Vincent d'Indy : Istar, Variations symphoniques Op. 42 (1896)

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  • Опубліковано 4 сер 2024
  • I. Très lent 00:00-03:30
    II. Un peu plus animé 03:20-06:10
    III. Tres animé 06:10-10:05
    IV. Le double plus vite 10:05-13:05
    Performed by Orchestre Philharmonique des pays de Loire conducted by Pierre Dervaux.

КОМЕНТАРІ • 7

  • @maxmerry8470
    @maxmerry8470 2 роки тому +5

    A tale from Assyrian mythology lies at the heart of this lovely set of variations : the goddess Istar has to remove one item of clothing at each of the seven doors to the underworld so that her lover can be rescued! As always with d'Indy, there is some tremendous orchestration which includes imaginative instrumental textures.
    I'm fairly sure this was only the second of the composer's works I heard, many years ago, after the Symphony on a French Mountain Air.

    • @maxmerry8470
      @maxmerry8470 2 роки тому +4

      Striptease music, as far as I understand (!), never sounded like this......

    • @MarquisDeSacks
      @MarquisDeSacks 2 роки тому +3

      @@maxmerry8470 Indeed, Ishtar was the Babylonian goddess of both love AND war. That combination of divine portfolios has always made Ishtar for me to be one of the most interesting and psychologically complex of all the ancient love goddesses and I feel as if that tension and seeming pair of contradictory natures was rather deftly realized in d'Indy's splendid tone poem. To me, only Prokofiev's "Seven, They are Seven" cantata manages to surpass this piece in so perfectly capturing the spirit of ancient Mesopotamia - a subject that nearly matches classical music, itself, in terms of holding my fascination.

  • @remixuereb
    @remixuereb 2 роки тому +3

    Vraiment très intéressant , merci de sortir ces trésors uniques et jamais ( ou presque jamais) exécutés que mis sous la pile des trop joués au risque d'avoir une idée presque fausse de ce que c'est dans son étendue la Musique Classique ..
    J'apprécie beaucoup votre démarche mûre de connaisseur très méthodique de quasi archivage ( bien que cela soit impossible sur internet ) des laissés pour compte de ceux qui comptent , et vraiment vous ouvrez des portes ( pas celles de Babylone mais seulement d'Istar :--)) un véritable coup de starter d'une science consommée de l'éloquence avec un peu de pathétique dans la musique chez d'Indy ici ..
    Quel bonheur que cette "marée " progressive montante de l'orchestre et ce léger reflux à 10' qui se résout avec plus d'ampleur dans une fugue moderne comme retardée , le Romantisme est anecdotiquement l'époque des trains qui n'arrivent pas à l'heure ( la guerre de 1870 et les incidents des locomotives en surchauffe ) .. A 11' 4O" environ nous avons cette lamentation presque déchirante des violons un peu semblable à celle de Roméo et Juliette de Berlioz dans la cène d'amour du jeune couple mythique .. Puis la montée presque cosmique de l'intensité du sentiment et de la passion .. Ah , ces moments de musique sont sublimes chez Vincent d'indy , inattendus !
    Que l'on est loin ici avec bonheur de la froideur cadavérique d'une oeuvre de Boulez , vive feu Dutilleux tout de même ..
    Merci, cela faisait longtemps que je n'avais pas autant éprouvé de plaisir esthétique musical intense, grâce à Rodders ..

  • @notnek202
    @notnek202 2 роки тому

    I love me some d’Indy.

  • @wendychen5779
    @wendychen5779 2 роки тому +1

    This symphonic variation of d'Indy's includes, in my opinion, Salome's "Dance of the Seven Veils" in a less passionate and sensational fashion by way of a long drawn-out orchestral narration.