Відео

français* l'Amérique* J'étais un peu éméché en écrivant cette chanson à l’instar d'un Jim McClure. ^^

En fait c'est Blueberry 2, pas possible de faire des modifs. sur les shorts :)

Bonjour JohnTheFool =) "!!!!!" Merci Beuacoup pour ton partage =) "!!!!!" Bonne fêtes de fin d°année et encore Merci pour t°es découvertes =) "!!!!!" Excelent petit déjeuné mon Ami du Nord =) "!!!!!" Sébastien.

🤪

Salut John The Fool =) "!!!!!" Sympat ce morceau de doom Métal =) "!!!!!" Merci pour ta découverte et Bonne journée l°Ami =) "!!!!!!"

Bonsoir John The Fool =) "!!!!!" Merci encore pour t°es partage et t°es decouvertes =) "!!!!!" Bon week-end a toi mon Ami du nord =) "!!!!"

А что будет если кольцо всевластия наденет человек?

Un coktail de Sy Sushi, SBus

🧛 Et il créa l'homme à son image...

1984 - George Orwell On entendit un lourd bruit de bottes dans le passage. La porte d'acier s'ouvrit avec fracas. O'Brien entra dans la cellule. Derrière lui se trouvaient l'officier au visage de cire et les gardes en uniforme noir. Lève-toi », dit O'Brien. Viens ici. Winston se plaça en face de lui. O'Brien prit les épaules de Winston entre ses mains puissantes et le regarda attentivement. Vous avez eu l'idée de me tromper, dit-il. C'était stupide. Tenez-vous plus droit, regardez-moi en face. Regardez-moi en face. Il marqua une pause, puis reprit d'un ton plus doux : Vous vous améliorez. Intellectuellement, il n'y a pas grand-chose qui cloche chez vous. Ce n'est que sur le plan émotionnel que vous n'avez pas progressé. Dites-moi, Winston - et n'oubliez pas, pas de mensonges : vous savez que je suis toujours capable de détecter un mensonge - dites-moi, quels sont vos véritables sentiments à l'égard de Big Brother ? Je le déteste. Vous le détestez. C'est bien. Alors le moment est venu pour toi de faire le dernier pas. Tu dois aimer le Grand Frère. Il ne suffit pas de lui obéir, il faut l'aimer. Il libéra Winston en le poussant légèrement vers les gardes. Chambre 101 », dit-il. V À chaque étape de son emprisonnement, il avait su, ou semblé savoir, où il se trouvait dans le bâtiment sans fenêtre. Il y avait peut-être de légères différences de pression atmosphérique. Les cellules où les gardiens l'avaient battu se trouvaient au-dessous du niveau du sol. La salle où il avait été interrogé par O'Brien se trouvait en hauteur, près du toit. Cet endroit se trouvait à plusieurs mètres sous terre, aussi profondément qu'il était possible de le faire. C'était plus grand que la plupart des cellules dans lesquelles il avait été enfermé. Mais il n'a guère remarqué son environnement. Tout ce qu'il remarqua, c'est qu'il y avait deux petites tables devant lui, chacune recouverte d'une toile de jute verte. L'une d'elles n'était qu'à un mètre ou deux de lui, l'autre était plus loin, près de la porte. Il était attaché verticalement sur une chaise, si étroitement qu'il ne pouvait rien bouger, pas même la tête. Une sorte de coussinet lui enserrait la tête par l'arrière, l'obligeant à regarder droit devant lui. Il resta seul un moment, puis la porte s'ouvrit et O'Brien entra. Vous m'avez demandé une fois, dit O'Brien, ce qu'il y avait dans la chambre 101. Je vous ai dit que vous connaissiez déjà la réponse. Tout le monde la connaît. La chose qui se trouve dans la chambre 101 est la pire chose au monde.

