Il existe de nombreux prisonniers palestiniens qui sont détenus sans jugement, ce qui soulève des préoccupations profondes en matière de droits de l'homme. Depuis des années, des milliers de Palestiniens sont emprisonnés par les autorités israéliennes dans le cadre de ce que l'on appelle la détention administrative, une procédure qui permet la détention sans charges formelles ni procès. Ces prisonniers sont souvent privés de toute forme de procès public ou de défense légale adéquate, ce qui constitue une violation grave de leurs droits humains fondamentaux. La détention administrative permet aux autorités israéliennes de maintenir les Palestiniens en prison sur la base de preuves secrètes, souvent sans qu'ils en soient informés, ni leurs avocats, ce qui rend impossible leur défense. Beaucoup de ces détenus sont des civils, des activistes ou des hommes politiques qui ne sont accusés de rien de concret et dont le seul "crime" est d'exprimer une opposition à l'occupation israélienne ou de lutter pour les droits de leur peuple. Comparativement aux otages israéliens, qui suscitent une mobilisation internationale lorsqu'ils sont capturés, la situation des prisonniers palestiniens souvent reste ignorée. Le monde semble plus prompt à s'indigner des souffrances d'une partie que de l'autre, renforçant l'injustice systémique qui existe dans ce conflit. L'absence de jugement et l'incarcération sans preuves ni procès sont des pratiques qui, selon de nombreux observateurs et organisations internationales, violent les normes de justice internationale et les principes des droits humains. Il est essentiel de se rappeler que les souffrances des uns ne justifient pas celles des autres. Tous les êtres humains, qu'ils soient israéliens ou palestiniens, ont droit à un traitement équitable et humain, y compris un procès juste et public lorsqu'ils sont accusés d'un crime. L'absence de jugement pour des milliers de prisonniers palestiniens, tout comme le traitement des otages israéliens, doit être dénoncée comme une atteinte à la dignité humaine.
Il ne faut pas oublier de rappeler aussi que parmis ces prisonniers existent un bon nombre d'enfants qui sont emprisonnés et torturés. Malheureusement le monde entier fait l'Autriche
La haine exprimée par certains civils israéliens, notamment envers les Palestiniens, est un sujet complexe et tragique qui découle de décennies de conflit. Elle trouve souvent sa source dans des narratifs de guerre, d'endoctrinement et de peur, qui ont été véhiculés de génération en génération. Cette haine n'est pas représentative de tous les Israéliens, mais elle est présente chez une certaine fraction de la population, souvent alimentée par des médias, des politiciens et des groupes qui poussent à la division plutôt qu'à la réconciliation. Certains civils israéliens, influencés par des idéologies nationalistes et sionistes extrêmes, perçoivent les Palestiniens comme une menace existentielle. Cette perception est souvent renforcée par des violences répétées et des attaques de part et d'autre, qui contribuent à créer un climat de peur et de méfiance. Les Palestiniens, dans cette vision, sont vus non pas comme des êtres humains ayant des droits, mais comme des ennemis à éliminer ou à contrôler. Cela peut se traduire par des propos haineux, de la violence verbale et parfois physique à l'encontre des Palestiniens, y compris des enfants. Cela soulève la question fondamentale de la responsabilité collective et individuelle. Si certains civils israéliens nourrissent cette haine, cela devient un obstacle majeur à la paix et à la coexistence. La haine, qu'elle soit dirigée vers les Palestiniens ou toute autre communauté, ne fait que prolonger le cycle de violence et d'injustice, où les innocents des deux côtés en sont les premières victimes. En fin de compte, il est essentiel de dénoncer cette haine, de promouvoir l'éducation à la paix et à la tolérance, et de soutenir les efforts visant à démanteler les idéologies qui perpétuent la violence. Il n'est pas facile de surmonter des décennies de conflit, mais il est impératif de travailler à un avenir où la haine ne régit plus les relations entre peuples.
Le fait qu'Israël occupe et colonise des terres qui appartiennent historiquement aux Palestiniens soulève une question centrale dans le conflit israélo-palestinien. Depuis 1948, des millions de Palestiniens ont été expulsés ou ont fui leurs terres à la suite de la création d'Israël, et la situation n'a fait qu'empirer avec l'expansion des colonies israéliennes sur des terres palestiniennes, notamment en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Ces terres, revendiquées par les Palestiniens depuis des siècles, sont considérées par le droit international comme occupées, et les colonies israéliennes sont largement jugées illégales. Les Israéliens qui habitent ces terres occupées vivent dans des colonies construites sur des terres qui ne leur appartiennent pas. Ces colonies sont construites sur des terres palestiniennes, souvent expropriées, parfois par la force, au détriment des Palestiniens qui y ont vécu pendant des générations. Les Palestiniens, privés de leurs terres, sont souvent contraints de vivre dans des conditions difficiles, avec des restrictions de mouvement et des droits limités. Le droit international, à travers diverses résolutions de l'ONU, condamne l'occupation et l'extension des colonies israéliennes sur ces territoires. La communauté internationale reconnaît généralement que ces terres appartiennent aux Palestiniens, et que l'occupation israélienne est illégale. Pourtant, Israël continue d'expansionner ses colonies, modifiant les faits sur le terrain et rendant la solution à deux États de plus en plus difficile à réaliser. Pour les Palestiniens, ces terres ne sont pas seulement des lieux de résidence, mais aussi des symboles de leur identité et de leur héritage. Leur perte représente non seulement un vol de terres, mais aussi une attaque contre leur culture, leur histoire et leur droit à l'autodétermination. Les Israéliens qui vivent dans ces colonies, en dépit de l'argument selon lequel ils vivent dans des territoires contestés, participent activement à ce système d'occupation. Ils sont donc perçus par de nombreux Palestiniens et sympathisants de la cause palestinienne comme complices dans la violation de leurs droits fondamentaux. La question de savoir qui détient réellement ces terres reste au cœur du conflit, et chaque jour qui passe avec l'expansion des colonies israéliennes rend plus difficile toute forme de paix véritable et durable.
@@dieudonnesalou5919 "Ce n’est pas France 24 mais Hamas et Hezbollah 24" ! Ben alors, heureusement qu'il y a Hamas et Hezbollah 24 pour nous informer, car s'il fallait attendre les autres ...
La Cisjordanie, souvent appelée "Judée et Samarie" par Israël, est un territoire palestinien occupé depuis la guerre des Six Jours en 1967. Depuis cette époque, Israël a établi des colonies illégales dans cette région, ce qui constitue une forme de colonisation au regard du droit international. **Occupation militaire et colonisation** Depuis 1967, l'armée israélienne maintient une présence militaire en Cisjordanie, et des centaines de milliers de colons israéliens vivent dans des colonies construites sur des terres palestiniennes. Ces colonies sont considérées comme illégales par le droit international, notamment en vertu de la Quatrième Convention de Genève, qui interdit la construction de colonies dans les territoires occupés. Malgré cela, Israël a continué d'étendre ses colonies, en violation des résolutions des Nations Unies, telles que la résolution 242, qui appelle au retrait des forces israéliennes des territoires occupés. **La stratégie de la colonisation** La colonisation israélienne en Cisjordanie ne se limite pas à la construction de colonies. Elle inclut également des politiques visant à déplacer les populations palestiniennes, en créant des zones militaires, des zones de sécurité et des routes réservées aux colons israéliens. Ces pratiques fragmentent davantage le territoire palestinien, rendant la création d'un futur État palestinien de plus en plus difficile. Les colons israéliens bénéficient de privilèges spéciaux, y compris une protection militaire, tandis que les Palestiniens sont soumis à des restrictions sévères sur leurs déplacements et leurs activités économiques. **L'impact sur les Palestiniens** La colonisation en Cisjordanie a des conséquences dramatiques pour les Palestiniens. Non seulement ils sont privés de l'accès à leurs terres, mais leurs maisons sont régulièrement démolies pour faire place à de nouvelles colonies. Les agriculteurs palestiniens sont également privés de l'accès à leurs terres agricoles, souvent confisquées au profit de la colonisation israélienne. Les restrictions de mouvement, les checkpoints militaires et les murs de séparation compliquent la vie quotidienne des Palestiniens, limitant leur liberté et leur droit à l'autodétermination. **Les réactions internationales** La communauté internationale, à l'exception de quelques pays, considère la colonisation israélienne en Cisjordanie comme illégale. Les Nations Unies, l'Union européenne et plusieurs autres États ont régulièrement condamné la construction de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés. Cependant, malgré cette pression internationale, Israël poursuit sa politique de colonisation, considérant ces territoires comme faisant partie de son territoire national, bien qu'ils soient sous occupation. En conclusion, la Cisjordanie est effectivement colonisée par Israël. Cette colonisation a des conséquences profondes sur les droits des Palestiniens, sur la paix dans la région et sur la possibilité de parvenir à une solution à deux États. La communauté internationale continue de condamner cette occupation, mais la situation reste inchangée, ce qui soulève des questions sur l'engagement réel d'Israël envers un règlement pacifique du conflit.
Mais explique-moi, où était ce fameux "pays occupé" quand les Jordaniens occupaient la Judée-Samarie entre 1948 et 1967 (rebaptisée "Cisjordanie" par les Jordaniens en 1949) et Gaza occupée par les Égyptiens par annexion militaire forcée à la même période ? Tu vas répondre cette fois, Jeff...? 😂😂😂
Il est en effet difficile de comprendre comment une société qui se prétend juste et démocratique peut continuer à ignorer la souffrance d'un peuple pendant plus de 76 ans, surtout lorsqu'il est question de la Palestine. Pendant toutes ces années, les Palestiniens ont enduré l'occupation, l'expulsion et les violations de leurs droits fondamentaux, tandis que le monde, y compris certains Israéliens, a souvent fermé les yeux ou trouvé des excuses pour justifier cette situation. Ce qui est frappant, c'est que bien que des voix critiques se soient élevées à travers le monde, y compris au sein même de la société israélienne, il n'y a pas eu de manifestations de grande envergure en Israël pour soutenir la cause palestinienne de manière significative. Les discours politiques et les manifestations qui ont eu lieu en Israël étaient souvent dirigés contre des aspects spécifiques du gouvernement ou des actions militaires, mais peu ont abordé la question centrale de la justice pour les Palestiniens ou remis en question l'existence de l'occupation et les colonies. Le fait que, pendant 76 ans, un grand nombre de personnes en Israël ait été indifférent à la souffrance palestinienne ou n'ait pas pris des mesures concrètes pour mettre fin à l'injustice en cours soulève des questions sur les priorités et les valeurs de cette société. Des manifestations en soutien à la Palestine ou contre l'occupation auraient pu marquer un tournant, mais elles sont restées limitées et souvent réprimées. En réalité, le manque de pression interne au sein d'Israël pour résoudre le conflit de manière juste et pacifique montre l'ampleur de la situation : la société israélienne a été construite autour de l'idée de la sécurité nationale, souvent au détriment de la reconnaissance des droits palestiniens. Au lieu de soutenir les efforts pour la paix et la réconciliation, la priorité a souvent été donnée à la guerre et à la défense des frontières, sans prendre en compte la souffrance des Palestiniens. C'est cette indifférence, ce silence et cette inaction qui alimentent encore davantage le cycle de violence et d'injustice, et qui rendent difficile toute solution pacifique à ce conflit.
Qui l a cherche les bebes le hamas est toujours la et il tue chaque jours les soldas de tsahel et les terroristes se vengent en tuant les bebes la honte@@christinemarssi1174
Le harcèlement chez les enfants est une réalité tragique qui existe dans toutes les sociétés, et il est encore plus bouleversant lorsqu’il se manifeste dans un contexte où des jeunes sont élevés dans des environnements de haine et de violence. En Israël, des témoignages font état de jeunes qui, dès leur plus jeune âge, sont confrontés à des idéologies de haine envers les Palestiniens, alimentées par l'éducation et la politique. Certains enfants en Israël, dès l'école, sont encouragés à se voir comme les "victimes" et à considérer leurs voisins palestiniens comme des ennemis. Cela peut mener à des comportements de harcèlement où les enfants se moquent, insultent et rejettent d’autres enfants simplement en raison de leur origine ou de leur identité. Le harcèlement prend des formes variées, allant des insultes verbales aux violences physiques, tout cela sous l’influence d’un contexte sociopolitique qui nourrit la division et la méfiance. Ces jeunes qui harcèlent ne sont souvent pas conscients de l’impact profond de leurs actions. Ils sont trop jeunes pour comprendre que le harcèlement ne fait qu’alimenter la haine et ne résout en rien les problèmes. Au lieu d'encourager la tolérance et la compréhension mutuelle, certains sont enfermés dans un cycle de violence et de vengeance qui les prive de toute possibilité d’empathie envers ceux qui sont perçus comme "l'ennemi". Il est essentiel de souligner que le harcèlement n'est jamais justifiable, peu importe le contexte. Les enfants, qu'ils soient israéliens ou palestiniens, ne sont pas responsables des conflits auxquels leurs sociétés sont confrontées. Ils devraient avoir la possibilité de grandir dans un environnement de paix et d'amour, sans être entraînés dans la haine. Il est du devoir de tous de protéger l'enfance et d’élever les jeunes générations dans un esprit de réconciliation et de paix.
Des vidéos et des témoignages ont circulé montrant des soldats israéliens tirant sur des oliviers dans certaines régions de la Cisjordanie, ce qui a été interprété par beaucoup comme une tentative d'empêcher les Palestiniens d'accéder à leurs terres agricoles. Ces oliviers, qui sont essentiels à l'agriculture et à l'économie palestinienne, sont souvent considérés comme un symbole de la lutte pour la terre et la survie. Les destructions d'arbres, ainsi que les restrictions imposées à l'accès à des terres cultivables, ont été rapportées par plusieurs organisations internationales et observateurs, soulevant de vives préoccupations sur les conséquences humanitaires de ces actions. De telles pratiques sont perçues comme des violations des droits fondamentaux des Palestiniens, et elles font partie des nombreuses difficultés auxquelles les civils palestiniens sont confrontés dans le contexte du conflit israélo-palestinien."
