Elisabeth Chojnacka (harpsichord) l'Avant-garde du passé

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  • Опубліковано 18 лис 2024

КОМЕНТАРІ • 16

  • @RikdeGroot-c2o
    @RikdeGroot-c2o Рік тому +2

    Een van mijn all time favorite klavecimbelalbums. In de jaren 80 bij toeval gekocht en helemaal grijs gedraaid. Wat een dynamiek, temperament en frasering! En natuurlijk de repertoirekeuze. Hoe virtuoos speelt Elisabeth die ground 'Upon La Mi Ré' waar kant 2 mee opent. Een soort vuurwerk. Spetterende rechterhandimprovisaties over een paar donkere grondtonen. Later heeft ze zich gestort op de avant-garde van haar eigen tijd, maar die van het verleden vertolkte ze ook op onovertroffen wijze. Eigenlijk jammer dat ze maar in kleine kring wereldberoemd was/is.

    • @HarpsichordVinylGallery
      @HarpsichordVinylGallery  Рік тому

      Ik ben het met je eens. Ze was een grootheid en in de moderne muziek was ze wel heel geliefd onder componisten. Heb haar zelf één keer bij een optreden gezien in de Ysbreker in Amsterdam in 1994. Ze speelde toen o.a. Programme Commun pour clavecin et Bande van Luc Ferrari en dat was destijds en nog steeds één van mijn favoriete stukken. Het kon niet meer stuk. Ze speelt op UA-cam ook het klavecimbelconcert van Gorecki zo wonderschoon en ijzig kalm.
      Grappig is ook dat de beheerster van het archief van E.C. in Polen (ook een klaveciniste) me om wat filmpjes vroeg voor een symposium in Polen.
      Hopelijk krijgt ze meer aandacht in de toekomst.

  • @PETROSkbls
    @PETROSkbls 6 років тому +6

    What a unique performer Chojnacka was! Thank you for making all these amazing recordings available to listen. Everything you shared these last few days have been spectacular.

    • @HarpsichordVinylGallery
      @HarpsichordVinylGallery  6 років тому +1

      Yes, she is a favourite of mine too. Saw her in 1992 performing live here in Amsterdam and it was more than impressive in one of my all-time best harpsichord pieces Program Commun pour clavecin et bande magnetique and she played it exactly like the recording (only the bande magnetique was not like the recording, it was too soft or too loud I don';t know anymore)! Better thank Robert Tifft for the last recordings who provided many of these gems

    • @irineoromero9398
      @irineoromero9398 6 років тому +1

      So out of the ordinary and DEEE-LIGHT-FUL collection of pieces! She's not only pretty but uncommonly talented. Thank you for sharing this treasure of a recording.

    • @HarpsichordVinylGallery
      @HarpsichordVinylGallery  6 років тому

      She inspired many contemporary composer to write pieces for the instrument and so to keep the instrument and repertoire alive

  • @_PROCLUS
    @_PROCLUS 5 років тому +1

    Elisabeth Chojnacka (born Elżbieta Ukraińczyk 1939 - 2017 ... one of the world's foremost harpsichordists specializing in the performance of contemporary harpsichord music … She earned a degree from the Fryderyk Chopin Music Academy in Warsaw in 1962, after which she moved to Paris, where she studied with Aimée van de Wiele. She presented the premiere performances of many works for harpsichord, both solo as well as with ensemble and/or electronics. Over 80 composers dedicated works to her. While she was known particularly for her performance of new music, she also played early music … In performance, she generally performed with her harpsichord slightly amplified. She formerly taught at the Mozarteum University of Salzburg in Salzburg, Austria, beginning in 1995. She won the Grand Prix du Disque for Modern Music in 2003 … WIKI

  • @nostalgicmodernist1399
    @nostalgicmodernist1399 6 років тому +3

    Besides old favorites -- the Froberger and L. Couperin -- it's great to find so many wacky unknown gems! Some really amazing pieces on here!

