Bonjour 🤗 Nouvelle thématique, si parlante encore 🫶 Merci pour cette mise en pratique, ce vécu 🙏. Merci à Carole pour ce don précieux 🙏. Merci Thibault de me le partager 🙏. Merci à vous deux d'être là 🙏🙏🙏 Expérience à renouveler 🫶
Merci pour ce partage et surtout le partage de l’expérience « méditative » (j’aime bien l’idée de l’espace d’accueil et du canapé avec les copines haha). Je me demandais si ce que je faisais était « juste ». Je me rends compte que quand j’arrête d’accorder de l’importance aux questionnements « est-ce que je fais bien, est-ce que c’est bien ça ? », ça se fait tout seul et c’est juste… J’ai plusieurs questions : est-ce que si le « corps » nous présente des ressentis, finalement peu importe l’histoire qui se raconte, la seule chose « à faire », c’est rester présent avec les ressentis ? Donc en gros, le sens ou l’histoire qu’on va mettre derrière ces ressentis ne change rien ? Ce qui a besoin d’être ressenti et vécu le sera et l’histoire ne fait que rajouter quelque chose d’inutile ? Est-ce que « juste revenir à la présence » quand les personnages tentent de faire diversion est la seule « chose à faire » ? Est-ce que c’est normal de sentir sa présence avec une certaine « fermeté » ? L’impression de devoir « s’affirmer » face au moi qui cherche constamment à fuir, raconter des histoires, se plaindre, etc. ? Comme si j’avais besoin de maintenir un « positionnement interne », « intransigeant », quitte à entrer dans une sorte de conflit face aux résistances à l’autorité du personnage ? Et du coup, est-ce que c’est normal de se sentir folle quand on a l’impression d’être 1000 personnages en même temps, comme si on s’était tellement coupé de la vie en soi et avait tellement porté de masques qu’on ne sait plus qui on est ? Où est-ce que c’est encore une histoire qui se raconte ? Merci et belle journée ☀️
L'apparence est toujours contradictoire à l'essence... L'absolu se manifeste obligatoirement comme relatif. L'absolu se manifestant comme absolu serai déjà l'absolu lui-même tel qu'il est, donc non-manifesté... L'Un synonyme d l'absolu, se manifeste contradictoirement à l'Un c'est à dire comme deux. La Vie se manifeste comme mort et naissance, comme jour et nuit,... Tout est logique, c'est accepté que ce que l'on VOIT (l'apparence) entre en contradiction avec CELA(l'essence). Ce qui bouge évolue dans ce qui ne bouge pas, le temps semble se dérouler au sein du non-temps...Cela ne peut pas ne pas Être...Ce n'est pas du tout paradoxal...
C'est simplement pour dire que votre titre là, c'est un oxymore... _« Arbeit macht frei est une expression allemande signifiant « le travail rend libre » ou « le travail émancipe ». Cette phrase doit principalement sa renommée à son utilisation comme inscription à l'entrée des camps de concentration nazis. »_ Étymologiquement, le mot « travail » vient du mot « tripalium », un outil de torture... Bienvenue chez Orwell, « La liberté c'est l'esclavage » … Oh non, évidemment, vous me rétorquerez que j'abuse. Que l'esclave 2.0 est consentant, sous syndrome de Stockholm, et donc que ça n'a rien a voir. Qu'il n'a pas une chaîne d'argent autour du cou, après s'être fait pillé de sa liberté et de son autonomie, tant par l'éducation que par l'aménagement du monde, en désert de béton et de monocultures où tout y est privé, en Monopoly géant. Car oui, si dans Le loup et le chien de Jean de La Fontaine, le loup peut décider de partir en constatant la marque de la laisse autour du cou du chien domestiqué, c'est bien parce que le loup n'a pas été domestiqué comme le chien. Si le chien prend le même choix, il se retrouvera à errer dans les rues, a faire les poubelles ou a mendier pour se nourrir, s'il ne finit pas emprisonné par la SPA. Ou alors il peut s'essayer à faire une Christopher Mccandless ? L'humain a été domestiqué, il est tenu en laisse par cet argent qu'il qualifie paradoxalement d'outil d'échange et de liberté, dans cette novlangue digne de 1984 d'Orwell. S'accaparer la part des autres