Extrait de l'acte 2 de La vie Parisienne "Je suis la gantière, je suis le bottier"

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  • Опубліковано 14 лип 2009
  • Opéra bouffe de Jacques Offenbach enregistré les 8 et 9 Novembre 2008 au grand théatre d'Angers présenté par l'Atelier Lyrique Angévin. Mise en scène : Jocelyn RICHE Chef de choeur ; Christian FOULONNEAU et Cédric BAILLERGEAU Direction musicale : Rémi CORBIER Avec : Delphine CADET dans le rôle de Gabrielle la gantière et Charles MESRINE dans le rôle de Frick le bottier.

КОМЕНТАРІ • 11

  • @christophesingio9801
    @christophesingio9801 4 роки тому +2

    Sympa. Charles Mesrine, toujours égal à son talent. Manquent toutefois des plantes vertes, grandes, petites. partout. et on était chez Feydeau. 2-3 tapis, également. ET des affaires qui traînent, sur la table, le secrétaire, un dossier de chaise.

  • @jeanmicheljoffres6475
    @jeanmicheljoffres6475 2 роки тому

    Bravo superbe! C'est très bien !

  • @mseb78
    @mseb78  15 років тому +2

    En fait il y a eu un problème de branchement des micros. Le technicien a branché les micros sur scène avec celui de l'orchestre et du coup si je baisse le son sur scène, cela baissera également celui de la scène.

  • @christophesingio9801
    @christophesingio9801 8 років тому

    D'où sortent la musique et les lyrics qui suivent l'air de Gabrièle ?! Ce n'est pas de l'Offenbach, ça ! Serait-ce comme l'air de la Baronne, rajouté en 1884 (je crois) ? Ca sonne comme de la fin XIXème !

    • @arobesparre4619
      @arobesparre4619 4 роки тому +1

      C'est ce qu'Offenbach lui-même a coupé dès le le lendemain de la création (comme l'autre couplet du Rondeau du Brésilien).
      L'air de la Baronne, quant à lui, est extrait du 4ème acte de la version de 1866, soit la version d'origine en 5 actes, qui a été coupé par la suite dans le but de satisfaire les critiques le considérant comme une douche d'eau froide au milieu d'une pièce plaisante.

    • @christophesingio9801
      @christophesingio9801 4 роки тому

      @@arobesparre4619 Merci. Et bien Offenbach a bien fait de couper.... Je viens de ré-écouter : c'est interminable.

    • @arobesparre4619
      @arobesparre4619 4 роки тому

      @@christophesingio9801 Au contraire, je trouve ça beaucoup plus riche (aussi, j'ai la partition chez moi) !
      Mais je pense qu'il y a une certaine différence niveau appréciation entre écouter juste comme ça et être plongé dans le morceau, l'analyser :
      le contemporain de passage qui cherche simplement à se distraire sans plus risque de préférer des morceau plus courts, plus simples, plus accessibles (d'où le fait que l'anniversaire de la mort de Claude Debussy n'aie pas fait un retentissement si grandiose), là où le musicien assidu à la recherche du patrimoine, de la richesse, voire cherchant à étoffer son répertoire aimera fouiller, prendra plaisir à dénicher les versions d'origines, les écouter dans leur intégralité.
      Il n'est pas impossible que je parle pour moi, mais je pense qu'il ne serait pas non plus inintéressant de réfléchir de ce côté...
      A voir !

    • @arobesparre4619
      @arobesparre4619 4 роки тому

      @@christophesingio9801 Et puis je l'ai écouté je ne sais combien de fois et non, je ne le trouve pas si interminable que ça, il est même très structuré !

    • @tomheinrich578
      @tomheinrich578 4 роки тому +1

      @christophe singio il faut savoir que La Vie parisienne a connu de nombreuses versions ! Une première en 5 actes en 1866 qui n’a pas dépassé les répétitions, remplacée par une deuxième en 5 actes avec l’acte 4 entièrement remanié. Cette version sera celle entendue par le public mais elle subira de nombreuses coupures tout au long des représentations (l’acte 4 finira même par être supprimé au bout de quelques représentations, car cassant le rythme et rajoutant des longueurs). Suivra une version encore remaniée en 4 actes en 1867 crée pour Bruxelles ou l’air de la baronne de l’acte supprimé est déplacé dans le dernier acte. Il existe une version Viennoise dans laquelle l’ouverture, un entracte et le finale sont modifiés et dans laquelle réapparaissent des éléments coupés en 1866. Enfin, il y a la version en 4 actes "officielle" de 1873, avec son lot de modifications (notamment la tyrolienne de Gabrielle chantée à l’origine en Allemand, et qui contexte d’après guerre oblige, est chantée en français ainsi que l’ajout d’un air pour le Baron dans le finale du troisième acte, le Baron qui au passage passe de baryton en 1866/67 à ténor en 1873) qui est habituellement donnée de nos jours.
      Même si les coupures ont étés nécessaires pour pallier des longueurs ou une baisse de rythme selon le public de l’époque (que penserait le public actuel s’il manquait le Carillon du second acte de la Grande Duchesse de Gerolstein pourtant sacrifié sans pitié à l’époque...), personnellement, comme @Arob Esparre je pense que les éléments qui ont été coupés une fois remis à leurs place rendent l’œuvre plus étoffée et riche et méritent de retrouver leur place au sein de l’œuvre.