  • @HarpsichordVinylGallery
    @HarpsichordVinylGallery  6 років тому +1

    *_Sleeve Notes by Pierre-Paul Lacas in the French language 1/1_*
    En tout temps, les authentiques créateurs ont
    bousculé les grilles stylistiques délimitant
    l'espace reconnu des joies esthétiques coutumières.
    Occupant la place que l'on sait dans la musique
    contemporaine, Elisabeth Chojnacka est partie à
    la recherche de ces éléments qui injectèrent un sang
    neuf dans l'univers sonore. C'est de cette place même
    que son regard sur l'histoire de la musique de clavecin
    trouve sa spécificité: rapport entre la modernité du
    passé et la musique d'aujourd'hui, en soulignant ce
    qui nous rapproche d'hier au lieu de l'éloigner de
    nous. Ce en quoi cette démarche est profondément
    originale, si appuyée soit-elle sur la connaissance des
    règles d'interprétation des musiques anciennes telles
    _ qu'elles donnent lieu aux reconstitutions historisques
    si prisées de nos jours; mais elle diffère d'elles (d'où
    le choix d'un superbe clavecin Anthony Sidey), car
    c'est à travers le regard moderne qui est le sien qu'elle
    porte attention à l'inouï contemporain en même
    temps qu'elle est sensible aux jaillissements qui préfigurent,
    dans le passé, l'avènement ultérieur de composantes
    du langage qui n'ont réellement pris corps
    qu'à partir de la fin du XIXème siècle. Ainsi se metelle
    à l'écoute de l'avant-garde du passé pour en
    recueillir comme la quintessence de la modernité
    caractéristique, à la mesure personnelle de sa sensibilité
    d'interprète. Le choix des oeuvres retenues ne prétend
    pas, bien sûr, à l'exhaustivité; il concerne essentiellement,
    à l'exception d'une page du XVIlIème siècle,
    une période allant de 1520 à 1650. Sommairement,
    nous dirons que ces nouveautés d'hier furent
    soit assimilées au langage ordinaire, soit isolées
    comme pour défier le temps. Toute modernité n'est
    donc pas passagère; c'est surtout le cas de la construction
    formelle libérée des entraves de cadres rigides
    préétablis. En revanche, ce qui concerne la dissonance
    ou la combinatoire rythmique peut plus facilement
    être intégré dans le langage.
    -Relativement peu connu, Jean de MACQUE (v. 1550-
    1614) est un de ces innombrables franco-flamands qui
    gagnèrent l'Italie; il y fut un organiste de renom.
    Père du chromatisme, son influence fut déterminante
    sur Luzzaschi, Gesualdo et Frescobaldi, et à travers
    eux sur Monteverdi. Les deux Stravaganze témoignent
    de sa recherche rythmique: à côté de passages
    fermement charpentés, voisinent des sections de
    caractère intensément mélancolique et fort libres; de
    fréquentes modulations non préparées dans les gammes
    en mouvement contraire (première Stravaganza)
    illustrent sa manière si personnelle. En outre, son
    style préfigure une interprétation propre au Baroque,
    dont Frescobaldi indiquera ultérieurement les règles
    dans sa Préface au Fiori musicali (1635). Extravagances
    nobles, s'il en fut!
    De GESUALDO (v. 1560-1613?), une seule oeuvre
    pour clavier nous est connue, la Canzon francese dei
    Principe. Le grand madrigaliste propose ici une progression
    dynamique qui tranche sur les habitudes
    d'alors; de courts passfges en imitation (fugato) sont
    séparés par d\!s sections entièrement libres où se
    déploie une fantaisie débridée; on retrouve également
    le langage harmonique si personnel du compositeur
    tel qu'il l'utilise pour les voix.
    L'oeuvre de John BULL (v. 1562-1628), intitulée
    "Ut, ré, mi, fa, sol, la", mérite une présentation
