Lounis AIT MENGUELLET ~ Avrid n temẓi ~

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  • Опубліковано 1 лис 2024

КОМЕНТАРІ • 3

  • @elmaaden
    @elmaaden 3 місяці тому +1

    Comme un rêve qui surgi. Subitement. Belle nostalgie. ,,; elle me fait pleurer. Cette chanson. J ai perdu tous ceux que j aimais. J adore cette chanson. Merci pour le partage. Infiniment. Thanmirthe a da lounis

  • @Kabyle773
    @Kabyle773 3 місяці тому +2

    Il nous a vraiment embarqué dans son rêve, je ne trouve pas de mots pour décrire ce que je ressens en écoutant cette chanson, c'est juste magnifique

  • @saidslimani7190
    @saidslimani7190 19 днів тому

    Traduction mélodique de : Avrid n temzi (La route de la jeunesse)
    Si on regarde la voie où on est passés
    C'est par des soupirs qu'on se la rappelle
    Même si, parsemée de rudes d'obstacles
    Par la jeunesse, enjolivée
    Cela, c'est en sommeil seulement
    Que nous pouvons nous rencontrer
    C'est ce qui m'est arrivé
    Cette nuit, quand j'ai rêvé
    J'ai rêvé d'un long chemin
    Qui me rendra d'où je viens
    Je marche sans voir l'horizon
    Après chaque étape, pensant
    Regardant tout ce qui est passé
    Ce que je prévois, mes souhaits
    Ils sont toujours installés
    Chacun où je l'ai laissé
    Je rencontre un ami mort
    Le voyant, vite, rechutant
    Escomptant un changement
    C’est la joie, en me voyant
    Tu es encore dans les cœurs
    Dans les rêves, nous voyons
    Un jour, les autres nous laisserons
    Dans la route où nous te laissons
    Un fusil à deux, rencontré
    Reconnus quand il s'est montré
    Sur sa crosse, des bijoux fixés
    Gravés par un joaillier d'At Yani
    Quand, sur les collines, étant
    Notre objectif, l'atteignant
    Celui qui l'a pris, l'a pourri
    Je tire la gâchette, s'effritant
    Une romance, rentrée
    De la tête, elle m'est sortie
    Entre les roches, elle errait
    Sur le chemin de ma vie
    Sur moi, ne sermonnez pas
    Ma jeunesse, elle me l'a rappelée
    D'elle un peu, il m'en est resté
    J'en amène un peu dans ma voix
    Ne me quitte pas - (Ur iyi ttadja à 4.58)
    Ne me prive pas de ta voix
    Ne me laisse pas
    Avec ton image, seulement
    Ne me quitte pas
    Ma vie, à un roseau semblant
    Et elle ira
    Là où ta main le voulant
    Ne me quitte pas
    Je préfère être tué
    Ne me quitte pas
    Où tu vas, tu vas me trouver
    Ne me quitte pas
    Ma vie est comme un papier
    En main, tu l’as
    Déchire-le avant d’y aller
    Ne me quitte pas
    Reste, ensemble, on va marcher
    Ne me quitte pas
    Laisse donc le cœur te conter
    Ne me quitte pas
    Mon cœur comme un film, devenant
    Et tu verras tout l’espoir qu’il y a dedans
    Ne me quitte pas
    Je te supplie jusqu’à quand
    Ne me quitte pas
    Pourquoi donc, tu ne m’entends
    Ne me quitte pas
    Mon cœur devient un miroir
    Où tu verras
    Tout ce que l’amour peut avoir.
    Cette romance en l'entendant
    J'ai suivi mon chemin, fuyant
    Je craignais fort de penser
    Ce où j'ai juré d'arriver
    J'ai trouvé un calcul simili
    Sur des mythes, j'ai espéré
    Tous de ma vie, sortis
    Et seul, je me suis retrouvé
    Je pris la route de la vallée
    Des roses de toutes sortes, rencontrant
    Je pensais : qu'est-ce que ceci
    Quand on cherchait sans trouver
    Lorsque je valorisais
    Ce qui n était pas trié
    Si je vois un arbre pourri
    Un rejeton, me paraissant
    Je rencontre un autre ami
    Mort, sans être arrivé au but
    C'est quelqu'un qui est parti
    Pour sa langue, sacrifié
    Entre ses mains, sa tête, a mis
    Ses yeux suivaient, ayant tout vu
    Comment ? il m'a demandé
    Sa langue kabyle était
    Tant de choses se sont passées
    Depuis que tu es parti
    Ce jour-là, qui aurait dit
    Du peuple, qu’en est-il resté
    Au mur, quand on l’accula
    Sa force est là, on la voit
    Pour vous, nous compatissons
    Morts, vous n’étiez pas présents
    En quatre-vingt, soulèvement
    Vos connaissances, se rappelant
    Ils se disent, pendant longtemps
    Notre langue, malade, la laissant
    C’est le pauvre fils des monts
    Qui comme toi, va le premier
    Quand d’autres se sont levés
    Aux seuils, arrive la dissension
    Depuis, les temps ont changé
    Le Kabyle, la tête, relevant
    Même les gens qui ne voulaient
    Par peur, dignité s’y mettant
    La langue est debout maintenant
    On l’a secouée, nettoyée
    Parmi ces enfants, elle est
    Qui l’a levée ne la posant
    A la fin, il a soupiré
    Il dit : je vais me reposer
    Attention, ceux d'aujourd'hui
    Par la lutte, d'être trompés
    Cela, on l'a dans l'ethnie
    De jadis, la fraternité
    Quand on arrive à la sortie
    Nous sortons l'inimitié
    Pensant à ce qu'il disait
    Ma joie commence à s'effacer
    Je pense à mon adversaire
    Je trouve que c'est mon frère d'hier
    Continuant ma route, de là
    Le soleil, à l'apogée
    Le son d'une fête m'arriva
    Il précède ce village-là
    Dans ce village-là, entré
    De femmes, la rue, rassasiée
    Les robes et les pagnes, et
    De toutes sortes, enjolivant
    Chacune d'elles apportant
    Des chants, des cris et des rires
    C'est les chansons, le bendir
    Qu'à la fête, plus, on entend.
    N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.