Le terme "Palestine" ne vient pas de "Syrie", mais plutôt de l'ancien nom donné à la région par les Grecs et les Romains. Le nom "Palestine" a été utilisé pour la première fois par les Grecs au 5e siècle avant J.-C. sous la forme de "Philistia", pour désigner la région habitée par les Philistins, un peuple de l'Antiquité. Plus tard, après la révolte juive contre les Romains au 2e siècle de notre ère, l'Empire romain a rebaptisé la région "Syria Palaestina" (Syrie-Palestine) pour supprimer les liens avec le royaume juif de Judée et affirmer une domination romaine. Le terme "Palestine" a ensuite été utilisé pendant des siècles pour désigner cette région géographique, indépendamment des différents groupes ethniques ou religieux qui y habitaient. Les habitants arabes de la région ont toujours été appelés "Palestiniens", bien avant la création de l'OLP en 1964, et se sont identifiés à cette terre au fil des siècles. Il est donc important de noter que l'origine du nom "Palestine" est bien ancrée dans l'histoire antique, bien avant la période moderne et avant l'ère de l'Empire romain.
C'est toujours moins que la guerre en Syrie de la dernière décennie. Pourtant, de cette guerre là, vous n'en faites désormais que peu de cas. Si vous ne pardonnerez pas, ce ne sera que pour une seule raison : parce que c'est Israël.
Il est important de clarifier que l'idée de "peuple" ne se limite pas à la période moderne, et il existe une histoire longue et complexe de la présence palestinienne en Terre sainte bien avant les années 1960. Les Palestiniens, en tant que groupe ethnique et culturel, sont les descendants des populations qui ont vécu sur ces terres pendant des siècles, bien avant l'arrivée du mandat britannique en 1917 ou la fondation d'Israël en 1948. Depuis l’Antiquité, la région de la Palestine a été habitée par des populations arabes et d’autres groupes, mais c’est au fil des siècles, notamment sous l’Empire Ottoman, que l'identité palestinienne en tant que groupe distinct s'est consolidée. En 1917, avec la déclaration Balfour et l’occupation britannique, la question de l’identité nationale palestinienne a pris une tournure plus politique, mais les Palestiniens s’identifiaient déjà à une culture, une langue et une histoire communes. Après 1948, lorsque des centaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés lors de la création de l'État d'Israël, l'identité nationale palestinienne s'est encore renforcée, notamment par l'engagement dans des luttes pour la reconnaissance et l'autodétermination. Ainsi, il est erroné de dire que les Palestiniens n'ont pas constitué un peuple avant 1960. Leur histoire, leur langue et leur culture remontent bien plus loin.
C'est horrible😭😭Tout les pays arabe et autres qui regardent les palestiniens se faire massacré et laisse faire, vous allez rendre des comptes tôt ou tard.
Réponse à ceux qui demandent de dénoncer le Hamas et de ramener les otages Il est crucial de comprendre que le Hamas, aux yeux de nombreux Palestiniens, est perçu comme une organisation de résistance face à l'occupation israélienne. Depuis sa création, il a pris une position contre l'occupation et les politiques israéliennes jugées injustes. Cependant, cette résistance, tout comme la résistance de tout peuple, ne doit pas justifier les actes de violence contre des civils, ni les atteintes aux droits humains. La situation en Palestine ne se limite pas à une simple question de "dénoncer le Hamas" ou de "ramener des otages". C'est une lutte complexe contre l'occupation, la colonisation et les violations systématiques des droits des Palestiniens. Pour parvenir à une paix durable et juste, il est essentiel de prendre en compte l'ensemble du contexte, y compris les aspirations légitimes des Palestiniens à la liberté et à l'autodétermination. Tout comme il est légitime de demander la fin de la violence de toutes les parties, il est tout aussi essentiel de soutenir les efforts pour mettre fin à l'occupation et protéger les droits fondamentaux des Palestiniens. Une paix durable ne peut être atteinte que par le dialogue, la justice, et la reconnaissance des droits de chaque peuple.
Ce qui me dégoute le plus, ce sont tous ces journalistes, médias, intellos, philosophes, politiques, ect ... qui bataillent pour que surtout rien ne déborde et qu'il n'y ait aucun mouvement massif de la société civile en faveur des palestiniens !
@@A.VA666les palestiniens ont deja un pays une nation apres c est vrai quand vous volez pillé il est difficile pour vous de vous retrouver en le bon et le mal
Il est difficile d'éprouver de la compassion pour des enfants qui grandissent dans un environnement où la haine et la violence sont cultivées dès leur plus jeune âge. Quand ces enfants sont élevés dans des contextes où les Palestiniens sont systématiquement déshumanisés, où la violence est glorifiée, et où les idéologies de supériorité sont imposées, il devient complexe de voir ces individus comme des victimes innocentes. Bien que l'on puisse comprendre qu'ils sont eux-mêmes les produits d'une éducation et d'un contexte géopolitique complexe, il est difficile de faire preuve de compassion pour ceux qui, sans comprendre pleinement la réalité de la souffrance palestinienne, perpétuent des attitudes qui alimentent la violence et l'injustice. Dans un contexte où ces enfants grandissent avec des visions déformées et haineuses des Palestiniens, il semble légitime de se poser la question : comment peut-on ressentir de la compassion pour ceux qui, à un âge aussi jeune, sont déjà programmés à considérer les autres comme inférieurs, menaçant ou déshumanisés ? Ce n'est pas une question de culpabilité individuelle, mais plutôt d'une réflexion sur la manière dont une société peut cultiver de telles idéologies et l'impact que cela peut avoir sur la paix et la réconciliation dans la région. Il devient difficile de séparer la victime du produit de ce système de haine et de violence. C'est un défi moral, mais il est essentiel de ne pas ignorer la réalité des souffrances infligées aux Palestiniens, tout en reconnaissant que ces enfants ne sont pas responsables du système qui les façonne. Pourtant, en raison de ce système, l'empathie et la compassion envers ces enfants doivent être nuancées, car ils font partie intégrante d'un cycle de violence qui doit être brisé pour un avenir pacifique.
L’affirmation selon laquelle il n’existait pas de peuple palestinien entre 1948 et 1960, ou que la presse n’en parlait pas, est historiquement inexacte et réductrice. Il est essentiel de replacer les faits dans leur contexte pour démontrer que les Palestiniens, en tant que peuple et identité, ont toujours existé, même si leur reconnaissance politique a été progressivement mise en lumière. **Une identité enracinée dans l'histoire** Le peuple palestinien a des racines historiques profondes dans la région qui était connue sous le nom de Palestine bien avant la création de l’État d’Israël en 1948. Sous l’Empire ottoman et plus tard sous le mandat britannique, les habitants arabes de la Palestine se définissaient comme faisant partie de cette région, avec leur culture, leur langue et leurs traditions. Les Palestiniens ont toujours constitué une communauté distincte, même si leur existence en tant qu’entité politique moderne a été mise à l’épreuve par les bouleversements historiques. **Les événements de 1948 et la Nakba** En 1948, la création de l’État d’Israël a entraîné ce que les Palestiniens appellent la Nakba, ou "catastrophe". Plus de 700 000 Palestiniens ont été déplacés, expulsés ou contraints de fuir leurs terres, devenant des réfugiés. Le traumatisme de la Nakba a marqué la conscience collective palestinienne et a été documenté dans de nombreux récits historiques, même si à l’époque, une partie de la presse internationale minimisait ou ignorait leur souffrance. **La reconnaissance progressive dans les années 1960** Il est vrai que le terme "peuple palestinien" a gagné en visibilité internationale à partir des années 1960, notamment avec la formation de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) en 1964. Cependant, cela ne signifie pas que les Palestiniens n’existaient pas avant cette période. Les discussions autour de leur identité étaient présentes dans les débats politiques et académiques bien avant cela, mais le contexte géopolitique de l’époque a souvent éclipsé leur voix. **La présence palestinienne dans la presse** Même si la couverture médiatique des Palestiniens était limitée dans les années 1940 et 1950, cela ne signifie pas que leur existence ou leurs revendications étaient absentes. La presse occidentale de l’époque était souvent orientée par des récits favorables à la création d’Israël, mais les Palestiniens étaient déjà mentionnés dans des rapports sur les réfugiés et les tensions dans la région. Des écrivains, des intellectuels et des leaders arabes ont également évoqué les droits des Palestiniens dans leurs œuvres et discours. **Conclusion** Affirmer que les Palestiniens n’existaient pas entre 1948 et 1960 ignore les réalités historiques et culturelles. Leur identité en tant que peuple est ancrée dans des siècles d’histoire, et les tentatives de nier leur existence ne font que perpétuer des malentendus et des injustices. Le peuple palestinien, avec son patrimoine, sa résilience et ses aspirations, mérite une reconnaissance et une compréhension justes.
Les accusations de détournement de l'aide humanitaire sont graves et doivent être abordées avec des faits solides et des preuves vérifiables. Il est important de souligner que les organisations humanitaires internationales mettent en place des contrôles stricts pour assurer que l'aide parvienne bien à ceux qui en ont besoin. Au lieu de faire des généralisations, il est préférable de s'appuyer sur des informations vérifiées et sur le travail de ces organismes qui luttent pour aider les populations dans le besoin. Tout débat sur ce sujet doit rester respectueux et fondé sur des faits, afin de promouvoir la paix et la compréhension."
Dans l’islam, la paix n’existe pas Pour les arabes, il existe trois concepts seulement pour couvrir les relations internationales, et la paix avec les juifs n’en fait pas partie. dar al-islam (littéralement, territoire de l’Islam), qui indique les régions où la loi islamique prévaut. dar al-sulh (territoire du traité), qui désigne des terres non islamiques qui ont conclu un armistice - un arrêt temporaire des hostilités - avec un gouvernement musulman. dar al-harb (territoire de guerre), désignant les terres non islamiques adjacentes, qui devront accepter l’Islam. Vous voyez la paix, dans une de ces trois catégories ?
C'est comme si la Belgique avait un problème de négociation avec Macron et se mettait à tirer sur toute la population parisienne juste un exemple avouer que c'est ridicule juste pour que tu es un groupe détruire toute une ville et plein d'autres ville aussi désolé mais si c'est pas grotesque
Quelle tristesse tout ces morts alors que le 7 octobre ils faisaient tous la fête en chantant dansant partageant les baklavas et le café j’ai vraiment beaucoup de peine pour les habitants de Gaza la prochaine fois ils réfléchiront mieux avant de refaire une razzia musulmane contre les juifs
On ne peut pas dire que les habitants de Gaza ont décidé de faire une razzia contre les juifs. En revanche une organisation armée a décidé que l'oppression d'Israël (et non des juifs, parce que si ça avait été des chrétiens, des bouddhistes, ou des hindouistes, c'était pareil) avaient trop duré et ils ont voulu mener une action d'éclat pour faire bouger un monde qui les oubliait. Après on peut discuter du fait que c'était la bonne méthode....
Tsahal en a descendu pas mal mais tsahalm n'a pas encore fini le travail.... Tu ne connais pas la stratégie hanniobal ? Va te renseigner et tu verras que j'ai malheureusement raison.
La terre promise, un cimetière plutôt, où coule un fleuve de larmes. Pauvres enfants enterrés vivants sous les bombes 😢, ces familles endeuillées , ces pauvres personnes encerclées et sans défense. Un vrai carnage, pour quel résultat, et ces personnes innocentes prises en otages qui attendent qu'on veuille bien s'occuper d'elles, pour qu'elles puissent retrouver leurs proches.
Je peux avoir de la compassion et verser des larmes sur les quelques milliers d’enfants et de femmes qui sont tombés sous les bombardements israéliens. « Ils ne sont pas coupables du comportement criminel de la grande majorité des Gazaouis », comme n’étaient pas coupables les dizaines de milliers d’enfants et de femmes fauchés par les bombardements en Allemagne « à cause des Nazis ».
Israël : Une existence contestée ?** Depuis sa création en 1948, Israël est au cœur de débats politiques, historiques et géographiques. Pour certains, Israël n'existe pas réellement en tant qu'entité légitime, mais plutôt comme un projet imposé, sans fondements solides ni droits sur les terres qu'il revendique. **L'histoire avant 1948** Avant la création d'Israël, la région était connue sous le nom de Palestine et faisait partie de l'Empire ottoman. Elle était habitée principalement par des populations arabes musulmanes, chrétiennes et juives qui vivaient ensemble depuis des siècles. Après la chute de l'Empire ottoman, la Palestine est passée sous mandat britannique, et la Déclaration Balfour de 1917 a marqué le début d'un projet soutenant l'établissement d'un "foyer national juif" en Palestine, sans consultation des habitants autochtones. **La création d'Israël et la Nakba** En 1948, l'État d'Israël a été proclamé sur des terres prises aux Palestiniens, ce qui a entraîné la Nakba, ou "catastrophe", lors de laquelle plus de 700 000 Palestiniens ont été expulsés ou ont fui leurs maisons. Ces terres sont encore revendiquées par leurs descendants, qui n'ont jamais renoncé à leur droit au retour. **Une légitimité contestée** Beaucoup soutiennent qu'Israël n'a jamais eu de base légitime pour exister, car il a été imposé par des puissances coloniales au détriment des populations locales. Le droit international condamne également les actions d'Israël dans les territoires occupés, notamment en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, ce qui renforce l'idée qu'Israël agit en dehors des lois internationales. **Les frontières floues** Contrairement à de nombreux États, Israël n'a jamais clairement défini ses frontières. Les frontières de 1948, établies par l'ONU, ont été constamment élargies par des guerres, des annexions et des colonies illégales. Cela soulève la question : comment un État peut-il exister s'il ne respecte pas les frontières établies ni les résolutions internationales ? **Conclusion** Pour ceux qui soutiennent que "Israël n'existe pas", l'argument repose sur le fait que sa création repose sur des injustices historiques et des violations du droit international. Si un État est construit sur l'occupation, l'expulsion et le refus des droits d'autrui, peut-il vraiment être considéré comme légitime ? Ces questions restent au cœur des débats sur la justice et la paix au Moyen-Orient
@@jmv6192 Et vous beneficierez de augmentation d une consultation médicale où vous irez dès le lendemain 🥴 A chacun le choix de ses vomissements (n oublions pas ceux qui vomissent pour cause d eau non potable un peu partout )🙋 Du veau (gras?)a Noel : c est original et ce qui le sera davantage ce sera lorsque sur la table sera le veau mis
En 1993 lors des Accords d’Oslo, les Palestiniens se sont vu offrir tout ce qu’ils désiraient par des lettres de reconnaissance mutuelle. Arafat a claqué la porte et refusé de signer.
