Ha quelle époque.. N'écoutez surtout pas les gens qui vous diront " la nostalgie est éternelle, en 2050 vous regretterez 2021..." cest tellement faux, le paris des 30 glorieuse était magique ! Cela fait tellement longtemps que j'essaie de comprendre ce qu'il s'est passé en 30 ans ... c'est en regardant vos reportages que jai compris.. mais l'ina de nous faire revivre cette époque merveilleuse..
Vous voulez comprendre ce qui s'est passé en trente ans ? Facile, la France est majoritairement un pays de beaufs racistes où la moindre entaille dans son statu quo est presque impossible. C'est un pays qui ne sait pas vivre avec son temps, c'est pas plus compliqué que ça...
J'ai regardé cette vidéo en plein écran en mangeant une choucroute saucisses vin rouge à midi. Pour être dans l'ambiance. Un vrai voyage dans le temps. Ces archives sont fabuleuses.
Rien que du bonheur de revoir tout ça. Les tronches de l'époque au bistrot, le p'tit coup de pinard et la clope. Comme je voudrais revivre ces moments. Nostalgie, quand tu nous tiens...
@@jean-jacquesrufin6943 Oui ,peut être mais une autre vie que celle d'aujourd'hui dans une dictature qui n'avoue pas son nom .Dans une société déboussolée ,fracassée qui tous les jours laminent les individus .Individus qui peut être deviendront centenaire ,entre vaccins ,"distanciation sociale" ,gestes barrières pour échapper à la maladie ...Ah le beau rêve ,l'horizon indépassable ;le kolkhoze fleurie !
@@agnesbailly7241 Oui ça veut pas dire que tout était rose non plus, mais j'ai connu cette époque on en ds 1 époque sans odeurs, sans saveurs avec des dirigeants insipides eux aussi.
J’ai vécu cette époque ,l’époque de mon enfance ayant vécu entre Paris 9em et Pantin de 75 a 82 avant de rejoindre le Maroc .....on étaient une ribambelle de Gosses qui les week end écumaient à vélo tout les quartiers alentours Près St Gervais , Les lillas ,Belleville ,Aubervilliers etc.... quelle époque ,Paris a bien Changé ..... Certains visages de Belleville me sont très familiers surtout les tenanciers de bars qui nous offraient gratos des diabolo grenadine après des match de foot aux parc des Buttes Chaumont.....
Regardez ça au bout d’un an de confinement ça renforce le côté nostalgique, on avait déjà plus les bistrots d’avant maintenant on a plus de bistrots tout court!
C'est vraiment terrible..j'ai le souvenir d'enfance des bistrots fin 70 et début 80 à boire mon diabolo menthe en faisant des parties de flipper et en écoutant les anciens au comptoir..ça me manque tellement cette époque 😢
J’ai habité quelques mois rue StMarc entre la rue de Richelieu et l’Opera Comique. L’imprimerie de l’Aurore se trouvait dans le quartier et il y avait un petit bistrot où se retrouvaient typos et journalistes après le bouclage pour manger un sandwich avec un ballon de Côtes ou de Beaujolais. Ambiance unique.
un petit goût de nostalgie, un Paris authentique, un Paris avec sa gouaille , un Paris épris de liberté, un Paris magnifique, un Paris disparu malheureusement
Enfant mon père m' emmenait le dimanche matin chez le coiffeur juif rue Daval dans le quartier de la Roquette. Le coiffeur écoutait toujours radio Montmartre avec l'accordéon. J'avais L 'impression d' être dans un film de Louis de Funes. Ensuite on allait au PMU d' à côté pour rejoindre ses potes ouvriers : on était entre yougos, portugais, maghrébins, français, le patron Auvergnat. Et le coiffeur juif nous rejoignait pour boire son coup. Nous les mômes on remplissait le tiercé, on buvait de L Orangina ou de la grenadine et on jouait au flipper pendant que nos pères buvaient des demi, des calva, des ricards , des petits blancs...Certains fumaient des gauloises, D autres des gitanes, mon père des "Françaises sans filtre" avec son paquet bleu-blanc-rouge. Et ça rigolait et tout le monde se chambrait sur ses origines et pourtant ce n était pas du racisme. J entendais "oh vous les yougos bande de voyous-oh C'est du travail d arabe, oh toi le taulier t'as peur de ta femme C est elle qui porte le pantalon ...". Et tout le monde s'appreciait et se respectait car c' étaient des pères de familles qui trimaient dur pour nourrir ces dernieres. Apres on allait au marché Richard-Lenoir pour acheter un poulet vivant que ma mère égorgeait dans la bainnoire et le préparait par la suite. Mais tout çà c est fini maintenant, ce fut une époque insouciante, libre, où les gens savaient se contenter de l'essentiel. Nous immigrés on rêvaient de nos vacances au pays, l'auvergnat rêvait de son Auvergne natale, puis tout le monde parlait de tout des petits bonheurs de son pays où de sa région, et au final on n'était pas si différents les uns des autres. J allais à L école rue de Sevigné et je me souviens même du goût de cuivre (?) de l' eau aux robinets dans la cour de recrée. Je me souviens bien des citroën type H et de la 2 CV fourgonnette des plombiers... Heureux d' avoir connu cette époque beaucoup plus saine que celle d'aujourd 'hui.
Vu que tu raconte ta vie avec un roman, je vais faire pareil. Mon nom est Yoshikage Kira. J'ai 33 ans. Ma maison est dans la section nord-est de Morioh, là où toutes les villas sont, et je ne suis pas marié. Je travaille en tant qu'employé pour la chaîne de magasins Kame Yu, et je suis de retour chez moi tous les jours à 20 heures au plus tard. Je ne fume pas, mais je bois de temps en temps. Je suis au lit à partir de 23 heures, et je m'assure de dormir au moins huit heures, quoiqu'il arrive. Après un verre de lait chaud et environ vingt minutes d'étirements avant d'aller au lit, je n'ai généralement aucun soucis à dormir jusqu'au matin. Comme un bébé, je me réveille sans aucune fatigue ni stress le matin. On m'a dit qu'il n'y avait aucun problème à mon dernier bilan de santé. J'essaie d'expliquer que je suis le genre de personne qui désire avoir une vie très tranquille. Je m'assure de ne pas avoir de conflits avec des ennemis, comme gagner et perdre, ce qui me causerait de perdre du sommeil la nuit. C'est comme ça que je fais face à la société, et je sais que c'est ça qui m'apporte du bonheur. Bien que, si je devais combattre, je ne perdrais contre personne.