Paroles : Extrait de Dracula (1897) de Bram Stoker, chapt. 3 Je n’étais pas seul. La pièce n’avait en aucune façon changé depuis que j’y étais entré ; je pouvais voir sur le sol, le brillant clair de lune, et mes propres empreintes là où j’avais dérangé la très ancienne couche de poussière. Eclairées par les rayons de lune, en face de moi, se tenaient trois jeunes femmes ; des aristocrates d’après leurs vêtements et leurs manières. Lorsque je les vis, je pensai d’abord que j’étais en train de rêver, car bien qu’elles fussent éclairées par la lune, elles ne projetaient aucune ombre sur le sol. Elles s’approchèrent de moi, me regardèrent pendant un moment, et se mirent à murmurer. Deux d’entre elles étaient brunes, avec un nez aquilin comme le Comte, et de grands yeux noirs et perçants, qui semblaient presque rouges par contraste avec la pâle lueur de la lune. La troisième était extraordinairement belle, avec une abondante chevelure blonde ondulée, et des yeux pareils à de pâles saphirs. Il me semblait d’une façon ou d’une autre connaître son visage, et l’associer à quelque peur cauchemardesque, mais je ne pus sur le moment me souvenir dans quelles circonstances. Toutes trois avaient des dents blanches qui brillaient comme des perles entre leurs lèvres voluptueuses rouges comme des rubis. Il y avait quelque chose en elles qui me mettait mal à l’aise, une attirance à laquelle se mêlait une terrible peur. Je sentais au fond de mon cœur que je brûlais d’une envie malsaine de sentir sur mes lèvres leurs lèvres rouges. C’est mal d’écrire cela ; peut-être un jour Mina lira-t-elle ces mots et alors cela lui causera du chagrin, mais c’est la vérité. Elles murmuraient entre elles, puis elles se mirent soudain à rire - un rire tellement argenté et musical, mais plus dur que ne le fut jamais son sorti de lèvres humaines. C’était comme le bruit à la fois délicat et intolérable d’un doigt cruel jouant sur le bord d’un verre à eau. La fille blonde secoua la tête avec coquetterie tandis que les deux autres la poussaient. L’une d’entre elles dit: «Allez ! Tu seras la première, tu en as le droit, et nous suivrons. » La deuxième ajouta : « Il est jeune et fort, il y aura des baisers pour chacune de nous. » J’étais étendu, tranquille, les regardant à travers mes paupières à demi fermées, rongé par une impatience exquise. La fille blonde s’avança et se pencha sur moi, jusqu’à ce que je puisse sentir son souffle sur ma peau ; il était doux comme le miel, mais produisait sur mes nerfs la même sensation que sa voix ; avec une saveur amère qui se mêlait à sa douceur, quelque chose d’agressif, comme dans l’odeur du sang. J’avais peur de soulever mes paupières, mais je voyais tout parfaitement à travers mes cils. La fille se mit à genoux, et se pencha sur moi en exultant de plaisir. Elle était d’une sensualité à la fois excitante et repoussante, tandis qu’elle tendait le cou et se léchait réellement les lèvres comme un animal, à tel point que je pus voir à la lueur de la lune l’humidité sur ses lèvres écarlates et sur sa langue rouge qui caressait ses dents blanches et pointues. Sa tête descendait de plus en plus bas, ses lèvres au niveau de ma bouche, puis de mon menton, et enfin semblant sur le point de se refermer sur ma gorge. Alors elle s’arrêta, et je pus entendre le bruit que faisait sa langue en s’agitant sur ses dents et ses lèvres, et je pus sentir son souffle chaud sur mon cou. La peau de ma gorge commença à picoter comme le fait la peau lorsque la main qui s’apprête à la toucher s’approche toujours plus près. Je pus sentir le contact doux et frissonnant des lèvres sur la peau hypersensible de ma gorge, puis ce furent deux dents pointues qui se posèrent là. Je fermai les yeux, gagné par une extase langoureuse, et j’attendis - j’attendis, le cœur battant.

Paroles de Eurythmics - Annie Lennox et Dave Stewart Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord ? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose Certain d'entre eux veulent se servir de vous Certain d'entre eux veulent que vous les utilisiez Certain d'entre eux veulent abuser de vous Certain d'entre eux veulent être maltraités Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose Levez la tête Gardez la tête haute, bougez vous Levez la tête, bougez vous Gardez la tête haute, bougez vous Levez la tête, bougez vous Gardez la tête haute, bougez vous Levez la tête, bougez vous Gardez la tête haute Certain d'entre eux veulent se servir de vous Certain d'entre eux veulent que vous les utilisiez Certain d'entre eux veulent abuser de vous Certain d'entre eux veulent être maltraités Levez la tête Gardez la tête haute, bougez vous Levez la tête, bougez vous Gardez la tête haute, bougez vous Levez la tête, bougez vous Gardez la tête haute, bougez vous Levez la tête, bougez vous Gardez la tête haute Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose Les beaux rêves sont fait de cela Qui suis-je pour être en désaccord? Je voyage dans le monde par delà les sept mers Tout le monde cherche quelque chose

