux me l'approprier. Comme l'un des deux chroniqueurs, j'aurais aimé aimer tout de suite. Le mot sidération employé par le second est tout à fait approprié.
Moi j'ai aimé "Megalopolis" même si je ne crie pas au chef d'oeuvre. C'est un film déroutant et fascinant, un film en liberté, un blockbuster d'auteur avec sa vision. Je pense qu'il est important de classer le film comme un essai cinématographique plus qu'un film réellement narratif et de s'y abandonner.
Mais ça ne raconte rien ? C'est pas beau ? ça ne procure aucune émotion ? C'est chiant ? Aucun personnage n'est attachant ? Les relations/intéractions entre personnages sont plates ?
En sortant du film tu t'es vraiment dis "l'histoire était cool quoi" alors que ya pas d'histoire ?
Y'a beaucoup de gens qui postent avec la même rage que si c'était une vidéo pour critiquer leur mère.
Une vidéo pour critiquer ma mère? J'en serais ravi. Je veux même la faire.
Il y en a qui ont tellement envie d 'aimer ce film et tellement peur d'être déçus et de pas aimer au final, qu'ils peuvent pas entendre qu'on leur dise autre chose que "Ce film est magnifique, c'est un chef-d'oeuvre". C'est juste ridicule et pathétique. Comme tu dis, on dirais qu'on leur a traité leur mère ou leur père, tellement ils prennent la rage...
Faudrait qu'ils commencent par tenter de voir au complet, puis de défendre de bonne foi twixt et tetro.
La trilogie Le Parrain et Dracula sont des Romans (ses meilleurs films), toutes des adaptations de Romans.
Francis Ford Coppola est un exellent réalisateur et un médiocre scénariste ; tout comme Riddley Scott.
Leurs Chef-d’œuvres sont des adaptations.
elle est super apaisante votre critique, c'est super chouette à écouter avec une petite boisson chaude :)
Ton commentaire colle avec ton pseudo. :)
Ça fait bien longtemps que je n'ai pas été intrigué à ce point par un film, de part les critiques et les commentaires qui sont faits dessus.
Du coup même si j'ai la sensation que je ne vais pas aimer, j'ai très envie de le voir.
Je suis allée le voir, il est génial tout est à l'intérieur de ce que nous vivons, tout est dit en peu de temps sur plusieurs générations, biensur tout le monde ne va pas comprendre car notre vie à tellement été mise ds l'ignorance et enfermé, la solution d'une vie meilleure et à la fin.
Plutôt sensé et pertinent de retenir sa verve (bien que vous soyez payés pour tout lâcher par principe) en se projetant dans 20 ans avec l'idée que d'autres, potentiellement plus intelligents, l'auront compris (?) ou simplement réhabilité.
J'ai très envie d'y croire, vraiment très très envie, mais je sais que Coppola m'a déjà déçu plus d'une fois donc la circonspection s'impose et l'anticipation de la déception. Son cinéma est parfois très intellectuel au sens où ses sujets sont re-digérés plusieurs fois avant d'être mis à l'écran et il arrive donc qu'ils aient perdu leur saveur lors de cette opération (oui, cette métaphore est dégueulasse). Je pense par exemple à Cotton Club car j'adore One From the Heart depuis day one et je l'ai défendu sans cesse depuis face à des cinéphiles qui ignoraient généralement son existence alors qu'il est plus que significatif dans la carrière du monsieur et que, selon moi, il est personnel et sincère même si artificiel) ou face à d'autres qui préféraient le considérer comme un support de salissures vaguement méprisable.
Que Coppola soit gâteux, c'est toujours possible mais j'aurais tendance à croire qu'il pêche plutôt soit par trop d'intelligence (la multiplication des propos rendant le métrage incompréhensible au dessous d'une dizaine de revisionnages en mode de concentration intense et avec les bonnes refs en tête), soit par condescendance pédagogique vis à vis d'un grand public qu'il méprise intrinsèquement (comme Spielberg mais en moins subtil, en plus frontal) ou soit, et c'est le plus probable à mon sens, par un orgueil et une ambition qui ne trouvent pas le lieu où s'épanouir.