A 23:08 quand il explique le procédé de la vipère en bouteille, en 2021 un tel reportage aurait eu de sacrés problèmes ! MDR 1975, l'année de ma naissance, j'ai de vagues souvenirs de cette ambiance de bistrots de la fin des années 70. Les bistrots c'étaient des secondes maisons pour beaucoup de gens du quartier. Cette ambiance a perduré au moins jusqu'au milieu des 90's en Province. Dans mes très, très lointains souvenirs, je revois posés sur des tables des siphons d'eau de Seltz, des canons de vins rouges et des vieux portant le béret jouant à la belote ou à la manille. :)
Oui. Je suis de 76 et on peut dite que tout ça a pris fin au milieu des années 80. A l'époque les anciens étaient encore là et le mode de vie qui va avec. Le ballon de rouge au comptoir avec les oeufs durs, le gars avec ses fleurs, l'odeur du café calva, les fruits et legumes qui coutaient rien, l'ardoise chez les commerçants, les gens parlaient beaucoup entre eux, la tenue du dimanche, les charcutiers...et j'en passe.
Et ouais. En moins de 50 ans, c'est dingue. Ce qui me manque le plus c'est le manque de communication, on connaissait les voisins, et on se rendait service.
J'étais complètement transportée avec le sourire du début à la fin ! J'imaginais ma mère jeune adulte qui avait connu cette époque... D'ailleurs c'est fou mais tous le monde fumait !!
Oui, tout le monde fumait et moi, ça m'agaçait. Désormais, cette omniprésence du tabac me manque un peu car cette substance n'a pas que des torts, et les gens qui fumaient étaient également plus vifs d'esprit, ça, on l'a oublié !
@@idaalbel4080bonjour, même à cette époque il avait "des noirs et des gris". En fait, ce qui vous manque c'est peut-être de la tolérance. Non? Bonne journée
Quand j'étais étudiant dans les années 90 il y en avait encore des pti bistrots du coin de ce genre la, mais on avais la sensation que c'était en voie de disparition
Le quartier de Belleville était authentiquement ouvrier et pauvre dans les années 70, aujourd'hui il a été pris d'assaut par les bobos à vélo qui s'y sont installés et ont participé à faire exploser le prix de l'immobilier. De l'ouvrier bien franchouillard une toute autre population a investi les lieux et toutes les langues africaines ont remplacé le français. Au café on fumait sans interdictions diverses, on buvait et on cuvait mais on était heureux et libre et surtout on ne se sentait absolument pas en insécurité. Cette image de ce Paris du milieu des années 70 est à ranger dans les souvenirs avec regret.
C'est pile l'epoque ou je travaillais pres du metro Richard Lenoir 1973 1974 a Paris passage du chemin vert,un petit passage pavé datant de 2 siecles,je n'y suis pas retourné mais je pense qu'il n'existe plus, dans une petite serrurerie.le matin un bon kawa dans notre petit restau avec le comptoir en zinc et le vieux loufiat toujours stoique sortant d'un film a la Audiard ...mais plaisantant a froid.a l'anglaise.le midi filets de harengs ou oeufs mimosa,carottes...Lapin en sauce,ou blanquette de veau ..steak frites le tout arrosé d'un beaujolais ou cote du Rhone en pichet. et tout ça pour 12 frs..ouvriers,cadres,artisans femmes hommes le vendredi on terminait en chanson pour les anniversaires ou promos..quelle epoque j'en chialerais.
j'étais gamin , mon père m'achetait un livre des "pieds-nickelés" je buvais un diabolo grenadine pendant qu'il sirotait son p'tit blanc en fumant sa Gitane .oui, je suis nostalgique ...
Le drame c'est qu'aujourd'hui les gens qui vivent à Paris n'arrivent plus à communiquer entre eux normalement. Parano, peur des autres, méfiance, compétition, peur de se retrouver SDF si tu parles à un SDF, etc. La tristesse, c'est que tout ça a un impact sur la santé mentale des gens. Le nombre de déséquilibrés qu'on voit dans le métro à Paris c'est hallucinant. Tous ces gens en dérive, qui manquent d'attention, cloîtrés dans leur solitude, désespérément en quête de contact avec d'autres êtres humains. .. Pauvres gens, pourtant des gens en apparence normaux.
Moi l'autre jour dans le métro, j'ai vu une femme qui a raconté sa propre histoire à voix haute à tout le monde, et à la fin elle a dit "je ne fais pas l'aumône, je voulais juste parler à d'autres gens, c'est tout", et elle est descendue à la station suivante.
En même temps, rien qu'en 2022 (autrement dit une année de faible circulation pour cause de règles cOvidiques et de télétravail) pas moins de 54 856 personnes ont été victimes d'agressions dans les transports en commun franciliens. Là, on a largement franchi la barre du "sentiment d'insécurité", tout le monde est donc sur le qui-vive, s'habille triste et évite de porter bijoux et montre élégante par crainte d'attirer l'attention des voyous en quête d'un coup facile. Alors oui, désormais et c'est indéniable, les Parisiens sont mornes, mais cela ne tient pas qu'à leur manque de chaleur humaine, ni qu'à des raisons liées aux nouvelles technologies "de la communication".
une époque ou tout ce qui était convivial avait de l'importance, dont la clope et l'alcool, "drogues qui diminuaient l'espérance de vie"...... puis est venue une autre substance, qui diminue rien, sauf les neurones, le smartphone.... donc les gens vivaient un peu moins vieux, auj ils vivent beaucoup plus cons...et mille fois plus seuls....
C'est un univers qui m'est familier. J'ai vécu ça à casablanca quand j'étais môme dans les années 70. Mon père était propriétaire d'une brasserie au centre ville de Casa; la Brasserie Montparnasse pour les vieux de la vieille. C'était une époque à part et tellement lointaine
C'est vrai, plus humaine et plus convivial. Je travail depuis beaucoup d'années dans les cafés et ce n'est plus du tout ce que l'on voit dans ce reportage.
