Comme un rêve qui surgi. Subitement. Belle nostalgie. ,,; elle me fait pleurer. Cette chanson. J ai perdu tous ceux que j aimais. J adore cette chanson. Merci pour le partage. Infiniment. Thanmirthe a da lounis
Traduction mélodique de : Avrid n temzi (La route de la jeunesse) Si on regarde la voie où on est passés C'est par des soupirs qu'on se la rappelle Même si, parsemée de rudes d'obstacles Par la jeunesse, enjolivée Cela, c'est en sommeil seulement Que nous pouvons nous rencontrer C'est ce qui m'est arrivé Cette nuit, quand j'ai rêvé J'ai rêvé d'un long chemin Qui me rendra d'où je viens Je marche sans voir l'horizon Après chaque étape, pensant Regardant tout ce qui est passé Ce que je prévois, mes souhaits Ils sont toujours installés Chacun où je l'ai laissé Je rencontre un ami mort Le voyant, vite, rechutant Escomptant un changement C’est la joie, en me voyant Tu es encore dans les cœurs Dans les rêves, nous voyons Un jour, les autres nous laisserons Dans la route où nous te laissons Un fusil à deux, rencontré Reconnus quand il s'est montré Sur sa crosse, des bijoux fixés Gravés par un joaillier d'At Yani Quand, sur les collines, étant Notre objectif, l'atteignant Celui qui l'a pris, l'a pourri Je tire la gâchette, s'effritant Une romance, rentrée De la tête, elle m'est sortie Entre les roches, elle errait Sur le chemin de ma vie Sur moi, ne sermonnez pas Ma jeunesse, elle me l'a rappelée D'elle un peu, il m'en est resté J'en amène un peu dans ma voix Ne me quitte pas - (Ur iyi ttadja à 4.58) Ne me prive pas de ta voix Ne me laisse pas Avec ton image, seulement Ne me quitte pas Ma vie, à un roseau semblant Et elle ira Là où ta main le voulant Ne me quitte pas Je préfère être tué Ne me quitte pas Où tu vas, tu vas me trouver Ne me quitte pas Ma vie est comme un papier En main, tu l’as Déchire-le avant d’y aller Ne me quitte pas Reste, ensemble, on va marcher Ne me quitte pas Laisse donc le cœur te conter Ne me quitte pas Mon cœur comme un film, devenant Et tu verras tout l’espoir qu’il y a dedans Ne me quitte pas Je te supplie jusqu’à quand Ne me quitte pas Pourquoi donc, tu ne m’entends Ne me quitte pas Mon cœur devient un miroir Où tu verras Tout ce que l’amour peut avoir. Cette romance en l'entendant J'ai suivi mon chemin, fuyant Je craignais fort de penser Ce où j'ai juré d'arriver J'ai trouvé un calcul simili Sur des mythes, j'ai espéré Tous de ma vie, sortis Et seul, je me suis retrouvé Je pris la route de la vallée Des roses de toutes sortes, rencontrant Je pensais : qu'est-ce que ceci Quand on cherchait sans trouver Lorsque je valorisais Ce qui n était pas trié Si je vois un arbre pourri Un rejeton, me paraissant Je rencontre un autre ami Mort, sans être arrivé au but C'est quelqu'un qui est parti Pour sa langue, sacrifié Entre ses mains, sa tête, a mis Ses yeux suivaient, ayant tout vu Comment ? il m'a demandé Sa langue kabyle était Tant de choses se sont passées Depuis que tu es parti Ce jour-là, qui aurait dit Du peuple, qu’en est-il resté Au mur, quand on l’accula Sa force est là, on la voit Pour vous, nous compatissons Morts, vous n’étiez pas présents En quatre-vingt, soulèvement Vos connaissances, se rappelant Ils se disent, pendant longtemps Notre langue, malade, la laissant C’est le pauvre fils des monts Qui comme toi, va le premier Quand d’autres se sont levés Aux seuils, arrive la dissension Depuis, les temps ont changé Le Kabyle, la tête, relevant Même les gens qui ne voulaient Par peur, dignité s’y mettant La langue est debout maintenant On l’a secouée, nettoyée Parmi ces enfants, elle est Qui l’a levée ne la posant A la fin, il a soupiré Il dit : je vais me reposer Attention, ceux d'aujourd'hui Par la lutte, d'être trompés Cela, on l'a dans l'ethnie De jadis, la fraternité Quand on arrive à la sortie Nous sortons l'inimitié Pensant à ce qu'il disait Ma joie commence à s'effacer Je pense à mon adversaire Je trouve que c'est mon frère d'hier Continuant ma route, de là Le soleil, à l'apogée Le son d'une fête m'arriva Il précède ce village-là Dans ce village-là, entré De femmes, la rue, rassasiée Les robes et les pagnes, et De toutes sortes, enjolivant Chacune d'elles apportant Des chants, des cris et des rires C'est les chansons, le bendir Qu'à la fête, plus, on entend. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Comme un rêve qui surgi. Subitement. Belle nostalgie. ,,; elle me fait pleurer. Cette chanson. J ai perdu tous ceux que j aimais. J adore cette chanson. Merci pour le partage. Infiniment. Thanmirthe a da lounis
