Montserrat Caballé - Essa corre al trionfo - Ermione - Napoli 1988

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  • Опубліковано 5 жов 2024
  • Alberto Zedda (conductor) - Napoli 4 maggio 1988

КОМЕНТАРІ • 12

  • @jean-claudecalise7470
    @jean-claudecalise7470 4 місяці тому

    👍 💐

  • @juanjosedubal
    @juanjosedubal 4 місяці тому

    Es de Pessaro/87 el audio.
    Corrija la mentira/"error" por favor!
    Porque la gente habla al pedo después y no es justo.

    • @liricadiva
      @liricadiva  4 місяці тому +1

      questa registrazione è di NAPOLI (e non Pesaro). Non c'è nessun errore

    • @juanjosedubal
      @juanjosedubal 4 місяці тому

      @@liricadiva Perdón entonces. Desconocía que Caballé había cantado Ermione en Nápoli.
      Tenía presente a Madrid como segunda y última representación de la misma.
      Sepa disculparme y gracias por enmendar mi error. Un gusto.

  • @philippeclement8140
    @philippeclement8140 5 місяців тому +1

    Elle domine mieux la lettre de l'oeuvre qu' à Pesaro l'année précédente, c'est incontestable. Et il me semble que Zedda tient mieux la direction que Khun. Mais outre- ce n'est que mon avis- que l'oeuvre est loin d'avoir la qualité de Tancredi ou Semiramis, on sent l'usure des moyens de Caballé (timbre plus âpre qui justifie,dès que c'est possible, le recours aux piani adoucis dans les passages lents de cantilène, problèmes de souplesse dans la vocalisation di forza, des notes escamotées, et des forte qui sont quand même bien criés).Ce qui reste intéressant, comme avec bien des rôles de ces années-là (création de Cristóbal Colón, Saffo, La fiamma, Les Danaïdes, Isolde, etc.) c'est que Caballé à ce stade de sa carrière aurait pu continuer à rouler à l'aise, mais elle a toujours fait montre de curiosité musicale, quitte à se mettre en difficulté, voire en danger- sans parler de ceux, Sergio Segalini en tête, qui guettaient le moindre faux-pas pour déverser leur aversion haineuse envers Caballé. Il est vrai quand même qu'on arrive vers la fin. Après les terribles Idomenée de 91 à Madrid et Le viaggio de Londres en 92, il n'y aura plus de scène jusqu'à Catherine d'Aragon en 2002. Reste une soif incontestable de quitter la zone de confort: pour toute une série de Donizetti, Caballé était maîtresse de sa voix. Plus tard, c'est moins vrai, mais le mérite de l'exploration n'en est pas moins grand, et cette tâche de curiosité, Caballé l'a accomplie avec coeur.

    • @juanjosedubal
      @juanjosedubal 4 місяці тому

      Después le quedaron los fenomenales recitales que dió por 20 años más o cada vez que quería, podía y apostaba!
      A montse se le reveló la voz por la salud, la gordura, el cigarrillo y la edad.
      Así que fue fantástica.
      No cantó por despecho o histeria.
      Qué persona tan humana!!
      Y encima cantaba joya!!!!😁😁😁😁

    • @emanuelezazzero4450
      @emanuelezazzero4450 4 місяці тому

      Sergio Segalini ne détestait pas Caballé; pour lui elle avait la plus belle voix de son époque. Montsy était néanmoins très paresseuse et peu professionnel sur scène et en répétition (elle ne mémorisait pas les paroles et improvisait souvent sa partie) et c'est cela qui Segalini lui a toujours reproché.

    • @philippeclement8140
      @philippeclement8140 4 місяці тому

      @@emanuelezazzero4450 j'aimerais vous croire mais quand on lit Opéra international, on voit qu'il a mené , au fil des années, une vendetta absolument obsessionnelle contre Caballé, allant même jusqu'à la grossièreté la plus caractérisée (la comparer à une poissarde des Ramblas pour un spectacle à Londres), ou en donnant une version inexacte de faits avérés: son compte-rendu d'Ana Bolena à Milan ne disait rien du triomphe après la scène Giudici ad Ana, ou des acclamations du public après Al dolce guidami. Il ne parlait que des difficultés rencontrées par Caballé dans cette soirée difficile. Je me rappelle lui avoir écrit à cette époque et avoir reçu une réponse hautaine qui ne répondait à aucune des points factuels que je soulevais. Pour lui, il n'y avait que Callas, Callas, Callas- que j'adule, bien sûr.

    • @emanuelezazzero4450
      @emanuelezazzero4450 4 місяці тому

      @@philippeclement8140 J’ai connu personnellement sa famille et c’est pour cette raison que je me permets de vous répondre. Je vous rejoins sur son caractère difficile et sur sa façon d’écrire très violente. C’était néanmoins une autre époque, avec un public beaucoup plus passionné d’opéra que celui d’aujourd’hui et, en conséquence, les critiques aussi menaient souvent vers des jugements forts (qui soit dans le positif ou dans le négatif); je me souviens du critique italien Paolo Isotta, il n’avait jamais un bon mot pour Mario Del Monaco. Un jour les deux se sont croisés dans les coulisses de la Scala et le ténor a essayé d’étrangler avec ses mains le critique…en revenant à Segalini, c’est vrai ce que vous dites à propos de son obsession callassienne mais c’est aussi à cause de cela qu’il reprochait Caballé: elle pouvait être la meilleure au monde grâce à sa magnifique voix et si elle avait aussi le sens du travail et le respect vers la musique de Callas. Ceci dit, Segalini a supporté nombreux chanteurs, pas que Callas: June Anderson, Chris Meritt, Grace Bumbry, Mirella Freni…

    • @philippeclement8140
      @philippeclement8140 4 місяці тому

      @@emanuelezazzero4450 Merci pour cette intéressante et si courtoise réponse. Je vous crois volontiers, et il est vrai que la passion exacerbée- mais très sincère- pousse à forcer le trait, tant depuis les amphithéâtres que dans les rédactions de magazines. En tout cas, l'essentiel c'est que Callas et Caballé étaient amies...

  • @harpguy18
    @harpguy18 4 місяці тому

    She couldn’t keep up. Sloppy to be very honest.