Ca fait tellement de bien de voir ces personnes qui ont transformé leurs douleurs... merci infiniment pour ce reportage qui donne espoir même si la route est longue et l'incompréhension de l’entourage reste douloureux...
J ' ai vécu toutes ces maltraitances physique , psy et 2 viols a 4 et 10 ans , 3 ts car je ne supportait plus mon corps meurtri, heureusement mes bourreaux sont morts , le plus dur la solitude et le silence , je me suis confiée a un psy mais o combien c'est difficile de se reconstruire ...j'ai es douleurs chroniques qui pour moi sont du a cela, on m"a beaucoup frappée avec ceinture et martinet sur le dos...m'a mère me mordait jusqu'au sang , j'en ai eu des années de cauchemars....dur de s"aimer, de vivre ...
Il aurait aussi été bien de parler de violences plus discrètes, ou modérées, car beaucoup de personnes ont été maltraitées enfants sans même le savoir car la violence physique était rare, mais bien là, ou aussi parce qu'il s'agissait surtout de maltraitance psychologique, ou que les gestes étaient plus ambiguës
Je suis soulagée que quelqu'un évoque les violences psychologiques sur l'espace commentaire. Leurs conséquences sont souvent mesestimees et passent pour de la faiblesse
Tellement vrai votre commentaire. Un paquet de gens ne savent pas ce qu’ils ont subi et répercutent ces violences invisibles sur leur entourage. Ça fait du bien de voir que quelqu’un y soit sensible. Alors je me dis que ça progresse oui…
Bonjour ! 😊 Je viens d'enregistrer cette vidéo dans ma play list intitulée "Maltraitance infantile" que je vous invite tous à consulter ainsi que toutes les autres. 🤗🤗🤗
Je me suis demandée au bout de combien de temps de visionnage de cette vidéo on allait avoir droit au pardon et ces préchi-préchas de gourous sur le lâcher prise et compagnie. Ça n'a pas été long. Ça gâche tout. C'est n'importe quoi. Comme si un mot pouvait effacer tout ce qu'on avait subi. C'est une arnaque. Le pardon ils se l'accordent eux-mêmes en jouant les amnésiques de nos douleurs. Ils "refoulent". Encore une belle connerie. On sait et ils savent ce qui s'est passé. Le fait qu'ils soient dans le déni ne changera pas la réalité. Je ne les crois pas sincères. Ma mère m'a écrit il y a 8 ans pour me demander pardon, mais son style et sa façon d'amener la chose c'est comme un bouton "repeat" sur lequel elle avait appuyé. Elle s'autorisait à me tourmenter encore. J'ai fait lire sa lettre à plusieurs personnes et toutes mon dit qu'elle est cette psychopathe qui a écrit ça ? J'ai finalement pris mon courage à deux mains et je lui ai écrit une longue lettre dans laquelle je lui disais ce que je pensais d'elle et de sa lettre bidon. J'ai eu en retour une avalanche de haine et vraiment un déversement ignoble. Et des menaces en plus de ça. Et la famille, la soutenant. Bref, j'ai dû faire un gros travail sur moi. J'ai dû effectivement prendre la décision de couper totalement les ponts avec elle et ses lieutenants. Je n'ai plus de haine, mais je ne leur pardonnerai jamais. Je n'ai pas besoin d'appuyer sur un bouton ni dire un mot pour me sentir mieux. Ni libre. Il n'y a pas de guérison car ce n'est pas une maladie. Ça n'a pas de sens de pardonner car on n'a rien fait de mal. On n'a pas non plus choisi ses parents. Cette élucubration sadique de certains gourous prétendant que ce serait grâce à eux qu'on serait devenus ce que nous sommes est faux également. On est ce qu'on est malgré eux. Ils n'ont aucun mérite dans notre évolution ni accomplissement. On a réussi grâce à nous, ce qu'on a en nous et qu'on avait avant. Mais notre souffrance n'est pas un cadeau. Faudrait pas les remercier en plus ?! Vraiment ces mouvances philos new-age me fichent la nausée. C'est un manque total d'empathie et c'est même de la perversion envers les victimes d'actes de violence et de barbarie. Donc merci de nous respecter. Même les victimes, arrêtez de les pousser à croire qu'elles ont encore de quoi se pardonner et que sans ça elles pourraient encore être dans la colère. Elles ont le droit d'être en colère. La colère se canalise et s'utilise pour se reconstruire. Bien sûr, ressentir de la colère H24 c'est pas sain. Mais un vrai travail de fond sur soi, avec bienveillance, on peut canaliser cette colère pour la rendre constructive. Mais la colère n'est pas mauvaise car elle permet d'extérioriser ce qu'on a subi. Le sentiment d'injustice que l'on ressent. Et si on refoule avec le "pardon", on se fera une grosse souffrance. La bienveillance ce n'est pas de mettre un joli masque sur la souffrance en mode tout va bien. Non, ça ne marche pas durablement. Voire, ça peut faire pire. Donc arrêtons avec cette maltraitance déguisée. Merci. À part ça, il y a des hauts et des bas. C'est normal. Nous ne sommes pas des robots.
