Jean-Perre SARTHOU. Comment adapter ses terres au changement climatique

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  • Опубліковано 11 кві 2024
  • L'adaptation des terres au changement climatique est une nécessité grandissante. Jean-Pierre SARTHOU, agronome, enseignant à l'ENSAT de Toulouse donne les clefs pour réussir cette adaptation. Il indique comment améliorer l'infiltrabilité des sols et ainsi tirer parti des fortes pluies qui s'annoncent. Par ailleurs il donne également des solutions pour augmenter la capacité des plantes à puiser davantage d'eau dans les sols. Tout passe par une augmentation significative de la vie du sol.
    Réalisation P. PERVEZ La GRAN

КОМЕНТАРІ • 2

  • @fermesolsi2755
    @fermesolsi2755 3 місяці тому +1

    Bonjour, merci pour cette vidéo. Dans le cas de cultures de printemps semées en mars, l'absence ou la diminution des jours de gel rendent compliqués l'utilisation des outils à dent et je m'interdis de les passer avant l'hiver car trop éloignés du semis. Il faut reconnaitre que le labour superficiel (10-12cm) assez près du semis est loin d'être une hérésie sur la plan agronomique car la couverture hivernale est maintenue. Je constate alors que ceux qui ne labourent plus travaillent leur sol avant l'hiver et n'ont pas de couverture...
    Dans tous les cas, je pense que l'augmentation de la vie dans le sol rendra moins "néfaste" les effets d'un labour occasionnel et raisonné et permettra peut-être d'augmenter la portance des sols pour intervenir plus facilement avec des outils de non labour.

  • @laurentdenise9441
    @laurentdenise9441 3 місяці тому +3

    Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps !