@France tv arts : J'aurais bien aimé lire jusqu'à la fin, mais, à partir de 3:53, une miniature de vidéo se superpose au texte pendant 4 écrans ! Dommage, car j'apprécie votre travail, en général.
Croyez moi si voter pour un parti changeait vraiment de quoi, ça fait longtemps que voter serait illégal !! Tant qu’on croit ce qu’ils disent qu’on est un parti ou l’autre... on est donc un peuple divisé et soumis… tout ça c’est de la distraction pour nous faire croire que la démocratie existe. La démocratie par définition n’a JAMAIS parlé d’élections !! Les Élections n’ont JAMAIS été un élément de la démocratie !! Car ils nous ont menti depuis le début !! Dans une démocratie c’est le peuple qui décide les lois, les budgets, etc… pas un petit groupe. Lorsque les Monarchies ont commencées à tomber, les puissants de ce monde ont eu si peur de perdre leur place qu'ils ont décidé d'appeller "Démocratie" un système qui n'a rien à voir avec la démocratie. Dans une vraie démocratie y’a pas de parti, ni de peuple divisé à gauche ou à droite ou en plusieurs partis… y’a pas de division dans une vraie démocratie car le peuple est ensemble ! Il décide ensemble, il s’informe ensemble, il débat ensemble… ils font tout ensemble !! Et c’est ça qui fait peur aux Élites du monde car c’est ça qui leur enlève la possibilité de nous contrôler. Diviser pour mieux régner ! Si vous participez à la division et accusez les positions politiques des gens en accusant nos concitoyens d’être de gauche ou de droite… c’est que leur plan fonctionne !! La population n’est pas de gauche ni de droite… la population ce sont des gens comme toi et moi qui voulons avoir du pain sur la table, un avenir pour nos enfants et être moins exploités par les Élites… peu importe tes idées politiques… on est tous dans le Même bateau et on veut tous la même chose…. Ce sont les Riches qui veulent nous faire croire qu’on est différents et divisés !!! Y’a pas de communisme et de capitalisme, y’a les dirigeants 1% et le peuple 99%…
LA DICHOTOMIE NE S'EST PAS CRÉE AU 18E SIÈCLE Le discriminant sociologique entre droite et gauche trouve son origine dans deux obsessions : - le premier (le tourment de la droite) est la phobie envers les éléments perçus comme incompatibles avec les modèles en vigueur dans la société ; - la seconde (l'obsession de la gauche) est l'intolérance envers les modèles qui semblent imposés par la société. Pour saisir le sens de ces lignes, il faut faire un saut en arrière au fil des années, en se rappelant les principales angoisses qui nous ont envahis au cours du processus d'insertion dans la société, lorsque, enfants, nous avons commencé à fréquenter l'école, ou plutôt : la salle de classe. Dans la classe, nous avons eu affaire à un camarade qui était à l'origine d'un certain malaise : c'était le "mauvais Giannino", l'élève à l'attitude irrespectueuse et aux performances pas vraiment brillantes, l'élève assis au dernier pupitre qui, presque certainement, volé ton goûter, le retardataire habituel avec un seul cahier, déformé par d'innombrables oreilles et plein d'horribles gribouillages, le délinquant dont il valait mieux se tenir à l'écart, si l'on ne voulait pas se retrouver avec quelques bleus et qui avait le impudence de montrer le pistolet au partenaire du deuxième pupitre. Le « mauvais Giannino » a certainement constitué, pour certains plus ou moins, un souci au sein de la classe/société. Mais il ne faut pas oublier qu'un autre compagnon, à l'origine d'angoisses peut-être plus dévastatrices, était le « bon Pierino », issu d'une bonne famille : l'élève qui occupait le premier pupitre, attentif à la leçon, bien élevé, vêtu d'un manière conforme au milieu fréquenté, jamais échevelée, équipée de livres lignés et bien rangés. Celui qui a exécuté avec diligence les tâches assignées et dont le bulletin scolaire indiquait les notes les plus élevées. Un modèle à imiter, la pierre de touche quand on percevait l'angoisse de ne pas être à la hauteur dans la compétition sociale, et chaque fois que la réprimande du parent, ou l'observation de l'enseignant, faisaient référence, plus ou moins implicitement, à ce chiffre. C'était précisément le « bon Pierino » qui nous troublait particulièrement, surtout lorsque nous sentions qu'il était imposé par la société comme modèle de comportement. Il est d'une IMPORTANCE FONDAMENTALE de souligner que le "bon Pierino", pour les besoins de cette "discussion", ne doit pas être considéré comme bon dans un sens absolu, mais comme un modèle de référence que la société, parfois à tort, évalue positivement, mais surtout ce qu'il demande à nous imposer. De même, le « mauvais Giannino » ne doit pas être compris comme certes répréhensible, mais comme un élément que la société, souvent en erreur, considère négativement. On peut observer comment le malaise généré par la figure du « bon Pierino » prévaut émotionnellement chez les personnes de gauche, tandis que la phobie envers le « mauvais Giannino » est une particularité de droite. Les visions anthropologiques du genre humain exprimées par Jean Jacques Rousseau et Thomas Hobbes, et normalement acceptées pour interpréter les « philosophies dominantes » dans les deux factions, semblent également conforter notre schématisation : - L'idée selon laquelle les êtres humains sont naturellement bons est de gauche. Dans ce cas, le « mauvais Giannino » ne représente pas un gros problème de société. La vision de gauche s'inspire de la pensée de Rousseau : l'homme est, par nature, bon, même s'il est ensuite corrompu par la société. Il convient de noter que le « bon Pierino », c’est-à-dire l’obsession de la gauche, représente la société, étant le modèle qu’elle prétend imposer. - L'idée selon laquelle ils sont naturellement diaboliques est de droite : cette autre inquiétude naît du soupçon que, derrière chaque individu, il peut y avoir un mauvais "mauvais Giannino". La vision de droite, développée par Hobbes, découle de la conviction que l’homme est, par nature, mauvais. L'homme essaie toujours de tromper les autres, de s'en prendre à eux et de les subjuguer : « Homo homini lupus » (l'homme est un loup pour l'homme). Dans ce cas, il appartient à l'entreprise (du "bon Pierino") de ramener le "mauvais Giannino" à des conseils plus doux, en utilisant, si nécessaire, des méthodes... "suffisamment convaincantes". Si nous acceptons la schématisation proposée comme valide, nous pouvons observer que LA DICOTOMIE N'EST PAS NEE' XVIIIe siècle, comme on le croit habituellement, mais remonte à bien plus tôt. Cela nous fait comprendre, par exemple, les pulsions émotionnelles qui, il y a environ deux mille ans, déterminèrent le choix d'une foule de Juifs enragés lorsqu'ils préférèrent envoyer à la potence une personne reconnue innocente par ceux qui détenaient le pouvoir militaire (mais peut-être pas le pouvoir politique), plutôt qu'un autre certainement coupable de plusieurs crimes. Pour les Juifs de cette époque, ceux qui subissaient la torture constituaient un modèle positif auquel ils devaient s’adapter. Il est donc plausible de considérer les émotions « envahies » par les dirigeants populaires lors de cet épisode lointain comme étant orientées vers la gauche. En exploitant une émotivité droitière, une tournure différente des événements est probable : ce serait certainement l'autre qui aurait été, pour ainsi dire... "crucifié", et sans même rechercher si le mauvais chemin emprunté était peut-être une conséquence de une enfance mortifiée par un père perpétuellement ivre, ou par une mère qui, battant assidûment le pavé, négligeait ses enfants et ses tâches domestiques. La schématisation propose donc une « justification » à l’athéisme viscéral qui a toujours caractérisé l’extrême gauche.
Il y a une symbolique derrière La droite dans l’inconscient collectif c'est l’ordre et la raison (notamment dans le christianisme) Alors que la gauche c'est vu toujours dans le christianisme comme les ennemies du pouvoir D'où l'expression du bras droit Ou que pendant très longtemps on discriminé les gaucher. ua-cam.com/video/H8gS8eYAZPE/v-deo.html Il y a une vidéo d'un créateur de contenue qui en parle plus en profondeur (Tzitzimitl)
Dépend des définition mais si on prend une définition le plus cohérent historiquement et quelques soit l'époque Gauche : Toute idéologie ou individu, cherchant à changer la société pour en créer une qu'il juge meilleur et qui n'a pas été appliquer Droite : Toute idéologie ou individu, cherchant à conserver le statu quo sociétal ou revenir à des valeurs dites traditionnel (en l’occurrence en France celle d'avant 1789 et tout ce qui est basé sur une forme d'autoritarisme et d'ordre, en tout cas c'est la définition de l’extrême droite)
Excellente vidéo ! :]
Super vidéo bien expliquée j'aime bien ce genre de format
@France tv arts : J'aurais bien aimé lire jusqu'à la fin, mais, à partir de 3:53, une miniature de vidéo se superpose au texte pendant 4 écrans !