et les laisser crever dans la misère tout en prétextant qu'il s'agirait de mérite, d'avoir fait plus au nom du bien commun que celui qui en est appauvri n'est que mensonge. Jamais un acte ayant pour but de servir les autres ne peut servir d'alibi aux faits de les desservir, de les rendre dépendants, de les piller, de les asservir. C'est un oxymore que de prétendre l'inverse. Ce n'est pas financièrement bénéfique de faire le bien, ce qui est financièrement le plus bénéfique c'est de rendre les autres dépendants. Quand _« il faut bien remplir la gamelle »_ et que _« la fin justifie les moyens »_ (dicton de Machiavel, le gugusse à l'origine du mot « Machiavélique » en personne), alors, loin de toute morale et de toute justice, tous les moyens deviennent bons. Et c'est ainsi que s'auto-justifie la servitude malsaine, les actes barbares, les valeurs inversées, et l'état du monde déplorable. Alors non, quand on nous fait un chantage à la misère, ce n'est pas pour notre bien. Quand on nous dit que _« la fin justifie les moyens »_ , c'est ça la définition même de la corruption. _« Et pourtant ce tyran, seul, il n'est pas besoin de le combattre, ni même de s'en défendre, il est défait de lui-même pourvu que le pays ne consente point à la servitude. Il ne s'agit pas de lui rien arracher, mais seulement de ne lui rien donner. »_ ... _« Ce qu'il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. »_ - Discours de la servitude volontaire - Étienne de La Boétie. _« C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches »_ - Victor Hugo _« Rien de bon n'a pour base le mal. Le Dieu juste n'impose pas à l'humanité la nécessité des misérables. Il n'y a de nécessaire en ce monde que la justice et la vérité.»_ - Victor Hugo
Magnifique merci ❤
Merci infiniment 😊 ❤️ ☀️
Merci à vous pour ce moment de pur présence 🙏
Magnifique de clarté et d amour cet accompagnement qui ramène à maintenant par l attention à ce qui est.
Bonjour 🤗
Nouvelle thématique, si parlante encore 🫶
Merci pour cette mise en pratique, ce vécu 🙏. Merci à Carole pour ce don précieux 🙏. Merci Thibault de me le partager 🙏. Merci à vous deux d'être là 🙏🙏🙏
Expérience à renouveler 🫶
Merci bcp à tous les deux. 😊
Que de simplicité et de vrai! 🙏🙏
Magnifique !❤❤❤❤
Merci pour ce partage et surtout le partage de l’expérience « méditative » (j’aime bien l’idée de l’espace d’accueil et du canapé avec les copines haha). Je me demandais si ce que je faisais était « juste ». Je me rends compte que quand j’arrête d’accorder de l’importance aux questionnements « est-ce que je fais bien, est-ce que c’est bien ça ? », ça se fait tout seul et c’est juste…
J’ai plusieurs questions : est-ce que si le « corps » nous présente des ressentis, finalement peu importe l’histoire qui se raconte, la seule chose « à faire », c’est rester présent avec les ressentis ? Donc en gros, le sens ou l’histoire qu’on va mettre derrière ces ressentis ne change rien ? Ce qui a besoin d’être ressenti et vécu le sera et l’histoire ne fait que rajouter quelque chose d’inutile ? Est-ce que « juste revenir à la présence » quand les personnages tentent de faire diversion est la seule « chose à faire » ?
Est-ce que c’est normal de sentir sa présence avec une certaine « fermeté » ? L’impression de devoir « s’affirmer » face au moi qui cherche constamment à fuir, raconter des histoires, se plaindre, etc. ? Comme si j’avais besoin de maintenir un « positionnement interne », « intransigeant », quitte à entrer dans une sorte de conflit face aux résistances à l’autorité du personnage ?
Et du coup, est-ce que c’est normal de se sentir folle quand on a l’impression d’être 1000 personnages en même temps, comme si on s’était tellement coupé de la vie en soi et avait tellement porté de masques qu’on ne sait plus qui on est ? Où est-ce que c’est encore une histoire qui se raconte ?
Merci et belle journée ☀️
Merci !❤❤
Nous n'attirons pas nous conscientisant notre réalité
Merciii incroyable j
le même problème ,du coup fait l'expérience du libre .