Je partage entièrement votre point de vue… me concernant, une certaine forme de guérison est enfin apparue après de très longues années quand j’ai envoyé balader toutes les injonctions pernicieuses et que j’ai décidé une bonne fois pour toute que je ne pardonnerai pas ! Je crois qu’il existe des actes impardonnables mais avant tout c’est à chaque victime de choisir la voie de sa guérison de façon éclairée sans incitations extérieures. Force et courage à vous. Edit : Neige Sinno dit, elle aussi, dans le reportage, qu’elle ne pardonne pas, que c’est impardonnable et que ce serait trahir les autres enfants victimes que de pardonner…
@@nathalier1629 waouw… que ça fait du bien de lire vos mots. Je réalise que je ne m’autorise même pas votre liberté. Ça fait du bien car je vois la marge de progression devant moi pour continuer à me libérer de mes traumas et de leurs conséquences. Merci 💝
Bonjour. Nous sommes trois enfants victimes de notre père. Mon frère et ma soeur ont choisi de couper les liens avec lui. Pour ma part j'ai choisi de rester en contact. Je suis heureuse que mes proches ne me jugent pas, qu'ils respectent mon choix, comme je respecte le leur. Chaque victime a le droit de choisir ce qu'elle va faire de ce qu'elle a vécu. Pour ma part je trouve que si certains ont besoin de pardonner, alors qu'ils pardonnent. Si cela peut leur permettre d'avancer. Nous n'en sommes pas tous au même endroit dans notre réflexion. J'ai vécu assez de violences, j'essaie de ne pas en faire subir aux autres. Et pour ma part cela signifie écouter chaque victime dans sa singularité, écouter chaque histoire et laisser l'autre cheminer vers son mieux être. Quand nous jugeons la façon dont les autres gèrent leur traumatisme nous créons une nouvelle douleur. Alors si certains souhaitent pardonner, qu'ils pardonnent puisqu'ils en ont besoin. Par contre, qu'ils ne m'imposent pas leur notion de pardon si je n'en ai pas besoin. Pour ma part je n'ai pas pardonné et je ne cherche pas à comprendre pourquoi l'autre a agi ainsi. Je cherche à comprendre comment cela m'impacte dans mon quotidien afin de ne pas laisser la violence, le passé agir sur ma vie. C'est compliqué car quand on a été un enfant victime on acquiert des automatismes dont il est souvent difficile de se débarrasser une fois devenu adulte. La peur de l'autre est là. On vit les situations différemment de ceux qui ont eu une enfance relativement sereine. Je souhaite à toutes les victimes de violences, quelles que soient ces violences, de parvenir à cheminer pour trouver du bien être, de l'amour, de la confiance en elles ... Bref, qu'elles trouvent chacune ce dont elles ont besoin. Merci de m'avoir lue.
Sa chanson "mon enfance" est magnifique... En résumé... "il ne faut pas retourner vers son enfance..." En 1932, Léon-Paul Fargue, poète français avait cité "On ne se remet jamais de son enfance.." Et en 1991 Jean Ferrat a créé sa chanson "nul ne guérit de son enfance"... Magnifique chanson aussi... Des gens qui ont vécu une voire les deux "guerres mondiales" ... traumatismes 😢
Il faut accéder à des sentiments personnels d'écoute, de soutien et de reconnaissance d'autrui sur l'anormalité des actions et inactions violentes à notre encontre. Pour cela il faut oser en parler et avoir des oreilles à qui se confier, un proche, un membre d'asso, un groupe de parole ou un thérapeute fiable peuvent répondre à ces besoins. En vous souhaitant de ressentir celà un jour, c'est possible et vous le méritez. Ce que vous avez subi enfant, ce n'est pas votre faute. Aujourd'hui vous êtes responsables de ce que vous en faites
De beaux témoignages qui mettent en avant la solitude et l isolement de ces enfants . Pour aller mieux il est indispensable de reveler ces abus. Que ce soit dans l intimité d un cabinet de psy ou au grand jour , ce qui est encore plus courageux. La question du pardon ouvre un débat. Je suis plutôt dans le groupe de Neige. Pardonner c est comme se trahir. Ou l’expression d un syndrome de Stockholm. La seule personne à pardonner, c est soi meme.
Il est impossible à mon sens de pardonner quelqu'un qui ne sait pas ce qu'il a fait ou qui refuse de le reconnaitre. C'est le cas pour Neige Sinno où le type se réfugie dans le fait qu'il a fait sa peine, pendant qu'il suppure l'idée de façon extrêmement perverse que ce serait de la faute de sa victime s'il a dû aller en prison, il inverse le système et entraîne la majorité de son entourage dans ce biais cognitif. C'est quand ça se passe comme ça que sortir du trauma est extrêmement difficile, trouver la paix, le risque est encore là constamment, ça tient éveillé et confus. Il y a des cas heureusement où justice est véritablement faite, où on a pu voir le coupable être blessé parce qu'il a fait, sortir du déni, là, l'apaisement et parfois le pardon est possible, le système est remis à l'endroit.
@ClaraDupuit02 Ho non. Même victime, on arrive à s'accuser. Le 1er reproche qu'on se fait, est d'abord ce silence dans lequel on est plongé. Le 2nd est l'ensemble de nos émotions extrêmement opposées (aimer quelqu'un mais hair ce qu'il a fait... ). Et ce n'est que les deux principaux.
@ClaraDupuit02 le sentiment de culpabilité ronge profondément les victimes de viol, surtout quand elles n'ont pas été considérées comme victimes. On se justifie toute notre vie, ça fait partie des symptômes du stress post traumatique. Il y a aussi la culpabilité d'en parler, de briser le taboo, d'exposer l'horreur de la vérité face à des proches dans le déni qui préféreraient que vous gardiez le silence pour ne pas déranger. Ceux-là même qui vous mettent la pression pour pardonner à votre agresseur comme si on avait pas assez de boulot.. Se pardonner à soi-même, c'est aussi s'autoriser à ne pas pardonner l'impardonnable et laisser sa culpabilité au coupable.
