Ndeysanne il n’avait que 57ans et pourtant on lui en donnerait beaucoup plus..... Que de responsabilités sur ses épaules!!!!Thiéy Mame Mansour mala beugueu bamou diakhal ma. Ya Allah yok léram tasse gnou si barkém
Macha allah dieureudieuf mbaye yalla nalla yalla maye goudou fane AK wer khèweul AK soutoureu barkè fèkè ak Salam thie barkè seydouna mouhammad psl Yalla moune nako Sagne nako yalla nako yalla def
Dieureudieuf Abdoul Aziz Mbaye Yalla na ngafi Yagg lol tè wër El hadji Mansour Sy RTA Yalla na Yalla Yokk ay lèrram tè tass niou si Barkèm Allahouma Amine
Mame mansour Il est un baromètre pour sonder le charme et tout le mérite de la famille de Seydil Hadji Malick (RTA). N’est ce pas Serigne Babacar Sy qui le nommant inspecteur de la tijaniya affirmait qu’il a l’honneur et la fierté de compter dans ses rangs un frère que tout érudit de son époque aurait souhaité avoir dans les siens ? N’est ce pas Dabakh, l’homme au sourire légendaire, qui jurait qu’il n ' y a point d’égal à l’homme aux deux turbans[5] (borom ńaari kaala yi) au sein de la famille de Maodo? Les fidèles ne lui ont-ils pas attribué le titre de ”moudjibalkhawmi” le phénomène ou le miracle de son époque ? Pour nous donc, c’est un homme doté d’une capacité d’élévation, de dépassement, de reconsidération hors pair que la société devrait méditer davantage pour redorer son blason. Un homme très énigmatique, ce réceptacle de savoirs est un parfait connaisseur du Prophète (PSL) comme pourrait-on le remarquer d’ailleurs, à travers ses poèmes. ”Haraftu li Salma[6]et yaa Zabyatane bizi Salam[7]” dont le recoupement avec la littérature sur le Sceau de la prophétie montrent tout le charme et toute la richesse de sa plume. A travers cette œuvre sur le prophète (PSL), il démontre clairement la particularité et la différence existentielle entre Mohamed (PSL) et le reste de l’humanité depuis le monde des âmes. Sa parfaite disponibilité à renseigner sur le célèbre homme de Tivaoune, à travers des écrits très séduisants, hisse le saint homme à un rang incontournable pour qui veut étancher sa soif de connaissance sur Maodo. Pour lui, en effet, ce géant de l’Islam est ”l’abreuvoir des saints férus d’un modèle d’entendement digne des véritables héritiers du prophète, à qui il faut toujours prêter une oreille attentive”. Autrement dit, Maodo, ”c’est le maître incontestable dans l’assemblée des savants, le formateur de grade exceptionnel qui a rendu accessible les questions qui restaient jusqu’ici sans réponses convaincantes pour les plus grands chercheurs”. Par ailleurs, le contenu de son message requiert toujours une touche relativement intellectuelle et très sociologique qui a une valeur de leçon inaugurale à laquelle on est habitué dans les rentrées solennelles des grandes universités. En guise d’illustration, face à un monde en crise, face à une situation enflammée, ses compendiums suscitent toujours le refus de la bassesse au profit d’une issue salvatrice. En grand prospectiviste, si nous nous référons à ”uusikum ayyouha shubbânu[8] ou Abdoul Aziz ahirnil qalba uusika[9] ou ayâa saaxi sabranne[10]” nous affirmons avec énergie que son œuvre est un réceptacle de solutions pour les maux dont souffre notre société. En effet, dans le premier poème, il établit le comportement et le polissage appropriés pour une jeunesse, qui ”doit avoir comme seule viatique la quête de connaissance fondée sur l’observance des vertus”. Ainsi, pour lui, l’élève doit vouer un grand respect au maître qu’il doit toujours solenniser et sanctifier pour bénéficier de sa baraka et de ses attributs apparents et/ou occultes”. Concernant le second, les guides religieux y trouvent une source intarissable de conseils prodigués à Mame Dabakh (RTA) dans un monde où les vertus se raréfient. Les questions de l’éthique et de la déontologie des guides religieux sont passées en peigne fin d’une manière qu’on ne porterait plus au pinacle. L’une des recommandations mériterait d’être évoquée pour voir sa sentence dans le comportement de son jeune frère Moulaye Dabakh à l’épreuve. ” Ne traites jamais de manière distingué ce qui viennent vers toi selon qu’ils soient riches ou pauvres, bons ou méchants. Renseignes-toi au préalable de manière rigoureuse avant de poser des actes qui pourront porter préjudice