Rectification, malgré ce qu'avancent certains salisseurs de mémoire*, si je devais tirer, se serait pas par derrière "face" à des désarmés. Et la justice haute et courte, vu le laxisme, et le chaos, les violences actuels, ce serait peut-être judicieux qu'on rouvre le dossier. *ref cinématographique ;)

1984 - George Orwell On entendit un lourd bruit de bottes dans le passage. La porte d'acier s'ouvrit avec fracas. O'Brien entra dans la cellule. Derrière lui se trouvaient l'officier au visage de cire et les gardes en uniforme noir. Lève-toi », dit O'Brien. Viens ici. Winston se plaça en face de lui. O'Brien prit les épaules de Winston entre ses mains puissantes et le regarda attentivement. Vous avez eu l'idée de me tromper, dit-il. C'était stupide. Tenez-vous plus droit, regardez-moi en face. Regardez-moi en face. Il marqua une pause, puis reprit d'un ton plus doux : Vous vous améliorez. Intellectuellement, il n'y a pas grand-chose qui cloche chez vous. Ce n'est que sur le plan émotionnel que vous n'avez pas progressé. Dites-moi, Winston - et n'oubliez pas, pas de mensonges : vous savez que je suis toujours capable de détecter un mensonge - dites-moi, quels sont vos véritables sentiments à l'égard de Big Brother ? Je le déteste. Vous le détestez. C'est bien. Alors le moment est venu pour toi de faire le dernier pas. Tu dois aimer le Grand Frère. Il ne suffit pas de lui obéir, il faut l'aimer. Il libéra Winston en le poussant légèrement vers les gardes. Chambre 101 », dit-il. V À chaque étape de son emprisonnement, il avait su, ou semblé savoir, où il se trouvait dans le bâtiment sans fenêtre. Il y avait peut-être de légères différences de pression atmosphérique. Les cellules où les gardiens l'avaient battu se trouvaient au-dessous du niveau du sol. La salle où il avait été interrogé par O'Brien se trouvait en hauteur, près du toit. Cet endroit se trouvait à plusieurs mètres sous terre, aussi profondément qu'il était possible de le faire. C'était plus grand que la plupart des cellules dans lesquelles il avait été enfermé. Mais il n'a guère remarqué son environnement. Tout ce qu'il remarqua, c'est qu'il y avait deux petites tables devant lui, chacune recouverte d'une toile de jute verte. L'une d'elles n'était qu'à un mètre ou deux de lui, l'autre était plus loin, près de la porte. Il était attaché verticalement sur une chaise, si étroitement qu'il ne pouvait rien bouger, pas même la tête. Une sorte de coussinet lui enserrait la tête par l'arrière, l'obligeant à regarder droit devant lui. Il resta seul un moment, puis la porte s'ouvrit et O'Brien entra. Vous m'avez demandé une fois, dit O'Brien, ce qu'il y avait dans la chambre 101. Je vous ai dit que vous connaissiez déjà la réponse. Tout le monde la connaît. La chose qui se trouve dans la chambre 101 est la pire chose au monde. Groovy baby ;)