@@leila2tlzTellement vrai, pour avoir fréquenté un groupe de paroles de victimes d'agressions (principalement d'inceste), beaucoup disaient avoir pardonné mais avaient des comportements autodestructeurs. C'est à mon sens un des risques du pardon socialement imposé: in fine les victimes retournent la violence contre elles. L'injonction au pardon et au silence dans les familles est horrible. Peut-être que plutôt que de pardonner l'important est de remettre les choses à leur juste place, et de rendre les horreurs commises à leur auteur.
30:19 au lieu de "toutes ces décennies de douleur sont finalement utile" il serait à mon sens plus juste de dire "j'ai fini par transformé toutes ces décennies de douleur pour en faire quelque chose d'utile pour les autres"
Mais ce n'est pas vous qui avez la parole, du coup, elle ne dit pas ce que vous voulez entendre, elle n'est pas à votre service, elle sort de son silence, pas du votre, laissez la parler comme elle l'entend.
@sardonie le sens des mots a de l'importance pour ceux qui l'écoutent... elle dit évidemment ce qu'elle veut mais a-t-elle, avez-vous conscience du fait que cela peut être compris dans le sens contraire qu'elle veut lui donner ? les douleurs ne peuvent pas être utiles, c'est le travail qu'elle a fait qui permet l'utilité... c'est donc très différent. Les gens qui souffrent n'ont pas besoin qu'on leur disent que cette douleur est utile mais qu'ils peuvent la transformer en quelque chose d'utile aux autres...
@@Passiflora63 Les gens qui souffrent font ce qu'ils peuvent, ils n'ont pas besoin qu'on leur dise ce qu'il faut qu'ils disent pour que les autres aillent mieux. Parlez pour vous, comme vous venez de le faire, faites un peu preuve de compassion.
@@sardonie vous n'avez toujours pas compris mon propos mais ce n'est pas grave car je fais justement preuve de compassion et je sais parfaitement de quoi je parle pour avoir vécu tout cela aussi hélas...
j'ai distillé aussi ce genre de trauma dans Gahila. une fois que c'est fait, ça soulage, c'est vrai. pourtant, des années après, mon corps me rapelle, j'ai développé un psoriasis. c'est vraiment pas cool ce genre de jeunesse
Paris 2025 Chaque histoire selon l'expérience est vécu différemment , selon aussi comment on a du se re construire seule car on etait seule a le vivre,seule a tanter de comprendre se qui ns arrive et le temps qu il ns a fallut pour réaliser que se que l on ns fait n est pas normale,que l autre n a aucun droit ou pouvoir ou contrôle sur notre corps, notre vie, sur ns!! La plupart ne pourront jamais en parler car l on est encore vivante, on doit continuer et il y a tjrs pire et malheureusement l abus sur les enfants est d actualités c un éternel recommencement de génération en génération c encore des pères, beau père, frères, oncles ,voisin ,cousin, grand père bref ns n avons rien de nouveaux c presque génétique j ai dans ma famille bcps x hommes qui sont des violeurs comme si c était une malédiction pour les femmes de ma toutes petites familles car ma mère a abandonné ses enfants et elle a eu 8 enfants 4 garçons, 4 filles, tous ses maries étaient des violeurs reconnue condamnés pour cela mais 8ls ont vécus avec ns lorsque ns étions tout petits et on a fini à la DASS heureusement que ns avons eu cette chance car pour ma part, ils ns ont sauvés./ Sauvé des abus ,de la violence, de la faim onr crevaient de faim, sur les 4 derniers enfants 3 étaient atteind de bégaiement , je faisait pipi au lit et jouait avec le feu,je me mutilais et était limite autiste et je mven suis sortie mais oas ma sœur DCD À 23 ans et je me suis retrouvé seule avec mon neveu de 2 ans et impossible de retourner en foyer et impossible que mon neveu se retrouve aussi en foyer j ai du vite grandir et apprendre a ns protéger et la ou vs vivions dans le fin- fond du 95 limite 60 oise c étaient ka zone et le dagef pour une gamine de 13 ans esg arrivée direct le propre mec de ma sœur ma créé des problèmes car il vivait avec ns de temps en temps et lorsque ma sœur est dcd il ne m a plus lâcher bref notre monde est emplie de prédateurs assassins d enfants c énorme et ils trouvent tous se qu ils leurs faut partout autour de ns et bcps de filles,de garçons seront victimes d abus avant l age adultes et bien trop souvent par un proche soyez vigilant car bcps d enfants ne comprennent pas se que la personne lui fait ,les enfants peuvent êtres drogué et n ont aucun souvenir des abus même si ils savent que quelque chose c passé...Nous d3vons ztre vigilant observer le moindre geste mot inappropriés un enfant qui parle de sex et qui a d3s gestes inappropriés peux nous raconter quelque chose comme un enfant qui ne dit strictement rien c très compliqué car les violeurs ne sont jamais les minstres moches et identifiables non vous seriez surpris de voir qu ils sont incroyablement banal et beaux soyvent un charme indéfinissable et en dessous de ses visages des psychopathes cruel et pervers./