Il y a eu dans l’histoire beaucoup de mouvements massifs de population, par millions, pour mettre fin a des conflits, que ce soit en Europe, en Inde ou ailleurs, et là nous avons l’occasion d’en mettre un en œuvre, pour une véritable solution de paix.
Le décompte est simple 63 gazaoui et un demi soldat israélien !! 1 ans après vous continuer à joué de la flûte !!!! Laissez les journalistes indépendants internationales jugé du réel état !!!!!!😂😂
Le consul américain à Jérusalem en 1880 rapporte que la région continuait son déclin : « La population et la richesse de la “Palestine” n’a pas augmenté pendant les 40 dernières années. »
le monde s'habitue à tous ces morts journalier dans une indifférence totale, j'espère que les acteurs de ce massacre comme les nazies auront droit a un procès n'en déplaise aux BHL et autres Karsfeld qui défendent ce qu'ils ont combattus , si ce n'est pas comparable en therme de nombres de morts et de date ça l'est quand a certaines procédures utilisés.
Quand les Juifs sont attaqués, on parle d'antisémitisme, mais quand les Arabes sont attaqués en Palestine, les dirigeants occidentaux restent silencieux: aucune sanction. Au contraire, brandir le drapeau palestinien pendant la séance parlementaire est sévèrement puni en France. C'est pour cela que je ne soutiendrai jamais l'Ukraine qui elle-même soutient Israël
Rappelons, juste au passage, que le viol de femmes et la prise d’otages de civils est aussi INTERDITE par la IVe Convention de Genève de 1949, considérée comme une infraction grave.
Le musulman le plus proche géographiquement des Gazaouis et aussi le plus clairvoyant à très clairement déclaré qu’il n’en voulait pas chez lui. Sous aucun prétexte. Il sait de quoi il s’agit, lui.
Je suis quand même étonnée que les media continuent à parler de « camps de réfugiés » qui font penser à des villages de tentes, alors que les images des bombardements montrent des constructions en dur. Et comme il n’y a pas plus de réfugiés que de beurre en broche… Je suppose que le gauchisme de l’Education Nationale est passé par là.
La bande de Gaza a été égyptienne de 1949 à 1967, par annexion militaire forcée, et la « rive occidentale » (Judée-Samarie) jordanienne au cours de la même période, par annexion militaire forcée. Le nom « Cisjordanie » ne s’est appliqué à la Judée-Samarie que de 1949 à 1967, quand la Jordanie occupait la Judée-Samarie : et qu’on l’utilise encore est un scandale, là aussi !
Un Etat ? Les Arabes ont refusé 7 fois En 1917, la Déclaration Balfour a non seulement créé une patrie juive, mais a également exigé que rien ne soit fait pour porter préjudice ou perturber les communautés arabes sortantes. Les Arabes se sont-ils réjouis de l’opportunité ? Non. Ils ont fait ce qu’ils ont toujours fait et continuent à faire jusqu’à … cette semaine en fait : ils ont déclenché l’émeute de Nebi Musa en avril 1920. Des Palestiniens des villes voisines ont afflué en masse et fomenté un djihad contre les Juifs de Jérusalem. Le maire de Jérusalem (qui était musulman) aurait déclaré : « Si nous n’utilisons pas la force contre les sionistes et contre les Juifs, nous n’en serons jamais débarrassés. »
En 2000 à Camp David, Ehud Barak a accepté les frontières proposées par Bill Clinton. L’accord aurait établi un État palestinien en Judée Samarie et Gaza avec Jérusalem-Est comme capitale palestinienne. Une fois de plus, Arafat s’est rétracté et a déclenché la seconde Intifada.
Les Frères musulmans égyptiens étaient à deux doigts de déchirer le traité de paix avec Israël. Ils envisageaient de le remettre en cause lors d’un référendum (1). Leurs plans ont échoué car ils ne sont pas restés au pouvoir, mais il montre que pour les musulmans, le concept de paix n’a pas la signification durable qu’il a pour l’Occident. En fait, le concept n’existe même pas…
En 2005, Ariel Sharon décidait qu’il n’était ni économiquement ni militairement possible pour Israël de gouverner 1,1 million de Palestiniens à Gaza. Sharon a démantelé toutes les communautés juives et rappelé l’armée israélienne aux frontières de 1967. Il a laissé derrière et en bon état les serres construites par Israël pour que les gens créent une industrie d’exportation agricole et relancent leur économie. Fidèles à eux-mêmes, les Palestiniens n’ont pas profité de l’Etat qu’ils pouvaient créer à Gaza. Ils ont détruit les serres, et ont déclenché une vague de milliers d’attaques à la roquette contre des cibles civiles en Israël, puis un interminable conflit.
pression sur la CPI pour qu’elle abandonne toute enquête. Y parviendront-ils ? Il y a au moins huit pays qui sont ouvertement contre une enquête sur la situation palestinienne. L’Allemagne est l’un d’eux. Certains des autres pays nous ont surpris, pour être honnête, car au moins quatre autres pays, l’Ouganda, le Brésil, la République tchèque et la Hongrie, avaient explicitement reconnu que la Palestine est un État de droit international, et pourtant ils soumettent maintenant des déclarations devant la Chambre préliminaire de la CPI disant que ce n’est plus le cas. Bien sûr, la question est un peu plus complexe, mais sur le fond, ces pays soulèvent devant la CPI des arguments politiques qui n’ont aucune base juridique. Il est surprenant que ces États, d’une part, prétendent être favorables à une Cour pénale internationale indépendante, mais d’autre part, essaient d’exercer une pression politique (sur cette même instance juridique). Le 11 juin, M. Trump a signé un décret dans lequel il impose des sanctions aux personnes associées à la CPI. Les États-Unis et leurs alliés peuvent-ils bloquer l’enquête de la CPI ? La réponse est “non”. L’administration de Trump fait pression sur la CPI. Par pression, nous entendons principalement par rapport à la situation en Afghanistan, mais aussi la situation israélo-palestinienne. Ainsi, chaque fois qu’il y a une déclaration de Trump ou du secrétaire d’État Mike Pompeo, en relation avec la CPI, ils n’oublient jamais de mentionner l’affaire de l’Afghanistan. En fait, le procureur enquête également sur des crimes de guerre présumés commis par des membres de la CIA et des soldats américains. Jusqu’à présent, cette pression n’a pas été particulièrement efficace. Dans le cas de l’Afghanistan, la Chambre d’appel a directement autorisé le Procureur à ouvrir une enquête, modifiant une décision prise par la Chambre préliminaire. Les administrations américaines successives n’ont jamais été très favorables à la CPI, et le problème majeur à Rome lors de la rédaction du Statut en 1998 concernait précisément le rôle du Procureur. Les États-Unis se sont opposés, dès le début, à un rôle indépendant du Procureur, où celui-ci pourrait ouvrir une enquête sans l’autorisation du Conseil de sécurité de l’ONU. Cette opposition remonte aux administrations Clinton, Bush, Obama et Trump. Aujourd’hui, cependant, nous assistons à une situation tout à fait nouvelle, l’administration américaine étant prête à imposer des sanctions économiques et des restrictions de visa aux personnes associées à la CPI et, peut-être également à d’autres organisations.
L'affirmation selon laquelle le nom "Palestinien" aurait été attribué uniquement en 1964 est incorrecte et omet l'histoire longue et complexe de la région. Le terme "Palestinien" remonte à bien avant la création de l'OLP (Organisation de Libération de la Palestine) en 1964, et il est enraciné dans l'histoire de la région. Le nom "Palestine" a été utilisé dès l'Antiquité pour désigner la région géographique située entre la mer Méditerranée et le fleuve Jourdain. L’utilisation du terme "Palestinien" pour désigner les habitants de cette région s'est donc naturellement développée au fil du temps, en particulier sous l'Empire Ottoman, qui avait administré la région pendant plusieurs siècles. Pendant cette période, les habitants de la Palestine étaient souvent appelés "Arabes de Palestine" ou "Palestiniens", en particulier au début du 20e siècle, lorsqu'ils ont commencé à s'identifier collectivement en raison de leur culture, langue et histoire partagées. L'idée de créer un mouvement national palestinien, sous la direction de figures comme Yasser Arafat, s'est effectivement consolidée après 1948, mais cela ne signifie pas que le peuple palestinien en tant que tel a été inventé à ce moment-là. Les Palestiniens se sont toujours perçus comme un groupe distinct, avec une identité propre, bien avant la création de l'OLP. Le mouvement national palestinien a simplement cherché à organiser et à revendiquer la souveraineté sur un territoire qu'ils considéraient comme leur terre historique. En résumé, le nom "Palestinien" et l'identité palestinienne existent depuis bien plus longtemps que la création de l'OLP en 1964.
Tous savaient et ont choisi de ne pas agir. De faire échouer les demandes de UNWATCH, de discréditer, de ridiculiser, de critiquer tant et plus cette honorable ONG Suisse. Le 10 juin, sous la pression des USA, 6 salariés de l’UNRWA ont été suspendus de leurs fonctions.
Si la communauté internationale n’était pas devenue irresponsable, aveugle et sourde, à dessein, nous dit David Horowitz, elle dénoncerait, en toute rigueur, ce révisionnisme de l’histoire, même s’il bouleverse la géopolitique de cette région. Comment alors, en toute neutralité et objectivité, dénoncer la contrefaçon ? Argumentaire incontestable Le premier est que le peuple palestinien n’existant pas avant 1960, la notion de « Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », régulièrement invoquée pour justifier la revendication d’un État palestinien sur la Palestine ancienne, ne s’applique pas.
La quasi-totalité des habitants de Judée-Samarie se considéraient comme des Jordaniens venant du pays d’origine. La confusion entre Jordanien et Palestinien vient du fait que la Jordanie venait d’être créée sur le sol de Palestine. Quant aux habitants de Gaza, eux, ils venaient d’Égypte, et par conséquent n’avaient aucun problème avec une Jordanie occupant Jérusalem et la Judée. Leur pays désignait l’endroit où ils habitaient, et cet endroit n’était pas jordanien mais palestinien. Étant donné que la Jordanie a été créée en/et dans la Palestine sous mandat britannique, certains esprits se plaisent à proposer de rassembler Gaza et la Cisjordanie à la Jordanie, qui devient de fait la Palestine.
Les accords d’Abraham prévoyaient des zones arabes autonomes en Judée-Samarie et à Gaza, régies par des gens ayant totalement renoncé au terrorisme et à cesser d’inciter à la haine les Arabes de Judée-Samarie et de Gaza. Ils prévoyaient une trêve régionale durable qui passait par l’asphyxie du régime iranien.
En Israël, après ce mois d’octobre noir, ce jour du don de la Thora (loi), et en ce samedi sacré dans le monde, le choc de la sidération sera désormais associé à terrorisme, barbarie, tueries collectives, pogrom, saccages, crimes contre l’humanité, inhumanité, terreur, haine antisémite, viols de masse, prédateurs, séquestrations d’otages, peuple assassiné, inconsolable, cœurs et familles brisés, obscurité, veuves et orphelins, Tsion attaquée, blessée, conflit de civilisation, actes de guerre… On reste sans voix !
Le terme de « Palestine » est dérivé de celui de « Philistin », qui vient lui-même de l’hébreu « Pelistim ». Ainsi, par son nom même, la Palestine est juive, et non pas arabe ou musulmane. Les Arabo-musulmans, que les médias occidentaux appellent « Palestiniens », n’ont aucun lien culturel, religieux ou linguistique avec les Philistins, qui étaient un peuple d’origine méditerranéenne aujourd’hui disparu.
Comment les tribus arabes du Levant et les tribus arabes, en général, sont-elles si dispersées? L’Empire ottoman était un espace ouvert gigantesque, et la migration interne et la libre circulation des individus et des tribus nomades étaient un élément de caractéristique commune. Par conséquent, les tribus arabes qui se sont installées sur la Terre d’Israël étaient également variées et de lignages différents, et pendant l’Empire ottoman, les Arabes du pays ne se sont pas identifiés comme des Palestiniens.
Philip Khuri Hitti, historien arabe, ainsi que de nombreuses personnalités arabe telles que le roi Hussein de Jordanie, Hafez el-Assad, le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies et le représentant du Haut-Comité arabe aux Nations Unies déclarèrent quant à eux en 1947 que la « Palestine » est une province syrienne.
Affirmer que la Palestine n'existe pas est non seulement une méconnaissance de l'histoire, mais aussi un déni des droits d'un peuple qui a vécu sur ces terres depuis des siècles. La Palestine est une entité reconnue par des centaines de pays dans le monde et par des organisations internationales comme l'ONU, où elle est membre observateur. Le peuple palestinien a une culture, une langue, une histoire et une identité qui ne peuvent être effacées par des slogans politiques ou des narrations simplistes. Concernant la création d'un État palestinien, il est important de rappeler que l'Histoire est bien plus complexe que le récit qu'on veut parfois imposer. Les Palestiniens ont été confrontés à des décennies d'occupation, de colonisation et de négation de leurs droits fondamentaux. Les opportunités pour un État ont été sabotées à plusieurs reprises par des politiques expansionnistes, des déplacements forcés et des décisions internationales déséquilibrées. On ne peut pas parler d’un "refus" palestinien sans tenir compte du contexte dans lequel ces soi-disant "offres" ont été faites, souvent en ignorant leurs aspirations légitimes et leurs droits souverains. En ce qui concerne le 7 octobre, il est crucial de comprendre que l'histoire du conflit israélo-palestinien ne se limite pas à un événement ou à une date. Réduire la question palestinienne à des incidents spécifiques, sans analyser les causes profondes du conflit, est une insulte à la vérité. Le peuple palestinien lutte depuis des décennies pour la justice, la dignité et la liberté, des droits que tout être humain mérite. Pointer un événement pour justifier l'occupation, les colonisations ou les exactions commises est non seulement malhonnête, mais profondément irresponsable. Enfin, nier l'existence de la Palestine ou diaboliser tout un peuple ne contribue en rien à la paix. Au contraire, cela nourrit un cycle de haine et de violence qui ne profite à personne. La justice et la reconnaissance des droits de chacun sont les seules voies vers une solution durable. Alors, plutôt que de nier l’existence d’un peuple, il serait peut-être temps de reconnaître ses souffrances, son histoire et ses droits légitimes.