à la plus petite entité sous ta responsabilité. Ne te laisses point emporter par l’applaudimètre qui voit en toi une personne différente du commun des mortels, car la meilleure des créatures était très humble.” Pour le troisième poème, ce formateur hors norme transforme la colère de l’adepte ou du prochain en vertu cardinale par l’intermédiaire de la patience et de la tolérance. Pour lui, ”la tolérance est la charité de l’intelligence” pour paraphraser Jules Lemaître. ”L’indulgence doit être dans nos articulations pour faire face à la vague destructrice qu’est la colère. Alors, sois patient pour être méritant, car tôt ou tard justice sera faite et tu seras dignement fêté.” Père de deux aimables figures de notre époque, Serigne Mbaye Sy Mansour et Sokhna Fatou Sy (épouse de Serigne Mansour Borom Daradji), Balxawmi a montré à tout le monde que la persévérance, le culte de la tolérance, le dépassement et l’expression de la connaissance en adéquation avec les recommandations divines et prophétiques sont les piliers sur lesquels nous devons construire un modèle sociétal. Sa solide philosophie, fait de lui un modèle de soufi, et offre une riche grille de lecture qu’il faut d’avantage promouvoir pour ramer à contre courant du renégat des valeurs. Sa disparition mémorable, ce soir du 29 mars 1957, plongea le monde entier dans l’émoi et la consternation et fît de la relation savoir/pratique le plus grand orphelin. Les nuages battaient le pavé dans ce ciel très sombre et très triste de Tivaoune, quelques jours après le décès de Khalifa (RTA), apportant la crispation, la désolation et l’inquiétude de toute la Umma. Une courte vie certes (57ans), El Mansour suscite toujours une vive émotion pour nous disciples et simples citoyens. Reposant prés de son père comme il l’avait prédit, sa proximité avec son maître ne saurait se limiter au monde terrestre. Il l’accompagne toujours fidèlement dans le monde des âmes avec une complicité sans égale. Comprenez notre inquiétude, chers lecteurs, lorsqu’il s’agit d’un personnage aussi énigmatique que cet homme, on perd forcément sa logique et sa rhétorique. Qu’Allah soit entièrement satisfait de lui et fasse que l’on puisse méditer et revêtir les valeurs capitales qu’il nous a léguées.Pour le troisième poème, ce formateur hors norme transforme la colère de l’adepte ou du prochain en vertu cardinale par l’intermédiaire de la patience et de la tolérance. Pour lui, ”la tolérance est la charité de l’intelligence” pour paraphraser Jules Lemaître. ”L’indulgence doit être dans nos articulations pour faire face à la vague destructrice qu’est la colère. Alors, sois patient pour être méritant, car tôt ou tard justice sera faite et tu seras dignement fêté.” Père de deux aimables figures de notre époque, Serigne Mbaye Sy Mansour et Sokhna Fatou Sy (épouse de Serigne Mansour Borom Daradji), Balxawmi a montré à tout le monde que la persévérance, le culte de la tolérance, le dépassement et l’expression de la connaissance en adéquation avec les recommandations divines et prophétiques sont les piliers sur lesquels nous devons construire un modèle sociétal. Sa solide philosophie, fait de lui un modèle de soufi, et offre une riche grille de lecture qu’il faut d’avantage promouvoir pour ramer à contre courant du renégat des valeurs. Sa disparition mémorable, ce soir du 29 mars 1957, plongea le monde entier dans l’émoi et la consternation et fît de la relation savoir/pratique le plus grand orphelin. Les nuages battaient le pavé dans ce ciel très sombre et très triste de Tivaoune, quelques jours après le décès de Khalifa (RTA), apportant la crispation, la désolation et l’inquiétude de toute la Umma. Une courte vie certes (57ans), El Mansour suscite toujours une vive émotion pour nous disciples et simples citoyens. Reposant prés de son père comme il l’avait prédit, sa proximité avec son maître ne saurait se limiter au monde terrestre. Il l’accompagne toujours fidèlement dans le monde des âmes avec une complicité sans égale. Comprenez notre inquiétude, chers lecteurs, lorsqu’il s’agit d’un personnage aussi énigmatique que cet homme, on perd forcément sa logique et sa rhétorique. Qu’Allah soit entièrement satisfait de lui et fasse que l’on puisse méditer et revêtir les valeurs capitales qu’il nous a léguées.