Il est osé d'ouvrir un si lourd sujet qu'on entend aussi peu qu'il est commun au quotidien. Avec ce genre de travaux vous permettez d'éprouver le courage, la bravoure et l'irrévérence des victimes à parler et congédier les actes violents subis. Cette mise en lumière permet de voir que l'on est pas seul et à donner l'envie de s'exprimer. Merci de votre travail, votre intérêt, le temps et de tout engagement pris pour la réalisation de ce reportage Pour moi, le pardon est une des -sinon la- dernière étape menant à la digestion d'un traumatisme. D'autant plus quand il est d'ordre infantile et familial. Il faut avant toute chose, ressentir notre mal aise, se l'avouer (dépasser le quatrième commandement "Tu honoreras tes parents"*) ensuite être reconnu, écouté et soutenu dans la narration de ce pan de notre récit personnel. "Le pardon, en effet, n'a encore jamais guéri personne."* Prenons notre temps, prenons soin et soyons indulgents envers les blessures de notre enfance. Chaque existence est précieuse, préservons-nous et abattons les dogmes qui nous entrave et nous silence * Alice Miller, "Notre corps ne ment jamais"
À Noël j’étais chez mes parents Et je me suis mise à feuilleter les album photo J’ai oublié ma petite enfance Mon adolescence aussi J’avais oublié les vacances Je me souviens de la baffe de père car j avais découché De ma mère qui voulait le frapper car je faisait ma crise d adolescence J’ai l’impression que le cerveau sélectionne Garde ce qu il veut garder Grâce aux photos je me rappelle un peu Mon enfance qui a été très très bien Voyages vacances équitation
Oui, le cerveau a tendance à garder en mémoire nos pires moment dans la vie. D'oû l'utilité des album photo et des carnets de notes personnel pour nous aider à se souvenir de nos meilleurs moments de vie et de reprogrammer le cerveau à se souvenir de tout. Et mieux encore pour ceux qui ont vécu des horreurs, je conseil de créer un "carnet du bonheur" oû l'on peut y mettre des choses qui nous font du bien et nous rende heureux. Par exemple, des phrases philosophiques qui nous plaisent, une liste des activités qu'on aime faire, des dessins, des petits mots gentils que des proches nous ont envoyés, des compliments qu'on nous a fait, des fleurs séchées....
C'est vrai. C'est difficile. Pas besoin de ça. Une vieillerie qui n'a pas de sens. On a tous besoin de nos forces pour la vie adulte. Pas de fruitellas lol 🏫
Hallo zusammen! 🌟 Egal, ob ihr Fans von spannenden Serien, packenden Dokumentationen oder einfach nur guter Unterhaltung seid - hier gibt es für jeden etwas zu entdecken! 🎬🍿 Was ist euer liebstes Programm? Schreibt es in die Kommentare und lasst uns gemeinsam darüber diskutieren! 😊 P.S.: Wer hat schon Pläne fürs Wochenende? Vielleicht inspiriert euch ja unser Programm! 😉✨
@ je sais que ce n’est pas une décision facile, mais pour l’avoir expérimenté et avoir entendu beaucoup de témoignages allant dans ce sens j’affirme que c’est vrai. C’est aussi une loi spirituelle. Chacun est libre face à ce choix.
A chacun son chemin pour arriver à vivre et éventuellement dépasser ses traumatismes, il n’y a aucune règle en la matière ! Les injonctions sont indécentes et n’ont pas leurs places auprès de personnes abîmées 🙄
@@NancyMW je ne vois pas en quoi parler de pardon est une injonction indécente. Je sais de quoi je parle j’ai été profondément traumatisée dans mon enfance et j’ai vécu en stress post traumatique pendant 20 ans. Je ne donne aucune leçon, je partage ce que j’ai appris de mon expérience.
@@martyssime, dire que seul le pardon peut délivrer, est une injonction déguisée ! Vous n’êtes ni psychiatre ni psychologue pour affirmer de façon si péremptoire un tel mensonge. 😳🙄 Je suis moi aussi une survivante d’une enfance explosée et je ne me permettrai jamais de tenir de tels propos à une autre victime. À chacun son chemin de reconstruction pour arriver à vivre avec ses traumatismes et peut-être trouver le bonheur. Me concernant le pardon c’est non, jamais et j’ai une vie heureuse, merci à moi.
Une pensée à toutes ces personnes qui sont en train de vivre l'horreur de la guerre... Et tous les traumas qui s'en suivent 🥺
🥺
Ca fait tellement de bien de voir ces personnes qui ont transformé leurs douleurs... merci infiniment pour ce reportage qui donne espoir même si la route est longue et l'incompréhension de l’entourage reste douloureux...
encore une fois, merci Arte
J'ai eu plusieurs traumatisme durant l'enfance voir même après.... Je compatis tellement envers ses personnes 😢😢😢😢😢
@@maxesantesocialebienetre7033 💔 vraiment désolée
J ' ai vécu toutes ces maltraitances physique , psy et 2 viols a 4 et 10 ans , 3 ts car je ne supportait plus mon corps meurtri, heureusement mes bourreaux sont morts , le plus dur la solitude et le silence , je me suis confiée a un psy mais o combien c'est difficile de se reconstruire ...j'ai es douleurs chroniques qui pour moi sont du a cela, on m"a beaucoup frappée avec ceinture et martinet sur le dos...m'a mère me mordait jusqu'au sang , j'en ai eu des années de cauchemars....dur de s"aimer, de vivre ...
Oui pour moi le plus dur a été l solitude et le silence dans lequel on se trouve suite à a des traumatismes d'enfant.
