Je m'appelle Chrome... Monochrome ! D'Alphonse Allais à Kasimir Malevitch et le suprématisme

L'histoire des "Monochrome" :
Monet avec "Effets de neige à Giverny" en 1893
Kasimir Malevitch avec son "Carré noir sur fond blanc" en 1915
Yves Klein avec son "Bleu" en 1961
Lucio Fontana avec son "Concept spatial, attente" en 1968
et bien sûr Pierre Soulages.
Sans oublier Alphonse Allais avec sa "Ronde de pochard dans le brouillard", "Récolte de la tomate par des cardinaux apoplectiques au bord de la mer rouge"...
Monet dès 1893 fait ressentir l'impression... le souvenir, la sensation...
C'est un peu par hasard que survient l'idée du monochrome, mais cela reste néanmoins très figuratif.
Du cubisme et du futurisme, nous passons alors au suprématisme (1916)
Le suprématisme : c'est la couleur qui domine, libérée de toute référence à un objet ou à un sujet.
Pour Malevitch, les peintres doivent abandonner le sujet et les objets ; les formes vivront comme vivent les forces vives de la nature.
L'artiste ne doit s'intéresser qu'à la forme pure, la forme suprême.
C'est un langage sans repère, sans lien avec le réel. La peinture est libérée de l'objet, de toute référence à quoi que ce soit.
Pour Malevitch, le "Carré noir", c'est le passage des heures de gloire au côté sombre de la guerre... en référence à la révolution Russe, ce que l'artiste appelle "Tragrangle". C'est un point de départ pour l'artiste.
Plus fort même, il ose le carré blanc sur fond blanc, le carré rouge sur fond blanc et même une croix noire sur fond blanc.
le site de l'Ego du moi(s) : lareopage.com
#supremacy #monochrome #jamesbond

[@kathiaguillemin7198]

Toujours du plaisir à regarder
On ne s’en lasse
Merci à l’équipe

[@christopheforgeot5964]

Très intéressant... j'aime beaucoup la fin rapide et radicale. Bravo!

[@cocochaneldu28]

J'aime tellement les fonds colorés !

[@donnechristophe9048]

C'est marrant, je vais mettre en scène Ego Monstre, à Châteaudun. Sans aucun ego.