Le texte en français : Extrait de Dracula (1897) de Bram Stoker, chapt. 3 Je n’étais pas seul. La pièce n’avait en aucune façon changé depuis que j’y étais entré ; je pouvais voir sur le sol, le brillant clair de lune, et mes propres empreintes là où j’avais dérangé la très ancienne couche de poussière. Eclairées par les rayons de lune, en face de moi, se tenaient trois jeunes femmes ; des aristocrates d’après leurs vêtements et leurs manières. Lorsque je les vis, je pensai d’abord que j’étais en train de rêver, car bien qu’elles fussent éclairées par la lune, elles ne projetaient aucune ombre sur le sol. Elles s’approchèrent de moi, me regardèrent pendant un moment, et se mirent à murmurer. Deux d’entre elles étaient brunes, avec un nez aquilin comme le Comte, et de grands yeux noirs et perçants, qui semblaient presque rouges par contraste avec la pâle lueur de la lune. La troisième étiat extraordinairement belle, avec une abondante chevelure blonde ondulée, et des yeux pareils à de pâles saphirs. Il me semblait d’une façon ou d’une autre connaître son visage, et l’associer à quelque peur cauchemardesque, mais je ne pus sur le moment me souvenir dans quelles circonstances. Toutes trois avaient des dents blanches qui brillaient comme des perles entre leurs lèvres voluptueuses rouges comme des rubis. Il y avait quelque chose en elles qui me mettait mal à l’aise, une attirance à laquelle se mêlait une terrible peur. Je sentais au fond de mon cœur que je brûlais d’une envie malsaine de sentir sur mes lèvres leurs lèvres rouges. C’est mal d’écrire cela ; peut-être un jour Mina lira-t-elle ces mots et alors cela lui causera du chagrin, mais c’est la vérité. Elles murmuraient entre elles, puis elles se mirent soudain à rire - un rire tellement argenté et musical, mais plus dur que ne le fut jamais son sorti de lèvres humaines. C’était comme le bruit à la fois délicat et intolérable d’un doigt cruel jouant sur le bord d’un verre à eau. La fille blonde secoua la tête avec coquetterie tandis que les deux autres la poussaient. L’une d’entre elles dit: «Allez ! Tu seras la première, tu en as le droit, et nous suivrons. » La deuxième ajouta : « Il est jeune et fort, il y aura des baisers pour chacune de nous. » J’étais étendu, tranquille, les regardant à travers mes paupières à demi fermées, rongé par une impatience exquise. La fille blonde s’avança et se pencha sur moi, jusqu’à ce que je puisse sentir son souffle sur ma peau ; il était doux comme le miel, mais produisait sur mes nerfs la même sensation que sa voix ; avec une saveur amère qui se mêlait à sa douceur, quelque chose d’agressif, comme dans l’odeur du sang. J’avais peur de soulever mes paupières, mais je voyais tout parfaitement à travers mes cils. La fille se mit à genoux, et se pencha sur moi en exultant de plaisir. Elle était d’une sensualité à la fois excitante et repoussante, tandis qu’elle tendait le cou et se léchait réellement les lèvres comme un animal, à tel point que je pus voir à la lueur de la lune l’humidité sur ses lèvres écarlates et sur sa langue rouge qui caressait ses dents blanches et pointues. Sa tête descendait de plus en plus bas, ses lèvres au niveau de ma bouche, puis de mon menton, et enfin semblant sur le point de se refermer sur ma gorge. Alors elle s’arrêta, et je pus entendre le bruit que faisait sa langue en s’agitant sur ses dents et ses lèvres, et je pus sentir son souffle chaud sur mon cou. La peau de ma gorge commença à picoter comme le fait la peau lorsque la main qui s’apprête à la toucher s’approche toujours plus près. Je pus sentir le contact doux et frissonnant des lèvres sur la peau hypersensible de ma gorge, puis ce furent deux dents pointues qui se posèrent là. Je fermai les yeux, gagné par une extase langoureuse, et j’attendis - j’attendis, le cœur battant.

Salut John Thefool =) "!!!!!" Belle photo de t°es vacance sur la miniature "!!!!!" Merci encore pour t°es decouverte =) "!!!!" A Bientôt =) "!!!!"

Salut John Thefool =) "!!!!!!" Sur la miniature c°est (( le 13em Guerrier )) "!!!!!!" Bon Week-end =) "!!!!!!"

🎵🎵🎵🎵

Jesus loves you ✝️

Belle idée d'adaptation - - -- - - -- - - - -- on imagine un Gabin du Wisconsin avec son stetson devant un feu de camp - -- -- - -- - - : : - -- - - - - - )

^^

Bonjour John Thefool =) "!!!!!" Merci pour ce jolie poème , Belle chanson . Merci pour ce partage =) "!!!!!" A Bientôt. Sébastien .

j'aime beaucoup. Esprit métal, je m'abonne.