Cela me rappel mon pote endormi sur une banquette d'un rade,le loufiat en balayant ne l'ayant pas vu,ferme le rade a double tour.Reveil en fanfare de l'alarme que le pote a declanché la nuit,les flics arrivent avec sirenes,mon pote a passer la nuit au trou...on lui faisait raconter tous les samedis avec force gestes...souvenirs des annees 70.
Moi j’écris toujours des cartes avec certaines copines ou personnes âgées
3 роки тому+11
Ce qui est remarquable est d’entendre un journaliste qui a bien écrit son texte et qui parle normalement, sans cet affreux formatage ridicule qui sécut depuis plus de deux décennies.
L'ambiance bistrot a bien changé, Je cassais la croute à 7h30 du matin au "Prado" de Levallois après une nuit passée à livrer les épiciers de l'époque. Je suppose que cet endroit n'existe plus.
je travaillais en 1973 sur richard Lenoir a Paris C'etait l'epoque ou vous buviez un coup avec des types du genre michel Constantin.André Pousse,Ventura,Gabin,Blier, aldo maccione ,paul Franckeur...quelle poilade.vous racontez cela maintenant on ne vous crois pas ....c'etait tout les jours les meme...quand ils etaient en retard on se faisait du mauvais sang..et quand on les voyait arriver avec leur gribelles de travers,leur Limaces classes mais elimées ,leur pompes pointus bien cirées...quel soulagement.l'ambiance montait.Sincérement la camaraderie etait de sortie.
La vie n'était pas facile. Mais à comparer à celle d'aujourd'hui je me dis que étions plus heureux en 1975. Il y a encore un petit bistrot près de chez moi et j'y passe de temps en temps... Histoire de garder un contact avec le peuple dont je fais partie. Vive la campagne.
9:46 Beaucoup de choses ont changé, mais pas ça : "Un type a 5 minutes de retard, il hésite à rentrer chez lui parce que la soupe à la grimace l'attend"!
Ah la France a malheureusement bien Changé. Perdus a jamais pour l'éternité. Aujourd'hui c peuplé par la misère étrangères. Reportage qui réchauffe les cœurs, aujourd'hui c'est froid.
Avec l'hygiénisme ambiant, le glas sonne depuis longtemps pour ce genre d'endroit, berceau il faut bien le dire du cancer du poumon et de la cirrhose alcoolique (parce qu'il y a des cirrhoses qui intéressent aussi les non-buveurs, par inflammation du foie); on se surprend néanmoins à les regretter, tant ils sont bien mal remplacés par les lounge bars dans lesquels on n'ose juste pas rentrer, c'est dire; de nos jours, on ne descend plus pour un oui ou pour un non au zinc du coin, on se rentre bien vite dans sa cellule pour consommer du Netflix en prenant bien garde de ne croiser personne, et un jour on vous retrouve momifié dans votre fauteuil, juste à cause de l'odeur; n'était cette dernière, ce seraient les archéologues qui vous retrouveraient. Bien sûr, le poivrot, on l'aime de loin, bien sûr, les violences conjugales, elles en étaient quelquefois la conséquence, mais quand même, le lien social, on l'a bel et bien perdu; moi, les bistrots, je les ai fréquentés en solitaire, pour manger, à une table reculée; maintenant, on a l'impression d'une triste resucée surjouée de ce qui se faisait à l'époque, la gouaille est factice, l'habit trop neuf, et la calculette remplace le cerveau. Quant aux serveuses au tablier blanc, elles sont barrées bien loin.
Les gens boivent , fument , jouent , discutent , dansent , écoutent de la musique , rient , chantent , en un mot ils vivent . Aujourd’hui tout est interdit , on ne vit plus.
Un Bistrot c'était l'âme d'un village ou d'un quartier Maintenant tout cela est fini.Dans les années 80 la france avait au moins 11 0.000 bistrot il doit en rester 50 000.
C'est faux pour la Belgique. Leurs fameux "Bars bruns " Ont disparus aussi. Et même dans les villages où ils résidaient une quinzaine de bar ,aujourd'hui comme à Affligem il y'en a plus que trois...
Il se peut que l'une des plus haute fonction du MARCHE AU PUCES soi de donner conscience aux hommes de la grandeur qu'ils ignorent en eux. Créer c'est résister, résister c'est créer.
Paris devait être une ville formidable quand c'était encore une ville en majorité populaire. Dans cette vidéo c'est la séquence sur Belleville la plus impressionnante... Depuis, la gentrification à marche forcée a fait son travail, les gens doivent payer des loyers délirants ou bien quitter la capitale, et les propriétaires sont devenus millionnaires... Il n'y a plus d'innocence
j'ai grandi dans un bistrot de cette epoque,je suis bien content que ca n'existe plus,je n'y ai pas passe que des bons moments ,il y a eu biensur quelques fetes memorables mais a vivre au quotidien avec tous les jours les memes clients,ca peut etre assez glauque surtout quand ca se passe au fin fond de l'auvergne....
Moi, aussi ma mère à eu un bistrot et je suis bien contente qu elle ne l es plus. Merci entre alcolo qui ne savais pas ce tenir et la cigarette.. Pour nos poumons.
L'ambiance unique des estaminets qui étaient le prolongement de la maison Le bistrot de bobo ou chaque table est devenue un perimetre à rentabiliser au maximum ne pourra jamais me faire oublier le zinc d'antan
Paris, Paris, toujours Paris. Vous savez... c'était pareil en province en 1975. Même diction, même personnages, même détresse parfois. Mais partout une certaine liberté. On a beaucoup perdu avec les années
Il ya un monde dans un verre (Antoine BLONDIN ) Cordialement Ps un morceau de la France populaire... Sur le zinc d'un comptoir Atmoshere... Aurait dit... Arletti
@@amidemocrate3764 Merci pour votre réponse, en effet y a interrogation alors. Parce que c'est vraiment troublant, y a la voix et aussi la gouaille particulière de Jack Ary. Cette gouaille parigotte aux pointes d'accent du sud, c'était sa signature, étant à la fois de Paris mais natalement de l'Occitanie (je crois).