    détaillée. Elle figure dans le Fitzwilliam Virginal
    Book. Sa structure la range dans ces nouveautés in-
    temporelles de l'avant-garde de toujours. Le compositeur
    expérimente une modulation enharmonique
    systématique qui semble prouver que, près d'un siècle ·
    avant J .-S. Bach, une sorte de tempérament égal
    pouvait être connu. Les dernières variations exploitent
    des figures rythmiques inattendues, notamment
    la 15ème qui associe une ronde sur deux blanches, un
    triolet de blanches et les différentes présentations
    d'un triolet de blanches à quatre notes. Quelle préfiguration
    des manières d 'aujourd 'hui de combiner
    -les figures rythmiques!
    Exacerbation du chromatisme, dans un climat voisin
    du maniérisme, mélange tonal/modal (surtout dans la
    progression chromatique, dix-neuf mesures avant la
    . fin, qui sonne déjà comme du Wagner !), liberté harmonique,
    effractions dans le discours offrent un
    modelage de ruptures des moyens sonores dans la
    Toccata settima de Michelangelo ROSSI (mort en
    . 1656). Cet élève de Frescobaldi n'est pas si éloigné de
    Froberger (1616-1667) dont les deux oeuvres enregistrées
    figurent en bonne part au répertoire du clavecin
    : Lamentation sur la mort de Ferdinand III et
    Tombeau de Monsieur de Blancheroche. Du point de
    vue qui nous occupe, ne faut-il pas affirmer qu'elles
    font éclater tous les cadres formels, non seulement
    antérieurs, mais postérieurs? Hors du commun, par
    tout ce qui est à l'opposé du modéré, par la passion
    et l'élan dramatique, et ce à travers le langage d'incertitude
    tonale et de chromatisme.
    C'est avec des accents eux aussi passionnés, au moyen
    notamment d'un chromatisme lent, qu'Azzolino Bernardino
    DELLA CIAJA (1671-1755) nous touche,
    surtout dans ce passage médian de cette Toccata,
    empreinte d'un lyrisme à l'expression déjà romantique,
    si proche d'un Schumann.
    Dans le domaine de la danse, les nouveautés tant
    d'ordre expressif que dynamique jalonnent l'histoire
    de la musique de clavier, depuis le célèbre Hornepype
    de Hugh ASTON (mort après 1549) ; c'est la pièce la
    plus développée de son temps: 154 mesures. Tout à
    fait étonnante pour son époque, par l'intensification
    dynamique interne de son écriture, par opposition au
    caractère statique traditionnel de la variation. - A
    côté du Passamezzo de Giovanni PICCHI (début
    du XVIIème siècle), construit sur une basse mélodique
    couverte et traitant une variation à virtuosité
    variable, le Ground - basse obstinée - d'un
    anonyme anglais (environ moitié du XYlème siècle) :
    . Upon La Mi Ré se caractérise par une liberté harmonique
    surprenante à la limite de la polytonalité. La
    verdeur et l'allant du Ballo alla polacca (début du
    XVII siècle) - écoutez le tremolo initial - fera net
    contraste expressif avec la danse grave qu'est la célèbre
    Pavane "sur le vieil ton de la chèvre" - soit fa
    dièse mineur - de Louis COUPERIN (v. 1626-1661)
    aux harmonies audacieuses, aux frottements savoureux
    : ainsi ce sol dièse à la basse contre un sol naturel
    au sopraIlQ, qui a décidé un éditeur d'aujourd'hui à
    indiquer en note : "Ce sol dièse se trouve dans la
    source originale et l'éditeur le trouve non seulement
    correct, mais beau" ...
    L'éloquence persuade en empruntant des chemins
    parfois peu fréquentés, voire totalement délaissés du
    commun, et, comme le dit Flaubert: "chaque oeuvre
    d'art a sa poétique spéciale en vertu de laquelle elle est
    faite et subsiste" (Education sentimentale).
    Pierre-Paul LACAS.

