Incroyablement virtuose sur ses essais, meme si on l'a coince sur des "embellissements" de details, mais ses fictions sont plutot du n'importe quoi... Il ne croyait pas a ses fictions. Autre reproche severe que je lui ferais, c'est qu'il s'amusait grandement de la culture "woke" sans voir le desastre qui s'annocait. Ted Kaczinsky, a la meme epoque et avec beaucoup moins de contacts, y a vu bien plus clair... La vision de Wallace parait embrumee par des modes ephemeres, et surtout par un respect absolument ridicule pour des taupinieres culturelles, a partir du moment ou elle sont americaines et axees sur la competition... Son dernier livre sur les ronds de cuir de la IRS en est une demonstration extreme: Que de talent gaspille a poetiser d'inculte fonctionnaires, avec toujours cette obsession tristement americaine de la competition a l'extreme, recherchee jusque dans la redaction des formulaires d'impots... Aucun recul sur quoi que soit, ou alors un faux recul.
Incroyablement virtuose sur ses essais, meme si on l'a coince sur des "embellissements" de details, mais ses fictions sont plutot du n'importe quoi... Il ne croyait pas a ses fictions. Autre reproche severe que je lui ferais, c'est qu'il s'amusait grandement de la culture "woke" sans voir le desastre qui s'annocait. Ted Kaczinsky, a la meme epoque et avec beaucoup moins de contacts, y a vu bien plus clair... La vision de Wallace parait embrumee par des modes ephemeres, et surtout par un respect absolument ridicule pour des taupinieres culturelles, a partir du moment ou elle sont americaines et axees sur la competition... Son dernier livre sur les ronds de cuir de la IRS en est une demonstration extreme: Que de talent gaspille a poetiser d'inculte fonctionnaires, avec toujours cette obsession tristement americaine de la competition a l'extreme, recherchee jusque dans la redaction des formulaires d'impots... Aucun recul sur quoi que soit, ou alors un faux recul.