La conférence ayant quand même, il me semble, un sujet qui dérive au fur et à mesure de son déroulement (la beauté vs la vérité puis ensuite l'efficacité des mathématiques), je m'attendais logiquement à ce que Monsieur Klein émette l'hypothèse suivante : le sentiment de beauté pourrait provenir de l'intuition par laquelle la nature nous fait entendre que le "miracle" de l'efficacité des mathématiques est sur le point de se produire. Par ailleurs, comme M. Klein explique qu'un développement mathématique peut avoir des applications physiques futures même s'il échoue à résoudre le problème particulier auquel il a pu d'abord s’intéresser, on peut comprendre que cette beauté soit constitutive, inclue, en ce sens qu'elle a, cette avancée, cette équation, cette mathématique, un avenir physique caché, et donc potentiellement "miraculeux".
Il me semble peu nécessaire de définir ce que serait la "beauté". D'abord parce que je doute qu'on y arrive et ensuite parce que je ne crois pas qu'on puisse de manière opératoire définir ce qui qualifierait la beauté pour les uns et pas pour les autres. Vous parlez en même temps de symétrie et d'asymétrie, ce qui indique bien l'état d'auto dissolution du sujet. Quand pour expliquer un phénomène on se met à invoquer des assemblages de contraires c'est que son explication ne nous est pas accessible. Elle n'est pas accessible, nous ne la dégagerons pas par des mots, et nous ne la communiquerons pas. Non, je crois qu'il faut simplement faire confiance à ceux qui nous parlent de leur sentiment de beauté d'où qu'il leur provienne et le prendre pour véritable. Donc, c'est beau. Pourquoi, c'était mon hypothèse. Et ma modeste critique du développement de la conférence de M Klein. Vous dites que les Mathématiques sont simples à définir (cerner), bon courage également.
Du moins en partie merci !
Bonsoir ma jolie 🤩
tout correspond et croise ma logique et intelligence émotionnelle.....
Bonsoir ma mignonne ☺️
Magistral!!!? j'ai enfin trouvé mes réponses existantielles!!
Bonsoir ma tendresse 🥰🌺☃️🕊🇺🇳⛲️
Zerthy et Yules
comme un grand puzzle qui s'imbriquent peu à peu....
La conférence ayant quand même, il me semble, un sujet qui dérive au fur et à mesure de son déroulement (la beauté vs la vérité puis ensuite l'efficacité des mathématiques), je m'attendais logiquement à ce que Monsieur Klein émette l'hypothèse suivante : le sentiment de beauté pourrait provenir de l'intuition par laquelle la nature nous fait entendre que le "miracle" de l'efficacité des mathématiques est sur le point de se produire.
Par ailleurs, comme M. Klein explique qu'un développement mathématique peut avoir des applications physiques futures même s'il échoue à résoudre le problème particulier auquel il a pu d'abord s’intéresser, on peut comprendre que cette beauté soit constitutive, inclue, en ce sens qu'elle a, cette avancée, cette équation, cette mathématique, un avenir physique caché, et donc potentiellement "miraculeux".
Il me semble peu nécessaire de définir ce que serait la "beauté". D'abord parce que je doute qu'on y arrive et ensuite parce que je ne crois pas qu'on puisse de manière opératoire définir ce qui qualifierait la beauté pour les uns et pas pour les autres. Vous parlez en même temps de symétrie et d'asymétrie, ce qui indique bien l'état d'auto dissolution du sujet. Quand pour expliquer un phénomène on se met à invoquer des assemblages de contraires c'est que son explication ne nous est pas accessible. Elle n'est pas accessible, nous ne la dégagerons pas par des mots, et nous ne la communiquerons pas.
Non, je crois qu'il faut simplement faire confiance à ceux qui nous parlent de leur sentiment de beauté d'où qu'il leur provienne et le prendre pour véritable. Donc, c'est beau.
Pourquoi, c'était mon hypothèse. Et ma modeste critique du développement de la conférence de M Klein.
Vous dites que les Mathématiques sont simples à définir (cerner), bon courage également.
Désolé, je ne suis pas alchimiste. : )
😁😁😁☃️🎅🏻🕊⛲️
😁😁😁☃️🎅🏻⛲️🇺🇳