Rencontre avec Pierre Bergounioux
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- Опубліковано 27 бер 2024
- Cette semaine, Augustin Trapenard est allé à la rencontre de Pierre Bergounioux à l'occasion de la sortie en poche de son livre "Le Matin des origines" aux éditions Verdier. Ce merveilleux ouvrage célèbre l'ancrage profond dans ses racines, dans les terres du Quercy entre Lot et Corrèze, où l'auteur a grandi, dans la chaleur de la maison rose et au sein des paysages qui ont façonné son être. Ces souvenirs, imprégnés dans sa mémoire, représentent une part essentielle de son identité qui demeure là-bas. À travers ces pages, Pierre Bergounioux évoque avec justesse le lien puissant que la terre tisse avec nos souvenirs et nos émotions, révélant ainsi le pouvoir des lieux familiers pour donner du sens à notre passé et à nos moments les plus heureux.
Il était donc évident qu'Augustin Trapenard se déplace au cœur de cette histoire, sur les contreforts du plateau des Millevaches, dans sa maison de Corrèze pour un retour aux origines de la vie et de l'écriture. - Розваги
Quelle grâce pour nous, combien plus pauvres, que cet homme, ses livres et sa langue qui, par la « table des peines », nous parviennent si clairs. Merci de ce bel entretien.
Enfin un moment de la Grande Librairie consacré à Pierre Bergounioux ! Augustin Trapenard l'a fait. Merci à lui pour cet entretien bouleversant, précieux, qui me met les larmes aux yeux.
Merci pour ce moment magique.
l'Homme est tellement vulnérable et l'écrivain ou le poète l'est beaucoup plus que ses semblables.
Augustin Trapenard est un homme delicieusement raffiné qui est le maître du non transfert. Il a l'art d'extraire la substantifique moëlle de son invité et souvent au delà. Merci de nous faire voyager. Dommage de ne pas avoir l'intégralité de ses émissions outre atlantique....Mais déjà tres reconnaissants d'en avoir des extraits.
Il faudrait une entrevue aussi longue que celle de Soljenitsyne par Pivot afin que les générations futures puissent comprendre comment la force et beauté ont pu s'incarner et prendre place via cet immense écrivain.
Quelle merveille !
vive la corrèze !
Merci Augustin ! (mais JEF aurait été heureux dans la forêt)