Il aurait aussi été bien de parler de violences plus discrètes, ou modérées, car beaucoup de personnes ont été maltraitées enfants sans même le savoir car la violence physique était rare, mais bien là, ou aussi parce qu'il s'agissait surtout de maltraitance psychologique, ou que les gestes étaient plus ambiguës
Je suis soulagée que quelqu'un évoque les violences psychologiques sur l'espace commentaire. Leurs conséquences sont souvent mesestimees et passent pour de la faiblesse
Elles sont beaucoup plus difficiles à décrire, mais ça viendra, on y va de toute façon.
Tellement vrai votre commentaire. Un paquet de gens ne savent pas ce qu’ils ont subi et répercutent ces violences invisibles sur leur entourage. Ça fait du bien de voir que quelqu’un y soit sensible. Alors je me dis que ça progresse oui…
Bonjour ! 😊
Je viens d'enregistrer cette vidéo dans ma play list intitulée "Maltraitance infantile" que je vous invite tous à consulter ainsi que toutes les autres. 🤗🤗🤗
Merci merci merci. Effectivement je me sens moins seule en vous écoutant.
Je me suis demandée au bout de combien de temps de visionnage de cette vidéo on allait avoir droit au pardon et ces préchi-préchas de gourous sur le lâcher prise et compagnie. Ça n'a pas été long. Ça gâche tout. C'est n'importe quoi.
Comme si un mot pouvait effacer tout ce qu'on avait subi. C'est une arnaque. Le pardon ils se l'accordent eux-mêmes en jouant les amnésiques de nos douleurs. Ils "refoulent". Encore une belle connerie. On sait et ils savent ce qui s'est passé. Le fait qu'ils soient dans le déni ne changera pas la réalité. Je ne les crois pas sincères.
Ma mère m'a écrit il y a 8 ans pour me demander pardon, mais son style et sa façon d'amener la chose c'est comme un bouton "repeat" sur lequel elle avait appuyé. Elle s'autorisait à me tourmenter encore. J'ai fait lire sa lettre à plusieurs personnes et toutes mon dit qu'elle est cette psychopathe qui a écrit ça ? J'ai finalement pris mon courage à deux mains et je lui ai écrit une longue lettre dans laquelle je lui disais ce que je pensais d'elle et de sa lettre bidon. J'ai eu en retour une avalanche de haine et vraiment un déversement ignoble. Et des menaces en plus de ça. Et la famille, la soutenant. Bref, j'ai dû faire un gros travail sur moi. J'ai dû effectivement prendre la décision de couper totalement les ponts avec elle et ses lieutenants. Je n'ai plus de haine, mais je ne leur pardonnerai jamais. Je n'ai pas besoin d'appuyer sur un bouton ni dire un mot pour me sentir mieux. Ni libre. Il n'y a pas de guérison car ce n'est pas une maladie. Ça n'a pas de sens de pardonner car on n'a rien fait de mal. On n'a pas non plus choisi ses parents. Cette élucubration sadique de certains gourous prétendant que ce serait grâce à eux qu'on serait devenus ce que nous sommes est faux également. On est ce qu'on est malgré eux. Ils n'ont aucun mérite dans notre évolution ni accomplissement. On a réussi grâce à nous, ce qu'on a en nous et qu'on avait avant. Mais notre souffrance n'est pas un cadeau. Faudrait pas les remercier en plus ?! Vraiment ces mouvances philos new-age me fichent la nausée. C'est un manque total d'empathie et c'est même de la perversion envers les victimes d'actes de violence et de barbarie.
Donc merci de nous respecter. Même les victimes, arrêtez de les pousser à croire qu'elles ont encore de quoi se pardonner et que sans ça elles pourraient encore être dans la colère. Elles ont le droit d'être en colère. La colère se canalise et s'utilise pour se reconstruire. Bien sûr, ressentir de la colère H24 c'est pas sain. Mais un vrai travail de fond sur soi, avec bienveillance, on peut canaliser cette colère pour la rendre constructive. Mais la colère n'est pas mauvaise car elle permet d'extérioriser ce qu'on a subi. Le sentiment d'injustice que l'on ressent. Et si on refoule avec le "pardon", on se fera une grosse souffrance. La bienveillance ce n'est pas de mettre un joli masque sur la souffrance en mode tout va bien.
Non, ça ne marche pas durablement. Voire, ça peut faire pire. Donc arrêtons avec cette maltraitance déguisée. Merci. À part ça, il y a des hauts et des bas. C'est normal. Nous ne sommes pas des robots.
@@nathalier1629 je ne changerai pas une virgule !!merci de partager!
Je partage entièrement votre point de vue… me concernant, une certaine forme de guérison est enfin apparue après de très longues années quand j’ai envoyé balader toutes les injonctions pernicieuses et que j’ai décidé une bonne fois pour toute que je ne pardonnerai pas !
Je crois qu’il existe des actes impardonnables mais avant tout c’est à chaque victime de choisir la voie de sa guérison de façon éclairée sans incitations extérieures.
Force et courage à vous.