Les pays arabes ne leurs viennent pas en Aide? L'Egypte a fermé ses frontières alors qu'ils partagent la même religion C'est assez intéressant la solidarité musulmane.
En septembre 2008, Ehud Olmert a présenté au président palestinien Abbas un autre plan de partition. Il y avait une carte détaillée d’un futur État palestinien, avec un échange de terres convenu d’un commun accord. Les Palestiniens obtenaient toute la Judée Samarie et Gaza d’avant la guerre de 1967. Olmert leur a même proposé de diviser Jérusalem. Abbas a pris la carte avec lui, il est rentré à son bureau pour un examen plus approfondi et il n’a jamais - ne serait-ce que répondu à la proposition - et de sept refus.
Comment les Palestiniens ont-ils acquis ces territoires, et quand est-ce arrivé ? Vous verrez que la plupart des gens, peu importe à quel point ils sont perturbés par les « colonies », ne connaissent pas la réponse. La réponse est que les Palestiniens n’ont jamais contrôlé ces territoires, ne les ont jamais acquis, ne les ont jamais réclamé avant 1967, donc ils ne leur ont jamais été accordés.
La Palestine a une langue : Le peuple palestinien et sa culture linguistique** L'idée que la Palestine n'a pas de langue propre est une fausse notion. En réalité, les Palestiniens ont une langue bien définie, qui fait partie intégrante de leur identité et de leur culture. ### 1. **L'arabe : La langue officielle et nationale** La langue principale parlée en Palestine est l'arabe. C'est une langue sémitique, qui fait partie d'une famille linguistique très ancienne, partagée par de nombreux peuples du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord. L'arabe est la langue des Palestiniens depuis des siècles et est parlée quotidiennement par des millions de personnes en Palestine, ainsi que dans les communautés palestiniennes à travers le monde. ### 2. **L’arabe palestinien : Un dialecte distinct** Au sein de la langue arabe, il existe des dialectes régionaux. Le dialecte palestinien, bien que similaire à celui des autres pays arabes, possède des particularités phonétiques et lexicales qui le rendent unique. Ce dialecte est parlé par les Palestiniens à travers les différentes régions qu'ils occupent, qu'ils soient en Cisjordanie, à Gaza, à Jérusalem-Est ou dans les camps de réfugiés du monde arabe. ### 3. **L’arabe classique et l’arabe moderne standard** En plus du dialecte, les Palestiniens utilisent l’arabe classique pour la littérature, la poésie, et les discours religieux. L’arabe moderne standard est également utilisé dans les médias, l’éducation, et les contextes formels. C’est la même langue utilisée dans tout le monde arabe pour communiquer sur des questions politiques, scientifiques et culturelles. ### 4. **L'influence de la langue sur la culture palestinienne** La langue arabe est au cœur de la culture palestinienne. Elle est présente dans la poésie palestinienne, la littérature, la musique et les traditions orales. Des écrivains et poètes palestiniens célèbres, comme Mahmoud Darwich, ont utilisé la langue arabe pour exprimer la souffrance, l’espoir et la résistance de leur peuple face à l'occupation. ### 5. **L’arabe dans l’histoire de la Palestine** L'arabe est la langue principale de la région depuis plus de 1 400 ans, après la conquête arabe au 7e siècle. Avant cela, diverses langues sémitiques, comme l’hébreu et l’araméen, étaient parlées dans la région, mais l'arabe a progressivement pris le relais comme langue dominante. ### Conclusion : La langue palestinienne existe bel et bien L'idée que la Palestine n’a pas de langue est une mauvaise interprétation des faits. La langue arabe, avec ses variantes dialectales et son riche patrimoine littéraire, est la langue de la Palestine. Elle est non seulement un moyen de communication, mais aussi un symbole fort de l'identité palestinienne et de sa résistance culturelle.
Comment expliquer qu'avant la guerre des Six-Jours en 1967, il n'y eut aucun mouvement sérieux de revendication d'indépendance palestinienne? "Avant 1967?" me direz-vous, "les Israéliens n'occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem. " C'est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n'est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu'Israël conquît la Judée , la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens? Est-ce qu'une seule résolution de l'ONU à vue le jour à ce sujet? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu'Israël ait gagné cette guerre? La vérité est que la Palestine est un mythe. Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l'an 135 de l'ère actuelle par l'empereur romain Hadrien, qui, non content d'avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans), non content d'avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d'avoir interdit l'accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu'il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d'un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d'ajouter l'insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en "Alea Capitolina", mais cela ne rencontra pas le même succès.
*La Palestine : Pourquoi elle existe réellement** La Palestine, en tant qu'entité géographique, historique et politique, existe bel et bien. Bien que sa reconnaissance internationale soit un sujet complexe et que la situation géopolitique soit difficile, plusieurs éléments montrent que la Palestine est une réalité indéniable. ### 1. **Une histoire ancienne et une présence continue** La Palestine, c'est d'abord une région avec une histoire millénaire. Depuis l'Antiquité, elle a été habitée par différents peuples, dont les Cananéens, les Juifs, les Romains et les Arabes. Les habitants de la région, les Palestiniens, ont une identité culturelle forte, forgée au fil des siècles. Ils parlent arabe, pratiquent des traditions qui leur sont propres et sont profondément liés à cette terre. ### 2. **Reconnaissance internationale** Aujourd'hui, la Palestine est reconnue par plus de 130 pays dans le monde. En 2012, l'ONU a même accordé à la Palestine le statut d’"État observateur non membre". Cela signifie qu'elle est reconnue comme un acteur légitime sur la scène internationale, même si elle n'est pas un membre à part entière de l'ONU. Plusieurs organisations internationales, comme l'UNESCO et la Cour pénale internationale, comptent également la Palestine parmi leurs membres. ### 3. **Des institutions palestiniennes** La Palestine a des institutions politiques, avec un gouvernement qui administre une partie de la Cisjordanie et la bande de Gaza. L'Autorité palestinienne, qui dirige la Cisjordanie, et le Hamas, qui gouverne Gaza, sont les deux principaux acteurs politiques. Bien que ces territoires soient partiellement occupés par Israël, la Palestine y exerce un contrôle quotidien sur une partie de la population. ### 4. **La lutte pour l'autodétermination** Les Palestiniens revendiquent leur droit à l'autodétermination, un principe inscrit dans la Charte des Nations Unies. Leur lutte pour un État indépendant et souverain est largement soutenue par la communauté internationale, notamment par les pays arabes et les mouvements de solidarité à travers le monde. La Palestine se bat pour la reconnaissance d'un État dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale. ### 5. **La culture palestinienne** Au-delà de la politique, la Palestine existe aussi à travers sa culture. Les Palestiniens ont une identité distincte, avec des traditions, une cuisine, une littérature et une musique qui leur sont propres. Cette culture est un lien fort entre les Palestiniens, qu'ils vivent en Palestine, dans les camps de réfugiés ou dans la diaspora. ### 6. **Le droit à la résistance** Le droit des Palestiniens à résister à l'occupation israélienne est un principe largement reconnu par le droit international. Ce droit est un élément clé de leur lutte pour la liberté, la dignité et la souveraineté. Même si les Palestiniens ne contrôlent pas entièrement leur territoire, ils ont le droit de revendiquer un futur autonome et indépendant. ### Conclusion La Palestine existe, non seulement comme une entité géographique, mais aussi comme une nation avec une histoire, une culture et un peuple qui luttent pour leur liberté. Les défis sont nombreux, mais le droit des Palestiniens à leur propre État reste une réalité incontestable et un objectif soutenu par une grande partie de la communauté internationale.
Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en « Alea Capitolina », mais cela ne rencontra pas le même succès. La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire. Jamais ! Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour,
C'est d'une tristesse incommensurable...De plus le nombre réel de victimes nous est caché ,dire la vérité couvrirait de honte l'ensemble des soutiens à ce massacre de civils sans défense... On nous rabâche ;"le Hamas a tué 1200 personnes",hors aujourd'hui nous savons qu'une part importante de ces morts est du fait de l'armée isrelienne ... On nous rabâche que les palestiniens on voté pour ,hors c'était en 2007 ce qui exclut d'office les trois quart de la population qui n'avait pas l'âge requis... Rien ne tient debout dans tout ces narratifs ...La seule chose claire c'est une volonté meurtrière d'éliminer un peuple dont on nie les droits légitimes et ce depuis près de 80 ans et ce pour des raisons géopolitiques de domination du Moyen-Orient par et pour les intérêts des puissances occidentales sans aucunes considérations pour la vie et la dignité humaine...
Il existe de nombreux prisonniers palestiniens qui sont détenus sans jugement, ce qui soulève des préoccupations profondes en matière de droits de l'homme. Depuis des années, des milliers de Palestiniens sont emprisonnés par les autorités israéliennes dans le cadre de ce que l'on appelle la détention administrative, une procédure qui permet la détention sans charges formelles ni procès. Ces prisonniers sont souvent privés de toute forme de procès public ou de défense légale adéquate, ce qui constitue une violation grave de leurs droits humains fondamentaux.
La détention administrative permet aux autorités israéliennes de maintenir les Palestiniens en prison sur la base de preuves secrètes, souvent sans qu'ils en soient informés, ni leurs avocats, ce qui rend impossible leur défense. Beaucoup de ces détenus sont des civils, des activistes ou des hommes politiques qui ne sont accusés de rien de concret et dont le seul "crime" est d'exprimer une opposition à l'occupation israélienne ou de lutter pour les droits de leur peuple.
Comparativement aux otages israéliens, qui suscitent une mobilisation internationale lorsqu'ils sont capturés, la situation des prisonniers palestiniens souvent reste ignorée. Le monde semble plus prompt à s'indigner des souffrances d'une partie que de l'autre, renforçant l'injustice systémique qui existe dans ce conflit. L'absence de jugement et l'incarcération sans preuves ni procès sont des pratiques qui, selon de nombreux observateurs et organisations internationales, violent les normes de justice internationale et les principes des droits humains.
Il est essentiel de se rappeler que les souffrances des uns ne justifient pas celles des autres. Tous les êtres humains, qu'ils soient israéliens ou palestiniens, ont droit à un traitement équitable et humain, y compris un procès juste et public lorsqu'ils sont accusés d'un crime. L'absence de jugement pour des milliers de prisonniers palestiniens, tout comme le traitement des otages israéliens, doit être dénoncée comme une atteinte à la dignité humaine.
Il ne faut pas oublier de rappeler aussi que parmis ces prisonniers existent un bon nombre d'enfants qui sont emprisonnés et torturés. Malheureusement le monde entier fait l'Autriche
On attend la justice divine
Espérant que la justice divine juge sévèrement les terroristes du Hamas
@@MissWedrar1992 Les resistants du hamas sont des angelots comparés à nétaniamerde et ses idf, qui finiront tous au trou.
@@MissWedrar1992 et quelle ne vous oublie pas aussi
Israël fait du bon boulot .
@@wolf.LARSEN9.0 oui tout le monde sera jugé mais surtout les terroristes de l'ère moderne comme le Hamas et ISIS
La haine exprimée par certains civils israéliens, notamment envers les Palestiniens, est un sujet complexe et tragique qui découle de décennies de conflit. Elle trouve souvent sa source dans des narratifs de guerre, d'endoctrinement et de peur, qui ont été véhiculés de génération en génération. Cette haine n'est pas représentative de tous les Israéliens, mais elle est présente chez une certaine fraction de la population, souvent alimentée par des médias, des politiciens et des groupes qui poussent à la division plutôt qu'à la réconciliation.
Certains civils israéliens, influencés par des idéologies nationalistes et sionistes extrêmes, perçoivent les Palestiniens comme une menace existentielle. Cette perception est souvent renforcée par des violences répétées et des attaques de part et d'autre, qui contribuent à créer un climat de peur et de méfiance. Les Palestiniens, dans cette vision, sont vus non pas comme des êtres humains ayant des droits, mais comme des ennemis à éliminer ou à contrôler. Cela peut se traduire par des propos haineux, de la violence verbale et parfois physique à l'encontre des Palestiniens, y compris des enfants.
Cela soulève la question fondamentale de la responsabilité collective et individuelle. Si certains civils israéliens nourrissent cette haine, cela devient un obstacle majeur à la paix et à la coexistence. La haine, qu'elle soit dirigée vers les Palestiniens ou toute autre communauté, ne fait que prolonger le cycle de violence et d'injustice, où les innocents des deux côtés en sont les premières victimes.
En fin de compte, il est essentiel de dénoncer cette haine, de promouvoir l'éducation à la paix et à la tolérance, et de soutenir les efforts visant à démanteler les idéologies qui perpétuent la violence. Il n'est pas facile de surmonter des décennies de conflit, mais il est impératif de travailler à un avenir où la haine ne régit plus les relations entre peuples.
Propos justes, mesurés et clairvoyants. Dommage que tout le monde n’essaie pas d’avoir cette ouverture pour accueillir cette possibilité de paix…
C est la fin de l'humanité. Cet état coloniale est une honte
La syrie, l'irak, la jordanie sont plus coloniale qu'israel historiquement parlant... renseignez vous...
pauvre ignorant
Ils seront bien tot derrière les bareaux
@@mikeel6323hasbara
Le fait qu'Israël occupe et colonise des terres qui appartiennent historiquement aux Palestiniens soulève une question centrale dans le conflit israélo-palestinien. Depuis 1948, des millions de Palestiniens ont été expulsés ou ont fui leurs terres à la suite de la création d'Israël, et la situation n'a fait qu'empirer avec l'expansion des colonies israéliennes sur des terres palestiniennes, notamment en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Ces terres, revendiquées par les Palestiniens depuis des siècles, sont considérées par le droit international comme occupées, et les colonies israéliennes sont largement jugées illégales.