Ndeysanne il n’avait que 57ans et pourtant on lui en donnerait beaucoup plus..... Que de responsabilités sur ses épaules!!!!Thiéy Mame Mansour mala beugueu bamou diakhal ma. Ya Allah yok léram tasse gnou si barkém
Machallah mam mansour borom balkhawmi yalla na yalla yokou léram té tass gniou si barkem ci barké seydina mouhamed sws amine
Macha allah dieureudieuf mbaye yalla nalla yalla maye goudou fane AK wer khèweul AK soutoureu barkè fèkè ak Salam thie barkè seydouna mouhammad psl Yalla moune nako Sagne nako yalla nako yalla def
Machallah walahi ndeysane seyidil khawmi yallah na yallah you kou léram té Tass gnou barkèm thi barké seydina Mohamed slw amine💗💖💔💟💝💞❤💝💞
Dieureudieuf Abdoul Aziz Mbaye Yalla na ngafi Yagg lol tè wër El hadji Mansour Sy RTA Yalla na Yalla Yokk ay lèrram tè tass niou si Barkèm Allahouma Amine
Walahi contane na ndeysaan SEYDI HADJ MANSOUR YALLA naniou YALLA tass cii barkém
Ndeye Talibé Khalifa Ababacar Sy machala
Ndeyssane
Ndeysaane . Melni kou def thi khilaafa gui 40ans ndah liniou la hamal ci kéémaane beuri na . Djeureudjeuf Habib Bâ goudeul fane andak tawfeh , wergui yaram , yalla mousseul la thi seytaané ak lep lou bone inchaAllah.
Doli di sante yalla bubah doundou dèe dèki si tarikha cheikh amine ❤️❤️❤️❤️🇸🇳🇸🇳🇸🇳
Machalla sy malick yalla na yalla fayal ngou la amine yarabi
Yalnaniou yalla nangoul souniou tiofeil si elh mansour
Seydoul khawmi Mouhamadoul Mansour sy balkhawmi yala Nanou yala tassou gnou si barké 🙏
Macha allah yana yalla yok lérame té tassounou si barket Seydina Mouhamed (PSL ).
machalla kéndou serigne mansour sy blkhawmi yallena doli saye tassgnou sa barké seydi khadji malick sa barké mame
Amouma sago si mome billahi wallahi ken sama sopey bi balkhawmi
Ndeysane sope serigne babacar sy rakame bou bakhbi elevou seydil hadji malick bangini nitouyala bangini inspecteur tarikhabi
Machallah yalla na yalla yocou lérame tasgnou thi barkém amine
Machala borom balkhawmi
Man sha Allah Yalla nagnou Yalla tass sa barker 🙏🙏🙏
Thieye gorguii❤
Merci habib contane nane torop
Attijanya malikyya '
Yala na yala taas ci barkem
Macha alla Mbaye yalla na faye
Abdou Aziz mbay machala
Yalna Yalla yoka léraam
MON CHANTEUR ABDOU AZIZ MBAYE
Fara mbayène deugue
général abdou mbaye
Seydoul khawmi borone niari kalagni
Machallah sy Malick
رضي الله تعالى عنه
Machallah ki moy gor purr
Qui est ecote en 2020❤️❤️❤️❤️
Merci beaucoup Habiba
Seydoul khawmi pap Abdou Aziz mbaye le général
Serigne niu makk ñi ❤️❤️❤️
Machallah machallah amine amineee
Mashallah
guén dou moado
Magui thiane yalla maodo yalla fayale tiouko ndahe limouye defffe thi sounou hollleyi yalla rekkke moko hame abdou azize mbaye yathi nehalalle sounou hole yi thi maodo
Machallah ❤️
Balkhaw mi serignou mag gni
رضي اللّه عنه
ءامين
Rta Amine
Macha allah Macha allah
ahway li nekh na de
Ndeyssane
Seydoul khawmi mame mansour rta
Machala
Amine
Abdou yalla na yalla guoudoule sa fane ya gnou hamale maodo thi aye
Borom le 29 Mars ❤🙏
Mame mansour
Il est un baromètre pour sonder le charme et tout le mérite de la famille de Seydil Hadji Malick (RTA). N’est ce pas Serigne Babacar Sy qui le nommant inspecteur de la tijaniya affirmait qu’il a l’honneur et la fierté de compter dans ses rangs un frère que tout érudit de son époque aurait souhaité avoir dans les siens ? N’est ce pas Dabakh, l’homme au sourire légendaire, qui jurait qu’il n ' y a point d’égal à l’homme aux deux turbans[5] (borom ńaari kaala yi) au sein de la famille de Maodo? Les fidèles ne lui ont-ils pas attribué le titre de ”moudjibalkhawmi” le phénomène ou le miracle de son époque ? Pour nous donc, c’est un homme doté d’une capacité d’élévation, de dépassement, de reconsidération hors pair que la société devrait méditer davantage pour redorer son blason.