Dommage, car j'apprécie votre travail, en général.
Merci Jean pour votre œil et votre vigilance, c'est modifié :) !
@@francetvarts2348: Merci. 😊
Croyez moi si voter pour un parti changeait vraiment de quoi, ça fait longtemps que voter serait illégal !!
Tant qu’on croit ce qu’ils disent qu’on est un parti ou l’autre... on est donc un peuple divisé et soumis… tout ça c’est de la distraction pour nous faire croire que la démocratie existe. La démocratie par définition n’a JAMAIS parlé d’élections !!
Les Élections n’ont JAMAIS été un élément de la démocratie !! Car ils nous ont menti depuis le début !!
Dans une démocratie c’est le peuple qui décide les lois, les budgets, etc… pas un petit groupe.
Lorsque les Monarchies ont commencées à tomber, les puissants de ce monde ont eu si peur de perdre leur place qu'ils ont décidé d'appeller "Démocratie" un système qui n'a rien à voir avec la démocratie.
Dans une vraie démocratie y’a pas de parti, ni de peuple divisé à gauche ou à droite ou en plusieurs partis… y’a pas de division dans une vraie démocratie car le peuple est ensemble ! Il décide ensemble, il s’informe ensemble, il débat ensemble… ils font tout ensemble !! Et c’est ça qui fait peur aux Élites du monde car c’est ça qui leur enlève la possibilité de nous contrôler.
Diviser pour mieux régner ! Si vous participez à la division et accusez les positions politiques des gens en accusant nos concitoyens d’être de gauche ou de droite… c’est que leur plan fonctionne !! La population n’est pas de gauche ni de droite… la population ce sont des gens comme toi et moi qui voulons avoir du pain sur la table, un avenir pour nos enfants et être moins exploités par les Élites… peu importe tes idées politiques… on est tous dans le Même bateau et on veut tous la même chose…. Ce sont les Riches qui veulent nous faire croire qu’on est différents et divisés !!! Y’a pas de communisme et de capitalisme, y’a les dirigeants 1% et le peuple 99%…
AU BUCHER !
C'est vraiment intéressant, j'ai l'impression que tu as mis les mots exacts sur ma vision de la politique
Et vueb viter front populaire pour avoir un peu de changement!
LA DICHOTOMIE NE S'EST PAS CRÉE AU 18E SIÈCLE
Le discriminant sociologique entre droite et gauche trouve son origine dans deux obsessions :
- le premier (le tourment de la droite) est la phobie envers les éléments perçus comme incompatibles avec les modèles en vigueur dans la société ;
- la seconde (l'obsession de la gauche) est l'intolérance envers les modèles qui semblent imposés par la société.
Pour saisir le sens de ces lignes, il faut faire un saut en arrière au fil des années, en se rappelant les principales angoisses qui nous ont envahis au cours du processus d'insertion dans la société, lorsque, enfants, nous avons commencé à fréquenter l'école, ou plutôt : la salle de classe.
Dans la classe, nous avons eu affaire à un camarade qui était à l'origine d'un certain malaise : c'était le "mauvais Giannino", l'élève à l'attitude irrespectueuse et aux performances pas vraiment brillantes, l'élève assis au dernier pupitre qui, presque certainement, volé ton goûter, le retardataire habituel avec un seul cahier, déformé par d'innombrables oreilles et plein d'horribles gribouillages, le délinquant dont il valait mieux se tenir à l'écart, si l'on ne voulait pas se retrouver avec quelques bleus et qui avait le impudence de montrer le pistolet au partenaire du deuxième pupitre. Le « mauvais Giannino » a certainement constitué, pour certains plus ou moins, un souci au sein de la classe/société. Mais il ne faut pas oublier qu'un autre compagnon, à l'origine d'angoisses peut-être plus dévastatrices, était le « bon Pierino », issu d'une bonne famille : l'élève qui occupait le premier pupitre, attentif à la leçon, bien élevé, vêtu d'un manière conforme au milieu fréquenté, jamais échevelée, équipée de livres lignés et bien rangés. Celui qui a exécuté avec diligence les tâches assignées et dont le bulletin scolaire indiquait les notes les plus élevées.
Un modèle à imiter, la pierre de touche quand on percevait l'angoisse de ne pas être à la hauteur dans la compétition sociale, et chaque fois que la réprimande du parent, ou l'observation de l'enseignant, faisaient référence, plus ou moins implicitement, à ce chiffre. C'était précisément le « bon Pierino » qui nous troublait particulièrement, surtout lorsque nous sentions qu'il était imposé par la société comme modèle de comportement.
