Il faut que la BD quitte l'édition littéraire et album et retrouvé l'édition presse qui était sa vocation initial.Mais la BD est en déclin et publier dans de bonne condition est devenu impossible .
Tristement aujourd’hui on occulte de la culture avec d’autres cultures. Je ne vois plus personne lire des BD mais plus que des mangas. Et quand j’en parle tout le monde me dit « les bd c’est nul » en imaginant que les BD humoristiques. Et ça s’applique beaucoup ailleurs.
Une manne pour les éditeurs pas pour les dessinateurs il est devenu impossible en tant que créateur de vivre de cette art faute aux petites editions de presse BD vendu au grand éditeurs Albin Michel Hachette Gallimard ect.......
Il ne permet pas d'en vivre parce que le secteur méprise les auteurs et ne les rémunère pas à leur juste valeur. Mais on parle la d'un secteur qui rapporte des millions de manière globale, donc c'est bel et bien un métier.
@@OSFP_Bruxelles comment définir leur juste valeur si ce n’est via la loi de l’offre et de la demande. Si les conditions sont difficiles il va y avoir moins de prétendants et le marché s’ajuste. C’est comme au football, cinéma ou tout autre secteur.
@@remiludo Pourtant des structures éditoriales comme les éditions exemplaire proposent 30 à 40% de droits d'auteurs pour leurs auteurs, contre 8 à 12% en édition classique. Donc des solutions existent, c'est juste que les grands de l'édition n'en ont rien à faire que leurs auteurs crèvent la dalle.
Aucune reponse a nos commentaires sur ce site allez vous faire voir.C'est les dessinateurs qui ont voulu le statut d'auteur donc assujetti a la vente d'exemplaire .Vous avez voulu quitter le domaine de la presse d'ou la BD etait issue et qui vous assurait la situation d'un pigiste donc renumeration régulière. Vous avez a present vos beaux albums sous le bras et payer des nefles.
Il faut que la BD quitte l'édition littéraire et album et retrouvé l'édition presse qui était sa vocation initial.Mais la BD est en déclin et publier dans de bonne condition est devenu impossible .
Tristement aujourd’hui on occulte de la culture avec d’autres cultures. Je ne vois plus personne lire des BD mais plus que des mangas. Et quand j’en parle tout le monde me dit « les bd c’est nul » en imaginant que les BD humoristiques.
Et ça s’applique beaucoup ailleurs.
Une manne pour les éditeurs pas pour les dessinateurs il est devenu impossible en tant que créateur de vivre de cette art faute aux petites editions de presse BD vendu au grand éditeurs Albin Michel Hachette Gallimard ect.......
vente directe !
Que les auteurs de BD trouvent des façons de contourner les chemins d'édition traditionnels ... peut-être avec l'internet ?
Ce monde ne tourne pas rond
En même temps un métier qui ne permet pas de vivre ne s’appelle pas un métier mais une passion qu’on fait le week-end en dehors d’un vrai travail
Il ne permet pas d'en vivre parce que le secteur méprise les auteurs et ne les rémunère pas à leur juste valeur.
Mais on parle la d'un secteur qui rapporte des millions de manière globale, donc c'est bel et bien un métier.
@@OSFP_Bruxelles comment définir leur juste valeur si ce n’est via la loi de l’offre et de la demande. Si les conditions sont difficiles il va y avoir moins de prétendants et le marché s’ajuste. C’est comme au football, cinéma ou tout autre secteur.
@@remiludo Pourtant des structures éditoriales comme les éditions exemplaire proposent 30 à 40% de droits d'auteurs pour leurs auteurs, contre 8 à 12% en édition classique. Donc des solutions existent, c'est juste que les grands de l'édition n'en ont rien à faire que leurs auteurs crèvent la dalle.
@@OSFP_Bruxellesmais alors pourquoi les auteurs ne se tournent pas tous vers ces éditions exemplaires ???
@@remiludo C'est assez récent comme structure, mais de plus en plus d'auteurs vont vers ce schéma
Aucune reponse a nos commentaires sur ce site allez vous faire voir.C'est les dessinateurs qui ont voulu le statut d'auteur donc assujetti a la vente d'exemplaire .Vous avez voulu quitter le domaine de la presse d'ou la BD etait issue et qui vous assurait la situation d'un pigiste donc renumeration régulière. Vous avez a present vos beaux albums sous le bras et payer des nefles.