Merci. Après la position du missionnaire, classique et banale, La position de l'anthropologue, beaucoup plus ambigüe sinon tordue. M. Godelier aborde des sujets délicats qui sont rarement mis en avant. Après je pense qu'il n'existe pas réellement Une position de l'anthropologue, mais Des positions, que chacun(e) doit inventer à sa manière sur le terrain, sans trop se soucier de correspondre à un type idéal problématique. Mais s'il en parle ici c'est bien que cette position mérite d'être pensée et sans détour, le plus abruptement, avec cette évocation de femmes battues dont une mortellement blessée. Ce sont des sujets difficiles qu'il faut avoir le courage d'évoquer, pas seulement pour soi, mais aussi pour les autres, notamment les futur(e)s ethnologues ou anthropologues en formation.
Merci. Après la position du missionnaire, classique et banale, La position de l'anthropologue, beaucoup plus ambigüe sinon tordue. M. Godelier aborde des sujets délicats qui sont rarement mis en avant. Après je pense qu'il n'existe pas réellement Une position de l'anthropologue, mais Des positions, que chacun(e) doit inventer à sa manière sur le terrain, sans trop se soucier de correspondre à un type idéal problématique. Mais s'il en parle ici c'est bien que cette position mérite d'être pensée et sans détour, le plus abruptement, avec cette évocation de femmes battues dont une mortellement blessée. Ce sont des sujets difficiles qu'il faut avoir le courage d'évoquer, pas seulement pour soi, mais aussi pour les autres, notamment les futur(e)s ethnologues ou anthropologues en formation.