Brave New World
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- Опубліковано 5 лют 2025
- Texte de Iron Maiden
Brave New World est le douzième album de Iron Maiden, sorti le 30 mai 2000.
Le titre de l'album et sa pochette sont des références au roman éponyme d'Aldous Huxley.
L'album a été enregistré à Suresnes, en France.
Des cygnes mourants, des ailes tordues, la beauté n'est pas nécessaire ici
J'ai perdu mon amour, j'ai perdu ma vie, dans ce jardin de la peur
J'ai vu beaucoup de choses, en une seule vie
L'amour maternel n'est plus, ramène ce sauvage à la maison
La nature sauvage, la maison de la douleur, ne donne aucun sens à tout cela
Fermez cet esprit, abrutissez ce cerveau, le Messie avant sa chute
Ce que vous voyez n'est pas réel, ceux qui savent ne le diront pas
Tout est perdu, vous avez vendu vos âmes, à ce brave nouveau monde
Un brave nouveau monde, dans un brave nouveau monde
Un brave nouveau monde, dans un brave nouveau monde
Dans un brave nouveau monde, un brave nouveau monde
Dans un brave nouveau monde, un brave nouveau monde
Les rois dragons, les reines mourantes, où est le salut maintenant ?
J'ai perdu ma vie, j'ai perdu mes rêves, j'ai arraché les os de ma chair
Des cris silencieux qui rient ici, mourant d'envie de te dire la vérité
Vous êtes planifiés et vous êtes damnés dans ce brave nouveau monde
Le meilleur des mondes, le meilleur des mondes
Un brave nouveau monde, un brave nouveau monde
Dans le meilleur des mondes, le meilleur des mondes
Dans le meilleur des mondes, le meilleur des mondes
Le meilleur des mondes, le meilleur des mondes
Le meilleur des mondes, le meilleur des mondes
Dans le meilleur des mondes, dans le meilleur des mondes
Dans un brave nouveau monde, un brave nouveau monde
Cygnes mourants, ailes tordues, ramenez ce sauvage à la maison
parolesbd.com/...
Le personnage de John, aussi appelé “le Sauvage”, dans le roman “Le Meilleur des mondes” de Aldous Huxley, fait souvent référence à un passage du poème de William Shakespeare “La Tempête”. Ce passage est souvent cité dans le roman et traduit en français par “Oh, merveille ! Combien de créatures aimables sont ici ! Oh, monde nouveau, qui a de si belles personnes en lui !”
Le personnage de John répète souvent cette phrase tout au long du roman, exprimant ainsi son émerveillement initial face au monde qu’il découvre, avant de se rendre compte de la vacuité et de l’artificialité de cette société. Cette citation est utilisée de manière ironique dans le roman, soulignant le contraste entre l’idéalisme de la phrase et la réalité dystopique du monde décrit par Huxley.