Un homme très énigmatique, ce réceptacle de savoirs est un parfait connaisseur du Prophète (PSL) comme pourrait-on le remarquer d’ailleurs, à travers ses poèmes. ”Haraftu li Salma[6]et yaa Zabyatane bizi Salam[7]” dont le recoupement avec la littérature sur le Sceau de la prophétie montrent tout le charme et toute la richesse de sa plume. A travers cette œuvre sur le prophète (PSL), il démontre clairement la particularité et la différence existentielle entre Mohamed (PSL) et le reste de l’humanité depuis le monde des âmes. Sa parfaite disponibilité à renseigner sur le célèbre homme de Tivaoune, à travers des écrits très séduisants, hisse le saint homme à un rang incontournable pour qui veut étancher sa soif de connaissance sur Maodo. Pour lui, en effet, ce géant de l’Islam est ”l’abreuvoir des saints férus d’un modèle d’entendement digne des véritables héritiers du prophète, à qui il faut toujours prêter une oreille attentive”. Autrement dit, Maodo, ”c’est le maître incontestable dans l’assemblée des savants, le formateur de grade exceptionnel qui a rendu accessible les questions qui restaient jusqu’ici sans réponses convaincantes pour les plus grands chercheurs”.
Par ailleurs, le contenu de son message requiert toujours une touche relativement intellectuelle et très sociologique qui a une valeur de leçon inaugurale à laquelle on est habitué dans les rentrées solennelles des grandes universités. En guise d’illustration, face à un monde en crise, face à une situation enflammée, ses compendiums suscitent toujours le refus de la bassesse au profit d’une issue salvatrice. En grand prospectiviste, si nous nous référons à ”uusikum ayyouha shubbânu[8] ou Abdoul Aziz ahirnil qalba uusika[9] ou ayâa saaxi sabranne[10]” nous affirmons avec énergie que son œuvre est un réceptacle de solutions pour les maux dont souffre notre société.
En effet, dans le premier poème, il établit le comportement et le polissage appropriés pour une jeunesse, qui ”doit avoir comme seule viatique la quête de connaissance fondée sur l’observance des vertus”. Ainsi, pour lui, l’élève doit vouer un grand respect au maître qu’il doit toujours solenniser et sanctifier pour bénéficier de sa baraka et de ses attributs apparents et/ou occultes”. Concernant le second, les guides religieux y trouvent une source intarissable de conseils prodigués à Mame Dabakh (RTA) dans un monde où les vertus se raréfient. Les questions de l’éthique et de la déontologie des guides religieux sont passées en peigne fin d’une manière qu’on ne porterait plus au pinacle. L’une des recommandations mériterait d’être évoquée pour voir sa sentence dans le comportement de son jeune frère Moulaye Dabakh à l’épreuve. ” Ne traites jamais de manière distingué ce qui viennent vers toi selon qu’ils soient riches ou pauvres, bons ou méchants. Renseignes-toi au préalable de manière rigoureuse avant de poser des actes qui pourront porter préjudice à la plus petite entité sous ta responsabilité. Ne te laisses point emporter par l’applaudimètre qui voit en toi une personne différente du commun des mortels, car la meilleure des créatures était très humble.”