Edit : Neige Sinno dit, elle aussi, dans le reportage, qu’elle ne pardonne pas, que c’est impardonnable et que ce serait trahir les autres enfants victimes que de pardonner…
@@nathalier1629 waouw… que ça fait du bien de lire vos mots. Je réalise que je ne m’autorise même pas votre liberté. Ça fait du bien car je vois la marge de progression devant moi pour continuer à me libérer de mes traumas et de leurs conséquences. Merci 💝
Bonjour. Nous sommes trois enfants victimes de notre père. Mon frère et ma soeur ont choisi de couper les liens avec lui. Pour ma part j'ai choisi de rester en contact. Je suis heureuse que mes proches ne me jugent pas, qu'ils respectent mon choix, comme je respecte le leur. Chaque victime a le droit de choisir ce qu'elle va faire de ce qu'elle a vécu. Pour ma part je trouve que si certains ont besoin de pardonner, alors qu'ils pardonnent. Si cela peut leur permettre d'avancer. Nous n'en sommes pas tous au même endroit dans notre réflexion. J'ai vécu assez de violences, j'essaie de ne pas en faire subir aux autres. Et pour ma part cela signifie écouter chaque victime dans sa singularité, écouter chaque histoire et laisser l'autre cheminer vers son mieux être. Quand nous jugeons la façon dont les autres gèrent leur traumatisme nous créons une nouvelle douleur. Alors si certains souhaitent pardonner, qu'ils pardonnent puisqu'ils en ont besoin. Par contre, qu'ils ne m'imposent pas leur notion de pardon si je n'en ai pas besoin. Pour ma part je n'ai pas pardonné et je ne cherche pas à comprendre pourquoi l'autre a agi ainsi. Je cherche à comprendre comment cela m'impacte dans mon quotidien afin de ne pas laisser la violence, le passé agir sur ma vie. C'est compliqué car quand on a été un enfant victime on acquiert des automatismes dont il est souvent difficile de se débarrasser une fois devenu adulte. La peur de l'autre est là. On vit les situations différemment de ceux qui ont eu une enfance relativement sereine.
Je souhaite à toutes les victimes de violences, quelles que soient ces violences, de parvenir à cheminer pour trouver du bien être, de l'amour, de la confiance en elles ... Bref, qu'elles trouvent chacune ce dont elles ont besoin. Merci de m'avoir lue.
Comment un violeur pedophile peut-il sortir du prison après 5 ans? Que se passera-t-il?😢
"On ne guérit jamais de son enfance": Barbara
Sa chanson "mon enfance" est magnifique...
En résumé... "il ne faut pas retourner vers son enfance..."
En 1932, Léon-Paul Fargue, poète français avait cité "On ne se remet jamais de son enfance.."
Et en 1991 Jean Ferrat a créé sa chanson "nul ne guérit de son enfance"...
Magnifique chanson aussi...
Des gens qui ont vécu une voire les deux "guerres mondiales" ... traumatismes 😢
Il faut accéder à des sentiments personnels d'écoute, de soutien et de reconnaissance d'autrui sur l'anormalité des actions et inactions violentes à notre encontre. Pour cela il faut oser en parler et avoir des oreilles à qui se confier, un proche, un membre d'asso, un groupe de parole ou un thérapeute fiable peuvent répondre à ces besoins.
En vous souhaitant de ressentir celà un jour, c'est possible et vous le méritez.
Ce que vous avez subi enfant, ce n'est pas votre faute. Aujourd'hui vous êtes responsables de ce que vous en faites
De beaux témoignages qui mettent en avant la solitude et l isolement de ces enfants . Pour aller mieux il est indispensable de reveler ces abus. Que ce soit dans l intimité d un cabinet de psy ou au grand jour , ce qui est encore plus courageux. La question du pardon ouvre un débat. Je suis plutôt dans le groupe de Neige. Pardonner c est comme se trahir. Ou l’expression d un syndrome de Stockholm. La seule personne à pardonner, c est soi meme.
Il est impossible à mon sens de pardonner quelqu'un qui ne sait pas ce qu'il a fait ou qui refuse de le reconnaitre. C'est le cas pour Neige Sinno où le type se réfugie dans le fait qu'il a fait sa peine, pendant qu'il suppure l'idée de façon extrêmement perverse que ce serait de la faute de sa victime s'il a dû aller en prison, il inverse le système et entraîne la majorité de son entourage dans ce biais cognitif. C'est quand ça se passe comme ça que sortir du trauma est extrêmement difficile, trouver la paix, le risque est encore là constamment, ça tient éveillé et confus. Il y a des cas heureusement où justice est véritablement faite, où on a pu voir le coupable être blessé parce qu'il a fait, sortir du déni, là, l'apaisement et parfois le pardon est possible, le système est remis à l'endroit.
Pardonne à soi-même ? Quand tu as été innocent(e) il n'y a rien dont tu puisses ni t'accuser, ni te pardonner.
@ClaraDupuit02 Ho non. Même victime, on arrive à s'accuser. Le 1er reproche qu'on se fait, est d'abord ce silence dans lequel on est plongé. Le 2nd est l'ensemble de nos émotions extrêmement opposées (aimer quelqu'un mais hair ce qu'il a fait... ). Et ce n'est que les deux principaux.
@ClaraDupuit02 le sentiment de culpabilité ronge profondément les victimes de viol, surtout quand elles n'ont pas été considérées comme victimes. On se justifie toute notre vie, ça fait partie des symptômes du stress post traumatique. Il y a aussi la culpabilité d'en parler, de briser le taboo, d'exposer l'horreur de la vérité face à des proches dans le déni qui préféreraient que vous gardiez le silence pour ne pas déranger. Ceux-là même qui vous mettent la pression pour pardonner à votre agresseur comme si on avait pas assez de boulot.. Se pardonner à soi-même, c'est aussi s'autoriser à ne pas pardonner l'impardonnable et laisser sa culpabilité au coupable.
