Bien plus q une analyse philosophique de la fille et de sa transformation dans l époque contemporaine , une véritable analyse de transformation du monde au travers de la féminité . Bravo Mr Badiou
Alain Badiou ne me semble pas au mieux de sa forme. Ni sur Platon. Encore moins sur la féminité où son analyse est extrêmement faible. Mais l’homme a du panache et s’exprime remarquablement. Et on est ici en terres arides. Le philosophe ne plaisante pas,dit ce qu’il pense et pense ce qu’il dit. Les chemins de la pensée ne sont pas pavés de bonnes intentions. Mille mercis tout de même.
Cela fait longtemps que la femme a tourné le dos a ce qui est proposé par l'homme moderne qui ne sait pas où il va beau ciel vrai ciel regarde moi qui t'aime.♥️
Belle rhétorique qui permet seulement de dissimuler une conférence misogyne et sexiste. Paraître scientifique ne suffit pas à fonder correctement un propos. Le sujet n'est pas maîtrisé, bercé uniquement d'impressions subjectives, et la vision de la femme est ici une fois de plus essentialiste. En mélangeant origine du capitalisme et féminisme, en octroyant aux mères l'origine des malheurs contemporains, Alain Badiou s'inscrit simplement dans le mouvement réactionnaire du masculinisme.
Femmmmmmesss je vous aimmmmeee! Boudiou ! Casanova sur le retour s’apprête ( telle une vieille coquette de style Louis XV) à nous dire comment il fait des notes « préliminaires », comment il « monte et démonte » des questions de toute « l’épaisseur »historique qui est la sienne ! O Boudiou ! Il en a léché des timbres avant d’envoyer ses lettres dans la « boîte » à l’Etre ! Boudiou ! C’est qu’il en a enculé des mouches heideggeriennes ! Boudiou ! Le seul type à faire marcher des mouches en canard !
Christian Mrasilevici Merci Christian , même si ma position allongée m'ont progressivement plongée dans le sommeil . Je reprendrai au milieu . C est très interressant .
Merci pour ce cours sublime et merci aux personnes qui ont permis de le mettre à disposition ici: c'est la première fois que je pleure en écoutant un cours de philo. Il y a beaucoup de questions qui me sont venues mais il y a une objection qui me semble essentielle (d'après ce que j'ai compris de votre cours): L'Un de la religion (même si l'on y croit pas) n'est pas celui du masculin mais celui de l'union du masculin et du féminin, il me semble. La société d'aujourd'hui, sexualisée pour des raisons économiques, brouille la perception de cette unité et, dans cette logique, certaines femmes mettent un point d'honneur à conquérir ce qui ne leur appartient pas: le royaume des hommes. Et il me semble d'ailleurs que le rôle de la nouvelle jeune fille, telle que je le conçois, est de réconcilier la société avec cette unité, la faire sortir d'une période "d'adolescence" hautement sexualisée pour la faire entrer dans une certaine maturité.
Qu'il me soit permis d'apporter quelques éclairages: L'Un est bien masculin car c'est lui qui manie/domine l'ordre symbolique (le Nom du Père lacanien). Le Deux féminin est l'acte même, le processus déjouant cet Un (échec de la symbolisation). L'Un est toujours masculin en tant qu'il veut assigner une place tant symbolique que réelle à la femme qui, en tant que puissance du Deux, menace de mettre en échec cet ordre. Le mariage en tant qu'union réelle de l'homme et de la femme ne veut pas dire que le pouvoir symbolique du mâle est partagé. Plus largement, on trouve chez Nietzsche, bien qu'il ne soit pas explicitement mentionné, des propos sur la femme très similaires. La femme, dans le corpus nietzschéen, ne se laisse pas réduire à une seule figure car elle est toujours requise par la pluralité des figures qu'elle peut revêtir: son pouvoir est de l'ordre de l'équivoque. La femme n'est plus, comme la vie, qu'une promesse. On pourra lire, sur le même sujet, Eperons de Derrida qui se pose aussi la question de la possibilité opératoire du concept de femme. Il affirme d'abord que "la femme est", puis: "la femme n'est pas". Car, dans le cours du développement, il apparaît qu'elle est insaisissable, qu'elle est toujours-déjà autre. Il ne saurait bien sûr y avoir la femme mais seulement des femmes. Et Proudhon encore qui dans son dernier ouvrage inachevé, La Pornocratie, avait bien vu que le féminisme pouvait être un avatar du capitalisme triomphant. Le diagnostique final de Badiou me semble juste car c'est un symptôme des temps que les hommes se féminisent pour palier la perte de leur pouvoir - qui est passé symboliquement et bientôt réellement aux femmes - pour ne devenir rien d'autre qu'une consommatrice comme une autre... Quand on demandait à Derrida ce qu'il souhaitait le plus voir advenir, il répondait: qu'une femme devienne philosophe. Seule une jeune fille peut encore nous sauver ! ! ! ...