Il nous a vraiment embarqué dans son rêve, je ne trouve pas de mots pour décrire ce que je ressens en écoutant cette chanson, c'est juste magnifique
Traduction mélodique de : Avrid n temzi (La route de la jeunesse)
Si on regarde la voie où on est passés
C'est par des soupirs qu'on se la rappelle
Même si, parsemée de rudes d'obstacles
Par la jeunesse, enjolivée
Cela, c'est en sommeil seulement
Que nous pouvons nous rencontrer
C'est ce qui m'est arrivé
Cette nuit, quand j'ai rêvé
J'ai rêvé d'un long chemin
Qui me rendra d'où je viens
Je marche sans voir l'horizon
Après chaque étape, pensant
Regardant tout ce qui est passé
Ce que je prévois, mes souhaits
Ils sont toujours installés
Chacun où je l'ai laissé
Je rencontre un ami mort
Le voyant, vite, rechutant
Escomptant un changement
C’est la joie, en me voyant
Tu es encore dans les cœurs
Dans les rêves, nous voyons
Un jour, les autres nous laisserons
Dans la route où nous te laissons
Un fusil à deux, rencontré
Reconnus quand il s'est montré
Sur sa crosse, des bijoux fixés
Gravés par un joaillier d'At Yani
Quand, sur les collines, étant
Notre objectif, l'atteignant
Celui qui l'a pris, l'a pourri
Je tire la gâchette, s'effritant
Une romance, rentrée
De la tête, elle m'est sortie
Entre les roches, elle errait
Sur le chemin de ma vie
Sur moi, ne sermonnez pas
Ma jeunesse, elle me l'a rappelée
D'elle un peu, il m'en est resté
J'en amène un peu dans ma voix
Ne me quitte pas - (Ur iyi ttadja à 4.58)
Ne me prive pas de ta voix
Ne me laisse pas
Avec ton image, seulement
Ne me quitte pas
Ma vie, à un roseau semblant
Et elle ira
Là où ta main le voulant
Ne me quitte pas
Je préfère être tué
Ne me quitte pas
Où tu vas, tu vas me trouver
Ne me quitte pas
Ma vie est comme un papier
En main, tu l’as
Déchire-le avant d’y aller
Ne me quitte pas
Reste, ensemble, on va marcher
Ne me quitte pas
Laisse donc le cœur te conter
Ne me quitte pas
Mon cœur comme un film, devenant
Et tu verras tout l’espoir qu’il y a dedans
Ne me quitte pas
Je te supplie jusqu’à quand
Ne me quitte pas
Pourquoi donc, tu ne m’entends
Ne me quitte pas
Mon cœur devient un miroir
Où tu verras
Tout ce que l’amour peut avoir.
Cette romance en l'entendant
J'ai suivi mon chemin, fuyant
Je craignais fort de penser
Ce où j'ai juré d'arriver
J'ai trouvé un calcul simili
Sur des mythes, j'ai espéré
Tous de ma vie, sortis
Et seul, je me suis retrouvé
Je pris la route de la vallée
Des roses de toutes sortes, rencontrant
Je pensais : qu'est-ce que ceci
Quand on cherchait sans trouver
Lorsque je valorisais
Ce qui n était pas trié
Si je vois un arbre pourri
Un rejeton, me paraissant
Je rencontre un autre ami
Mort, sans être arrivé au but
C'est quelqu'un qui est parti
Pour sa langue, sacrifié
Entre ses mains, sa tête, a mis
Ses yeux suivaient, ayant tout vu
Comment ? il m'a demandé
Sa langue kabyle était
Tant de choses se sont passées
Depuis que tu es parti
Ce jour-là, qui aurait dit
Du peuple, qu’en est-il resté
Au mur, quand on l’accula
Sa force est là, on la voit
Pour vous, nous compatissons
Morts, vous n’étiez pas présents
En quatre-vingt, soulèvement
Vos connaissances, se rappelant
Ils se disent, pendant longtemps
Notre langue, malade, la laissant
C’est le pauvre fils des monts
Qui comme toi, va le premier
Quand d’autres se sont levés
Aux seuils, arrive la dissension
Depuis, les temps ont changé
Le Kabyle, la tête, relevant
Même les gens qui ne voulaient
Par peur, dignité s’y mettant
La langue est debout maintenant
On l’a secouée, nettoyée
Parmi ces enfants, elle est
Qui l’a levée ne la posant
A la fin, il a soupiré
Il dit : je vais me reposer
Attention, ceux d'aujourd'hui
Par la lutte, d'être trompés
Cela, on l'a dans l'ethnie
De jadis, la fraternité
Quand on arrive à la sortie
Nous sortons l'inimitié
Pensant à ce qu'il disait
Ma joie commence à s'effacer
Je pense à mon adversaire
Je trouve que c'est mon frère d'hier
Continuant ma route, de là
Le soleil, à l'apogée
Le son d'une fête m'arriva
Il précède ce village-là
Dans ce village-là, entré
De femmes, la rue, rassasiée
Les robes et les pagnes, et
De toutes sortes, enjolivant
Chacune d'elles apportant
Des chants, des cris et des rires
C'est les chansons, le bendir
Qu'à la fête, plus, on entend.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.