Bilan du début de saison de Julius Randle avec les Timberwolves

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  • Опубліковано 16 гру 2024
  • Contrairement au plus âgé, le plus jeune de ses fils (3 ans) ne vient quasiment jamais le voir jouer. « C’est peut-être le deuxième match auquel il assiste. Il déteste ça, c’est trop bruyant », rapporte Julius Randle.
    En matière de bruit, son fils a été servi avec cette rencontre face aux Suns, à l’issue de laquelle le Target Center a pu exploser comme il se doit. « Rentrer ce tir alors que mon plus jeune garçon était là, c’est plutôt cool », qualifie l’intérieur des Wolves en parlant de son geste final.
    Les deux formations étaient à égalité quand le gaucher a été servi par Joe Ingles sur la remise en jeu avec moins de trois secondes à jouer. Une situation peu évidente tant il était loin du cercle.
    « On savait qu’ils allaient changer en défense. Le système était pour Ant’ (Anthony Edwards) sur le ‘curl’ pour voir s’il pouvait obtenir quelque chose près du cercle. Si non, j’allais revenir en arrière, me présenter et je savais qu’il me restait environ 3 secondes. Je suis parti sur ma main droite et voilà », décrit-il.
    Un départ en dribble dans l’axe du panier, et un petit pas en arrière pour déclencher tandis que son défenseur Josh Okogie tombait au sol, en essayant de provoquer la faute offensive. « Il n’a même pas pu contester parce qu’il est tombé. Je me suis donc dit qu’il fallait rester dans le coup, prendre son temps et faire un bon tir. J’ai pris ce tir un millier de fois. »
    Agressif dès le départ
    Et alors que Devin Booker levait les bras au ciel, non pas pour célébrer en avance mais pour viser les arbitres par rapport au sort de son coéquipier, le tir en question est tombé au buzzer. Julius Randle clôturait ainsi de la plus belle des manières son meilleur match depuis son arrivée dans le Minnesota : 35 points (11/20 aux tirs dont 5/11 à 3-points), 7 passes et 4 rebonds.
    « C’est ce qu’il fait. Chaque fois qu’on l’a affronté lorsqu’il était à New York, il nous a toujours cuisinés, et Finchy a fait du bon travail en lui disant : ‘Hé, remets-toi au travail. Prends le contrôle du match’. Et c’est ce qu’il a fait ce soir », salue Anthony Edwards.
    Son intérieur est conscient que ses performances peuvent dépendre de son niveau d’agressivité. « Quand j’arrive en étant agressif dès le départ, en essayant de ne pas trop réfléchir ou d’essayer de manipuler le jeu, ce genre de choses arrive. Je dois être agressif dès le départ, créer le jeu, pénétrer, aller dans mes zones, faire en sorte que la défense s’ajuste à moi. »
    Ce qu’il a fait cette nuit, en créant pour lui et pour les autres (meilleur de son équipe), y compris vers son compère de raquette Rudy Gobert, qu’il a trouvé à plusieurs reprises. « Le plus fun là-dedans a été de voir comment mes coéquipiers ont célébré. On a un groupe très uni, on va célébrer les succès de chacun. Pour moi, c’est ce qui a été le plus cool », termine Julius Randle.

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