Ha quelle époque.. N'écoutez surtout pas les gens qui vous diront " la nostalgie est éternelle, en 2050 vous regretterez 2021..." cest tellement faux, le paris des 30 glorieuse était magique ! Cela fait tellement longtemps que j'essaie de comprendre ce qu'il s'est passé en 30 ans ... c'est en regardant vos reportages que jai compris.. mais l'ina de nous faire revivre cette époque merveilleuse..
Vous voulez comprendre ce qui s'est passé en trente ans ? Facile, la France est majoritairement un pays de beaufs racistes où la moindre entaille dans son statu quo est presque impossible. C'est un pays qui ne sait pas vivre avec son temps, c'est pas plus compliqué que ça...
Quelle "glorieuse", celle des ivrognes et des taudis sans sanitaires ?
Époque glauque des faux amis et pas trop fatigués par le boulot !
J’ai connu le Paris des années 70 et évidemment ses bistrots, je retrouve dans ce reportage de 1975 l’ambiance de cette merveilleuse époque.
c était mon époque de jeunesse.ces bistrots étaient très très bien.l ambiance était plus que bonne et très simple.
J'ai regardé cette vidéo en plein écran en mangeant une choucroute saucisses vin rouge à midi. Pour être dans l'ambiance. Un vrai voyage dans le temps.
Ces archives sont fabuleuses.
Le même rouge que plus haut???
Le bon moment que ça devait être !
Je voudrais bien un bon vin de Bordeaux de ma date de naissance 😅
Ouhla choucroute c'est avec un bon riesling pas du gros rouge qui tache....
@@kanafox4150 1903 c'est dur à trouver...
Rien que du bonheur de revoir tout ça. Les tronches de l'époque au bistrot, le p'tit coup de pinard et la clope. Comme je voudrais revivre ces moments. Nostalgie, quand tu nous tiens...
Le cancer du fumeur et la cirrhose du foie....
@@jean-jacquesrufin6943 Oui ,peut être mais une autre vie que celle d'aujourd'hui dans une dictature qui n'avoue pas son nom .Dans une société déboussolée ,fracassée
qui tous les jours laminent les individus .Individus qui peut être deviendront centenaire ,entre vaccins ,"distanciation sociale" ,gestes barrières pour échapper à la maladie ...Ah le beau rêve ,l'horizon indépassable ;le kolkhoze fleurie !
Oui mais on était heureux
@@agnesbailly7241 Oui ça veut pas dire que tout était rose non plus, mais j'ai connu cette époque on en ds 1 époque sans odeurs, sans saveurs avec des dirigeants insipides eux aussi.
@@agnesbailly7241 C'etait le Paris d'autrefois et maintenant c'est le Paris des migrants avec leur tentes, pauvre France.
J’ai vécu cette époque ,l’époque de mon enfance ayant vécu entre Paris 9em et Pantin de 75 a 82 avant de rejoindre le Maroc .....on étaient une ribambelle de Gosses qui les week end écumaient à vélo tout les quartiers alentours Près St Gervais , Les lillas ,Belleville ,Aubervilliers etc.... quelle époque ,Paris a bien Changé .....
Certains visages de Belleville me sont très familiers surtout les tenanciers de bars qui nous offraient gratos des diabolo grenadine après des match de foot aux parc des Buttes Chaumont.....
Merci pour le partage !
laisse béton ;)
L'ironie est que ces bistrots existent au Maroc et cest cette ambiance que tu trouves: bières, mec, cacahuètes et zero loi Evin...
Il est loin ce temps là.Hélas.
@@sdkelmaruecan2907 vous pouvez boire de l’alcool ?
Regardez ça au bout d’un an de confinement ça renforce le côté nostalgique, on avait déjà plus les bistrots d’avant maintenant on a plus de bistrots tout court!
C'est une honte!
C'est un génocide culturel des us et coutumes de la France...
C'est vraiment terrible..j'ai le souvenir d'enfance des bistrots fin 70 et début 80 à boire mon diabolo menthe en faisant des parties de flipper et en écoutant les anciens au comptoir..ça me manque tellement cette époque 😢
Ça nous rappelle qu on vit vraiment une époque triste et merdique ...si j avais la dolorean a mc fly....
Je suis bien d accord
Fini les bons temps dans les cafés bistrots avec des gens simples et des boissons pas chers et.nos chers Baby foot et flippers
J’ai habité quelques mois rue StMarc entre la rue de Richelieu et l’Opera Comique. L’imprimerie de l’Aurore se trouvait dans le quartier et il y avait un petit bistrot où se retrouvaient typos et journalistes après le bouclage pour manger un sandwich avec un ballon de Côtes ou de Beaujolais. Ambiance unique.
un petit goût de nostalgie, un Paris authentique, un Paris avec sa gouaille , un Paris épris de liberté, un Paris magnifique, un Paris disparu malheureusement
Enfant mon père m' emmenait le dimanche matin chez le coiffeur juif rue Daval dans le quartier de la Roquette. Le coiffeur écoutait toujours radio Montmartre avec l'accordéon. J'avais L 'impression d' être dans un film de Louis de Funes. Ensuite on allait au PMU d' à côté pour rejoindre ses potes ouvriers : on était entre yougos, portugais, maghrébins, français, le patron Auvergnat. Et le coiffeur juif nous rejoignait pour boire son coup. Nous les mômes on remplissait le tiercé, on buvait de L Orangina ou de la grenadine et on jouait au flipper pendant que nos pères buvaient des demi, des calva, des ricards , des petits blancs...Certains fumaient des gauloises, D autres des gitanes, mon père des "Françaises sans filtre" avec son paquet bleu-blanc-rouge. Et ça rigolait et tout le monde se chambrait sur ses origines et pourtant ce n était pas du racisme. J entendais "oh vous les yougos bande de voyous-oh C'est du travail d arabe, oh toi le taulier t'as peur de ta femme C est elle qui porte le pantalon ...". Et tout le monde s'appreciait et se respectait car c' étaient des pères de familles qui trimaient dur pour nourrir ces dernieres. Apres on allait au marché Richard-Lenoir pour acheter un poulet vivant que ma mère égorgeait dans la bainnoire et le préparait par la suite. Mais tout çà c est fini maintenant, ce fut une époque insouciante, libre, où les gens savaient se contenter de l'essentiel. Nous immigrés on rêvaient de nos vacances au pays, l'auvergnat rêvait de son Auvergne natale, puis tout le monde parlait de tout des petits bonheurs de son pays où de sa région, et au final on n'était pas si différents les uns des autres. J allais à L école rue de Sevigné et je me souviens même du goût de cuivre (?) de l' eau aux robinets dans la cour de recrée. Je me souviens bien des citroën type H et de la 2 CV fourgonnette des plombiers... Heureux d' avoir connu cette époque beaucoup plus saine que celle d'aujourd 'hui.