Je pense à certains films de Fellini, je pense aussi à Von Sternberg et aussi un peu à Welles évidemment qui ont eu ce genre d'approches à la fois trop ambitieuses en voulant peindre non tant un microcosme qu'un macrocosme (ce film là le reconnaît dans son titre même qui joue évidemment d'autodérision, j'en ai la certitude) et à la fois de vouloir le faire tenir dans un film de moins de cinq heures comme le 1900 de Bertolucci disons en se prenant pour DeMille mais en tentant de nous expliquer Nietzsche en surcouche, en multipliant les angles et les sujets sans prendre le temps d'en traiter aucun avec profondeur et en s'abîmant avec régularité dans la caricature impertinemment démonstrative. Ça semble tendre dans cette direction.
Je suis certain que le "meilleur" film (selon lui) d'un des cinq plus grands réalisateurs de sa génération et à l'écriture duquel il a consacré toutes ces années de sa vie et toute sa fortune ne peut pas être un vague ratage mais je crois comprendre que sans un mode d'emploi (je subodore beaucoup de symbolisme, d'expressionisme aussi et je n'oublie pas que l'homme est un grand défenseur de Méliès, du carton-pâte et des effets spéciaux qui se voient, d'une artificialité patente, dérangeante parfois, qui en déconcerte beaucoup et passe pour du ratage quand c'était au contraire l'intention première) et je me figure que sans l'avoir vu au moins cinq fois on ne peut pas prétendre l'avoir reçu tel qu'il a été pensé. Voilà qui pousse à l'humilité non ?
Coppola n'a pas à plaire, il prétend faire de l'art et non satisfaire les appétits aveugles des consommateurs conditionnés par des produits flatteurs, esthétiquement tapageurs, aux thématiques sensationnalistes mais sans aspérité, sans saveur ni personnalité, il prétend faire de l'art et c'est comme cela que ce film mérite d'être analysé à mon sens.
Je pense qu'il y aura un avant et un après Megalopolis mais qu'on ne le réalisera pleinement que lorsqu'une prochaine génération de jeunes réalisateurs arriveront les uns après les autres en disant "Quand j'ai vu ce film, j'ai réalisé ce que pouvait devenir le cinéma" (les artistes devenant de plus en plus superfétatoires à un cinéma d'exploitation Disneyisé-Marvelisé que des IA pourront bientôt nous pondre en flux tendu et en direct toute la journée sans pré-production ni réflexion préalable d'aucune sorte, ces artistes devant, du coup, se recentrer sur la créativité, la passion sans faille et leur personnalité singulière pour garder une raison d'exister ou d'exercer).
J'ai trouvé les personnages très bien campés et cohérents, quant au film, pour moi l'originalité y est totalement maîtrisée et avec son côté archaïque, désuet dans le propos, j'y ai vu un film super sympa, complètement hippie et niais à la fois.
En tout cas comme d'hab' merci pour votre critique, je l'avais mise de côté le temps de voir le film 😅
J'aime beaucoup votre parallèle avec "La source vive". J'ai aussi ressenti ça pendant le visionnage. Cela dit, là où ça me déçoit, c'est que je n'ai pas l'impression qu'il y ait une réelle critique finale du personnage d'Adam Driver et de son travail. Même s'il a évolué et ne travaille plus seule, Julia lui apportant beaucoup voire prenant le relais sur lui, il reste LE créateur au-dessus des gens, celui qui sait mieux qu'eux ce dont ils ont besoin, etc. Ça ne me semble pas être remis en question en finalité, et c'est un raté pour moi. Son message optimiste aurait dû se faire en créant pour les gens, certes, mais surtout par/avec les gens, pas comme un génie dans sa tour d'ivoir. Ça rompt avec l'évolution que le personnage aurait pu et dû avoir, et ça ne sort pas de l'ombre de l'objectivisme.
