Ada Lounis vous etes une légende! vous n'êtes pas seulement un professeur, qui se grise à expliquer les choses mais vous les montrez, vous les faites voir, et pour cela vous devenez poète et visionnaire....Longue vie
Je dédie cette chanson. a tou les exilés ceux qui ont la soife de leurs pays. Car ils n ont pas choisi. Leur. Destin. ils sont commeme dans nos coeurs. (. Canada ). Iazoughe'e. .....dieu vous protège. """. On vous aime """
Traduction mélodique de : Ay avarwaq (Ô asphodèle) Au retour, tout sera oublié Sauf ceux qui nous ont quittés Chaque année, on va pleurer Quand des fleurs leur seront portées Si on te dit, il a fui Dis-leur qu'il s'occupe de lui S'il reste, on le sacrifie Son nom sera englouti On reviendra vers vous Comme le vent, ça va passer Si on reste avec vous On a peur d'être emportés Un jour, on revient Si on dort, on se souvient Impossible n'est pas Au réveil, on oubliera Si on te dit, il a fui Dis-leur, de loin, il combat S'il reste, on le sacrifie Il a trouvé ce qu'il cherche, là Face au dépit, on ne casse pas Même trouble, elle est purifiée Remède des jours, si on y croit Peut-être demain, bonifié Au retour, tout sera oublié Sauf ceux qui nous ont quittés Chaque année, on va pleurer Quand des fleurs leur seront portées C’est pas le pain qui vous a pris Cela ne fut pas un dévoiement Laissant aux fauteurs… le pays A ceux qui y faire face, pouvant L’un part, sa valise, prenant Et l’autre laissant ses enfants Chaque cause sans empêtrement Ô asphodèle, le temps pressant On se sépare, c’est le mome Le miel, nul ne le détestant La piqure de l’abeille n’est que phobie La fibule du feu est retirée Par celui qui accepte le brûlis La rose est bonne, d’épines, privée Le pays beau sans le dépit Qui l’a laissé compte-le conscient L’un dit je vais m’en aller Je suis cher, précieuse est la vie Il prétend tout nous montrer Profitant de la tragédie La hardiesse est à crier Elle n’est pas venue innée Elle ne se vend dans les marchés L’un avait dit, je vais rester Malade, il faudra la guérir L’un avait dit, je vais partir Une fois guérie, je reviendrai Qui ne sait pas, qui est-ce qui sait Les dits ont apporté cela Chacun sachant ce qu’il faudra. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Ada Lounis vous etes une légende! vous n'êtes pas seulement un professeur, qui se grise à expliquer les choses mais vous les montrez, vous les faites voir, et pour cela vous devenez poète et visionnaire....Longue vie
Je dédie cette chanson. a tou les exilés ceux qui ont la soife de leurs pays. Car ils n ont pas choisi. Leur. Destin. ils sont commeme dans nos coeurs. (. Canada ). Iazoughe'e. .....dieu vous protège. """. On vous aime """
Longue vie a notre grand poete
Traduction mélodique de : Ay avarwaq (Ô asphodèle)
Au retour, tout sera oublié
Sauf ceux qui nous ont quittés
Chaque année, on va pleurer
Quand des fleurs leur seront portées
Si on te dit, il a fui
Dis-leur qu'il s'occupe de lui
S'il reste, on le sacrifie
Son nom sera englouti
On reviendra vers vous
Comme le vent, ça va passer
Si on reste avec vous
On a peur d'être emportés
Un jour, on revient
Si on dort, on se souvient
Impossible n'est pas
Au réveil, on oubliera
Si on te dit, il a fui
Dis-leur, de loin, il combat
S'il reste, on le sacrifie
Il a trouvé ce qu'il cherche, là
Face au dépit, on ne casse pas
Même trouble, elle est purifiée
Remède des jours, si on y croit
Peut-être demain, bonifié
Au retour, tout sera oublié
Sauf ceux qui nous ont quittés
Chaque année, on va pleurer
Quand des fleurs leur seront portées
C’est pas le pain qui vous a pris
Cela ne fut pas un dévoiement
Laissant aux fauteurs… le pays
A ceux qui y faire face, pouvant
L’un part, sa valise, prenant
Et l’autre laissant ses enfants
Chaque cause sans empêtrement
Ô asphodèle, le temps pressant
On se sépare, c’est le mome
Le miel, nul ne le détestant
La piqure de l’abeille n’est que phobie
La fibule du feu est retirée
Par celui qui accepte le brûlis
La rose est bonne, d’épines, privée
Le pays beau sans le dépit
Qui l’a laissé compte-le conscient
L’un dit je vais m’en aller
Je suis cher, précieuse est la vie
Il prétend tout nous montrer
Profitant de la tragédie
La hardiesse est à crier
Elle n’est pas venue innée
Elle ne se vend dans les marchés
L’un avait dit, je vais rester
Malade, il faudra la guérir
L’un avait dit, je vais partir
Une fois guérie, je reviendrai
Qui ne sait pas, qui est-ce qui sait
Les dits ont apporté cela
Chacun sachant ce qu’il faudra.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
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