@@leila2tlzTellement vrai, pour avoir fréquenté un groupe de paroles de victimes d'agressions (principalement d'inceste), beaucoup disaient avoir pardonné mais avaient des comportements autodestructeurs. C'est à mon sens un des risques du pardon socialement imposé: in fine les victimes retournent la violence contre elles. L'injonction au pardon et au silence dans les familles est horrible. Peut-être que plutôt que de pardonner l'important est de remettre les choses à leur juste place, et de rendre les horreurs commises à leur auteur.
Merci pour ces témoignages poignants
Merci!
C'est incompréhensible l'humain
30:19 au lieu de "toutes ces décennies de douleur sont finalement utile" il serait à mon sens plus juste de dire "j'ai fini par transformé toutes ces décennies de douleur pour en faire quelque chose d'utile pour les autres"
Mais ce n'est pas vous qui avez la parole, du coup, elle ne dit pas ce que vous voulez entendre, elle n'est pas à votre service, elle sort de son silence, pas du votre, laissez la parler comme elle l'entend.
@sardonie le sens des mots a de l'importance pour ceux qui l'écoutent... elle dit évidemment ce qu'elle veut mais a-t-elle, avez-vous conscience du fait que cela peut être compris dans le sens contraire qu'elle veut lui donner ? les douleurs ne peuvent pas être utiles, c'est le travail qu'elle a fait qui permet l'utilité... c'est donc très différent. Les gens qui souffrent n'ont pas besoin qu'on leur disent que cette douleur est utile mais qu'ils peuvent la transformer en quelque chose d'utile aux autres...
@@Passiflora63 Les gens qui souffrent font ce qu'ils peuvent, ils n'ont pas besoin qu'on leur dise ce qu'il faut qu'ils disent pour que les autres aillent mieux. Parlez pour vous, comme vous venez de le faire, faites un peu preuve de compassion.
Vous avez raison. Mais tout le monde ne maîtrise pas la langue française.
@@sardonie vous n'avez toujours pas compris mon propos mais ce n'est pas grave car je fais justement preuve de compassion et je sais parfaitement de quoi je parle pour avoir vécu tout cela aussi hélas...
j'ai distillé aussi ce genre de trauma dans Gahila. une fois que c'est fait, ça soulage, c'est vrai. pourtant, des années après, mon corps me rapelle, j'ai développé un psoriasis. c'est vraiment pas cool ce genre de jeunesse
Très intéressant bravo pour s'exprimer soi-même et force
Paris 2025
Chaque histoire selon l'expérience est vécu différemment , selon aussi comment on a du se re construire seule car on etait seule a le vivre,seule a tanter de comprendre se qui ns arrive et le temps qu il ns a fallut pour réaliser que se que l on ns fait n est pas normale,que l autre n a aucun droit ou pouvoir ou contrôle sur notre corps, notre vie, sur ns!!
La plupart ne pourront jamais en parler car l on est encore vivante, on doit continuer et il y a tjrs pire et malheureusement l abus sur les enfants est d actualités c un éternel recommencement de génération en génération c encore des pères, beau père, frères, oncles ,voisin ,cousin, grand père bref ns n avons rien de nouveaux c presque génétique j ai dans ma famille bcps x hommes qui sont des violeurs comme si c était une malédiction pour les femmes de ma toutes petites familles car ma mère a abandonné ses enfants et elle a eu 8 enfants 4 garçons, 4 filles, tous ses maries étaient des violeurs reconnue condamnés pour cela mais 8ls ont vécus avec ns lorsque ns étions tout petits et on a fini à la DASS heureusement que ns avons eu cette chance car pour ma part, ils ns ont sauvés./
Sauvé des abus ,de la violence, de la faim onr crevaient de faim, sur les 4 derniers enfants 3 étaient atteind de bégaiement , je faisait pipi au lit et jouait avec le feu,je me mutilais et était limite autiste et je mven suis sortie mais oas ma sœur DCD À 23 ans et je me suis retrouvé seule avec mon neveu de 2 ans et impossible de retourner en foyer et impossible que mon neveu se retrouve aussi en foyer j ai du vite grandir et apprendre a ns protéger et la ou vs vivions dans le fin- fond du 95 limite 60 oise c étaient ka zone et le dagef pour une gamine de 13 ans esg arrivée direct le propre mec de ma sœur ma créé des problèmes car il vivait avec ns de temps en temps et lorsque ma sœur est dcd il ne m a plus lâcher bref notre monde est emplie de prédateurs assassins d enfants c énorme et ils trouvent tous se qu ils leurs faut partout autour de ns et bcps de filles,de garçons seront victimes d abus avant l age adultes et bien trop souvent par un proche soyez vigilant car bcps d enfants ne comprennent pas se que la personne lui fait ,les enfants peuvent êtres drogué et n ont aucun souvenir des abus même si ils savent que quelque chose c passé...Nous d3vons ztre vigilant observer le moindre geste mot inappropriés un enfant qui parle de sex et qui a d3s gestes inappropriés peux nous raconter quelque chose comme un enfant qui ne dit strictement rien c très compliqué car les violeurs ne sont jamais les minstres moches et identifiables non vous seriez surpris de voir qu ils sont incroyablement banal et beaux soyvent un charme indéfinissable et en dessous de ses visages des psychopathes cruel et pervers./
Vous êtes une survivante, bravo à vous, ne lâchez jamais le combat, soyez bonne et douce avec vous-même, vous le méritez, l'apaisement viendra.
super , merci ARTE
Merci
Je vous comprends moi aussi avant mon pére était brutal et extrêmement sévère qu'il y ait une raison ou pas ça m'a marqué
MERCI
Merci ❤
Merci pour ce reportage. Moi aussi victime enfant de martyrisation, viols, etc.....
La colere ne tarit jamais…elle emporte la solitude sur son passage et vient s’ancrer dans La memoire du Corps qui « n’est plus »
Les courageux 😢
Il est osé d'ouvrir un si lourd sujet qu'on entend aussi peu qu'il est commun au quotidien. Avec ce genre de travaux vous permettez d'éprouver le courage, la bravoure et l'irrévérence des victimes à parler et congédier les actes violents subis. Cette mise en lumière permet de voir que l'on est pas seul et à donner l'envie de s'exprimer. Merci de votre travail, votre intérêt, le temps et de tout engagement pris pour la réalisation de ce reportage
Pour moi, le pardon est une des -sinon la- dernière étape menant à la digestion d'un traumatisme. D'autant plus quand il est d'ordre infantile et familial.
Il faut avant toute chose, ressentir notre mal aise, se l'avouer (dépasser le quatrième commandement "Tu honoreras tes parents"*) ensuite être reconnu, écouté et soutenu dans la narration de ce pan de notre récit personnel.
"Le pardon, en effet, n'a encore jamais guéri personne."*
Prenons notre temps, prenons soin et soyons indulgents envers les blessures de notre enfance. Chaque existence est précieuse, préservons-nous et abattons les dogmes qui nous entrave et nous silence
* Alice Miller, "Notre corps ne ment jamais"
À Noël j’étais chez mes parents
Et je me suis mise à feuilleter les album photo
J’ai oublié ma petite enfance
Mon adolescence aussi
J’avais oublié les vacances
Je me souviens de la baffe de père car j avais découché
De ma mère qui voulait le frapper car je faisait ma crise d adolescence
J’ai l’impression que le cerveau sélectionne
Garde ce qu il veut garder
Grâce aux photos je me rappelle un peu
Mon enfance qui a été très très bien
Voyages vacances équitation
Oui, le cerveau a tendance à garder en mémoire nos pires moment dans la vie. D'oû l'utilité des album photo et des carnets de notes personnel pour nous aider à se souvenir de nos meilleurs moments de vie et de reprogrammer le cerveau à se souvenir de tout. Et mieux encore pour ceux qui ont vécu des horreurs, je conseil de créer un "carnet du bonheur" oû l'on peut y mettre des choses qui nous font du bien et nous rende heureux. Par exemple, des phrases philosophiques qui nous plaisent, une liste des activités qu'on aime faire, des dessins, des petits mots gentils que des proches nous ont envoyés, des compliments qu'on nous a fait, des fleurs séchées....
19:08 c'est quelle musique svp?
Pearl jam - Pendulum 🙂
Musique 12:27/12h44? s'il vous plaît
Je crois qu'il s'agit de Michael Kiwanuka Cold little heart
Super! Je vais écouté ça. Un grand merci a toi! Plein de bonnes choses au possible, en cette nouvelle année@hildejul-w7d
C'est James Blake - Coming back ft SZA.
j'ai trouvé la version [Beginning Only].
Ton son est cool autrement.
Le témoignage de Neige Sinno ❤
C'est vrai. C'est difficile. Pas besoin de ça. Une vieillerie qui n'a pas de sens. On a tous besoin de nos forces pour la vie adulte. Pas de fruitellas lol 🏫
Hallo zusammen! 🌟
Egal, ob ihr Fans von spannenden Serien, packenden Dokumentationen oder einfach nur guter Unterhaltung seid - hier gibt es für jeden etwas zu entdecken! 🎬🍿
Was ist euer liebstes Programm? Schreibt es in die Kommentare und lasst uns gemeinsam darüber diskutieren! 😊
P.S.: Wer hat schon Pläne fürs Wochenende? Vielleicht inspiriert euch ja unser Programm! 😉✨
Seul le pardon peut totalement délivrer du traumatisme.
N'importe quoi. Vous êtes Dieu, pour savoir ce qui convient à tout le monde ????
@ je sais que ce n’est pas une décision facile, mais pour l’avoir expérimenté et avoir entendu beaucoup de témoignages allant dans ce sens j’affirme que c’est vrai. C’est aussi une loi spirituelle. Chacun est libre face à ce choix.
A chacun son chemin pour arriver à vivre et éventuellement dépasser ses traumatismes, il n’y a aucune règle en la matière !
Les injonctions sont indécentes et n’ont pas leurs places auprès de personnes abîmées 🙄
@@NancyMW je ne vois pas en quoi parler de pardon est une injonction indécente. Je sais de quoi je parle j’ai été profondément traumatisée dans mon enfance et j’ai vécu en stress post traumatique pendant 20 ans. Je ne donne aucune leçon, je partage ce que j’ai appris de mon expérience.
@@martyssime, dire que seul le pardon peut délivrer, est une injonction déguisée !
Vous n’êtes ni psychiatre ni psychologue pour affirmer de façon si péremptoire un tel mensonge. 😳🙄
Je suis moi aussi une survivante d’une enfance explosée et je ne me permettrai jamais de tenir de tels propos à une autre victime.
À chacun son chemin de reconstruction pour arriver à vivre avec ses traumatismes et peut-être trouver le bonheur.
Me concernant le pardon c’est non, jamais et j’ai une vie heureuse, merci à moi.