Magnifique 🙏" j'ai décidé que mon territoire c'est l'écriture" pour avoir lu Kif kif demain, Un homme ça pleure pas.... Bravo pour ces écrits qui font du bien à parcourir....A travers ces textes l'honnêteté de l'auteur est omniprésent. Un grand Merci à vous.
Bravo Faïza ! Merci François Busnel pour cet interview qui soulève tant d'émotions derrière de grandes vérités, merci Alain Mabanckou, Negar Djavadi et Jean Pruvost pour ces moments magnifiques d'une émission formidable .
Oui il suffit de voir comment nos écoles sont enrichies par les revendications fréristes : un jour le voile, le lendemain le Burkina, le surlendemain l'abaya.
La première parole revendicatrice est toujours :"on a le droit !". Comme si la question des devoirs qui vont de pair avec ces droits n'existait pas. C'est toujours :"Acceptez-nous comme nous sommes !" sans jamais vouloir faire d'effort pour faire un pas vers le pays d'accueil. En prenant toujours la demande de discrétion religieuse comme un outrage et une marque de racisme. Comme si le pays d'accueil était un centre commercial où ne prévalaient que les exigences et l'arrogance de clients soucieux de ne pas se faire arnaquer. Comme si on confondait la France avec Dubaï. Sauf que la France a une histoire millénaire et ne veut pas du modèle communautariste anglo-saxon...
Il y a d'autres combats bien + importants à mener, on est plus dans les années 80, immigration, crise identitaire, cité qui brûle du 93 blablabla. J'ai grandi dans ta cité à ton époque et on été à l'école ensemble et je suis pas rester bloquer dans le passé. Je n'ai aucuns complexes identitaires au point d'aller écrire des livres baser uniquement sur cela, il faut avancer et évoluer Faiza tu vit dans le passé et commence à te faire vieille, les mêmes sujets qui tournent en boucle c'est pour les fous, faut se mettre à la page!
Je ne suis pas d'accord avec toi, il y aujourd'hui avec le libéralisme économique (modèle américain) qui s'exprime sur les réseaux sociaux d'autres revendications qui n'existaient pas avant et cette libération sociale crée de l'inquiétude, de l'incompréhension et du racisme (au même moment que les populations immigrées se déplacent plus seulement en banlieue et où des malls viennent aliéner les campagnes "des gilets jaunes"). Aujourd'hui, beaucoup de jeunes n'ont pas de problèmes identitaires (et acceptent - ou s'aliènent à - des influences culturelles internationales tout en ne perdant pas leur identité familiale) mais d'autres personnes refusent l' existence même de ces oubliés qui ont été méprisés et qui ont transmis une colère à leurs enfants. Aujourd'hui, grâce à internet, on a accès à des informations, documents etc. Il n'y a pas de livres parfait mais son témoignage réaliste et sociale est selon moi précieux.
Magnifique 🙏" j'ai décidé que mon territoire c'est l'écriture" pour avoir lu Kif kif demain, Un homme ça pleure pas.... Bravo pour ces écrits qui font du bien à parcourir....A travers ces textes l'honnêteté de l'auteur est omniprésent. Un grand Merci à vous.
Merci pour vos livres, Madame Faïza Guène !
Merci beaucoup pour ce moment, respect Faiza Pour cette maturité
Et cette intelligence !! Avoir deux cultures c’est avoir une richesse inouïe 🎼🌷🏅
Faïza Guène ou celle qui sait mettre des mots sur nos maux. J'apprécie tellement son style d'écriture et les sujets qu'elle traite...
Belle découverte pour moi. Elle est si "mature " née en 1985 étonnée... une écrivaine quoi 👏 hâte de lire ce livre
Bravo Faïza ! Merci François Busnel pour cet interview qui soulève tant d'émotions derrière de grandes vérités, merci Alain Mabanckou, Negar Djavadi et Jean Pruvost pour ces moments magnifiques d'une émission formidable .
Faïza ... hommage à l'intelligence précoce et chapeau bas pour le choix d'un sujet symptomatique lié à la crise identitaire👏
Ça me parle tellement... Merci Faiza... Et la grande librairie
Merci pour la vidéo !
Bravo Faïza !!!
Lire" la double absence d Abdemalek Sayad" .
Avoir plusieurs culture est une richesse nous n'avons pas a choisir on prend tout .👍
Oui il suffit de voir comment nos écoles sont enrichies par les revendications fréristes : un jour le voile, le lendemain le Burkina, le surlendemain l'abaya.
Excellent entretien 👏
Pourquoi avoir etronquer le passage de la préfecture?? Bravo Faïza pour ce livre...!
Une écrivaine exceptionnelle !
La première parole revendicatrice est toujours :"on a le droit !". Comme si la question des devoirs qui vont de pair avec ces droits n'existait pas. C'est toujours :"Acceptez-nous comme nous sommes !" sans jamais vouloir faire d'effort pour faire un pas vers le pays d'accueil. En prenant toujours la demande de discrétion religieuse comme un outrage et une marque de racisme. Comme si le pays d'accueil était un centre commercial où ne prévalaient que les exigences et l'arrogance de clients soucieux de ne pas se faire arnaquer. Comme si on confondait la France avec Dubaï. Sauf que la France a une histoire millénaire et ne veut pas du modèle communautariste anglo-saxon...
Je cours chez mon libraire !
Merci Faisa guéne pour la précision des propos
👍👍👌👌
un peu la même histoire que le livre de Zéniter "l'art de perdre" que je viens de lire...
Il y a d'autres combats bien + importants à mener, on est plus dans les années 80, immigration, crise identitaire, cité qui brûle du 93 blablabla. J'ai grandi dans ta cité à ton époque et on été à l'école ensemble et je suis pas rester bloquer dans le passé.
Je n'ai aucuns complexes identitaires au point d'aller écrire des livres baser uniquement sur cela, il faut avancer et évoluer Faiza tu vit dans le passé et commence à te faire vieille, les mêmes sujets qui tournent en boucle c'est pour les fous, faut se mettre à la page!
Je ne suis pas d'accord avec toi, il y aujourd'hui avec le libéralisme économique (modèle américain) qui s'exprime sur les réseaux sociaux d'autres revendications qui n'existaient pas avant et cette libération sociale crée de l'inquiétude, de l'incompréhension et du racisme (au même moment que les populations immigrées se déplacent plus seulement en banlieue et où des malls viennent aliéner les campagnes "des gilets jaunes"). Aujourd'hui, beaucoup de jeunes n'ont pas de problèmes identitaires (et acceptent - ou s'aliènent à - des influences culturelles internationales tout en ne perdant pas leur identité familiale) mais d'autres personnes refusent l' existence même de ces oubliés qui ont été méprisés et qui ont transmis une colère à leurs enfants. Aujourd'hui, grâce à internet, on a accès à des informations, documents etc. Il n'y a pas de livres parfait mais son témoignage réaliste et sociale est selon moi précieux.