Pour le troisième poème, ce formateur hors norme transforme la colère de l’adepte ou du prochain en vertu cardinale par l’intermédiaire de la patience et de la tolérance. Pour lui, ”la tolérance est la charité de l’intelligence” pour paraphraser Jules Lemaître. ”L’indulgence doit être dans nos articulations pour faire face à la vague destructrice qu’est la colère. Alors, sois patient pour être méritant, car tôt ou tard justice sera faite et tu seras dignement fêté.”
Père de deux aimables figures de notre époque, Serigne Mbaye Sy Mansour et Sokhna Fatou Sy (épouse de Serigne Mansour Borom Daradji), Balxawmi a montré à tout le monde que la persévérance, le culte de la tolérance, le dépassement et l’expression de la connaissance en adéquation avec les recommandations divines et prophétiques sont les piliers sur lesquels nous devons construire un modèle sociétal. Sa solide philosophie, fait de lui un modèle de soufi, et offre une riche grille de lecture qu’il faut d’avantage promouvoir pour ramer à contre courant du renégat des valeurs.
Sa disparition mémorable, ce soir du 29 mars 1957, plongea le monde entier dans l’émoi et la consternation et fît de la relation savoir/pratique le plus grand orphelin. Les nuages battaient le pavé dans ce ciel très sombre et très triste de Tivaoune, quelques jours après le décès de Khalifa (RTA), apportant la crispation, la désolation et l’inquiétude de toute
la Umma. Une courte vie certes (57ans), El Mansour suscite toujours une vive émotion pour nous disciples et simples citoyens. Reposant prés de son père comme il l’avait prédit, sa proximité avec son maître ne saurait se limiter au monde terrestre. Il l’accompagne toujours fidèlement dans le monde des âmes avec une complicité sans égale.
Comprenez notre inquiétude, chers lecteurs, lorsqu’il s’agit d’un personnage aussi énigmatique que cet homme, on perd forcément sa logique et sa rhétorique. Qu’Allah soit entièrement satisfait de lui et fasse que l’on puisse méditer et revêtir les valeurs capitales qu’il nous a léguées.Pour le troisième poème, ce formateur hors norme transforme la colère de l’adepte ou du prochain en vertu cardinale par l’intermédiaire de la patience et de la tolérance. Pour lui, ”la tolérance est la charité de l’intelligence” pour paraphraser Jules Lemaître. ”L’indulgence doit être dans nos articulations pour faire face à la vague destructrice qu’est la colère. Alors, sois patient pour être méritant, car tôt ou tard justice sera faite et tu seras dignement fêté.”
Père de deux aimables figures de notre époque, Serigne Mbaye Sy Mansour et Sokhna Fatou Sy (épouse de Serigne Mansour Borom Daradji), Balxawmi a montré à tout le monde que la persévérance, le culte de la tolérance, le dépassement et l’expression de la connaissance en adéquation avec les recommandations divines et prophétiques sont les piliers sur lesquels nous devons construire un modèle sociétal. Sa solide philosophie, fait de lui un modèle de soufi, et offre une riche grille de lecture qu’il faut d’avantage promouvoir pour ramer à contre courant du renégat des valeurs.
Sa disparition mémorable, ce soir du 29 mars 1957, plongea le monde entier dans l’émoi et la consternation et fît de la relation savoir/pratique le plus grand orphelin. Les nuages battaient le pavé dans ce ciel très sombre et très triste de Tivaoune, quelques jours après le décès de Khalifa (RTA), apportant la crispation, la désolation et l’inquiétude de toute
la Umma. Une courte vie certes (57ans), El Mansour suscite toujours une vive émotion pour nous disciples et simples citoyens. Reposant prés de son père comme il l’avait prédit, sa proximité avec son maître ne saurait se limiter au monde terrestre. Il l’accompagne toujours fidèlement dans le monde des âmes avec une complicité sans égale.
Comprenez notre inquiétude, chers lecteurs, lorsqu’il s’agit d’un personnage aussi énigmatique que cet homme, on perd forcément sa logique et sa rhétorique. Qu’Allah soit entièrement satisfait de lui et fasse que l’on puisse méditer et revêtir les valeurs capitales qu’il nous a léguées.
Rip
Mmp
Machalah nehna Balkhawmi
Machala
Rta Amine