Drôle d'exemple avec la collègue critique. En quoi encourager une agression est différente d'éviter la collègue agressive? Il s'agit dans les deux cas de subir. L'attitude la plus saine n'est-elle pas de dire ouvertement à la personne que l'on est incommodé par ses critiques? Ce serait plus aligné avec une stratégie qui tend à responsabiliser la personne qui autrement se croit victime. Par ailleurs, cette franchise est souvent désarmante pour les personnes qui n'attaquent en vérité que des proies facile. La dépense d'énergie serait moindre que de se laisser critiquer en simulant l'indifférence, au détriment de nos véritables émotions.
Merci de ce retour ! Oui, c’est une excellente réaction que d’interpeller la collègue si cela fonctionne. Ici, l’idée est de trouver une solution quand le bon sens n’a pas fonctionné. Pour nous, aucune réponse n’est bonne ou mauvaise dans l’absolu. Tout dépend du résulte et il faut évidemment essayer votre réaction avant de passer au virage à 180° que je propose. Il est effectivement plus coûteux en énergie. C’est à utiliser quand le reste n’a pas fonctionné. On ne propose pas des solutions mais un outil de déblocage de problème quand les réactions a priori logiques non pas marcher. Est-ce plus clair ?
Merci Marina pour cette intéressante vidéo ;-)
Merci Joëlle ! C’est sympa d’avoir pris le temps d’écouter ! Au plaisir de te revoir 😘
Merci pour cette video
Avec plaisir ! J'espère qu'elle peut être inspirante !! Belle journée !
Drôle d'exemple avec la collègue critique. En quoi encourager une agression est différente d'éviter la collègue agressive? Il s'agit dans les deux cas de subir. L'attitude la plus saine n'est-elle pas de dire ouvertement à la personne que l'on est incommodé par ses critiques? Ce serait plus aligné avec une stratégie qui tend à responsabiliser la personne qui autrement se croit victime. Par ailleurs, cette franchise est souvent désarmante pour les personnes qui n'attaquent en vérité que des proies facile. La dépense d'énergie serait moindre que de se laisser critiquer en simulant l'indifférence, au détriment de nos véritables émotions.
Merci de ce retour ! Oui, c’est une excellente réaction que d’interpeller la collègue si cela fonctionne. Ici, l’idée est de trouver une solution quand le bon sens n’a pas fonctionné. Pour nous, aucune réponse n’est bonne ou mauvaise dans l’absolu. Tout dépend du résulte et il faut évidemment essayer votre réaction avant de passer au virage à 180° que je propose. Il est effectivement plus coûteux en énergie. C’est à utiliser quand le reste n’a pas fonctionné. On ne propose pas des solutions mais un outil de déblocage de problème quand les réactions a priori logiques non pas marcher. Est-ce plus clair ?