  • @HarpsichordVinylGallery
    @HarpsichordVinylGallery  6 років тому

    *_Sleeve Notes by Pierre-Paul Lacas in an English translation by John Underwood 1/1_*
    The truly creative artist has ever displayed a
    certain disregard for the conventional boundaries
    his contemporaries have recognised as
    the appropriate terrain for aesthetic delight. In her
    turn, Elisabeth Chojnacka, well-known as one of the
    pioneers of modern music, has set out to seek those
    elements that would inject new blood into the world of
    sound. It is by virtue of this very stance that her
    approach to harpsichord music acquires its particular
    quality : the relation between what was modern in the
    past and what is modern today, with the emphasis on
    all that brings us closer to the past rather than on the
    distance that separates us from it. And in this her work
    is profoundly original, although it does not prevent her
    being familiar with the rules of interpretation of early
    music of the kind that give rise to the historical reconstitutions
    that are so highly valued today; but her
    approach differs from these (hence her choice of a
    superb harpsichord by Anthony Sidey), for she uses her
    own, modern, ear to seek out contemporary innovation
    at the same time as she reacts to those forms in the
    past that foreshadow the later appearance of elements
    of musical language that did not really take shape until
    after the turn of this century. In this way she listens for
    the avant-garde of the past so as to gather, as it were,
    the quintessence of what is characteristic of modernity
    in terms of her personal sensibility as a performer.
    There is, of course, no claim that the works chosen
    here are exhaustive. They come essentially, and with
    the one exception of an XVIIIth century work, from
    the period 1520 - 1650. Briefly, one might say that these
    innovations of the past were either absorbed into the
    common musical language of the time or remained in
    isQlation to defy the passage of time. All modernity is
    thus not necessarily ephemeral; this is particularly true
    of formal structures that are freed of pre-established
    and rigid form. On the other hand those elements that
    relate to dissonance or rhythmic combinations are
    more easily absorbed into musical practice.
    Jean de MACQUE (c. 1550-1614), a relatively littleknown
    name, is one of those innumerable FrancoFlemish
    composers who settled in Itaty, where he
    became a celebrated organist. As one of the foundingfathers
    of chromaticism, he exerted a determinating
    influence on Luzzaschi, Gesualdo and Frescobaldi, and,
    through them, on Monteverdi. The two Stravaganze
    show something of his search for rhythmic innovation:
    alongside square-cut passages we find some intensely
    melancholic and freely-structured sections ; his extremely
    personal style is illustrated by the frequent
    unprepared modulations in contrary-motion scales (first
    Stravaganza). Moreover, his style already suggests a
    manner of interpretation that came to be specific to the
    Baroque, and whose rules Frescobaldi was to outline in
    his Preface to the Fiori musicali (1635). De Macque's
    "extravagances" indeed founded a noble lineage.
    Only one keyboard work by GESUALDO (c. 1560-
    1613?) is known today. It is his Canzon francese del
    Principe. The great madrigalist here proposes a dynamic
    progression that contrasts with the custom of his
    contemporaries; short passages in imitation (fugato)
    are separated by entirely free-form sections in which
    his imagination is given free rein ; the piece also displays
    the composer's very personal harmonic language,
    such as it is found in his vocal wo·rks.
    The work by John BULL (c. 1562-1628) entitled "Ut,
    re, mi, fa, sol, la", deserves detailed commentary. It is
    to be found in the Fitzwilliam Virginal Book. Its structure
    places it among those timeless innovations of the
    perennial avant-garde.
    The composer experiments with a systematic
    enharmonic modulation which would tend
    to prove that more than a century before J .-S. Bach
    there was already some knowledge of a kind of equal
    temperament. The last of the variations make use of
    some unexpected rhythmic figures, in particular the
    15th, which places a semi-breve over two minims, a
    triplet of minims, and the various presentations of a
    triplet of minims on four notes. This looks very much
    like a foretaste of some modern combinations of
    rhythmic figures*.
    The Toccata settima by Michelangelo ROSSI (died