Il est d'une IMPORTANCE FONDAMENTALE de souligner que le "bon Pierino", pour les besoins de cette "discussion", ne doit pas être considéré comme bon dans un sens absolu, mais comme un modèle de référence que la société, parfois à tort, évalue positivement, mais surtout ce qu'il demande à nous imposer. De même, le « mauvais Giannino » ne doit pas être compris comme certes répréhensible, mais comme un élément que la société, souvent en erreur, considère négativement.
On peut observer comment le malaise généré par la figure du « bon Pierino » prévaut émotionnellement chez les personnes de gauche, tandis que la phobie envers le « mauvais Giannino » est une particularité de droite.
Les visions anthropologiques du genre humain exprimées par Jean Jacques Rousseau et Thomas Hobbes, et normalement acceptées pour interpréter les « philosophies dominantes » dans les deux factions, semblent également conforter notre schématisation :
- L'idée selon laquelle les êtres humains sont naturellement bons est de gauche. Dans ce cas, le « mauvais Giannino » ne représente pas un gros problème de société. La vision de gauche s'inspire de la pensée de Rousseau : l'homme est, par nature, bon, même s'il est ensuite corrompu par la société. Il convient de noter que le « bon Pierino », c’est-à-dire l’obsession de la gauche, représente la société, étant le modèle qu’elle prétend imposer. - L'idée selon laquelle ils sont naturellement diaboliques est de droite : cette autre inquiétude naît du soupçon que, derrière chaque individu, il peut y avoir un mauvais "mauvais Giannino". La vision de droite, développée par Hobbes, découle de la conviction que l’homme est, par nature, mauvais. L'homme essaie toujours de tromper les autres, de s'en prendre à eux et de les subjuguer : « Homo homini lupus » (l'homme est un loup pour l'homme). Dans ce cas, il appartient à l'entreprise (du "bon Pierino") de ramener le "mauvais Giannino" à des conseils plus doux, en utilisant, si nécessaire, des méthodes... "suffisamment convaincantes".
Si nous acceptons la schématisation proposée comme valide, nous pouvons observer que LA DICOTOMIE N'EST PAS NEE' XVIIIe siècle, comme on le croit habituellement, mais remonte à bien plus tôt. Cela nous fait comprendre, par exemple, les pulsions émotionnelles qui, il y a environ deux mille ans, déterminèrent le choix d'une foule de Juifs enragés lorsqu'ils préférèrent envoyer à la potence une personne reconnue innocente par ceux qui détenaient le pouvoir militaire (mais peut-être pas le pouvoir politique), plutôt qu'un autre certainement coupable de plusieurs crimes. Pour les Juifs de cette époque, ceux qui subissaient la torture constituaient un modèle positif auquel ils devaient s’adapter. Il est donc plausible de considérer les émotions « envahies » par les dirigeants populaires lors de cet épisode lointain comme étant orientées vers la gauche. En exploitant une émotivité droitière, une tournure différente des événements est probable : ce serait certainement l'autre qui aurait été, pour ainsi dire... "crucifié", et sans même rechercher si le mauvais chemin emprunté était peut-être une conséquence de une enfance mortifiée par un père perpétuellement ivre, ou par une mère qui, battant assidûment le pavé, négligeait ses enfants et ses tâches domestiques.
La schématisation propose donc une « justification » à l’athéisme viscéral qui a toujours caractérisé l’extrême gauche.
Ceux sont ils mi part azar a droite et a gauche ?ou il y a une reson
Il y a une symbolique derrière
La droite dans l’inconscient collectif c'est l’ordre et la raison (notamment dans le christianisme)
Alors que la gauche c'est vu toujours dans le christianisme comme les ennemies du pouvoir
D'où l'expression du bras droit
Ou que pendant très longtemps on discriminé les gaucher.
ua-cam.com/video/H8gS8eYAZPE/v-deo.html Il y a une vidéo d'un créateur de contenue qui en parle plus en profondeur (Tzitzimitl)
Quelle en est la différence svp
Dépend des définition
mais si on prend une définition le plus cohérent historiquement et quelques soit l'époque
Gauche : Toute idéologie ou individu, cherchant à changer la société pour en créer une qu'il juge meilleur et qui n'a pas été appliquer
Droite : Toute idéologie ou individu, cherchant à conserver le statu quo sociétal ou revenir à des valeurs dites traditionnel (en l’occurrence en France celle d'avant 1789 et tout ce qui est basé sur une forme d'autoritarisme et d'ordre, en tout cas c'est la définition de l’extrême droite)