Vu que tu raconte ta vie avec un roman, je vais faire pareil.
Mon nom est Yoshikage Kira.
J'ai 33 ans. Ma maison est dans la section nord-est de Morioh, là où toutes les villas sont, et je ne suis pas marié.
Je travaille en tant qu'employé pour la chaîne de magasins Kame Yu, et je suis de retour chez moi tous les jours à 20 heures au plus tard.
Je ne fume pas, mais je bois de temps en temps.
Je suis au lit à partir de 23 heures, et je m'assure de dormir au moins huit heures, quoiqu'il arrive.
Après un verre de lait chaud et environ vingt minutes d'étirements avant d'aller au lit, je n'ai généralement aucun soucis à dormir jusqu'au matin.
Comme un bébé, je me réveille sans aucune fatigue ni stress le matin.
On m'a dit qu'il n'y avait aucun problème à mon dernier bilan de santé.
J'essaie d'expliquer que je suis le genre de personne qui désire avoir une vie très tranquille.
Je m'assure de ne pas avoir de conflits avec des ennemis, comme gagner et perdre, ce qui me causerait de perdre du sommeil la nuit.
C'est comme ça que je fais face à la société, et je sais que c'est ça qui m'apporte du bonheur.
Bien que, si je devais combattre, je ne perdrais contre personne.
@@ohmydiooo 😂
@@ohmydiooo t’es un goat
Merci
@@ohmydiooo le rapport avec un bon vieux bistrot ?
A 23:08 quand il explique le procédé de la vipère en bouteille, en 2021 un tel reportage aurait eu de sacrés problèmes ! MDR
1975, l'année de ma naissance, j'ai de vagues souvenirs de cette ambiance de bistrots de la fin des années 70. Les bistrots c'étaient des secondes maisons pour beaucoup de gens du quartier. Cette ambiance a perduré au moins jusqu'au milieu des 90's en Province. Dans mes très, très lointains souvenirs, je revois posés sur des tables des siphons d'eau de Seltz, des canons de vins rouges et des vieux portant le béret jouant à la belote ou à la manille. :)
On est carrément sur une autre planète maintenant! Hélas!
Une France profonde, qui hélas, à disparue de nos jours... Que de bons souvenirs.
Il y a quelques bons restes ne t'inquiète pas..
Dites tout simplement le fond de votre pensée, dites qu il n y avait pas d étrangers tout simplement
Une époque dorée qui à perdurée jusqu'au début des années 80, et qui ne reviendra probablement jamais..
@pierre pouget oh arrêter avec Macron a toutes les sauces!
Non, qui ne reviendra jamais...
Jusqu a fin 80 mi 90 je dirais
@@agnesbailly7241 mooi j'aurais dit jusque 82,3 environ
Oui. Je suis de 76 et on peut dite que tout ça a pris fin au milieu des années 80. A l'époque les anciens étaient encore là et le mode de vie qui va avec. Le ballon de rouge au comptoir avec les oeufs durs, le gars avec ses fleurs, l'odeur du café calva, les fruits et legumes qui coutaient rien, l'ardoise chez les commerçants, les gens parlaient beaucoup entre eux, la tenue du dimanche, les charcutiers...et j'en passe.
Le "fabricant de chaussures" qui s'exprime mieux qu'un ministre !!!
Quelle minute s' il vous Plait?
C'est dingue que les choses aient autant changé en 46 ans.
...et pas en mieux... 😏
Tous se cotoyaient,a present,chacun avec son portabte,tres peu de conversation.....
46 ans de gauchisme
Et ouais. En moins de 50 ans, c'est dingue. Ce qui me manque le plus c'est le manque de communication, on connaissait les voisins, et on se rendait service.
J'étais complètement transportée avec le sourire du début à la fin ! J'imaginais ma mère jeune adulte qui avait connu cette époque...
D'ailleurs c'est fou mais tous le monde fumait !!
Oui, tout le monde fumait et moi, ça m'agaçait. Désormais, cette omniprésence du tabac me manque un peu car cette substance n'a pas que des torts, et les gens qui fumaient étaient également plus vifs d'esprit, ça, on l'a oublié !
Merci à l INA gardien des archives du patrimoine audiovisuel Francais de nous éclairer sur les années passées...
La France, la vraie. Tu nous manque. 🔵⚪🔴
ManqueS, merci pour notre langue.
@@-----________----- la langue on s en tapes ces la gueule qui compte vu les gris ou noirs aujourd'hui
@@idaalbel4080bonjour, même à cette époque il avait "des noirs et des gris". En fait, ce qui vous manque c'est peut-être de la tolérance. Non?
Bonne journée
Ah ! Nostalgie quand tu nous tiens... 👍🍻🍷
Quel bonheur de revoir ce souvenir, ces Temps que l’on regrette tant, si FRANÇAIS. 💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙
Chacun et chacune s’expriment parfaitement dans un français magnifique 😍
Il va falloir s'habituer à écrire : "Chacun.e s'exprime parfaitement dans un français magnifique". Vive l'inclusif !
@@FMontmirel Vous savez pas lire ou quoi ? Le commentaire auquel vous répondez, c'est déjà de l'inclusif. Inculte va !
Quelle époque terne et fade nous vivons...
Merci l'INA.
C'est vous qui êtes terne et fade😘
Belle époque, nostalgie quand tu nous tiens...
Merci pour ce témoignage audiovisuel d’un patrimoine sacrifié et à jamais disparu!
maintenant les bistros sont devenus des repères à bobos
tout ça pour refourguer ça aux kabyles puis les kébyles aux chin...aah je peux pas!
sacrifie par nous tous.