Antoine en petit look de Max dans Max Payne 3 c'est un grand oui évidemment ahah
Sinon vous m'avez carrément donné envie de découvrir le film mais le besoin de plusieurs visionnages me rebute un peu
Il Parait que à moment du film Mbappe vient parler avec Adam driver hors du film pendant une interview.
"Le cinéma il a changé"
Chef d'oeuvre
Un chef d’œuvre ❤
😮anyway i 'll hope to see iz coz of Adam and Coppola..they have my admire..whatever they do❤❤❤❤❤❤
Alors je ne comprend pas pourquoi ce film c'est fait allumé à ce point la. Effectivement c'est loin d'être conventionnel, mais y a rien d'incompréhensible dans l'intrigue, alors oui il y a un trop plein de thèmes peut-être, mais tout est limpide et souvent pertinent. Je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus expérimental mais c'est très terre à terre en terme de narration en réalité, on peut tout à fait suivre l'intrigue sans décrocher. Ce qui est certain c'est que le film est bourré de cadres magnifiquement composés, et d'idées poétiques purement visuelles marquantes. C'est pas son chef d’œuvre mais personnellement je trouve que le film est franchement réussi.
Et bien vous m'avez donné envie de le voir en tout cas!
Bon courage
Si le film avait été fait par un réalisateur lambda, les critiques s'accorderait toutes pour dire que c'est un nanar absolu. Certains crient au génie parce qu'ils voient ce film de l’extérieur, comme le dernier film de Coppola, payé de sa poche, etc. mais le film en lui-même un naufrage absolu, un patchwork d'idées, de personnages, de scènes, sans aucune cohérence, même sans clarté. Les effets sont aléatoires, les dialogues aussi, même les costumes.
Oui on peut trouver cela original, mais c'est surtout parce que c'est veritablement n'importe quoi.
Good cop bad cop, intrigué j ai hâte
Vu vos goûts de manière générale ces dernières années plus le pitch que vous donnez ça me donne vraiment envie de le voir et oui je pense être agréablement surpris
Pourquoi tu regardes leurs vidéos ? 😅
"ouiiiiiinnn"
J'ai pas encore vu la vidéo mais peu importe j'aurai envie de voir le film quand même 😁
@@Mrsonja278 ok
C’est bien Eleonore, on est content
Je viens de voir le film et je suis globalement d'accord avec votre critique, notamment l'alternance entre scènes magnifiques et scènes kitsch. Il y a aussi ce côté New Age que j'ai trouvé un peu pénible, mais à la fois nous épargne le discours apocalyptique ambiant. Il y a ce bordel du montage et des personnages, mais en même temps j'ai aimé cette fluidité et cette continuité du temps. J'ai un peu pensé au 8 et Demi de Fellini, pour ce côté "continuum bordélico-poétique", mais malheureusement certaines scènes auraient mérité bien plus de démesure. Particulièrement la scène dans les arènes qui aurait justement mérité d'être plus fellinesque qu'elle ne l'est, plus grandiose. Car on attend quelque chose de plus fou, qui apparait par touches mais ne se déploie pas assez à mon goût. Sans dévoiler la fin, on peut regretter qu'il fasse une synthèse positive un peu facile. J'ai pensé là à la fin de Métropolis de Fritz lang, qui m'avait déçue pour des raisons "politiques" un peu similaires. D'un côté c'est pas mal qu'il nous épargne la désespérance de l'époque, mais la conclusion reste un peu facile. Et finalement, une réponse positive, peu critique, face aux dérives des puissants ne parvient pas vraiment à contrer le sentiment de désespérance. Le "peuple" y apparait comme une masse idiote, prête à se faire manipuler par le premier Trump venu, sans qu'on aperçoive en son sein la moindre poche de résistance ou de contestation. C'est un film que, comme vous, j'ai envie d'aimer, mais qui me rend un peu triste quand je pense à ce qu'il aurait pu ou dû être. Il faudra que je le revoie.
