C’est vivre heureux avec le minimum choisis. C’est géniale de parler d’adaptation, il n’y a pas de meilleur façon, c’est notre meilleure façon. Tendre vers un extrême c’est déjà oublier le bienfait d’une pratique, on est plus là à penser à notre épanouissement, mais on cherche à conquérir l’autre de part notre « bonne pensée » on est plus en paix avec sois même mais plutôt en guerre contre les autres. Alors que l’autre c’est la définition même de ce qu’on ne peut contrôler. Enfin bref, d’ailleurs y’a un thème intéressant avec le minimalisme que j’ai entendue il y a peu, c’est de le transmuter dans nos interactions sociales proche. Préférer la qualité que la quantité. Enfin.. le plus important c’est d’être heureux avec ce que l’on a, ce rappeler de la chance d’avoir de l’eau potable, un toit, du chauffage, de la lumière.. car tout est éphémère et ce qui est acquis peut devenir normale et « fade ».
merci pour cette vidéo Mara et Patrick, ça suscite chez moi une piste de réflexion intéressante :-)
C’est vivre heureux avec le minimum choisis. C’est géniale de parler d’adaptation, il n’y a pas de meilleur façon, c’est notre meilleure façon. Tendre vers un extrême c’est déjà oublier le bienfait d’une pratique, on est plus là à penser à notre épanouissement, mais on cherche à conquérir l’autre de part notre « bonne pensée » on est plus en paix avec sois même mais plutôt en guerre contre les autres. Alors que l’autre c’est la définition même de ce qu’on ne peut contrôler.
Enfin bref, d’ailleurs y’a un thème intéressant avec le minimalisme que j’ai entendue il y a peu, c’est de le transmuter dans nos interactions sociales proche. Préférer la qualité que la quantité. Enfin.. le plus important c’est d’être heureux avec ce que l’on a, ce rappeler de la chance d’avoir de l’eau potable, un toit, du chauffage, de la lumière.. car tout est éphémère et ce qui est acquis peut devenir normale et « fade ».