Pk sacrifier
ils se sont tirés eux-mêmes une balle dans le pied. Ils sont restés dans leur bulle sans voir que la clientèle n’avait plus les mêmes habitudes .
quelle etait belle cette epoque ( un algerien)
Oh oui pour ceux qui l ' ont vécu et c ' été la classe les maghrébin d hier aujourd hui la technologie a balayé tout ça😞
Repose en paix la France
Amen
@@mija8781 Amin plutôt
@@jean-jacquesrufin6943 Salut Amine enchantée .
Allez Louis haaaa que c'est boooon...
Vous l enterré un peu vite
Quand j'étais étudiant dans les années 90 il y en avait encore des pti bistrots du coin de ce genre la, mais on avais la sensation que c'était en voie de disparition
J'adore ces archives INA !!!
Merveilleux!!!!! Merciiiiiii
Ce parler... c etait une superbe epoque..
Le quartier de Belleville était authentiquement ouvrier et pauvre dans les années 70, aujourd'hui il a été pris d'assaut par les bobos à vélo qui s'y sont installés et ont participé à faire exploser le prix de l'immobilier.
De l'ouvrier bien franchouillard une toute autre population a investi les lieux et toutes les langues africaines ont remplacé le français.
Au café on fumait sans interdictions diverses, on buvait et on cuvait mais on était heureux et libre et surtout on ne se sentait absolument pas en insécurité. Cette image de ce Paris du milieu des années 70 est à ranger dans les souvenirs avec regret.
C'est vrai les temps des colonies est bien fini !
Donc les africains habitent dans des appartements chers? Comme il n’y a plus de bistrots tu bois à la maison apparemment...
Merci pour ce témoignage comme c’est malheureusement vrai
Quel rapport vous ??!!
Maintenant tu as le cas Stalingrad très médiatisé, avec ses junkies, tapages nocturnes et j'en passe. Même la Police est résignée c'est dire.
Ça fait du bien ce reportage et de ces souvenirs du vrai Paris…
Merci L’INA😊
C'est pile l'epoque ou je travaillais pres du metro Richard Lenoir 1973 1974 a Paris passage du chemin vert,un petit passage pavé datant de 2 siecles,je n'y suis pas retourné mais je pense qu'il n'existe plus, dans une petite serrurerie.le matin un bon kawa dans notre petit restau avec le comptoir en zinc et le vieux loufiat toujours stoique sortant d'un film a la Audiard ...mais plaisantant a froid.a l'anglaise.le midi filets de harengs ou oeufs mimosa,carottes...Lapin en sauce,ou blanquette de veau ..steak frites le tout arrosé d'un beaujolais ou cote du Rhone en pichet. et tout ça pour 12 frs..ouvriers,cadres,artisans femmes hommes le vendredi on terminait en chanson pour les anniversaires ou promos..quelle epoque j'en chialerais.
Ah c'était pas le Paris sauce Hidalgo !!
C'était le Paris des petits bistrots .....
Pas des bobos .....
Tu m'étonnes !
la maire de Paris elle devait quitter Paris elle est ne sais rien faire pour Paris loin de la en bonne entendeur bye
@@jacquelinemonet3963 oui c'est bien vrai que Paris c'était trop bien
j'étais gamin , mon père m'achetait un livre des "pieds-nickelés" je buvais un diabolo grenadine pendant qu'il sirotait son p'tit blanc en fumant sa Gitane .oui, je suis nostalgique ...
Pareil pour moi !
On doit être de la même génération. !
J’avais 7 ans en 75
@@agnesbailly7241 Moi aussi ........quand je vois ça , j'ai envie de chialer ..... La France qu'on nous à volée
dans les contrées lointaine de la France profonde ça existe toujours rassurez- vous .
Donnez moi des adresses svp
C’est à dire monsieur c ?!
Oui il faut aller loin ds les trous perdus, où il existe encore quelque chose de semblable exact
J'avais beaucoup de souvenir sur le bistrot ,où j'ai travaillé de 1973 a1977
Le drame c'est qu'aujourd'hui les gens qui vivent à Paris n'arrivent plus à communiquer entre eux normalement. Parano, peur des autres, méfiance, compétition, peur de se retrouver SDF si tu parles à un SDF, etc. La tristesse, c'est que tout ça a un impact sur la santé mentale des gens. Le nombre de déséquilibrés qu'on voit dans le métro à Paris c'est hallucinant. Tous ces gens en dérive, qui manquent d'attention, cloîtrés dans leur solitude, désespérément en quête de contact avec d'autres êtres humains. .. Pauvres gens, pourtant des gens en apparence normaux.
Oui vous avez raison
Toutes ces technologies ont fait qu il n’y a plus de communications etc
Moi l'autre jour dans le métro, j'ai vu une femme qui a raconté sa propre histoire à voix haute à tout le monde, et à la fin elle a dit "je ne fais pas l'aumône, je voulais juste parler à d'autres gens, c'est tout", et elle est descendue à la station suivante.
Sans compter les suicides.
En même temps, rien qu'en 2022 (autrement dit une année de faible circulation pour cause de règles cOvidiques et de télétravail) pas moins de 54 856 personnes ont été victimes d'agressions dans les transports en commun franciliens. Là, on a largement franchi la barre du "sentiment d'insécurité", tout le monde est donc sur le qui-vive, s'habille triste et évite de porter bijoux et montre élégante par crainte d'attirer l'attention des voyous en quête d'un coup facile. Alors oui, désormais et c'est indéniable, les Parisiens sont mornes, mais cela ne tient pas qu'à leur manque de chaleur humaine, ni qu'à des raisons liées aux nouvelles technologies "de la communication".
INCROYABLE le monsieur qui chante au début !!!!
Même son petit commentaire
Fermez les yeux et vous entendez Didier Benureau
Comme c'est étrange de ne voir personne avec un smartphone dans les mains ou collé à l'oreille. Nous étions donc des humains ?