Les Israéliens qui habitent ces terres occupées vivent dans des colonies construites sur des terres qui ne leur appartiennent pas. Ces colonies sont construites sur des terres palestiniennes, souvent expropriées, parfois par la force, au détriment des Palestiniens qui y ont vécu pendant des générations. Les Palestiniens, privés de leurs terres, sont souvent contraints de vivre dans des conditions difficiles, avec des restrictions de mouvement et des droits limités.
Le droit international, à travers diverses résolutions de l'ONU, condamne l'occupation et l'extension des colonies israéliennes sur ces territoires. La communauté internationale reconnaît généralement que ces terres appartiennent aux Palestiniens, et que l'occupation israélienne est illégale. Pourtant, Israël continue d'expansionner ses colonies, modifiant les faits sur le terrain et rendant la solution à deux États de plus en plus difficile à réaliser.
Pour les Palestiniens, ces terres ne sont pas seulement des lieux de résidence, mais aussi des symboles de leur identité et de leur héritage. Leur perte représente non seulement un vol de terres, mais aussi une attaque contre leur culture, leur histoire et leur droit à l'autodétermination. Les Israéliens qui vivent dans ces colonies, en dépit de l'argument selon lequel ils vivent dans des territoires contestés, participent activement à ce système d'occupation. Ils sont donc perçus par de nombreux Palestiniens et sympathisants de la cause palestinienne comme complices dans la violation de leurs droits fondamentaux.
La question de savoir qui détient réellement ces terres reste au cœur du conflit, et chaque jour qui passe avec l'expansion des colonies israéliennes rend plus difficile toute forme de paix véritable et durable.
Heureusement que France 24 est là car tous les autres médias sont passés à autre chose apparemment...
Ce n’est pas France 24 mais Hamas et Hezbollah 24. Qui croit tjr à cette chaine ? 😂😂😂😂
@@dieudonnesalou5919 "Ce n’est pas France 24 mais Hamas et Hezbollah 24" ! Ben alors, heureusement qu'il y a Hamas et Hezbollah 24 pour nous informer, car s'il fallait attendre les autres ...
@@TimOsmanJrmais comment font ils pour être encore en vie après plus d un an sans eau nit nourriture ? Est ce possible ?
17 000 morts max
✌️🇮🇱🙏❤️🙏🇮🇱💪
Un peuple très résistant. Chacun attend sa mort avec courage .
bravo israel
Tu rendras compte à ton Créateur (troll)@@tyiytuytyu6918
Les vrais résistants ne s'en prenaient pas aux civils et ne se servaient pas d'otages.
Un jour ils devront rendre des comptes
💪🇮🇱🙏❤️🙏🇮🇱✌️
C'est le cas !
C'est en ce moment même a ghhaazzaa
vive israel
non ils vont payer de leurs vies!
@@Alain-r1m alors c est une bonne chose, de détruire les islamistes Halla , n aime pas les terroristes
C'est facile..!! comptez ceux qui restent ...
c'est malheureux ...
tgol ! Humour déplacé et tellement malaisant !
NOUS SOMMES TOUS COMPLICES.
Je soutiens Israël qui représente l’Occident au Moyen Orient .
17 000 morts en tout max
✌️🇮🇱🙏🇮🇱💪
@@Jerome56plus
@Jerome56
Le deuxième maître après Dieu c'est bien le temps.
Les espagnols disent : tiempo al tiempo.
La Cisjordanie, souvent appelée "Judée et Samarie" par Israël, est un territoire palestinien occupé depuis la guerre des Six Jours en 1967. Depuis cette époque, Israël a établi des colonies illégales dans cette région, ce qui constitue une forme de colonisation au regard du droit international.
**Occupation militaire et colonisation**
Depuis 1967, l'armée israélienne maintient une présence militaire en Cisjordanie, et des centaines de milliers de colons israéliens vivent dans des colonies construites sur des terres palestiniennes. Ces colonies sont considérées comme illégales par le droit international, notamment en vertu de la Quatrième Convention de Genève, qui interdit la construction de colonies dans les territoires occupés. Malgré cela, Israël a continué d'étendre ses colonies, en violation des résolutions des Nations Unies, telles que la résolution 242, qui appelle au retrait des forces israéliennes des territoires occupés.
**La stratégie de la colonisation**
La colonisation israélienne en Cisjordanie ne se limite pas à la construction de colonies. Elle inclut également des politiques visant à déplacer les populations palestiniennes, en créant des zones militaires, des zones de sécurité et des routes réservées aux colons israéliens. Ces pratiques fragmentent davantage le territoire palestinien, rendant la création d'un futur État palestinien de plus en plus difficile. Les colons israéliens bénéficient de privilèges spéciaux, y compris une protection militaire, tandis que les Palestiniens sont soumis à des restrictions sévères sur leurs déplacements et leurs activités économiques.
**L'impact sur les Palestiniens**
La colonisation en Cisjordanie a des conséquences dramatiques pour les Palestiniens. Non seulement ils sont privés de l'accès à leurs terres, mais leurs maisons sont régulièrement démolies pour faire place à de nouvelles colonies. Les agriculteurs palestiniens sont également privés de l'accès à leurs terres agricoles, souvent confisquées au profit de la colonisation israélienne. Les restrictions de mouvement, les checkpoints militaires et les murs de séparation compliquent la vie quotidienne des Palestiniens, limitant leur liberté et leur droit à l'autodétermination.
**Les réactions internationales**
La communauté internationale, à l'exception de quelques pays, considère la colonisation israélienne en Cisjordanie comme illégale. Les Nations Unies, l'Union européenne et plusieurs autres États ont régulièrement condamné la construction de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés. Cependant, malgré cette pression internationale, Israël poursuit sa politique de colonisation, considérant ces territoires comme faisant partie de son territoire national, bien qu'ils soient sous occupation.
En conclusion, la Cisjordanie est effectivement colonisée par Israël. Cette colonisation a des conséquences profondes sur les droits des Palestiniens, sur la paix dans la région et sur la possibilité de parvenir à une solution à deux États. La communauté internationale continue de condamner cette occupation, mais la situation reste inchangée, ce qui soulève des questions sur l'engagement réel d'Israël envers un règlement pacifique du conflit.
Enfin une personne cultivée censée et juste
👏👏
Mais explique-moi, où était ce fameux "pays occupé" quand les Jordaniens occupaient la Judée-Samarie entre 1948 et 1967 (rebaptisée "Cisjordanie" par les Jordaniens en 1949) et Gaza occupée par les Égyptiens par annexion militaire forcée à la même période ?
Tu vas répondre cette fois, Jeff...? 😂😂😂
Il est en effet difficile de comprendre comment une société qui se prétend juste et démocratique peut continuer à ignorer la souffrance d'un peuple pendant plus de 76 ans, surtout lorsqu'il est question de la Palestine. Pendant toutes ces années, les Palestiniens ont enduré l'occupation, l'expulsion et les violations de leurs droits fondamentaux, tandis que le monde, y compris certains Israéliens, a souvent fermé les yeux ou trouvé des excuses pour justifier cette situation.
Ce qui est frappant, c'est que bien que des voix critiques se soient élevées à travers le monde, y compris au sein même de la société israélienne, il n'y a pas eu de manifestations de grande envergure en Israël pour soutenir la cause palestinienne de manière significative. Les discours politiques et les manifestations qui ont eu lieu en Israël étaient souvent dirigés contre des aspects spécifiques du gouvernement ou des actions militaires, mais peu ont abordé la question centrale de la justice pour les Palestiniens ou remis en question l'existence de l'occupation et les colonies.
Le fait que, pendant 76 ans, un grand nombre de personnes en Israël ait été indifférent à la souffrance palestinienne ou n'ait pas pris des mesures concrètes pour mettre fin à l'injustice en cours soulève des questions sur les priorités et les valeurs de cette société. Des manifestations en soutien à la Palestine ou contre l'occupation auraient pu marquer un tournant, mais elles sont restées limitées et souvent réprimées.
En réalité, le manque de pression interne au sein d'Israël pour résoudre le conflit de manière juste et pacifique montre l'ampleur de la situation : la société israélienne a été construite autour de l'idée de la sécurité nationale, souvent au détriment de la reconnaissance des droits palestiniens. Au lieu de soutenir les efforts pour la paix et la réconciliation, la priorité a souvent été donnée à la guerre et à la défense des frontières, sans prendre en compte la souffrance des Palestiniens.
C'est cette indifférence, ce silence et cette inaction qui alimentent encore davantage le cycle de violence et d'injustice, et qui rendent difficile toute solution pacifique à ce conflit.
AU FAIT, les Israëliens GENOCIDENT DÉMOCRATIQUEMENT LES RESCAPÉS PALESTINIENS DONT ILS ONT VOLÉ ET COLONISÉ LES TERRES
L'extermination de tout un peuple qu'on regarde tous a travers internet 😓😓😢gaza pardonne nous Palestine pardonne nous😢😢😭😭😭
😢
Il l'a bien cherché !
@@christinemarssi1174la roue tournera
Qui l a cherche les bebes le hamas est toujours la et il tue chaque jours les soldas de tsahel et les terroristes se vengent en tuant les bebes la honte@@christinemarssi1174
😪
Le harcèlement chez les enfants est une réalité tragique qui existe dans toutes les sociétés, et il est encore plus bouleversant lorsqu’il se manifeste dans un contexte où des jeunes sont élevés dans des environnements de haine et de violence. En Israël, des témoignages font état de jeunes qui, dès leur plus jeune âge, sont confrontés à des idéologies de haine envers les Palestiniens, alimentées par l'éducation et la politique.
Certains enfants en Israël, dès l'école, sont encouragés à se voir comme les "victimes" et à considérer leurs voisins palestiniens comme des ennemis. Cela peut mener à des comportements de harcèlement où les enfants se moquent, insultent et rejettent d’autres enfants simplement en raison de leur origine ou de leur identité. Le harcèlement prend des formes variées, allant des insultes verbales aux violences physiques, tout cela sous l’influence d’un contexte sociopolitique qui nourrit la division et la méfiance.
Ces jeunes qui harcèlent ne sont souvent pas conscients de l’impact profond de leurs actions. Ils sont trop jeunes pour comprendre que le harcèlement ne fait qu’alimenter la haine et ne résout en rien les problèmes. Au lieu d'encourager la tolérance et la compréhension mutuelle, certains sont enfermés dans un cycle de violence et de vengeance qui les prive de toute possibilité d’empathie envers ceux qui sont perçus comme "l'ennemi".
Il est essentiel de souligner que le harcèlement n'est jamais justifiable, peu importe le contexte. Les enfants, qu'ils soient israéliens ou palestiniens, ne sont pas responsables des conflits auxquels leurs sociétés sont confrontées. Ils devraient avoir la possibilité de grandir dans un environnement de paix et d'amour, sans être entraînés dans la haine. Il est du devoir de tous de protéger l'enfance et d’élever les jeunes générations dans un esprit de réconciliation et de paix.
Des vidéos et des témoignages ont circulé montrant des soldats israéliens tirant sur des oliviers dans certaines régions de la Cisjordanie, ce qui a été interprété par beaucoup comme une tentative d'empêcher les Palestiniens d'accéder à leurs terres agricoles. Ces oliviers, qui sont essentiels à l'agriculture et à l'économie palestinienne, sont souvent considérés comme un symbole de la lutte pour la terre et la survie. Les destructions d'arbres, ainsi que les restrictions imposées à l'accès à des terres cultivables, ont été rapportées par plusieurs organisations internationales et observateurs, soulevant de vives préoccupations sur les conséquences humanitaires de ces actions. De telles pratiques sont perçues comme des violations des droits fondamentaux des Palestiniens, et elles font partie des nombreuses difficultés auxquelles les civils palestiniens sont confrontés dans le contexte du conflit israélo-palestinien."
Le terme "Palestine" ne vient pas de "Syrie", mais plutôt de l'ancien nom donné à la région par les Grecs et les Romains. Le nom "Palestine" a été utilisé pour la première fois par les Grecs au 5e siècle avant J.-C. sous la forme de "Philistia", pour désigner la région habitée par les Philistins, un peuple de l'Antiquité. Plus tard, après la révolte juive contre les Romains au 2e siècle de notre ère, l'Empire romain a rebaptisé la région "Syria Palaestina" (Syrie-Palestine) pour supprimer les liens avec le royaume juif de Judée et affirmer une domination romaine.
Le terme "Palestine" a ensuite été utilisé pendant des siècles pour désigner cette région géographique, indépendamment des différents groupes ethniques ou religieux qui y habitaient. Les habitants arabes de la région ont toujours été appelés "Palestiniens", bien avant la création de l'OLP en 1964, et se sont identifiés à cette terre au fil des siècles.
Il est donc important de noter que l'origine du nom "Palestine" est bien ancrée dans l'histoire antique, bien avant la période moderne et avant l'ère de l'Empire romain.
La maintenant ça à dépassé les 200 000 morts. Impardonnable.
bravo israel
Où sont les otages il veules rentrer chez eux et retrouver leur famille
@@A.VA666Israel les a tous tués !
Les otages ont été bombarder par les terroristes sionistes de telaviv, l'armée la plus morale de l'univers @@A.VA666
C'est toujours moins que la guerre en Syrie de la dernière décennie. Pourtant, de cette guerre là, vous n'en faites désormais que peu de cas.
Si vous ne pardonnerez pas, ce ne sera que pour une seule raison : parce que c'est Israël.
Une fin terrible pour les oppresseurs..