Bon parallele avec 'The Foutainhead' mais bizarre de ne pas evoquer le film avec Gary Cooper et Patricia Neal
Bon, avec ce type de critique, je trépignes d'impatience d'aller le voir, rien que pour l'expérience !
Le même style d’expérience que Madame Web. On a hâte ! 🫠
Les critiques pleuvent sur le Megalopolis de Coppola depuis sa première à Cannes en mai dernier. Et reprennent de plus belle à sa sortie officielle en ce début d'automne.
D'un simple fait de caractère, comme je le pense, le très grand nombre s'est arrêté à une lecture de premier degré, sans prendre en compte que tout l'ensemble des rôles joués ne sont qu'un reflet allégorique dont il ne fallait pas pour ces personnes spectatrices s'en arrêter à l'apparence.
Les acteurs principaux du film se font appeler César, Cicéron, et bon nombre de noms romains, le film se passant dans une ville de New-York qui décrirait un empire en chute, où la chute de l'empire romain.
Ne pas retenir le nom des personnages au film n'a que peu d'importance, s'agissant d'une allégorie.
Il ne faut pas s'arrêter à la première lecture mais se positionner dans une deuxième lecture, et cela directement dès le commencement du film. Une allégorie, mais qui a une vision qui reflète un aspect très engagé du réalisateur Coppola, d'une critique acerbe de nos sociétés actuels.
Une sonnette d'alarme tirée par Coppola, qui par un aspect carnavalesque scénaristique semble faire croire à brouiller les pistes mais retombe toujours sur ses pattes. A ceux qui se seraient perdus au film ont en somme fléchies sur le fait qu'il s'agit également d'une œuvre avec quelques aspects philosophiques, et contrairement aux apparences promeut une réflexion qui pour le cercle désormais acquis de l'ensemble de la profession s'est perdu en chemin à ce que doit apporter le cinéma en dehors du divertissement.
De mon avis sincère, je pense à ces personnes jusqu'aux critiques de "spécialistes cinéma" n'ayant guère compris le but recherché par l'auteur qui se voulait de faire une fable dystopique. Sans aucun doute un reflet de nos sociétés actuelles, apposé dans cette œuvre.
A noter au cours de la projection les moments clés pour une meilleure compréhension, les citations de Ralph Emerson et Rousseau.
C'est pas parcequ'on fait un film avec des messages simples amener de manières compliqué sans apporter une structure narrative claire qu'on a fait un bon film.
Et les gens comme les critiques ont le droit de ne pas adhérer. J'ai vu beaucoup de film honnirique, métaphorique, avec des messages cachés et des sous textes que j'ai adoré. Mais ils étaient mieux écrit et mieux amener. Et pas aussi bavard que celui là..
Visuellement se film est très riche et a une réalisation intéressante mais le scénario est au fraise et il serait malhonnête de ne pas le reconnaître...
Super intéressant et décontracter se format il faut continuer écran large!!
Sans aucun cynisme de ma part ; mais vous m’avez grave envie de le voir.
Mais à 200%, quoi.
Il y a bcp trop de termes « positifs » que vous employez qui me motivent.
Freluquet persiflant un génie.
Votre vidéo me rappelle comment la presse avait vomi sur Blade Runner à sa sortie avant d'en faire un chef-d'œuvre 20 ans plus tard.
Les critiques de films ne seront objectifs que le jour où ils seront obligés de payer leur place...
Je suis critique et me débrouille pour payer ma place à chaque film sur lequel je dois écrire. Pour éviter ce ridicule argument. J'ai payé ma place sur Megalopolis et il faut avouer que le film est souvent ridicule dans son propos et sa réalisation.
J'adore ce film !
Je pense que le côté chaotique et "incohérent" dans la réalisation du film, fait beaucoup sens. Un chaos qui semble provocateur à l'écran mais ce même chaos que l'on voit ou on vit au quotidien ne choque pas tant que ça. L'hypocrisie et l'orgueil propre de l'humanité qui veut accepter l'information de la manière qu'il trouve acceptable. La raison pour laquelle l'humanité évolue si lentement; car elle refuse d'être choquée et elle refuse de changer à la provocation. La "vraie histoire" est racontée si on veut bien la voir.
Je suis venu (au ciné), j'ai vu, et j'ai pas tout comprendu.
Ce qui me réconforte au visionnage de votre critique (que je ne découvre qu'aujourd'hui) c'est que je ne suis pas le seul.
Moi aussi j'y suis allé avec le désir d'aimer ce film, mais ouch.
1:12 Rhooo, mettre un spot jaune sur le "trophée" UA-cam des 100000 abonnés pour qu'il ressemble à celui des 1 million... fallait y penser. Allez, courage un jour vous y arriverez, on y croit, lachez rien !
Il faut attendre la sortie. Attendons de voir la version pour le publique. Peut etre il a fait comme Clint Easwood avec la grand bataulle du pacifique, deux versions pour une meme histoire.
On a vu les deux versions, et pas de remontage.
Vu comment tous le monde en parle, le film est culte dans 20 ans.
Shia Labeouf ne représente pas Trump comme on l'entend partout. Il représente plutôt tous les mecs ratés, sans talents qui ne se servent de la décadence que pour foutre encore plus le bordel sans jamais se confronter au pouvoir. Trump peut-être représenté par le personnage de Jon Voight, milliardaire libidineux vieux mais encore vif et plein d'humour.
D'ailleurs, le film est parsemé de moments humoristiques réels parfois totalement gratuit et souvent drôles.
J'ai peu de doute que ce film sera réévalué avec le temps.
Merci pour votre approche contrastée.
Moi j'ai aimé ce film mais quand je l'ai vu je me suis dit qu'il allait avoir du mal à séduire en particulier aux USA où l'Américain moyen a plutôt le niveau culturel d'un bulot. Et chez nous ce n'est pas terrible non plus. Ce film met en avant l'immense culture de Coppola et beaucoup de références. Autant Italien qu'Américain Coppola a signé une oeuvre complexe un peu comme le 2001 de Kubrick que vous pouvez voir des tas de fois en vous interrogeant à chaque fois. On a la chance en France d'avoir un cinéma varié et de qualité. Concentrons nous sur le positif et laissons les fâcheux à leurs affaires.
Nous ne sômmes pas le public cible, aucun d'entre nous, pas avant 40 ans.
Ce film est à destination de la génération prochaine comme démonstration de ce qu'a était l'Amérique, et à travers lui le monde.
J'attends de le voir
C'est son bûcher des vanités, il part sur un feu d'artifice, pas sur un magnum opus.
Il veut se faire plaisir, et avec cet etat d'esprit, faire du bon boulot ou juste être grand public, ça va pas toujours main dans la main 😂😂
J’ai vu le film hier soir : je ne savais pas quoi en penser, j’ai l’impression que c’est ni fait ni à faire.
Merci beaucoup
Je pense à Dune de Lynch qui est pour moi culte et par ailleurs tout à fait bancal et critiquable, et pourtant… je ne suis pas le seul je crois! Après certains grands réalisateurs y’a trop de monde trop content de travailler avec et ne se permettent même plus de le contrer, le recentrer, etc. Néanmoins les tentatives de création, même un peu raté, questionnent et c’est déjà pas mal vis à vis du plus grand nombre de films qui sortent
Plus je rencontre de de "vrai gens" ayant été voir le film, plus les retours sont bons
Comme quoi ...
Moi aussi j'veux un coussin Nicolas Cage o/ ( ct super cool cette discut')
infernal à regarder... pourtant je l'aime Coppola...