    1656) provides a whole range of means by which the
    sound-process may be broken up, with its exacerbated
    chromaticism (in almost mannerist style), its mingling
    of tonal and modal harmony (especially in the
    chromatic progression, nineteen bars before the end,
    which already suggests Wagner), and its harmonic
    liberty, all being so many disruptions of the musical
    discourse. Rossi, a pupil of Frescobaldi, was not so far
    removed from Froberger (1616-1667), the two works
    by whom we have recorded here are well-placed in the
    harpsichord repertoire : Lamentation on the death of
    Ferdinand III and Tombeau de Monsieur de Blancheroche.
    From our present point of view, we might claim
    that they break out of all formal frameworks, both earlier
    and indeed later. They stand out in their opposition
    to all that is moderate, with their passion and dramatic
    thrust, working through a language of tonal and chromatic
    uncertainty.
    It is also with his passionate accents, expressed particularly
    by means of slow chromatic progressions, that
    Azzolino Bernardino DELLA CIAJA (1671-1755)
    affects us, above all in the middle passage of this
    Toccata, full of an Sllready Romantically expressive
    lyricism, so close to Schumann.
    In the field of the dance, the history of keyboard music
    is regularly marked by innovations, both expressive
    and dynamic - and as early as this famous Hornepype
    by Hugh ASTON (died post 1549), which was the most
    lengthily-developed piece of his time, amounting to 154
    . bars. It is quite astonishing for the period, with the
    internal dynamic intensification of its writing, so
    strongly contrasted to the static traditional character
    of the theme and variation form. Then, alongside the
    Passamezzo by Giovanni PICCHI (early XVUth
    century), built on an underlying melodic bass and producing
    variations of differing degrees of virtuosity, there
    is this anonymous English Ground (repeated melodic
    pattern in the bass on which melodic variations are written)
    of the mid-XVIth century, entitled Upon La Mi Re,
    which shows surprising harmonic freedom, reaching the
    borders of polytonality. The youthful spirit and the
    vigour of the Ballo alia polacca (early XVIIth century)
    - listen for the initial tremolo - is in distinct expressive
    contrast to the grave dance of the famous Pavan Sur le
    vieil ton de la chevre (the "old key ·of the goat" being f
    sharp minor) by Louis COUPERIN (c. 1626-1661), with
    its bold harmonies and rich discords : for example, a G
    sharp in .the bass against a G natural in the treble, which
    has led a present-day editor to add a note to the effect
    . that "this G sharp is in the original, and the editor finds
    it not only correct, but beautiful".
    Eloquence is persuasive sometimes by taking unfrequented,
    or even totally untrodden paths, and, as
    Flaubert once wrote : "each work of art has its own
    special poetics, by virtue of which it is made and
    subsists" (Education sentimentale).
    Translated by John Underwood.
    "Translator's note: Or an aftertaste of the rhythmic complexities
    of late Mediaeval polyphony, as practised by those Thomas Morley, in
    1597, described as "the great music masters who excelled in foretime".

  • @paulgrad5183
    @paulgrad5183 6 років тому +3

    Too far out and avant-garde for my tastes. I like the old composers much better..

    • @HarpsichordVinylGallery
      @HarpsichordVinylGallery  6 років тому +1

      Hé here we finally have a split ;-) I consider this one as one of the few I like best in my entire collection I heard the piece by Rossi in Brugge during the hpschd-competition last August I guess 40 times and every performance was different but with great tension and expectations for the listener. Elisabeth had teached me how to listen to such a weird piece.

    • @paulgrad5183
      @paulgrad5183 6 років тому +2

      I was kidding around. Actually I like both the composers and the performance. Music really seemed to take off during this Henry VIII period, and I find much more interesting that the pre-Monteverdi period. The style of theme and variations you hear in the Italian composers seems similar to the theme and variation style of the Fitzwilliam Virginal Book pieces.

    • @HarpsichordVinylGallery
      @HarpsichordVinylGallery  6 років тому +1

      I totally agree. although the early music from Italy is less accessible for me than the virginalists

    • @paulgrad5183
      @paulgrad5183 6 років тому +1

      Yes, Picchi and Rossi were excellent, but you will rarely hear them as compared to William Byrd.