En effet mon LDT 20" TAR est en 1:9 (sous marque a SCHMEISSER) Parfait pour des ogives de 52 gr qui semblent être le poids idéal pour le TAR. Perso je préfère le 1:9 justement pour ogives légères.
Pourquoi parler de grains quand on parle de stabilisation et pas de longueur? Exemple: Une balle de 63gr tracante type M856/L110 doit utiliser un pas de rayure 1:7", tandis qu’une balle de 63gr de l’armée Suisse type GP90 est bien stabilisées dans un pas 1:10". Meme poids mais pas de rayure differents, car c’est la longueur du projectile qui determine principalement l’instabilité. En fait, a longueur egale, le poids augmente la stabilite et donc reduit la rapidite du pas de rayure necessaire. Un autre exemple pour illustrer, dans un .308 Winchester, l’utilisation des balles Lapua Scenar en 155gr (1.296") ne sont pas stabilisées pleinement avec un pas de 1:12" alors que les balles Lapua Scenar 167gr (1.236") le sont, bien que plus lourdes.
Parce que pour la plupart des civils qui n'ont pas de traçantes c'est plus simple de parler de poids. C'est écrit sur la boîte 😆 même si c'est très simpliste. Mais effectivement la longueur joue (je dirais même plus la surface en contact avec les rayures) tout comme les matériaux qui composent la balle. A poids identique une balle monolithique cuivre ne sera pas stabilisée de la même façon, sans parler de la pression générée en plus
@@takatir tout a fait😂 mais il faut aussi connaitre les limites des regles pre faites car des fois ca induit beaucoup d’utilisateurs en erreur, on voit ca tres souvent dans les forums des balles recommandees avec des pas de rayures inadequats. Les balles tracantes c’etait le premier exemple que j’avais en tete sur le .223 mais c’était juste pour illustrer. Y a aussi des balles ultra longues qui sortent style Hornady ELD-M, Nosler RDF, Berger Hybrid etc. qui necessitent des pas de rayure beaucoup plus rapides que leur equivalent d’autres marques au meme poids. Le mieux a faire pour le consommateur vraiment c’est d’aller en ligne sur la base de donnees JBM ballistics qui contient les longueurs des balles commercialisees, puis utiliser un calculateur qui se base sur la formule de Miller pour savoir a quoi s’attendre. C’est aussi important d’avoir cette approche car ca permet d’apprendre quels sont les facteurs qui affectent la stabilite, et de voir aussi qu’ils ne sont pas forcement intrinseques au canon et au chargement choisi. Les conditions atmospheriques par exemple peuvent avoir un impact majeur sur la stabilite, et c’est pour ca par exemple que les armees de l’OTAN ont adopte des pas de rayures plus rapides que necessaires afin d’assurer une operation adéquate en arctique par exemple.
En effet mon LDT 20" TAR est en 1:9 (sous marque a SCHMEISSER) Parfait pour des ogives de 52 gr qui semblent être le poids idéal pour le TAR. Perso je préfère le 1:9 justement pour ogives légères.
Canon long, à 200m des balles légères suffisent. Souvent les 50 a 55 gr donnent de supers résultats.
Pourquoi parler de grains quand on parle de stabilisation et pas de longueur? Exemple: Une balle de 63gr tracante type M856/L110 doit utiliser un pas de rayure 1:7", tandis qu’une balle de 63gr de l’armée Suisse type GP90 est bien stabilisées dans un pas 1:10". Meme poids mais pas de rayure differents, car c’est la longueur du projectile qui determine principalement l’instabilité. En fait, a longueur egale, le poids augmente la stabilite et donc reduit la rapidite du pas de rayure necessaire. Un autre exemple pour illustrer, dans un .308 Winchester, l’utilisation des balles Lapua Scenar en 155gr (1.296") ne sont pas stabilisées pleinement avec un pas de 1:12" alors que les balles Lapua Scenar 167gr (1.236") le sont, bien que plus lourdes.
Parce que pour la plupart des civils qui n'ont pas de traçantes c'est plus simple de parler de poids. C'est écrit sur la boîte 😆 même si c'est très simpliste.
Mais effectivement la longueur joue (je dirais même plus la surface en contact avec les rayures) tout comme les matériaux qui composent la balle. A poids identique une balle monolithique cuivre ne sera pas stabilisée de la même façon, sans parler de la pression générée en plus
@@takatir tout a fait😂 mais il faut aussi connaitre les limites des regles pre faites car des fois ca induit beaucoup d’utilisateurs en erreur, on voit ca tres souvent dans les forums des balles recommandees avec des pas de rayures inadequats. Les balles tracantes c’etait le premier exemple que j’avais en tete sur le .223 mais c’était juste pour illustrer. Y a aussi des balles ultra longues qui sortent style Hornady ELD-M, Nosler RDF, Berger Hybrid etc. qui necessitent des pas de rayure beaucoup plus rapides que leur equivalent d’autres marques au meme poids. Le mieux a faire pour le consommateur vraiment c’est d’aller en ligne sur la base de donnees JBM ballistics qui contient les longueurs des balles commercialisees, puis utiliser un calculateur qui se base sur la formule de Miller pour savoir a quoi s’attendre. C’est aussi important d’avoir cette approche car ca permet d’apprendre quels sont les facteurs qui affectent la stabilite, et de voir aussi qu’ils ne sont pas forcement intrinseques au canon et au chargement choisi. Les conditions atmospheriques par exemple peuvent avoir un impact majeur sur la stabilite, et c’est pour ca par exemple que les armees de l’OTAN ont adopte des pas de rayures plus rapides que necessaires afin d’assurer une operation adéquate en arctique par exemple.
Merci pour le complément, très intéressant.
On va aussi bientôt voir les ELD-VT qui ont le profil des ELD-M avec des poids bien plus légers.