Oui, pareille !
Quel fourre-tout ce film.
Tant d'idées merveilleuses noyées dans une avalanche d'effets numériques!
Les projets de longue date sont souvent déçus . Je pense à don quichotte de terry guilians tellement attendu par une génération. Le film existe il tiens la route mais trop d attente , pour Coppola je jugerais sur le visionage.
Un autre exemple : les Rebel Moon de Snyder.
Merci les survivants de Cannes ;)
Apres apocalypse now NAN MERCI... 😝😝😝
Ça donne encore plus envie de le voir car j’ai l’intuition que ce film est très cohérent dans ce qu’il dénonce et le côté megalo, comme une forme d’absurdité palpable et cette fin de civilisation. Vivement septembre
Je me disais bien que les romans d'Ayn Rand était une inspiration pour le film, les parallèles avec la source vive étaient clairs. De plus, si le personnage d'Adam Driver met au point un nouvel alliage, c'est une référence à l'alliage de Hank Rearden dans La Grève.
Au delà de ça, le film m'intrigue beaucoup et j'ai vraiment envie de le voir.
Ça semble être tellement le bordel que c’est intrigant. Question à vous Écran Large: est-ce qu’il ne manquait pas un producteur pour mettre un peu d’ordre dans cette production ?
Ses meilleurs films sont tous des films de production donc la réponse semble.. évidente
Super
Il y en a qui ont tellement envie d 'aimer ce film et tellement peur d'être déçus et de pas aimer au final, qu'ils peuvent pas entendre qu'on leur dise autre chose que "Ce film est magnifique, c'est un chef-d'oeuvre". C'est juste ridicule et pathétique. On dirait qu'on vous a traité votre mère ou votre père, tellement vous prenez la rage...
16:50 il y a simplement une suite bande de naïf…
🤣👌
Je me suis endormis
Ayn Rand a inspiré le libertarianisme et Poutine entre autres, c'est sans ambiguïté...
Vous casser ce film, mais ds tout ce que vous dites C exactement ce qu'il a voulu faire ressortir de ce que nous vivons rn ce moment lol...
C vous qui avait pas du tout compris ds la société que nous vivons et ce que l'on en cours.
Il révèle la vérité depuis des siècles.
Tout les personnes révèlent la vérité
Des spoilers du scénario avant la section spoiler 🙄 Super
En sortant du film
Il est aussi cryptique, abstrait qu'ostentatoirement bourrin
First
Comment parler du vide total du cinéma par des petits bobos aussi vides artistiquement...Vous voulez découvrir des merveilles en noir et blanc, je vous propose casque d'or et persona, les fraises sauvages du seul grand réal du siècle, vous verrez vous apprendrez beaucoup sur qu'est le "cinéma" Ne perdez pas votre temps à disséquer le cadavre d'un cinéma américain sous la poussière, qui veut encore surprendre. Mais il n'en a plus les capacités !
Perso le film j'y suis allé hier nulle pas terrible j'ai trouvé le temps long .
A Cannes on bronze...
please éliminez moi ces ptn de points d'interrogation, je supporte pas les vidéos qui n'ont pas le courage d'afficher leurs opinions
De ce que vous en dites ce film m'a l'air "Babylon tier". Pompeux et pédant à souhait...
5o
Quelqu'un se rappel de la dernière critique d'écran large positive envers un film ?
Furiosa il y a quelques jours. Derien
Pacific Rim, l'un des films les plus débiles de tous les temps.
Catastrophe ? Hmm, terme mesuré.
Aucune raison de ne pas appeler « catastrophe » une chose que l’on juge comme telle.
Vos goûts de toute manière c’est toujours de la grosse daube, j’irai et j’aurai le plaisir d’aller le voir.
Ils n'aiment pas le choix des noms de personnages. 😂
Et ça marche bien l autopersuation ?
Mignons mais petits scarabées quand même....