A l'inverse un Soral assis tranquillement le cul sur son lobby sioniste ne s'en lève jamais pour se donner la peine de pointer du doigt un peu plus subtilement la grande bêtise de ceux qu'il attaque. Le Soral doit s'imaginer que sans lobby sioniste tout le monde deviendrait gentil. C'est évidemment le contraire qui se produit, la bêtise mène tout le monde par le bout du nez et est incurable.
claire est au bois :-))) c est de l humour de votre plein gré a votre insu ? " Philosofesse " ça peut prêter à confusion surtout phonétiquement . . Mais j ai l esprit mal placé 😉 pardon .
On est beaucoup dans le commentaire, en plus il est lent, on se languit d'espérer choper un peu de pensée, au lieu de ça on a des clins d'oeil, des références, des anecdotes, de la poésie, de la terminologie, du néologisme badiousien qui fait fi du réel ou du moins qui le recouvre de son verbiage savant mais accesible aux seuls initiés à la secte, je doute qu'ils soient bien nombreux et que tout soit bien utile, je trouve même cela obscène c'est dommage
Si tu dis ça c’est que t’as pas compris il prétend pas dire la vérité avec un grand v il fait de l’histoire de la philosophie et de l’anthropologie donc si tu dis qu’il est macho tu parles pas de lui. Et puis c’est quoi cette génération superficielle juste parce qu’il parle de la Femme tu dis que c’est un macho avant de l’écouter mdr tout le monde att ta justification @Carol Doya
Que des questions ! Bien peu de propositions . Une série de banalités et de la morale..., de la morale ,.... des constatations sociales ...sans intérêt .
Bien plus q une analyse philosophique de la fille et de sa transformation dans l époque contemporaine , une véritable analyse de transformation du monde au travers de la féminité . Bravo Mr Badiou
Il réussit à faire une conférence sur la féminité, sans citer aucune femme théoricienne ou quoi que ce soit, BRAVO !
Badiou, un des grands penseurs de tous les temps. Admiration totale!
une vie sans idée = "travaille, consomme et ferme ta gueule" comme dit le slogan
Puis-je avoir le poème qu'a écrit Goethe svp ?
Excellente analyse 👍 très fine et aiguisé ce n'est vraiment pas glorieux
Alain Badiou ne me semble pas au mieux de sa forme. Ni sur Platon. Encore moins sur la féminité où son analyse est extrêmement faible. Mais l’homme a du panache et s’exprime remarquablement. Et on est ici en terres arides. Le philosophe ne plaisante pas,dit ce qu’il pense et pense ce qu’il dit. Les chemins de la pensée ne sont pas pavés de bonnes intentions. Mille mercis tout de même.
Cela fait longtemps que la femme a tourné le dos a ce qui est proposé par l'homme moderne qui ne sait pas où il va beau ciel vrai ciel regarde moi qui t'aime.♥️
Belle rhétorique qui permet seulement de dissimuler une conférence misogyne et sexiste. Paraître scientifique ne suffit pas à fonder correctement un propos. Le sujet n'est pas maîtrisé, bercé uniquement d'impressions subjectives, et la vision de la femme est ici une fois de plus essentialiste. En mélangeant origine du capitalisme et féminisme, en octroyant aux mères l'origine des malheurs contemporains, Alain Badiou s'inscrit simplement dans le mouvement réactionnaire du masculinisme.
Merci.
Femmmmmmesss je vous aimmmmeee! Boudiou ! Casanova sur le retour s’apprête ( telle une vieille coquette de style Louis XV) à nous dire comment il fait des notes « préliminaires », comment il « monte et démonte » des questions de toute « l’épaisseur »historique qui est la sienne ! O Boudiou ! Il en a léché des timbres avant d’envoyer ses lettres dans la « boîte » à l’Etre ! Boudiou ! C’est qu’il en a enculé des mouches heideggeriennes ! Boudiou ! Le seul type à faire marcher des mouches en canard !
Christian Mrasilevici
Merci Christian , même si ma position allongée m'ont progressivement plongée dans le sommeil . Je reprendrai au milieu . C est très interressant .
Merci pour ce cours sublime et merci aux personnes qui ont permis de le mettre à disposition ici: c'est la première fois que je pleure en écoutant un cours de philo.
Il y a beaucoup de questions qui me sont venues mais il y a une objection qui me semble essentielle (d'après ce que j'ai compris de votre cours):
L'Un de la religion (même si l'on y croit pas) n'est pas celui du masculin mais celui de l'union du masculin et du féminin, il me semble. La société d'aujourd'hui, sexualisée pour des raisons économiques, brouille la perception de cette unité et, dans cette logique, certaines femmes mettent un point d'honneur à conquérir ce qui ne leur appartient pas: le royaume des hommes.
