Si l'école doit être un lieu de l'espoir, il faut aussi qu'à la maison ce soit un lieu d'espoir Mme la ministre. Après 30 années passées comme enseignant dans une école secondaire au Québec, toutes les réformes du monde seront inutiles si les parents n'assument pas leur rôle de parents.. Le rôle premier des parents est celui d'éducateur. Les enseignants assure un service bel et bien commencé à la maison.
Invitez des pédagogues pertinents bon sang pour discuter sur le fond avec des arguments éprouvés. Je n'ai pas confiance dans la parole de la plupart de mes collègues qui sont en majorité des réactionnaires qui ont une peur bleue des changements qui les insecurisent.
Et c'est pourtant eux qui donnent les cours... les pédagogues sont non seulement souvent déconnectés du terrain (ce quivne signifie pas qu'ils ont tort mais qu'ils sont peu audibles) et il y a un grand manque d'ouverture du champ scolaire. Et sinon les profs reac... c'est un peu à revers de la sociologie de l'enseignement tout ça
Si on part du constat, pas seulement d'aujourd'hui mais depuis des décennies l'école va mal. Le niveau des élèves baisse depuis toujours et si c'était vrai on devrait être en dessous du niveau de la mer! Tout nos illustres ministres avec leurs grandes réformes avaient tous les solutions miracles pour résoudre les problèmes. Sauf erreur de ma part c'est l'école dite traditionnelle avec les méthodes pédagogiques imposées qui sont en oeuvre pour 90% des écoles. Ce ne sont donc pas les 10% des écoles à pédagogies alternatives qui sont responsables de la situation actuelle. Il n'est qu'à écouter les interventions des personnes sur le plateau qui soulignent le caractère utopiste, démagogique du film pour nous rendre compte que le problème vient surtout de l'inertie des enseignants et de leur peur au changement qui empêche une évolution positive de l'école. Si les enseignants ont comme premier objectif de transmettre un savoir sans réfléchir au comment de cette transmission avec la nostalgie de la toute-puissance du maître, on n'est pas sorti du marasme. Laissez la liberté pédagogique aux écoles qui la souhaitent en les sortant de toutes les évaluations imposées et PISA en premier lieu et on verra ce qu'il advient en fin de parcours.
L'éléphant dans la pièce, c'est le fait que l'immigration massive est un facteur très important qui affecte les résultats médiocres aux tests de PISA. Si on évaluait le niveau des élèves qui ne sont pas issus de l'immigration, les résultats seraient beaucoup plus élevés. C'est un fait établi.
Qu’est-ce que Laure Adler fout encore là ? Elle ne connaît rien sur rien mais a un avis sur tout. Vous la gardez parce qu’elle a oublié de cotiser pour sa retraite ? Elle a besoin d’être encore quelque part ?
Encore une fois trois journalistes c'est trop sur le plateau. Camille aurait suffit. Les deux autres Laure Adler Arthur Chevalier auraient pu être remplacés par des sociologues de l'éducation, des chercheurs en sciences de l'éducation. Il y a un prof du secondaire en lettres classiques, la ministre, un prof remplaçant, 2 journalistes et Pas-de-Calais prof du primaire. Le choc des savoirs concernent aussi le primaire et commence par le primaire. Conclusion : aucune objectivité. 🤑
Si l'école doit être un lieu de l'espoir, il faut aussi qu'à la maison ce soit un lieu d'espoir Mme la ministre. Après 30 années passées comme enseignant dans une école secondaire au Québec, toutes les réformes du monde seront inutiles si les parents n'assument pas leur rôle de parents.. Le rôle premier des parents est celui d'éducateur. Les enseignants assure un service bel et bien commencé à la maison.
Je trouve que vous avez parfaitement identifié le problème de fond.
Selon votre expérience, en quoi les parents sont devenus démissionnaires quant à leur rôle d'éducateur? (je n'ai moi-même pas d'enfant)
Invitez des pédagogues pertinents bon sang pour discuter sur le fond avec des arguments éprouvés. Je n'ai pas confiance dans la parole de la plupart de mes collègues qui sont en majorité des réactionnaires qui ont une peur bleue des changements qui les insecurisent.
Et c'est pourtant eux qui donnent les cours... les pédagogues sont non seulement souvent déconnectés du terrain (ce quivne signifie pas qu'ils ont tort mais qu'ils sont peu audibles) et il y a un grand manque d'ouverture du champ scolaire. Et sinon les profs reac... c'est un peu à revers de la sociologie de l'enseignement tout ça
Si on part du constat, pas seulement d'aujourd'hui mais depuis des décennies l'école va mal. Le niveau des élèves baisse depuis toujours et si c'était vrai on devrait être en dessous du niveau de la mer! Tout nos illustres ministres avec leurs grandes réformes avaient tous les solutions miracles pour résoudre les problèmes. Sauf erreur de ma part c'est l'école dite traditionnelle avec les méthodes pédagogiques imposées qui sont en oeuvre pour 90% des écoles. Ce ne sont donc pas les 10% des écoles à pédagogies alternatives qui sont responsables de la situation actuelle. Il n'est qu'à écouter les interventions des personnes sur le plateau qui soulignent le caractère utopiste, démagogique du film pour nous rendre compte que le problème vient surtout de l'inertie des enseignants et de leur peur au changement qui empêche une évolution positive de l'école. Si les enseignants ont comme premier objectif de transmettre un savoir sans réfléchir au comment de cette transmission avec la nostalgie de la toute-puissance du maître, on n'est pas sorti du marasme. Laissez la liberté pédagogique aux écoles qui la souhaitent en les sortant de toutes les évaluations imposées et PISA en premier lieu et on verra ce qu'il advient en fin de parcours.
L'éléphant dans la pièce, c'est le fait que l'immigration massive est un facteur très important qui affecte les résultats médiocres aux tests de PISA. Si on évaluait le niveau des élèves qui ne sont pas issus de l'immigration, les résultats seraient beaucoup plus élevés. C'est un fait établi.
Qu’est-ce que Laure Adler fout encore là ? Elle ne connaît rien sur rien mais a un avis sur tout. Vous la gardez parce qu’elle a oublié de cotiser pour sa retraite ? Elle a besoin d’être encore quelque part ?
Encore une fois trois journalistes c'est trop sur le plateau. Camille aurait suffit. Les deux autres Laure Adler Arthur Chevalier auraient pu être remplacés par des sociologues de l'éducation, des chercheurs en sciences de l'éducation. Il y a un prof du secondaire en lettres classiques, la ministre, un prof remplaçant, 2 journalistes et Pas-de-Calais prof du primaire. Le choc des savoirs concernent aussi le primaire et commence par le primaire. Conclusion : aucune objectivité. 🤑
J'avais déjà remarqué qu'ils n'invitent pas tant que ça des chercheurs sur les sujets traités. C'est dommage.
Qui écoutent tous ces enfants ? C'est une cacophonie insupportable qui comme tjs ne va nulle part mais qui se trouve si irremplaçable