❤Gratitude 🙏🏻 Thibeault je fais les exercices au même moment et ça monter en arrière de mon cerveau Gratitude 🙏🏻
Tu es extraordinaire que tu brimes pas la personne même si tu n’es pas d’accord 🙏🏻🙏🏻👍👍👍🤗😘
Tu es extraordinaire que tu brimes pas la personne même si tu n’es pas d’accord 🙏🏻🙏🏻👍👍👍🤗😘
L'apparence est toujours contradictoire à l'essence...
L'absolu se manifeste obligatoirement comme relatif. L'absolu se manifestant comme absolu serai déjà l'absolu lui-même tel qu'il est, donc non-manifesté... L'Un synonyme d l'absolu, se manifeste contradictoirement à l'Un c'est à dire comme deux. La Vie se manifeste comme mort et naissance, comme jour et nuit,...
Tout est logique, c'est accepté que ce que l'on VOIT (l'apparence) entre en contradiction avec CELA(l'essence). Ce qui bouge évolue dans ce qui ne bouge pas, le temps semble se dérouler au sein du non-temps...Cela ne peut pas ne pas Être...Ce n'est pas du tout paradoxal...
C'est simplement pour dire que votre titre là, c'est un oxymore...
_« Arbeit macht frei est une expression allemande signifiant « le travail rend libre » ou « le travail émancipe ». Cette phrase doit principalement sa renommée à son utilisation comme inscription à l'entrée des camps de concentration nazis. »_
Étymologiquement, le mot « travail » vient du mot « tripalium », un outil de torture...
Bienvenue chez Orwell, « La liberté c'est l'esclavage » … Oh non, évidemment, vous me rétorquerez que j'abuse. Que l'esclave 2.0 est consentant, sous syndrome de Stockholm, et donc que ça n'a rien a voir. Qu'il n'a pas une chaîne d'argent autour du cou, après s'être fait pillé de sa liberté et de son autonomie, tant par l'éducation que par l'aménagement du monde, en désert de béton et de monocultures où tout y est privé, en Monopoly géant.
Car oui, si dans Le loup et le chien de Jean de La Fontaine, le loup peut décider de partir en constatant la marque de la laisse autour du cou du chien domestiqué, c'est bien parce que le loup n'a pas été domestiqué comme le chien. Si le chien prend le même choix, il se retrouvera à errer dans les rues, a faire les poubelles ou a mendier pour se nourrir, s'il ne finit pas emprisonné par la SPA. Ou alors il peut s'essayer à faire une Christopher Mccandless ?
L'humain a été domestiqué, il est tenu en laisse par cet argent qu'il qualifie paradoxalement d'outil d'échange et de liberté, dans cette novlangue digne de 1984 d'Orwell.
S'accaparer la part des autres et les laisser crever dans la misère tout en prétextant qu'il s'agirait de mérite, d'avoir fait plus au nom du bien commun que celui qui en est appauvri n'est que mensonge. Jamais un acte ayant pour but de servir les autres ne peut servir d'alibi aux faits de les desservir, de les rendre dépendants, de les piller, de les asservir. C'est un oxymore que de prétendre l'inverse.
Ce n'est pas financièrement bénéfique de faire le bien, ce qui est financièrement le plus bénéfique c'est de rendre les autres dépendants. Quand _« il faut bien remplir la gamelle »_ et que _« la fin justifie les moyens »_ (dicton de Machiavel, le gugusse à l'origine du mot « Machiavélique » en personne), alors, loin de toute morale et de toute justice, tous les moyens deviennent bons. Et c'est ainsi que s'auto-justifie la servitude malsaine, les actes barbares, les valeurs inversées, et l'état du monde déplorable. Alors non, quand on nous fait un chantage à la misère, ce n'est pas pour notre bien. Quand on nous dit que _« la fin justifie les moyens »_ , c'est ça la définition même de la corruption.
_« Et pourtant ce tyran, seul, il n'est pas besoin de le combattre, ni même de s'en défendre, il est défait de lui-même pourvu que le pays ne consente point à la servitude. Il ne s'agit pas de lui rien arracher, mais seulement de ne lui rien donner. »_ ... _« Ce qu'il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. »_ - Discours de la servitude volontaire - Étienne de La Boétie.
_« C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches »_ - Victor Hugo
_« Rien de bon n'a pour base le mal. Le Dieu juste n'impose pas à l'humanité la nécessité des misérables. Il n'y a de nécessaire en ce monde que la justice et la vérité.»_ - Victor Hugo