C’est la seule façon de te CONSOLER.😂😂😂😂😂😂😂😂
17 000 morts max
✌️🇮🇱🙏🇮🇱💪
oui tout à fait
@@Jerome56🦴🦴🦴
Il est important de clarifier que l'idée de "peuple" ne se limite pas à la période moderne, et il existe une histoire longue et complexe de la présence palestinienne en Terre sainte bien avant les années 1960. Les Palestiniens, en tant que groupe ethnique et culturel, sont les descendants des populations qui ont vécu sur ces terres pendant des siècles, bien avant l'arrivée du mandat britannique en 1917 ou la fondation d'Israël en 1948.
Depuis l’Antiquité, la région de la Palestine a été habitée par des populations arabes et d’autres groupes, mais c’est au fil des siècles, notamment sous l’Empire Ottoman, que l'identité palestinienne en tant que groupe distinct s'est consolidée. En 1917, avec la déclaration Balfour et l’occupation britannique, la question de l’identité nationale palestinienne a pris une tournure plus politique, mais les Palestiniens s’identifiaient déjà à une culture, une langue et une histoire communes.
Après 1948, lorsque des centaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés lors de la création de l'État d'Israël, l'identité nationale palestinienne s'est encore renforcée, notamment par l'engagement dans des luttes pour la reconnaissance et l'autodétermination. Ainsi, il est erroné de dire que les Palestiniens n'ont pas constitué un peuple avant 1960. Leur histoire, leur langue et leur culture remontent bien plus loin.
Avant hier on nous annonce 30 morts hier aussi, aujourd'hui encore.. c'est quoi cette folie
Faut pas croire c’est journaliste , ces deux a trois morts par mois rien de grave
@@A.VA666🦴🦴🦴
@@A.VA666
Petit génocidaire coquin, va.
Ils peuvent remercier le Hamas.
Ils ont même allumé la Tour Eiffel pour leur bien-aimée le 7 octobre ça explique tout à fait tout
C'est horrible😭😭Tout les pays arabe et autres qui regardent les palestiniens se faire massacré et laisse faire, vous allez rendre des comptes tôt ou tard.
Réponse à ceux qui demandent de dénoncer le Hamas et de ramener les otages
Il est crucial de comprendre que le Hamas, aux yeux de nombreux Palestiniens, est perçu comme une organisation de résistance face à l'occupation israélienne. Depuis sa création, il a pris une position contre l'occupation et les politiques israéliennes jugées injustes. Cependant, cette résistance, tout comme la résistance de tout peuple, ne doit pas justifier les actes de violence contre des civils, ni les atteintes aux droits humains.
La situation en Palestine ne se limite pas à une simple question de "dénoncer le Hamas" ou de "ramener des otages". C'est une lutte complexe contre l'occupation, la colonisation et les violations systématiques des droits des Palestiniens. Pour parvenir à une paix durable et juste, il est essentiel de prendre en compte l'ensemble du contexte, y compris les aspirations légitimes des Palestiniens à la liberté et à l'autodétermination.
Tout comme il est légitime de demander la fin de la violence de toutes les parties, il est tout aussi essentiel de soutenir les efforts pour mettre fin à l'occupation et protéger les droits fondamentaux des Palestiniens. Une paix durable ne peut être atteinte que par le dialogue, la justice, et la reconnaissance des droits de chaque peuple.
Ce qui me dégoute le plus, ce sont tous ces journalistes, médias, intellos, philosophes, politiques, ect ... qui bataillent pour que surtout rien ne déborde et qu'il n'y ait aucun mouvement massif de la société civile en faveur des palestiniens !
Si il y’a les pays arabes qui en parle il veules pas de palestiniens chez eux à se demander pour quoi
Meme les pays arabes ne veulent pas de ces palestiniens extrémistes
@@A.VA666les palestiniens ont deja un pays une nation apres c est vrai quand vous volez pillé il est difficile pour vous de vous retrouver en le bon et le mal
@@A.VA666
Ce n'est pas parce que les pays arabes ne réagissent pas que cela absout Israël et les occidentaux de leurs crimes.
Moi j’aimerais qu’on compte aussi depuis LA CRÉATION DE L’ÉTAT D’ISRAËL
bravo israel
@@tyiytuytyu6918 Il est content le gogol a sa mèmère ?
@@tyiytuytyu6918 Ta gueule ! complice d'ASSASSINS !!
Il est difficile d'éprouver de la compassion pour des enfants qui grandissent dans un environnement où la haine et la violence sont cultivées dès leur plus jeune âge. Quand ces enfants sont élevés dans des contextes où les Palestiniens sont systématiquement déshumanisés, où la violence est glorifiée, et où les idéologies de supériorité sont imposées, il devient complexe de voir ces individus comme des victimes innocentes.
Bien que l'on puisse comprendre qu'ils sont eux-mêmes les produits d'une éducation et d'un contexte géopolitique complexe, il est difficile de faire preuve de compassion pour ceux qui, sans comprendre pleinement la réalité de la souffrance palestinienne, perpétuent des attitudes qui alimentent la violence et l'injustice.
Dans un contexte où ces enfants grandissent avec des visions déformées et haineuses des Palestiniens, il semble légitime de se poser la question : comment peut-on ressentir de la compassion pour ceux qui, à un âge aussi jeune, sont déjà programmés à considérer les autres comme inférieurs, menaçant ou déshumanisés ? Ce n'est pas une question de culpabilité individuelle, mais plutôt d'une réflexion sur la manière dont une société peut cultiver de telles idéologies et l'impact que cela peut avoir sur la paix et la réconciliation dans la région.
Il devient difficile de séparer la victime du produit de ce système de haine et de violence. C'est un défi moral, mais il est essentiel de ne pas ignorer la réalité des souffrances infligées aux Palestiniens, tout en reconnaissant que ces enfants ne sont pas responsables du système qui les façonne. Pourtant, en raison de ce système, l'empathie et la compassion envers ces enfants doivent être nuancées, car ils font partie intégrante d'un cycle de violence qui doit être brisé pour un avenir pacifique.
Viva ❤❤❤ Palestina ❤❤❤
bravo israel
Ça y est tu bande ?
L’affirmation selon laquelle il n’existait pas de peuple palestinien entre 1948 et 1960, ou que la presse n’en parlait pas, est historiquement inexacte et réductrice. Il est essentiel de replacer les faits dans leur contexte pour démontrer que les Palestiniens, en tant que peuple et identité, ont toujours existé, même si leur reconnaissance politique a été progressivement mise en lumière.
**Une identité enracinée dans l'histoire**
Le peuple palestinien a des racines historiques profondes dans la région qui était connue sous le nom de Palestine bien avant la création de l’État d’Israël en 1948. Sous l’Empire ottoman et plus tard sous le mandat britannique, les habitants arabes de la Palestine se définissaient comme faisant partie de cette région, avec leur culture, leur langue et leurs traditions. Les Palestiniens ont toujours constitué une communauté distincte, même si leur existence en tant qu’entité politique moderne a été mise à l’épreuve par les bouleversements historiques.
**Les événements de 1948 et la Nakba**
En 1948, la création de l’État d’Israël a entraîné ce que les Palestiniens appellent la Nakba, ou "catastrophe". Plus de 700 000 Palestiniens ont été déplacés, expulsés ou contraints de fuir leurs terres, devenant des réfugiés. Le traumatisme de la Nakba a marqué la conscience collective palestinienne et a été documenté dans de nombreux récits historiques, même si à l’époque, une partie de la presse internationale minimisait ou ignorait leur souffrance.
**La reconnaissance progressive dans les années 1960**
Il est vrai que le terme "peuple palestinien" a gagné en visibilité internationale à partir des années 1960, notamment avec la formation de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) en 1964. Cependant, cela ne signifie pas que les Palestiniens n’existaient pas avant cette période. Les discussions autour de leur identité étaient présentes dans les débats politiques et académiques bien avant cela, mais le contexte géopolitique de l’époque a souvent éclipsé leur voix.
**La présence palestinienne dans la presse**
Même si la couverture médiatique des Palestiniens était limitée dans les années 1940 et 1950, cela ne signifie pas que leur existence ou leurs revendications étaient absentes. La presse occidentale de l’époque était souvent orientée par des récits favorables à la création d’Israël, mais les Palestiniens étaient déjà mentionnés dans des rapports sur les réfugiés et les tensions dans la région. Des écrivains, des intellectuels et des leaders arabes ont également évoqué les droits des Palestiniens dans leurs œuvres et discours.
**Conclusion**
Affirmer que les Palestiniens n’existaient pas entre 1948 et 1960 ignore les réalités historiques et culturelles. Leur identité en tant que peuple est ancrée dans des siècles d’histoire, et les tentatives de nier leur existence ne font que perpétuer des malentendus et des injustices. Le peuple palestinien, avec son patrimoine, sa résilience et ses aspirations, mérite une reconnaissance et une compréhension justes.
Sur une des bombes, y avait pas inscrit ''Bon baisers de Magdebourg'' ?
Pour France24 il n'y a que des civils. pas de militants armées. A force de suivre leurs infos, je trouve ce média pas très plausible , crédible.....
Vous avez cnews pour avoir de très bon reportages et des journalistes indépendants !!!!
@samiaboudrant7170 Merci pour l'info.
Encore il y a gens avec vie en Gaza 😢
Mais combien de combattants sont morts…. Il n’y a jamais eu de mort des combattants du Hamas bizzarrrrrr non 😮 !!!
bravo israel
les combattants on en parlent ,,,, est ce qu'il y a encore beaucoup du Hamas
@@tyiytuytyu6918🦴🦴🦴
@@dona66dou22il reste les enfants à mon avis les sioniste veulent les terminer 😢
Être un humain c'est avoir le cœur un humain sans cœur c'est un bête féroce
Ces pour sa que personne veux de Palestine chez eux
Exactement comme ton père misérable
Si les otages sont libérés ,la paix reviendra tout de suite ,mais le Hamas ne le veut pas ,donc Israel est forcé à se défendre .
Kada će vam biti dosta ubihanja,monstrumi bolesni?
Avec un sujet aussi grave comment fait elle pour sourrire. Pour moi il doit avoir pas moins de 300 000 tues dont 190 000 enfants et 100 000 femmes
Pour toi mais les chiffres même de 40000 sont sur évalué
15 millions même 🤣
Allez je mets un jeton sur 100 millions.. au moins.
Aucune sanction
C'est déplorable
Si Israël sanctions avec fermeté c’est palestinien ces déjà sa de bien
c'est ca le pire ,,,,, genocide et aucune sanction
Macron aide Israël comment tu veux qui se sanctionne lui même. Ta oublié qu'es qui a fait au gilet jaune qui demande si peut.
Merci ❤❤❤
Merci Bibi ❤❤❤❤❤❤❤❤
@@dieudonnesalou5919🦴🦴🦴
Il est inadmissible que ce conflit persiste !
😢😢😢😢😢😢😢 Honte à nous de laisser faire ça 🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏😢😢😢😢😢😢😢😢
tient elle parle pas d'ukraine pour une fois
Une nouvelle fois, une excellente analyse de la situation par Elena Volochine
Très belle démocratie
Les accusations de détournement de l'aide humanitaire sont graves et doivent être abordées avec des faits solides et des preuves vérifiables. Il est important de souligner que les organisations humanitaires internationales mettent en place des contrôles stricts pour assurer que l'aide parvienne bien à ceux qui en ont besoin. Au lieu de faire des généralisations, il est préférable de s'appuyer sur des informations vérifiées et sur le travail de ces organismes qui luttent pour aider les populations dans le besoin. Tout débat sur ce sujet doit rester respectueux et fondé sur des faits, afin de promouvoir la paix et la compréhension."
Dans l’islam, la paix n’existe pas
Pour les arabes, il existe trois concepts seulement pour couvrir les relations internationales, et la paix avec les juifs n’en fait pas partie.
dar al-islam (littéralement, territoire de l’Islam), qui indique les régions où la loi islamique prévaut.
dar al-sulh (territoire du traité), qui désigne des terres non islamiques qui ont conclu un armistice - un arrêt temporaire des hostilités - avec un gouvernement musulman.
dar al-harb (territoire de guerre), désignant les terres non islamiques adjacentes, qui devront accepter l’Islam.
Vous voyez la paix, dans une de ces trois catégories ?
Titrez 45000 morts si fr24 peut
C'est comme si la Belgique avait un problème de négociation avec Macron et se mettait à tirer sur toute la population parisienne juste un exemple avouer que c'est ridicule juste pour que tu es un groupe détruire toute une ville et plein d'autres ville aussi désolé mais si c'est pas grotesque
Pour eux c'est normal. Les fous pense t toujours que le problème c'est les autres.
Quelle tristesse tout ces morts alors que le 7 octobre ils faisaient tous la fête en chantant dansant partageant les baklavas et le café j’ai vraiment beaucoup de peine pour les habitants de Gaza la prochaine fois ils réfléchiront mieux avant de refaire une razzia musulmane contre les juifs
👍👍👍👍👍exactement
Et dire que vous vous appelez civilisation les victimes de l holocauste doivent se retourner dans leurs tombes
Ils ? Tu parles de qui ? Des enfants ?
On ne peut pas dire que les habitants de Gaza ont décidé de faire une razzia contre les juifs. En revanche une organisation armée a décidé que l'oppression d'Israël (et non des juifs, parce que si ça avait été des chrétiens, des bouddhistes, ou des hindouistes, c'était pareil) avaient trop duré et ils ont voulu mener une action d'éclat pour faire bouger un monde qui les oubliait. Après on peut discuter du fait que c'était la bonne méthode....
et les otages?
Tsahal en a descendu pas mal mais tsahalm n'a pas encore fini le travail....
Tu ne connais pas la stratégie hanniobal ? Va te renseigner et tu verras que j'ai malheureusement raison.
@ les hamastichiens voulaient une guerre, ils l’ont
La terre promise, un cimetière plutôt, où coule un fleuve de larmes.
Pauvres enfants enterrés vivants sous les bombes 😢, ces familles endeuillées , ces pauvres personnes encerclées et sans défense.
Un vrai carnage, pour quel résultat, et ces personnes innocentes prises en otages qui attendent qu'on veuille bien s'occuper d'elles, pour qu'elles puissent retrouver leurs proches.
Bravo la résistance ! Qui combat cette secte mortifère 🇵🇸🇱🇧✊️
Je peux avoir de la compassion et verser des larmes sur les quelques milliers d’enfants et de femmes qui sont tombés sous les bombardements israéliens. « Ils ne sont pas coupables du comportement criminel de la grande majorité des Gazaouis », comme n’étaient pas coupables les dizaines de milliers d’enfants et de femmes fauchés par les bombardements en Allemagne « à cause des Nazis ».
Israël : Une existence contestée ?**
Depuis sa création en 1948, Israël est au cœur de débats politiques, historiques et géographiques. Pour certains, Israël n'existe pas réellement en tant qu'entité légitime, mais plutôt comme un projet imposé, sans fondements solides ni droits sur les terres qu'il revendique.
**L'histoire avant 1948**
Avant la création d'Israël, la région était connue sous le nom de Palestine et faisait partie de l'Empire ottoman. Elle était habitée principalement par des populations arabes musulmanes, chrétiennes et juives qui vivaient ensemble depuis des siècles. Après la chute de l'Empire ottoman, la Palestine est passée sous mandat britannique, et la Déclaration Balfour de 1917 a marqué le début d'un projet soutenant l'établissement d'un "foyer national juif" en Palestine, sans consultation des habitants autochtones.
**La création d'Israël et la Nakba**
En 1948, l'État d'Israël a été proclamé sur des terres prises aux Palestiniens, ce qui a entraîné la Nakba, ou "catastrophe", lors de laquelle plus de 700 000 Palestiniens ont été expulsés ou ont fui leurs maisons. Ces terres sont encore revendiquées par leurs descendants, qui n'ont jamais renoncé à leur droit au retour.
**Une légitimité contestée**
Beaucoup soutiennent qu'Israël n'a jamais eu de base légitime pour exister, car il a été imposé par des puissances coloniales au détriment des populations locales. Le droit international condamne également les actions d'Israël dans les territoires occupés, notamment en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, ce qui renforce l'idée qu'Israël agit en dehors des lois internationales.
**Les frontières floues**
Contrairement à de nombreux États, Israël n'a jamais clairement défini ses frontières. Les frontières de 1948, établies par l'ONU, ont été constamment élargies par des guerres, des annexions et des colonies illégales. Cela soulève la question : comment un État peut-il exister s'il ne respecte pas les frontières établies ni les résolutions internationales ?
**Conclusion**
Pour ceux qui soutiennent que "Israël n'existe pas", l'argument repose sur le fait que sa création repose sur des injustices historiques et des violations du droit international. Si un État est construit sur l'occupation, l'expulsion et le refus des droits d'autrui, peut-il vraiment être considéré comme légitime ? Ces questions restent au cœur des débats sur la justice et la paix au Moyen-Orient
@davidberrebii6756 .Merci pour vos excellents exposés.
Merci de continuer à nous informer : vous etes peu nombreux !!!
Ce qui m’intéresse c’est mon repas du réveillon, le foie gras ,le veau, le champagne,la bonne bûche. Miam 🍾🍾🍾🍾🥂🥂🥂🎉🎉🎉🎉🎉🌲🌲🌲🎁🎁🎁🎁🎅🎅🎅🎅
@@jmv6192
Et vous beneficierez de augmentation d une consultation médicale où vous irez dès le lendemain 🥴
A chacun le choix de ses vomissements (n oublions pas ceux qui vomissent pour cause d eau non potable un peu partout )🙋
Du veau (gras?)a Noel : c est original et ce qui le sera davantage ce sera lorsque sur la table sera le veau mis
Soutien absolu à mes frères israéliens depuis la Croatie ✌️🇭🇷🇮🇱✌️
Vous soutenez l'Injsutice
COMMENT FAIRE CONFIANCE AUX CHIFFRES DES DÉCÈS DONNER PAR LES TERRORISTES DU HAMAS ?
le pognon que les USA la France a donné pour l'armement aurait pu servir pour leur pays
45000 depuis octobre wow 😮 sa n’avance pas
Comment voulez-vous la paix avec un État colonial ?!?
Quelqu'un peut-il citer une guerre dans laquelle les civils s'en sont sortis indemnes ? 🙋
Dieu est tout puissant
vive israel
Dieu est sioniste surtout...
@@tyiytuytyu6918 vous avez de quoi degouté
En 1993 lors des Accords d’Oslo, les Palestiniens se sont vu offrir tout ce qu’ils désiraient par des lettres de reconnaissance mutuelle. Arafat a claqué la porte et refusé de signer.
Il y a eu dans l’histoire beaucoup de mouvements massifs de population, par millions, pour mettre fin a des conflits, que ce soit en Europe, en Inde ou ailleurs, et là nous avons l’occasion d’en mettre un en œuvre, pour une véritable solution de paix.
Ah notre monde est de foutus
Le décompte est simple 63 gazaoui et un demi soldat israélien !! 1 ans après vous continuer à joué de la flûte !!!! Laissez les journalistes indépendants internationales jugé du réel état !!!!!!😂😂
Le consul américain à Jérusalem en 1880 rapporte que la région continuait son déclin : « La population et la richesse de la “Palestine” n’a pas augmenté pendant les 40 dernières années. »
😢
17 000 morts max
✌️🇮🇱🙏❤️🙏🇮🇱💪
❤️🇵🇸❤️
le monde s'habitue à tous ces morts journalier dans une indifférence totale, j'espère que les acteurs de ce massacre comme les nazies auront droit a un procès n'en déplaise aux BHL et autres Karsfeld qui défendent ce qu'ils ont combattus , si ce n'est pas comparable en therme de nombres de morts et de date ça l'est quand a certaines procédures utilisés.
17 000 morts max
✌️🇮🇱🙏❤️🙏🇮🇱💪
Totalement d'accord avec toi.
Je m’en fout en fait. Ce qui m’importe c’est mon repas du réveillon.
@@jmv6192Ta mère sera aussi farcie que ta dinde j'espère
Quand les Juifs sont attaqués, on parle d'antisémitisme, mais quand les Arabes sont attaqués en Palestine, les dirigeants occidentaux restent silencieux: aucune sanction. Au contraire, brandir le drapeau palestinien pendant la séance parlementaire est sévèrement puni en France. C'est pour cela que je ne soutiendrai jamais l'Ukraine qui elle-même soutient Israël
Rappelons, juste au passage, que le viol de femmes et la prise d’otages de civils est aussi INTERDITE par la IVe Convention de Genève de 1949, considérée comme une infraction grave.
Le musulman le plus proche géographiquement des Gazaouis et aussi le plus clairvoyant à très clairement déclaré qu’il n’en voulait pas chez lui. Sous aucun prétexte. Il sait de quoi il s’agit, lui.
Je suis quand même étonnée que les media continuent à parler de « camps de réfugiés » qui font penser à des villages de tentes, alors que les images des bombardements montrent des constructions en dur. Et comme il n’y a pas plus de réfugiés que de beurre en broche… Je suppose que le gauchisme de l’Education Nationale est passé par là.
La bande de Gaza a été égyptienne de 1949 à 1967, par annexion militaire forcée, et la « rive occidentale » (Judée-Samarie) jordanienne au cours de la même période, par annexion militaire forcée. Le nom « Cisjordanie » ne s’est appliqué à la Judée-Samarie que de 1949 à 1967, quand la Jordanie occupait la Judée-Samarie : et qu’on l’utilise encore est un scandale, là aussi !
Un Etat ? Les Arabes ont refusé 7 fois
En 1917, la Déclaration Balfour a non seulement créé une patrie juive, mais a également exigé que rien ne soit fait pour porter préjudice ou perturber les communautés arabes sortantes. Les Arabes se sont-ils réjouis de l’opportunité ? Non. Ils ont fait ce qu’ils ont toujours fait et continuent à faire jusqu’à … cette semaine en fait : ils ont déclenché l’émeute de Nebi Musa en avril 1920. Des Palestiniens des villes voisines ont afflué en masse et fomenté un djihad contre les Juifs de Jérusalem. Le maire de Jérusalem (qui était musulman) aurait déclaré : « Si nous n’utilisons pas la force contre les sionistes et contre les Juifs, nous n’en serons jamais débarrassés. »
En 2000 à Camp David, Ehud Barak a accepté les frontières proposées par Bill Clinton. L’accord aurait établi un État palestinien en Judée Samarie et Gaza avec Jérusalem-Est comme capitale palestinienne. Une fois de plus, Arafat s’est rétracté et a déclenché la seconde Intifada.
Les Frères musulmans égyptiens étaient à deux doigts de déchirer le traité de paix avec Israël. Ils envisageaient de le remettre en cause lors d’un référendum (1). Leurs plans ont échoué car ils ne sont pas restés au pouvoir, mais il montre que pour les musulmans, le concept de paix n’a pas la signification durable qu’il a pour l’Occident. En fait, le concept n’existe même pas…
Toutes ces révélations n'ont aucuns impact sur les soutiens populaires de
En 2005, Ariel Sharon décidait qu’il n’était ni économiquement ni militairement possible pour Israël de gouverner 1,1 million de Palestiniens à Gaza. Sharon a démantelé toutes les communautés juives et rappelé l’armée israélienne aux frontières de 1967. Il a laissé derrière et en bon état les serres construites par Israël pour que les gens créent une industrie d’exportation agricole et relancent leur économie. Fidèles à eux-mêmes, les Palestiniens n’ont pas profité de l’Etat qu’ils pouvaient créer à Gaza. Ils ont détruit les serres, et ont déclenché une vague de milliers d’attaques à la roquette contre des cibles civiles en Israël, puis un interminable conflit.
C'est vrai que c'est une question de chiffres finalement !! Est-ce que le compte est bon ???
pression sur la CPI pour qu’elle abandonne toute enquête. Y parviendront-ils ?
Il y a au moins huit pays qui sont ouvertement contre une enquête sur la situation palestinienne. L’Allemagne est l’un d’eux. Certains des autres pays nous ont surpris, pour être honnête, car au moins quatre autres pays, l’Ouganda, le Brésil, la République tchèque et la Hongrie, avaient explicitement reconnu que la Palestine est un État de droit international, et pourtant ils soumettent maintenant des déclarations devant la Chambre préliminaire de la CPI disant que ce n’est plus le cas.
Bien sûr, la question est un peu plus complexe, mais sur le fond, ces pays soulèvent devant la CPI des arguments politiques qui n’ont aucune base juridique. Il est surprenant que ces États, d’une part, prétendent être favorables à une Cour pénale internationale indépendante, mais d’autre part, essaient d’exercer une pression politique (sur cette même instance juridique).
Le 11 juin, M. Trump a signé un décret dans lequel il impose des sanctions aux personnes associées à la CPI. Les États-Unis et leurs alliés peuvent-ils bloquer l’enquête de la CPI ?
La réponse est “non”. L’administration de Trump fait pression sur la CPI. Par pression, nous entendons principalement par rapport à la situation en Afghanistan, mais aussi la situation israélo-palestinienne. Ainsi, chaque fois qu’il y a une déclaration de Trump ou du secrétaire d’État Mike Pompeo, en relation avec la CPI, ils n’oublient jamais de mentionner l’affaire de l’Afghanistan.
En fait, le procureur enquête également sur des crimes de guerre présumés commis par des membres de la CIA et des soldats américains. Jusqu’à présent, cette pression n’a pas été particulièrement efficace. Dans le cas de l’Afghanistan, la Chambre d’appel a directement autorisé le Procureur à ouvrir une enquête, modifiant une décision prise par la Chambre préliminaire.
Les administrations américaines successives n’ont jamais été très favorables à la CPI, et le problème majeur à Rome lors de la rédaction du Statut en 1998 concernait précisément le rôle du Procureur. Les États-Unis se sont opposés, dès le début, à un rôle indépendant du Procureur, où celui-ci pourrait ouvrir une enquête sans l’autorisation du Conseil de sécurité de l’ONU. Cette opposition remonte aux administrations Clinton, Bush, Obama et Trump.
Aujourd’hui, cependant, nous assistons à une situation tout à fait nouvelle, l’administration américaine étant prête à imposer des sanctions économiques et des restrictions de visa aux personnes associées à la CPI et, peut-être également à d’autres organisations.
L'affirmation selon laquelle le nom "Palestinien" aurait été attribué uniquement en 1964 est incorrecte et omet l'histoire longue et complexe de la région. Le terme "Palestinien" remonte à bien avant la création de l'OLP (Organisation de Libération de la Palestine) en 1964, et il est enraciné dans l'histoire de la région.
Le nom "Palestine" a été utilisé dès l'Antiquité pour désigner la région géographique située entre la mer Méditerranée et le fleuve Jourdain. L’utilisation du terme "Palestinien" pour désigner les habitants de cette région s'est donc naturellement développée au fil du temps, en particulier sous l'Empire Ottoman, qui avait administré la région pendant plusieurs siècles. Pendant cette période, les habitants de la Palestine étaient souvent appelés "Arabes de Palestine" ou "Palestiniens", en particulier au début du 20e siècle, lorsqu'ils ont commencé à s'identifier collectivement en raison de leur culture, langue et histoire partagées.
L'idée de créer un mouvement national palestinien, sous la direction de figures comme Yasser Arafat, s'est effectivement consolidée après 1948, mais cela ne signifie pas que le peuple palestinien en tant que tel a été inventé à ce moment-là. Les Palestiniens se sont toujours perçus comme un groupe distinct, avec une identité propre, bien avant la création de l'OLP. Le mouvement national palestinien a simplement cherché à organiser et à revendiquer la souveraineté sur un territoire qu'ils considéraient comme leur terre historique.
En résumé, le nom "Palestinien" et l'identité palestinienne existent depuis bien plus longtemps que la création de l'OLP en 1964.
On fait un décompte aussi banalement que si on comptait les médaille lors des jeux olympique.
Tous savaient et ont choisi de ne pas agir. De faire échouer les demandes de UNWATCH, de discréditer, de ridiculiser, de critiquer tant et plus cette honorable ONG Suisse.
Le 10 juin, sous la pression des USA, 6 salariés de l’UNRWA ont été suspendus de leurs fonctions.
