Ait menguellet: ay aberwaq.wmv

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  • Опубліковано 3 січ 2025

КОМЕНТАРІ • 7

  • @zakmilou4645
    @zakmilou4645 2 роки тому +2

    Ada Lounis vous etes une légende! vous n'êtes pas seulement un professeur, qui se grise à expliquer les choses mais vous les montrez, vous les faites voir, et pour cela vous devenez poète et visionnaire....Longue vie

  • @elmaaden
    @elmaaden 7 місяців тому

    Je dédie cette chanson. a tou les exilés ceux qui ont la soife de leurs pays. Car ils n ont pas choisi. Leur. Destin. ils sont commeme dans nos coeurs. (. Canada ). Iazoughe'e. .....dieu vous protège. """. On vous aime """

  • @hocinesadok-gd6kp
    @hocinesadok-gd6kp Рік тому

    Longue vie a notre grand poete

  • @saidslimani7190
    @saidslimani7190 5 років тому +8

    Traduction mélodique de : Ay avarwaq (Ô asphodèle)
    Au retour, tout sera oublié
    Sauf ceux qui nous ont quittés
    Chaque année, on va pleurer
    Quand des fleurs leur seront portées
    Si on te dit, il a fui
    Dis-leur qu'il s'occupe de lui
    S'il reste, on le sacrifie
    Son nom sera englouti
    On reviendra vers vous
    Comme le vent, ça va passer
    Si on reste avec vous
    On a peur d'être emportés
    Un jour, on revient
    Si on dort, on se souvient
    Impossible n'est pas
    Au réveil, on oubliera
    Si on te dit, il a fui
    Dis-leur, de loin, il combat
    S'il reste, on le sacrifie
    Il a trouvé ce qu'il cherche, là
    Face au dépit, on ne casse pas
    Même trouble, elle est purifiée
    Remède des jours, si on y croit
    Peut-être demain, bonifié
    Au retour, tout sera oublié
    Sauf ceux qui nous ont quittés
    Chaque année, on va pleurer
    Quand des fleurs leur seront portées
    C’est pas le pain qui vous a pris
    Cela ne fut pas un dévoiement
    Laissant aux fauteurs… le pays
    A ceux qui y faire face, pouvant
    L’un part, sa valise, prenant
    Et l’autre laissant ses enfants
    Chaque cause sans empêtrement
    Ô asphodèle, le temps pressant
    On se sépare, c’est le mome
    Le miel, nul ne le détestant
    La piqure de l’abeille n’est que phobie
    La fibule du feu est retirée
    Par celui qui accepte le brûlis
    La rose est bonne, d’épines, privée
    Le pays beau sans le dépit
    Qui l’a laissé compte-le conscient
    L’un dit je vais m’en aller
    Je suis cher, précieuse est la vie
    Il prétend tout nous montrer
    Profitant de la tragédie
    La hardiesse est à crier
    Elle n’est pas venue innée
    Elle ne se vend dans les marchés
    L’un avait dit, je vais rester
    Malade, il faudra la guérir
    L’un avait dit, je vais partir
    Une fois guérie, je reviendrai
    Qui ne sait pas, qui est-ce qui sait
    Les dits ont apporté cela
    Chacun sachant ce qu’il faudra.
    N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.

  • @Lala-u5g
    @Lala-u5g 4 місяці тому

    ❤🎉🤍🧡🌹