Et pas de télé ou de musique a fond les ballons, toute une époque !
une époque ou tout ce qui était convivial avait de l'importance, dont la clope et l'alcool, "drogues qui diminuaient l'espérance de vie"...... puis est venue une autre substance, qui diminue rien, sauf les neurones, le smartphone.... donc les gens vivaient un peu moins vieux, auj ils vivent beaucoup plus cons...et mille fois plus seuls....
Comme votre analyse est belle
Merci !
Pas de smartphone a la mains, cigarettes a la bouche a la place
@@crissswe6344 Bravo
C'est un univers qui m'est familier. J'ai vécu ça à casablanca quand j'étais môme dans les années 70. Mon père était propriétaire d'une brasserie au centre ville de Casa; la Brasserie Montparnasse pour les vieux de la vieille. C'était une époque à part et tellement lointaine
À nos chers piliers de bar vivants ou trépassés. Tchin !
Rendez-nous cette vie. 🍺🥃🍸🧀🥖🍳🧈🥓🥩🍗🍮🍰☕️🍻🥂🍖🥪
Oui !!
?????
Si vous avez transmis ces valeurs à vos enfants c'est tout ce qui compte. Sinon résignez vous en attendant la tombe.
C'est fini ce temps là et c'est triste.
À votre santé 🍷 !
tchin
excellent, j'adore, merci l'INA !!! la vidéo restera une archive "vivante"
Merci pour toutes ces videos qui redonnent le moral dans ce monde de brutes.
Ahhh...les bistrots de mon adolescence,ceux ou on pouvait cloper dedans!!!Les baby-foot,flippers et les nombreux godets!
Eh oui!! On est pas prêt d y retourner..
Si on était 10 au flipper, tu buvais dix godets !
C'était quand même la belle époque
Une époque formidable !
C’était encore la France de mon enfance😢
Mais c'est quoi un bistrot ? Je ne sais même plus, depuis le temps 😔
Ca ne suçait pas que des glaçons à l'époque.
Qu'est-ce que la vie était plus joyeuse et auhentique.
C'est vrai, plus humaine et plus convivial.
Je travail depuis beaucoup d'années dans les cafés et ce n'est plus du tout ce que l'on voit dans ce reportage.
affirmatif!! moins de stress moins de matraquage contre lacool et la clope
les gens parlaient, se rencontraient, communiquaient. Maintenant, ils sont tous au McDo avec des portables dans les mains
@@maximec7996 et a se la peter..
@@maximec7996 non au KFC aussi
Cela me rappel mon pote endormi sur une banquette d'un rade,le loufiat en balayant ne l'ayant pas vu,ferme le rade a double tour.Reveil en fanfare de l'alarme que le pote a declanché la nuit,les flics arrivent avec sirenes,mon pote a passer la nuit au trou...on lui faisait raconter tous les samedis avec force gestes...souvenirs des annees 70.
C'était vraiment une belle ambiance
Comme Mexicain à Paris, j'adore ce genre de vidéos. C'est la ville bien avant de la gentrification.
Absolutamente. Se fue mi pueblo...entonces me fui de mi pueblo también.🥺
Et le mec qui porte une veste méxicaine !! C'était la mode en 1975 en France.
Ou le poncho !
J’ai celui de ma mère !
merci, super époque.
Le monsieur qui chante au debut , il a piqué son gilet en laine à Strarsky! ;)
Les smartphones ont remplacé les cartes... quelle tristesse
Quelle tristesse en effet
Les pieces annees 80 ..encore mieux.
Moi j’écris toujours des cartes avec certaines copines ou personnes âgées
Ce qui est remarquable est d’entendre un journaliste qui a bien écrit son texte et qui parle normalement, sans cet affreux formatage ridicule qui sécut depuis plus de deux décennies.
L'ambiance bistrot a bien changé, Je cassais la croute à 7h30 du matin au "Prado" de Levallois après une nuit passée à livrer les épiciers de l'époque. Je suppose que cet endroit n'existe plus.
les 2 saules où tu mangeais un boudin frites dehors sur les grandes tables à 5 balles vers 78 79
Love it 😉 ah la belle epoque 😧ca manque
le temps passe, les souvenirs restent
Heureusement et c'est rassurant ......
C'était le beau, le vrai Paris. La vraie France.
Beau reportage .
Je ne m'en lasse pas de tous les regarder ....
C est vrai un petit verre de vin en terrasse formidable au calme
*Quand on voit où le "progressisme" nous a conduit ça fout la rage !!!*
_Merci "INA" pour vos magnifiques vidéos souvenirs._
🍷Merci pour la vidéo.🍷
Mon diabolo menthe me manque tellement .... 🥲
Il m'arrive encore d'en boire de temps en temps ......
je travaillais en 1973 sur richard Lenoir a Paris C'etait l'epoque ou vous buviez un coup avec des types du genre michel Constantin.André Pousse,Ventura,Gabin,Blier, aldo maccione ,paul Franckeur...quelle poilade.vous racontez cela maintenant on ne vous crois pas ....c'etait tout les jours les meme...quand ils etaient en retard on se faisait du mauvais sang..et quand on les voyait arriver avec leur gribelles de travers,leur Limaces classes mais elimées ,leur pompes pointus bien cirées...quel soulagement.l'ambiance montait.Sincérement la camaraderie etait de sortie.
La vie n'était pas facile.
Mais à comparer à celle d'aujourd'hui je me dis que étions plus heureux en 1975.
Il y a encore un petit bistrot près de chez moi et j'y passe de temps en temps... Histoire de garder un contact avec le peuple dont je fais partie.
Vive la campagne.
9:46 Beaucoup de choses ont changé, mais pas ça : "Un type a 5 minutes de retard, il hésite à rentrer chez lui parce que la soupe à la grimace l'attend"!
Et qu'on nous parle plus de progrès !
Ah la France a malheureusement bien Changé. Perdus a jamais pour l'éternité. Aujourd'hui c peuplé par la misère étrangères. Reportage qui réchauffe les cœurs, aujourd'hui c'est froid.
Belle époque !!!
c'était ça la France dont on était fier...maintenant même si c'est mondial, la France a tout perdu de son prestige.
Les gens parlaient bien et avaient du vocabulaire ! ( Oui, je sais qu’on le dit de chaque reportage d’antan…)
C'est une vérité invariable
@@henrypilaff6806 La faute aux ainés qui ont failli de transmettre ça à la génération d'après, pas plus compliqué !
