Pour ceux qui connaissent la spirale dynamique, l'honneur est plutôt une valeur de bleu et la société actuelle (occidentale) est en orange, en transition vers vert. Cela explique pourquoi l'honneur n'est plus à la mode depuis environ 2 siècles
@@viandetiede8831 a priori on trouve déjà un sens de l'honneur en rouge, mais il est alors lié à l'image de force, à la capacité à se défendre, à prendre ce que l'on veut et à ne pas se laisser dominer, et à la loyauté envers son groupe immédiat (famille, bande, clan). Honneur et Spirale Dynamique : Une Reconnaissance Variable selon les Stades (via chatGPT) 🟣 Violet : L'honneur est collectif et spirituel, lié au respect des traditions, des ancêtres et des tabous sacrés. 🔴 Rouge : L’honneur est une preuve de puissance, gagnée par la force et la domination. 🔵 Bleu : L’honneur devient une vertu morale, liée à l’honneur familial, au patriotisme et au respect des règles. 🟠 Orange : L’honneur se transforme en réputation et prestige, fondés sur les succès et l’excellence. 🟢 Vert : L’honneur tend à disparaître au profit d’une dignité inconditionnelle et du respect mutuel. 🟡 Jaune : L’honneur peut être vu comme la capacité à être reconnu pour sa valeur réelle et non pour une image sociale figée.
Une personne d'honneur ne doit-elle pas faire preuve de consistance dans l'application de ses principes? Donc dès lors qu'elle reconnaît le droit d'une quelconque manière (argumentation) ne doit-elle pas être cohérente avec le principe qu'elle a invoqué et donc respecter le principe de non agression ? Peut-on en déduire que violer le principe ee non agression revient à entacher son honneur?
J'ai lu l'article de votre sympathique invité, et son plaidoyer contre les "Droits humains" m'inspire le commentaire suivant : Ces Droits humains ont à ma connaissance pour finalité la protection et le soin des gouvernés (les citoyens) par les moyens mis en oeuvre par les gouvernants (l'Etat). L'article 3 de la déclaration des Droits de l'Homme de 1948 donne le droit à la liberté, l'art. 4 enfonce le clou en interdisant toute forme de servitude et d'esclavage. Dit autrement, ces droits devraient logiquement interdire l'impôt et la conscription. Et la protection de ces droits ne devrait engager que les gouvernants, pas les gouvernés. C'est un engagement des Etats de droit envers leurs citoyens, pas des citoyens les uns envers les autres. Donc ce n'est peut-être pas tant les Droits humains le problème (droits qui incluent la propriété privée d'ailleurs), que leur non-application par les Etats qui pourtant les ratifient dans leurs Constitutions respectives ? Il me semble sinon qu'une limite de son analyse critique est de ne pas traiter séparément les droits négatifs et positifs associés aux Droits humains, et notamment lorsqu'il dénonce "l'égalité des droits". Ceci dit, il est vrai que ces droits sont sur ce point ambigus, puisque la défense de ces droits négatifs implique aussi des devoirs positifs assumés par l'Etat, qui le sont à ce jour en s'appuyant sur la contribution financière obligatoire des citoyens, via l'impôt contredisant ces droits, et non via des contractualisations volontaires).
Très clair, je viens justement de terminer Magie Blanche 🧙♂
Merci à François-René pour son bel article, et pour sa présence.
Merci à toi et à Laurent de m'avoir reçu (et publié)!
Toujours un plaisir ces émissions avec le troubadour François-René,
Pour ceux qui connaissent la spirale dynamique, l'honneur est plutôt une valeur de bleu et la société actuelle (occidentale) est en orange, en transition vers vert. Cela explique pourquoi l'honneur n'est plus à la mode depuis environ 2 siècles
Pour rester équilibrée, "la société" ne devrait pas remplacer le bleu par le orange, ni oublier aucun NDR au profit d'un autre.
@@viandetiede8831l'honneur est généralement associé à rouge ; bleu aurait plutôt inventé la dignité. À vérifier
@@viandetiede8831 a priori on trouve déjà un sens de l'honneur en rouge, mais il est alors lié à l'image de force, à la capacité à se défendre, à prendre ce que l'on veut et à ne pas se laisser dominer, et à la loyauté envers son groupe immédiat (famille, bande, clan).
Honneur et Spirale Dynamique : Une Reconnaissance Variable selon les Stades (via chatGPT)
🟣 Violet : L'honneur est collectif et spirituel, lié au respect des traditions, des ancêtres et des tabous sacrés.
🔴 Rouge : L’honneur est une preuve de puissance, gagnée par la force et la domination.
🔵 Bleu : L’honneur devient une vertu morale, liée à l’honneur familial, au patriotisme et au respect des règles.
🟠 Orange : L’honneur se transforme en réputation et prestige, fondés sur les succès et l’excellence.
🟢 Vert : L’honneur tend à disparaître au profit d’une dignité inconditionnelle et du respect mutuel.
🟡 Jaune : L’honneur peut être vu comme la capacité à être reconnu pour sa valeur réelle et non pour une image sociale figée.
Faudrait faire une étude sur le rapport entre la qualité des micros et le libertarianisme. 😅
Un son de gauchiste !
Les bruits de micros horrible
-- Bertrand Lemennicier
Une personne d'honneur ne doit-elle pas faire preuve de consistance dans l'application de ses principes?
Donc dès lors qu'elle reconnaît le droit d'une quelconque manière (argumentation) ne doit-elle pas être cohérente avec le principe qu'elle a invoqué et donc respecter le principe de non agression ?
Peut-on en déduire que violer le principe ee non agression revient à entacher son honneur?
Oui. Violer le NAP (en votant, pas exemple) rabaisse au niveau du rongeur.
J'ai lu l'article de votre sympathique invité, et son plaidoyer contre les "Droits humains" m'inspire le commentaire suivant : Ces Droits humains ont à ma connaissance pour finalité la protection et le soin des gouvernés (les citoyens) par les moyens mis en oeuvre par les gouvernants (l'Etat). L'article 3 de la déclaration des Droits de l'Homme de 1948 donne le droit à la liberté, l'art. 4 enfonce le clou en interdisant toute forme de servitude et d'esclavage. Dit autrement, ces droits devraient logiquement interdire l'impôt et la conscription. Et la protection de ces droits ne devrait engager que les gouvernants, pas les gouvernés. C'est un engagement des Etats de droit envers leurs citoyens, pas des citoyens les uns envers les autres. Donc ce n'est peut-être pas tant les Droits humains le problème (droits qui incluent la propriété privée d'ailleurs), que leur non-application par les Etats qui pourtant les ratifient dans leurs Constitutions respectives ? Il me semble sinon qu'une limite de son analyse critique est de ne pas traiter séparément les droits négatifs et positifs associés aux Droits humains, et notamment lorsqu'il dénonce "l'égalité des droits". Ceci dit, il est vrai que ces droits sont sur ce point ambigus, puisque la défense de ces droits négatifs implique aussi des devoirs positifs assumés par l'Etat, qui le sont à ce jour en s'appuyant sur la contribution financière obligatoire des citoyens, via l'impôt contredisant ces droits, et non via des contractualisations volontaires).
Achetez des micros... C'est inaudible en l'état.
Vous voyez la tâche noire devant moi en bas. C'est un Yeti.