Si la communauté internationale n’était pas devenue irresponsable, aveugle et sourde, à dessein, nous dit David Horowitz, elle dénoncerait, en toute rigueur, ce révisionnisme de l’histoire, même s’il bouleverse la géopolitique de cette région. Comment alors, en toute neutralité et objectivité, dénoncer la contrefaçon ?
Argumentaire incontestable
Le premier est que le peuple palestinien n’existant pas avant 1960, la notion de « Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », régulièrement invoquée pour justifier la revendication d’un État palestinien sur la Palestine ancienne, ne s’applique pas.
Cest terrible quand meme .... l'humain est vraiment une race fait pour s'éteindre et cest twmps mieu!
Ta gueule toi
La quasi-totalité des habitants de Judée-Samarie se considéraient comme des Jordaniens venant du pays d’origine. La confusion entre Jordanien et Palestinien vient du fait que la Jordanie venait d’être créée sur le sol de Palestine. Quant aux habitants de Gaza, eux, ils venaient d’Égypte, et par conséquent n’avaient aucun problème avec une Jordanie occupant Jérusalem et la Judée. Leur pays désignait l’endroit où ils habitaient, et cet endroit n’était pas jordanien mais palestinien. Étant donné que la Jordanie a été créée en/et dans la Palestine sous mandat britannique, certains esprits se plaisent à proposer de rassembler Gaza et la Cisjordanie à la Jordanie, qui devient de fait la Palestine.
Les accords d’Abraham prévoyaient des zones arabes autonomes en Judée-Samarie et à Gaza, régies par des gens ayant totalement renoncé au terrorisme et à cesser d’inciter à la haine les Arabes de Judée-Samarie et de Gaza. Ils prévoyaient une trêve régionale durable qui passait par l’asphyxie du régime iranien.
En Israël, après ce mois d’octobre noir, ce jour du don de la Thora (loi), et en ce samedi sacré dans le monde, le choc de la sidération sera désormais associé à terrorisme, barbarie, tueries collectives, pogrom, saccages, crimes contre l’humanité, inhumanité, terreur, haine antisémite, viols de masse, prédateurs, séquestrations d’otages, peuple assassiné, inconsolable, cœurs et familles brisés, obscurité, veuves et orphelins, Tsion attaquée, blessée, conflit de civilisation, actes de guerre… On reste sans voix !
Le terme de « Palestine » est dérivé de celui de « Philistin », qui vient lui-même de l’hébreu « Pelistim ». Ainsi, par son nom même, la Palestine est juive, et non pas arabe ou musulmane.
Les Arabo-musulmans, que les médias occidentaux appellent « Palestiniens », n’ont aucun lien culturel, religieux ou linguistique avec les Philistins, qui étaient un peuple d’origine méditerranéenne aujourd’hui disparu.
Comment les tribus arabes du Levant et les tribus arabes, en général, sont-elles si dispersées?
L’Empire ottoman était un espace ouvert gigantesque, et la migration interne et la libre circulation des individus et des tribus nomades étaient un élément de caractéristique commune. Par conséquent, les tribus arabes qui se sont installées sur la Terre d’Israël étaient également variées et de lignages différents, et pendant l’Empire ottoman, les Arabes du pays ne se sont pas identifiés comme des Palestiniens.
Philip Khuri Hitti, historien arabe, ainsi que de nombreuses personnalités arabe telles que le roi Hussein de Jordanie, Hafez el-Assad, le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies et le représentant du Haut-Comité arabe aux Nations Unies déclarèrent quant à eux en 1947 que la « Palestine » est une province syrienne.
Affirmer que la Palestine n'existe pas est non seulement une méconnaissance de l'histoire, mais aussi un déni des droits d'un peuple qui a vécu sur ces terres depuis des siècles. La Palestine est une entité reconnue par des centaines de pays dans le monde et par des organisations internationales comme l'ONU, où elle est membre observateur. Le peuple palestinien a une culture, une langue, une histoire et une identité qui ne peuvent être effacées par des slogans politiques ou des narrations simplistes.
Concernant la création d'un État palestinien, il est important de rappeler que l'Histoire est bien plus complexe que le récit qu'on veut parfois imposer. Les Palestiniens ont été confrontés à des décennies d'occupation, de colonisation et de négation de leurs droits fondamentaux. Les opportunités pour un État ont été sabotées à plusieurs reprises par des politiques expansionnistes, des déplacements forcés et des décisions internationales déséquilibrées. On ne peut pas parler d’un "refus" palestinien sans tenir compte du contexte dans lequel ces soi-disant "offres" ont été faites, souvent en ignorant leurs aspirations légitimes et leurs droits souverains.
En ce qui concerne le 7 octobre, il est crucial de comprendre que l'histoire du conflit israélo-palestinien ne se limite pas à un événement ou à une date. Réduire la question palestinienne à des incidents spécifiques, sans analyser les causes profondes du conflit, est une insulte à la vérité. Le peuple palestinien lutte depuis des décennies pour la justice, la dignité et la liberté, des droits que tout être humain mérite. Pointer un événement pour justifier l'occupation, les colonisations ou les exactions commises est non seulement malhonnête, mais profondément irresponsable.
Enfin, nier l'existence de la Palestine ou diaboliser tout un peuple ne contribue en rien à la paix. Au contraire, cela nourrit un cycle de haine et de violence qui ne profite à personne. La justice et la reconnaissance des droits de chacun sont les seules voies vers une solution durable. Alors, plutôt que de nier l’existence d’un peuple, il serait peut-être temps de reconnaître ses souffrances, son histoire et ses droits légitimes.
Les pays arabes ne leurs viennent pas en Aide? L'Egypte a fermé ses frontières alors qu'ils partagent la même religion C'est assez intéressant la solidarité musulmane.
En septembre 2008, Ehud Olmert a présenté au président palestinien Abbas un autre plan de partition. Il y avait une carte détaillée d’un futur État palestinien, avec un échange de terres convenu d’un commun accord. Les Palestiniens obtenaient toute la Judée Samarie et Gaza d’avant la guerre de 1967. Olmert leur a même proposé de diviser Jérusalem. Abbas a pris la carte avec lui, il est rentré à son bureau pour un examen plus approfondi et il n’a jamais - ne serait-ce que répondu à la proposition - et de sept refus.
Comment les Palestiniens ont-ils acquis ces territoires, et quand est-ce arrivé ?
Vous verrez que la plupart des gens, peu importe à quel point ils sont perturbés par les « colonies », ne connaissent pas la réponse.
La réponse est que les Palestiniens n’ont jamais contrôlé ces territoires, ne les ont jamais acquis, ne les ont jamais réclamé avant 1967, donc ils ne leur ont jamais été accordés.
La Palestine a une langue : Le peuple palestinien et sa culture linguistique**
L'idée que la Palestine n'a pas de langue propre est une fausse notion. En réalité, les Palestiniens ont une langue bien définie, qui fait partie intégrante de leur identité et de leur culture.
### 1. **L'arabe : La langue officielle et nationale**
La langue principale parlée en Palestine est l'arabe. C'est une langue sémitique, qui fait partie d'une famille linguistique très ancienne, partagée par de nombreux peuples du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord. L'arabe est la langue des Palestiniens depuis des siècles et est parlée quotidiennement par des millions de personnes en Palestine, ainsi que dans les communautés palestiniennes à travers le monde.
### 2. **L’arabe palestinien : Un dialecte distinct**
Au sein de la langue arabe, il existe des dialectes régionaux. Le dialecte palestinien, bien que similaire à celui des autres pays arabes, possède des particularités phonétiques et lexicales qui le rendent unique. Ce dialecte est parlé par les Palestiniens à travers les différentes régions qu'ils occupent, qu'ils soient en Cisjordanie, à Gaza, à Jérusalem-Est ou dans les camps de réfugiés du monde arabe.
### 3. **L’arabe classique et l’arabe moderne standard**
En plus du dialecte, les Palestiniens utilisent l’arabe classique pour la littérature, la poésie, et les discours religieux. L’arabe moderne standard est également utilisé dans les médias, l’éducation, et les contextes formels. C’est la même langue utilisée dans tout le monde arabe pour communiquer sur des questions politiques, scientifiques et culturelles.
### 4. **L'influence de la langue sur la culture palestinienne**
La langue arabe est au cœur de la culture palestinienne. Elle est présente dans la poésie palestinienne, la littérature, la musique et les traditions orales. Des écrivains et poètes palestiniens célèbres, comme Mahmoud Darwich, ont utilisé la langue arabe pour exprimer la souffrance, l’espoir et la résistance de leur peuple face à l'occupation.
### 5. **L’arabe dans l’histoire de la Palestine**
L'arabe est la langue principale de la région depuis plus de 1 400 ans, après la conquête arabe au 7e siècle. Avant cela, diverses langues sémitiques, comme l’hébreu et l’araméen, étaient parlées dans la région, mais l'arabe a progressivement pris le relais comme langue dominante.
### Conclusion : La langue palestinienne existe bel et bien
L'idée que la Palestine n’a pas de langue est une mauvaise interprétation des faits. La langue arabe, avec ses variantes dialectales et son riche patrimoine littéraire, est la langue de la Palestine. Elle est non seulement un moyen de communication, mais aussi un symbole fort de l'identité palestinienne et de sa résistance culturelle.
Comment expliquer qu'avant la guerre des Six-Jours en 1967, il n'y eut aucun mouvement sérieux de revendication d'indépendance palestinienne? "Avant 1967?" me direz-vous, "les Israéliens n'occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem. " C'est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n'est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu'Israël conquît la Judée , la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens? Est-ce qu'une seule résolution de l'ONU à vue le jour à ce sujet? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu'Israël ait gagné cette guerre?
La vérité est que la Palestine est un mythe.
Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l'an 135 de l'ère actuelle par l'empereur romain Hadrien, qui, non content d'avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans), non content d'avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d'avoir interdit l'accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu'il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d'un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d'ajouter l'insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en "Alea Capitolina", mais cela ne rencontra pas le même succès.
*La Palestine : Pourquoi elle existe réellement**
La Palestine, en tant qu'entité géographique, historique et politique, existe bel et bien. Bien que sa reconnaissance internationale soit un sujet complexe et que la situation géopolitique soit difficile, plusieurs éléments montrent que la Palestine est une réalité indéniable.
### 1. **Une histoire ancienne et une présence continue**
La Palestine, c'est d'abord une région avec une histoire millénaire. Depuis l'Antiquité, elle a été habitée par différents peuples, dont les Cananéens, les Juifs, les Romains et les Arabes. Les habitants de la région, les Palestiniens, ont une identité culturelle forte, forgée au fil des siècles. Ils parlent arabe, pratiquent des traditions qui leur sont propres et sont profondément liés à cette terre.
### 2. **Reconnaissance internationale**
Aujourd'hui, la Palestine est reconnue par plus de 130 pays dans le monde. En 2012, l'ONU a même accordé à la Palestine le statut d’"État observateur non membre". Cela signifie qu'elle est reconnue comme un acteur légitime sur la scène internationale, même si elle n'est pas un membre à part entière de l'ONU. Plusieurs organisations internationales, comme l'UNESCO et la Cour pénale internationale, comptent également la Palestine parmi leurs membres.
### 3. **Des institutions palestiniennes**
La Palestine a des institutions politiques, avec un gouvernement qui administre une partie de la Cisjordanie et la bande de Gaza. L'Autorité palestinienne, qui dirige la Cisjordanie, et le Hamas, qui gouverne Gaza, sont les deux principaux acteurs politiques. Bien que ces territoires soient partiellement occupés par Israël, la Palestine y exerce un contrôle quotidien sur une partie de la population.
### 4. **La lutte pour l'autodétermination**
Les Palestiniens revendiquent leur droit à l'autodétermination, un principe inscrit dans la Charte des Nations Unies. Leur lutte pour un État indépendant et souverain est largement soutenue par la communauté internationale, notamment par les pays arabes et les mouvements de solidarité à travers le monde. La Palestine se bat pour la reconnaissance d'un État dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale.
### 5. **La culture palestinienne**
Au-delà de la politique, la Palestine existe aussi à travers sa culture. Les Palestiniens ont une identité distincte, avec des traditions, une cuisine, une littérature et une musique qui leur sont propres. Cette culture est un lien fort entre les Palestiniens, qu'ils vivent en Palestine, dans les camps de réfugiés ou dans la diaspora.
### 6. **Le droit à la résistance**
Le droit des Palestiniens à résister à l'occupation israélienne est un principe largement reconnu par le droit international. Ce droit est un élément clé de leur lutte pour la liberté, la dignité et la souveraineté. Même si les Palestiniens ne contrôlent pas entièrement leur territoire, ils ont le droit de revendiquer un futur autonome et indépendant.
### Conclusion
La Palestine existe, non seulement comme une entité géographique, mais aussi comme une nation avec une histoire, une culture et un peuple qui luttent pour leur liberté. Les défis sont nombreux, mais le droit des Palestiniens à leur propre État reste une réalité incontestable et un objectif soutenu par une grande partie de la communauté internationale.
Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur Romain Hadrien, qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d’avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en « Alea Capitolina », mais cela ne rencontra pas le même succès.
La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’Histoire.
Jamais ! Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour,
C'est d'une tristesse incommensurable...De plus le nombre réel de victimes nous est caché ,dire la vérité couvrirait de honte l'ensemble des soutiens à ce massacre de civils sans défense...
On nous rabâche ;"le Hamas a tué 1200 personnes",hors aujourd'hui nous savons qu'une part importante de ces morts est du fait de l'armée isrelienne ...
On nous rabâche que les palestiniens on voté pour ,hors c'était en 2007 ce qui exclut d'office les trois quart de la population qui n'avait pas l'âge requis...
Rien ne tient debout dans tout ces narratifs ...La seule chose claire c'est une volonté meurtrière d'éliminer un peuple dont on nie les droits légitimes et ce depuis près de 80 ans et ce pour des raisons géopolitiques de domination du Moyen-Orient par et pour les intérêts des puissances occidentales sans aucunes considérations pour la vie et la dignité humaine...
Voilà l'État démocrate dans toute sa splendeur