Avec l'hygiénisme ambiant, le glas sonne depuis longtemps pour ce genre d'endroit, berceau il faut bien le dire du cancer du poumon et de la cirrhose alcoolique (parce qu'il y a des cirrhoses qui intéressent aussi les non-buveurs, par inflammation du foie); on se surprend néanmoins à les regretter, tant ils sont bien mal remplacés par les lounge bars dans lesquels on n'ose juste pas rentrer, c'est dire; de nos jours, on ne descend plus pour un oui ou pour un non au zinc du coin, on se rentre bien vite dans sa cellule pour consommer du Netflix en prenant bien garde de ne croiser personne, et un jour on vous retrouve momifié dans votre fauteuil, juste à cause de l'odeur; n'était cette dernière, ce seraient les archéologues qui vous retrouveraient. Bien sûr, le poivrot, on l'aime de loin, bien sûr, les violences conjugales, elles en étaient quelquefois la conséquence, mais quand même, le lien social, on l'a bel et bien perdu; moi, les bistrots, je les ai fréquentés en solitaire, pour manger, à une table reculée; maintenant, on a l'impression d'une triste resucée surjouée de ce qui se faisait à l'époque, la gouaille est factice, l'habit trop neuf, et la calculette remplace le cerveau. Quant aux serveuses au tablier blanc, elles sont barrées bien loin.
Fragments d' un monde disparu ; Lénine aurait dit : " Les bistrots sont les salons du prolétariat."
Belle époque.... Même le flic du quartier payait sa tournée de beaujolais...
Pas que a paris.. De partout pareil.... Ça me manque.. Mes parents tenaient un bar à cette époque... Baby-foot pour les gosses😁😁
Paris 1975 magnifique !
La motobécane TT. Et la 99. !
Les gens boivent , fument , jouent , discutent , dansent , écoutent de la musique , rient , chantent , en un mot ils vivent . Aujourd’hui tout est interdit , on ne vit plus.
C'est pour ça que l'autre et sa compagnie doivent dégager en 2022, on va pas s'en retaper 5 ans, non merci on a donné !
@@julienrobilliard7899 Vous avez raison, ce sera sûrement beaucoup mieux avec Marine ou Jean-Luc ! LOL
Excellent
Un Bistrot c'était l'âme d'un village ou d'un quartier Maintenant tout cela est fini.Dans les années 80 la france avait au moins 11 0.000 bistrot il doit en rester 50 000.
@annick bridier : 600.000 bistrots en France en 1960, à peine 30.000 en 2020 avant le covid. Combien rouvriront après la crise?
Le commentateur est l'ancêtre du sketch radio de la chasse à la plombière
Quelle belle ambiance j aimerait bien voir ça existe plus et puis c'est trop cher maintenant
Cette ambiance vous manquent ? Retrouvez-là en Belgique ;)
Oui mais la Belgique ce n'est pas Paris ...
moi j'adore la Belgique, cette ambiance y existe encore. Vive les Belges 😀
@@dradenhaven1549 Oui mais beaucoup bistrots ont gardé leur charme d'Antan
C'est faux pour la Belgique.
Leurs fameux
"Bars bruns "
Ont disparus aussi.
Et même dans les villages où ils résidaient une quinzaine de bar ,aujourd'hui comme à Affligem il y'en a plus que trois...
Ou donc ?
Tournée générale !!
Avec le moulin à cacahouètes sur le zinc...,
Il se peut que l'une des plus haute fonction du MARCHE AU PUCES soi de donner conscience aux hommes de la grandeur qu'ils ignorent en eux.
Créer c'est résister, résister c'est créer.
Il y avait une vie sur Terre!! Rien a voir avec cette triste époque!!
Paris devait être une ville formidable quand c'était encore une ville en majorité populaire. Dans cette vidéo c'est la séquence sur Belleville la plus impressionnante...
Depuis, la gentrification à marche forcée a fait son travail, les gens doivent payer des loyers délirants ou bien quitter la capitale, et les propriétaires sont devenus millionnaires... Il n'y a plus d'innocence
j'ai grandi dans un bistrot de cette epoque,je suis bien content que ca n'existe plus,je n'y ai pas passe que des bons moments ,il y a eu biensur quelques fetes memorables mais a vivre au quotidien avec tous les jours les memes clients,ca peut etre assez glauque surtout quand ca se passe au fin fond de l'auvergne....
Beaucoup trop d’alcoolisme à mon goût..
Moi, aussi ma mère à eu un bistrot et je suis bien contente qu elle ne l es plus.
Merci entre alcolo qui ne savais pas ce tenir et la cigarette.. Pour nos poumons.
L'ambiance unique des estaminets qui étaient le prolongement de la maison
Le bistrot de bobo ou chaque table est devenue un perimetre à rentabiliser au maximum ne pourra jamais me faire oublier le zinc d'antan
Paris, Paris, toujours Paris. Vous savez... c'était pareil en province en 1975. Même diction, même personnages, même détresse parfois. Mais partout une certaine liberté. On a beaucoup perdu avec les années
Tous ces gens se reposent désormais...
Tu plaisantes, avec toutes nos conneries ils ont un boulot de dingue de l'autre coté, au contraire !
ça donne soif .
Oui .... d'ailleurs, à votre santé !
La chanson du début c'est: "Lucienne Delyle - Non... Ne dis pas non !"
Il ya un monde dans un verre (Antoine BLONDIN )
Cordialement
Ps un morceau de la France populaire... Sur le zinc d'un comptoir
Atmoshere... Aurait dit... Arletti
C'est pas la voix de Jack Ary ? L'acteur, grand second rôle (même le commissaire dans Le Corniaud)
Jack Ary est mort en 1974...le reportage date de 1975. Difficile à dire si c'est lui ou non.
@@amidemocrate3764 Merci pour votre réponse, en effet y a interrogation alors. Parce que c'est vraiment troublant, y a la voix et aussi la gouaille particulière de Jack Ary. Cette gouaille parigotte aux pointes d'accent du sud, c'était sa signature, étant à la fois de Paris mais natalement de l'Occitanie (je crois).
Bravo!👍👍👍🌷🍹💛💖💜