d'abord merci d'offrir la rencontre, lieu et présences, mouvements d'échanges, espace vie, respiration..., il m'apparaît là que quelque chose s'approche aussi d'un possible espace vital pour tous ( comme pour chacun ) ou le MONDE retrouve sa place un brin confisquée par l'autre ou ... l'AUTRE. Dès lors, une possible respiration ...
Toujours le même pli chez Jullien, dès la première thèse qui réduit terriblement la philosophie grecque à Platon. Abusif, non?. La formule stoïcienne : homologoumenos tè phusei zein.... Zein, c'est vivre, le verbe. Et il s'agit de vivre concrètement, par des exercices spirituels, comme en Grèce non?...La Grèce ancienne ne se réduit pas à Platon. Le problème de méthode est de prendre la partie pour le tout. Jullien le sous évalue afin de donner l'impression que son herméneutique révèle des impensés. Pour le lire, depuis 25 ans, je ne vois pas où sont ces impensés qui seraient des différences si radicales - elles me semblent etre des effets, des constructions de F Jullien lui-même et d'un présupposé objectif (croire qu'on révèle quelque chose qui es trouverait là préalablement, avant nous, comme si l'observateur ne construisait pas subjectivement aussi son observation en même temps qu'il perçoit objectivement qqc. - pour moi, c'est les deux à la fois)...
Merci.
d'abord merci d'offrir la rencontre, lieu et présences, mouvements d'échanges, espace vie, respiration..., il m'apparaît là que quelque chose s'approche aussi d'un possible espace vital pour tous ( comme pour chacun ) ou le MONDE retrouve sa place un brin confisquée par l'autre ou ... l'AUTRE. Dès lors, une possible respiration ...
Leon Decelle
T’as raison, c’est important de respirer ..
Toujours le même pli chez Jullien, dès la première thèse qui réduit terriblement la philosophie grecque à Platon. Abusif, non?. La formule stoïcienne : homologoumenos tè phusei zein.... Zein, c'est vivre, le verbe. Et il s'agit de vivre concrètement, par des exercices spirituels, comme en Grèce non?...La Grèce ancienne ne se réduit pas à Platon. Le problème de méthode est de prendre la partie pour le tout. Jullien le sous évalue afin de donner l'impression que son herméneutique révèle des impensés. Pour le lire, depuis 25 ans, je ne vois pas où sont ces impensés qui seraient des différences si radicales - elles me semblent etre des effets, des constructions de F Jullien lui-même et d'un présupposé objectif (croire qu'on révèle quelque chose qui es trouverait là préalablement, avant nous, comme si l'observateur ne construisait pas subjectivement aussi son observation en même temps qu'il perçoit objectivement qqc. - pour moi, c'est les deux à la fois)...