1er abonnement à cette Chaîne : pour essai.. / abandon des plus populaires qui ne parlent jamais DE la FRANCE et avec mépris des Français travailleurs... les prolos...! ** auparavant nous disions la PROVINCE ! les nouvelles appellations sont méprisantes !./
Lier "France rurale" et "classes populaires" ça prend le risque de l'ambiguïté : ça ne doit pas cacher que les pauvres ils vivent principalement en ville. Le milieu rural c'est plus un milieu relativement homogène où il n'y a ni très riche ni très pauvre mais plutôt un français "moyen" (français moyen qui fait certes partie de la "classe populaire" au sens du cœur du peuple, du prolétariat, du fait que celui-ci représente bien plus que 50% de la population, mais pas si populaire est un euphémisme pour dire pauvre). Son point de vue est certainement biaisé par le fait qu'il pense surtout à sa campagne désindustrialisée du Nord avec ses anciennes mines, ce qui s'applique mal à la diagonal du vide (Meuse incluse!) aux zones montagneuses ou à la Bretagne.
@@ar7105 Et il y a beaucoup de zones urbaines où le taux de chômage est de plus de 50%. Genre une bonne partie de la moitié nord de Marseille. Et une ville comme Marseille ou Lille, dans son intégralité en comptant aussi les quartiers riches (et il y en a !) c'est 20% de chômage, le double de la moyenne nationale. A contrario, les endroits qui sautent aux yeux comme zone de faible chômage sur une carte c'est : le Massif Central, la Savoie, la Bretagne, la campagne d'IdF (Yvelines en tête, bien en-dessous du taux de Paris intra-muros)
@@julienf2301 Son travail porte sur les zones rurales donc qu'il n'abord pas les villes, ça semble logique. Le faible taux de chômage dans certaines zones rurales est un fait, mais il ne parle pas que de ça. Il parle de l'exode, de ceux qui ne peuvent pas revenir et surtout de ceux qui restent. Ils travaillent oui, mais ils ont des spécificités. C'est ça son sujet. ça ne me semble pas biaisé pour le coup
Vous êtes idiot ? Il dit exactement au début de l'interview que dans la vie dans les campagnes n'est pas la même partout. Faudrait peut être écouter ce que les gens disent avant d'étaler votre culture aux autres.
Merci de donner parfois la parole à des gens moins connus, mais qui ont de toute évidence des choses à dire !
Très intéressant . Merci France Inter.
Très intéressant
Beaucoup de choses vraies dans cette interview
Beaucoup de vrai, peut-être en partie spécifique au Grand Est.
1er abonnement à cette Chaîne : pour essai.. / abandon des plus populaires qui ne parlent jamais DE la FRANCE et avec mépris des Français travailleurs... les prolos...!
** auparavant nous disions la PROVINCE ! les nouvelles appellations sont méprisantes !./
Ils ne font que rouler... OU ne font que se faire rouler... ?... En fait LES DEUX...! /
8îi
Ya des petits blanc pas que aussi des italien des polonais non mais mamie t'es sérieuse la
Lier "France rurale" et "classes populaires" ça prend le risque de l'ambiguïté : ça ne doit pas cacher que les pauvres ils vivent principalement en ville. Le milieu rural c'est plus un milieu relativement homogène où il n'y a ni très riche ni très pauvre mais plutôt un français "moyen" (français moyen qui fait certes partie de la "classe populaire" au sens du cœur du peuple, du prolétariat, du fait que celui-ci représente bien plus que 50% de la population, mais pas si populaire est un euphémisme pour dire pauvre). Son point de vue est certainement biaisé par le fait qu'il pense surtout à sa campagne désindustrialisée du Nord avec ses anciennes mines, ce qui s'applique mal à la diagonal du vide (Meuse incluse!) aux zones montagneuses ou à la Bretagne.
Il y a beaucoup de zones rurale où le taux de chômage est de plus de 30%. Et pas que dans le Nord.
@@ar7105 Et il y a beaucoup de zones urbaines où le taux de chômage est de plus de 50%.
Genre une bonne partie de la moitié nord de Marseille. Et une ville comme Marseille ou Lille, dans son intégralité en comptant aussi les quartiers riches (et il y en a !) c'est 20% de chômage, le double de la moyenne nationale.
A contrario, les endroits qui sautent aux yeux comme zone de faible chômage sur une carte c'est : le Massif Central, la Savoie, la Bretagne, la campagne d'IdF (Yvelines en tête, bien en-dessous du taux de Paris intra-muros)
@@julienf2301 Son travail porte sur les zones rurales donc qu'il n'abord pas les villes, ça semble logique. Le faible taux de chômage dans certaines zones rurales est un fait, mais il ne parle pas que de ça. Il parle de l'exode, de ceux qui ne peuvent pas revenir et surtout de ceux qui restent. Ils travaillent oui, mais ils ont des spécificités. C'est ça son sujet. ça ne me semble pas biaisé pour le coup
Vous êtes idiot ? Il dit exactement au début de l'interview que dans la vie dans les campagnes n'est pas la même partout. Faudrait peut être écouter ce que les gens disent avant d'étaler votre culture aux autres.
je t'invite a regarder les revenus médiant annuel en France, tu verras vite la disparité économique entre la campagne et la ville.
Quelle honte le service public quelle mépris
Ou est ce que tu vois du mépris ?