Et il me semble d'ailleurs que le rôle de la nouvelle jeune fille, telle que je le conçois, est de réconcilier la société avec cette unité, la faire sortir d'une période "d'adolescence" hautement sexualisée pour la faire entrer dans une certaine maturité.
Qu'il me soit permis d'apporter quelques éclairages:
L'Un est bien masculin car c'est lui qui manie/domine l'ordre symbolique (le Nom du Père lacanien). Le Deux féminin est l'acte même, le processus déjouant cet Un (échec de la symbolisation). L'Un est toujours masculin en tant qu'il veut assigner une place tant symbolique que réelle à la femme qui, en tant que puissance du Deux, menace de mettre en échec cet ordre.
Le mariage en tant qu'union réelle de l'homme et de la femme ne veut pas dire que le pouvoir symbolique du mâle est partagé.
Plus largement, on trouve chez Nietzsche, bien qu'il ne soit pas explicitement mentionné, des propos sur la femme très similaires. La femme, dans le corpus nietzschéen, ne se laisse pas réduire à une seule figure car elle est toujours requise par la pluralité des figures qu'elle peut revêtir: son pouvoir est de l'ordre de l'équivoque. La femme n'est plus, comme la vie, qu'une promesse.
On pourra lire, sur le même sujet, Eperons de Derrida qui se pose aussi la question de la possibilité opératoire du concept de femme. Il affirme d'abord que "la femme est", puis: "la femme n'est pas". Car, dans le cours du développement, il apparaît qu'elle est insaisissable, qu'elle est toujours-déjà autre. Il ne saurait bien sûr y avoir la femme mais seulement des femmes.
Et Proudhon encore qui dans son dernier ouvrage inachevé, La Pornocratie, avait bien vu que le féminisme pouvait être un avatar du capitalisme triomphant.
Le diagnostique final de Badiou me semble juste car c'est un symptôme des temps que les hommes se féminisent pour palier la perte de leur pouvoir - qui est passé symboliquement et bientôt réellement aux femmes - pour ne devenir rien d'autre qu'une consommatrice comme une autre...
Quand on demandait à Derrida ce qu'il souhaitait le plus voir advenir, il répondait: qu'une femme devienne philosophe.
Seule une jeune fille peut encore nous sauver ! ! ! ...
+Manon London TU FAIS BIEN DE PLEURER, MOI AUSSI APRES T AVOIR LU
on dit philosophesse, avant que ces messieux de l'accadémie ne supprime le mot pour en supprimer l'idée
A l'inverse un Soral assis tranquillement le cul sur son lobby sioniste ne s'en lève jamais pour se donner la peine de pointer du doigt un peu plus subtilement la grande bêtise de ceux qu'il attaque. Le Soral doit s'imaginer que sans lobby sioniste tout le monde deviendrait gentil. C'est évidemment le contraire qui se produit, la bêtise mène tout le monde par le bout du nez et est incurable.
claire est au bois
:-))) c est de l humour de votre plein gré a votre insu ?
" Philosofesse " ça peut prêter à confusion surtout phonétiquement . . Mais j ai l esprit mal placé 😉 pardon .
mdr
On est beaucoup dans le commentaire, en plus il est lent, on se languit d'espérer choper un peu de pensée, au lieu de ça on a des clins d'oeil, des références, des anecdotes, de la poésie, de la terminologie, du néologisme badiousien qui fait fi du réel ou du moins qui le recouvre de son verbiage savant mais accesible aux seuls initiés à la secte, je doute qu'ils soient bien nombreux et que tout soit bien utile, je trouve même cela obscène c'est dommage
ça fatiiiiiiiiigue les hommes macho qui nient de l'être...
alain badiou macho? expliquez-vous svp :D
@Carol Doya : Tu t'es sentie visée par sa définition de la jeune femme dynamique et sans pensée ?
Carol Doya ........tu devrai developer ?
Si tu dis ça c’est que t’as pas compris il prétend pas dire la vérité avec un grand v il fait de l’histoire de la philosophie et de l’anthropologie donc si tu dis qu’il est macho tu parles pas de lui. Et puis c’est quoi cette génération superficielle juste parce qu’il parle de la Femme tu dis que c’est un macho avant de l’écouter mdr tout le monde att ta justification @Carol Doya
Vu la manière se s'exprimer on sent ton lourd QI et ta dialectique de qualité qui s'exprime
Que des questions ! Bien peu de propositions . Une série de banalités et de la morale..., de la morale ,.... des constatations sociales ...sans intérêt .
Je n'aime pas.
L'âme qui se prend pour l'esprit c'est le un dévoyé
Que voit-on ? Des contremaîtres !
assez verbeux