Salut, pour essayer de répondre à ta question vis à vis de la musique générée par ia, et spécifiquement tes créations. Avec l IA que tu utilises le son est bon, la qualité est mieux que les premiers prototypes sur le marché. Mais les créateurs de ces applications disent qu'ils vont encore améliorer les fonctionnalités et la qualité du rendu des créations musicales. Donc il faut attendre encore un peu pour savoir si l IA peut remplacer l'être humain avec l art en général (peinture sculpture vidéo cinéma etc).

^^

Salut John Thefool =) "!!!!!" Comment va tu l°Ami =) "???" Enfin "!!!!!" l°espace commentaire, ca fait bizarre lol 😁 "!!!!!!" Merci infiniment pour t°es partage est Merci pour toute t°es vidéo nostalgique "!!!!!!" Comme pour toute t°es vidéos , pouce mis =) "!!!!!!" A Bientôt "!!!!!" Sébastien.

Jodorowsky's Dune c'est juste fabuleux. Une référence créative. Mon prof de photo était un intime de Philippe Druillet. Cela m'a permis d'admirer des trucs de dingue.

"Les temps ont changé Et nous avons souvent remonté le temps Depuis que les puritains ont reçu un choc Quand ils ont atterri sur Plymouth Rock (colonie 17 è) Si aujourd'hui, ils devaient essayer d'endiguer n'importe quel choc "Au lieu d'atterrir sur Plymouth Rock Plymouth Rock atterrirait dessus Autrefois, un aperçu du bas A été considéré comme quelque chose de choquant Mais maintenant, Dieu sait que tout est permis De bons auteurs aussi qui connaissaient autrefois de meilleurs mots N'utilisez désormais que des mots de quatre lettres Écrire de la prose Tout va/tout est permis Si vous aimez conduire des voitures rapides Si les barres basses vous plaisent Si tu aimes les vieux hymnes Si vous aimez les membres nus Si Mae West tu aimes Ou si tu m'aimes déshabillé Pourquoi, personne ne s'y opposera Quand chaque soir the smart set (people who are fashionable, rich, and often artistic or well educated) S'immisce dans les soirées nudistes dans les studios Tout va/tout est permis Quand Missus Ned McLean, que Dieu la bénisse Je peux amener les rouges russes à l'accepter (Missus Ned McLean (Evalyn Walsh McLean), qui s'était rendue en Union soviétique au début de la révolution russe pour tenter de faire reconduire un parent tsariste dans ses fonctions d'ambassadeur aux États-Unis.) Alors je suppose que tout est permis Quand Rockefeller peut encore accumuler suffisamment d'argent Laisser Max Gordon produire ses spectacles Tout va/tout est permis Le monde est devenu fou aujourd'hui Et le bien est mauvais aujourd'hui Et le noir est blanc aujourd'hui et la nuit le jour aujourd'hui Et ce monsieur aujourd'hui a qui Tu as donné un centime aujourd'hui avait autrefois plusieurs châteaux Quand les gens qui peuvent encore rouler en jitneys Découvrent les Vanderbilt et les Whitney (Gertrude Vanderbilt Whitney, collectionneuse d'art et mécène fille aînée de Cornelius Vanderbilt II et arrière-petite-fille du commodore Cornelius Vanderbilt, est une des héritières de la fortune des Vanderbilt. Elle épouse le richissime homme d'affaires Harry Payne Whitney (1872-1930).) Manquent de vêtements pour bébé (?) Tout va Quand Sam Goldwyn peut avec beaucoup de conviction Instruire Anna Sten (qui parlait très mal anglais) dans la diction Puis Nana (le film qui fit un flop)) montre Tout va Quand tu entends que Lady Mendl (actrice et décoratrice renommée lesbienne) se lève Maintenant, un saut de main atterrit sur ses orteils (?) Tout va Pensez juste à ces chocs que vous avez Et ces coups que tu as Et ce blues que tu as De ces nouvelles que vous avez Et ces douleurs que tu as Si vous avez un cerveau De ces petites radios Alors Missus R, avec tous ses trimmin Peut diffuser depuis Simmons (ref à une pub des matelas simmons faite par mrs Roosevelt premiere dame) Parce que Franklin (billetet et Franklin roosevelt je suppose ) sait Tout va/ tout est permis"

John Thefool oui pour le papillon un monarque..... monarch...

Mdr Tu peux partager les vidéos du "Fool & the Cool", elles t'appartiennent autant qu'à moi😁