Interview : Dirty Black Summer l Focus : Michael Khettabi l

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  • Опубліковано 17 вер 2024
  • Retrouvez-nous tous les Mardis, 18h, sur la chaîne 𝗣𝗶𝗰𝗮𝘂𝗱 𝗠𝗷𝗰, pour de nouvelles #𝗣𝗶𝗰𝗩𝗶𝗲𝘄 !
    Chaque semaine, un focus sur un groupe ou artiste de la région et d'ailleurs. Laissez-vous embarquer par tous ces univers.
    Aujourd'hui, focus sur 𝗠𝗶𝗰𝗵𝗮𝗲𝗹 𝗞𝗵𝗲𝘁𝘁𝗮𝗯𝗶, chanteur de 𝗗𝗶𝗿𝘁𝘆 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗦𝘂𝗺𝗺𝗲𝗿, groupe qualifié de Blackened 90's Rock, originaire de la Côte d'Azur.
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    𝗟𝗶𝗲𝗻 :
    Instagram : @dirtyblacksummerofficial
    Facebook : Dirty Black Summer
    UA-cam : Dirty Black Summer
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    𝗗𝗲𝘀𝗰𝗿𝗶𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻 :
    Dirty Black Summer est le projet d’une certaine rédemption musicale cherchée par cinq musiciens œuvrant parmi les formations les plus abrasives de la Baie des Anges : Svart Crown, In Other Climes, Wormsand. Des musiciens chevronnés issus des scènes black, hardcore ou stoner, aujourd’hui réunis, cherchant la bénédiction post mortem de Layne Staley et sous l’oeil amusé de Glenn Danzig.
    Des amoureux du genre alternatif de Seattle offrant un hommage empreint de nostalgie d’une époque révolue.
    Avec Dirty Black Summer, ses membres cherchent à retrouver leurs premiers émois musicaux, l’exaltation de leurs débuts ; volonté attisée par la mise au repos forcé imposée par le premier confinement, du repli sur soi qui en a découlé. Dirty Black Summer émerge alors du néant dans une sorte d’urgence et est une soupape cathartique qui s’exprime par un Rock 90's post grunge avec en filigrane, l’essence du black metal.
    "Il y a un an se terminait de façon abrupte toutes nos activités liées de près ou de loin à la scène. Rien ne s'est déroulé comme prévu et il a fallu combler ce manque en étant créatif" (JB Le Bail).
    Le premier EP de Dirty Black Summer, Great Deception, est sorti le 21 Mai 2021 chez Nova Lux Production/ Season of Mist. Il prend la forme d’un six titres réunissant cinq compositions originales et une reprise pour le moins surprenante (“Womanizer” de Britney Spears pour ne pas la nommer). Vingt-sept minutes par lesquelles, sans être forcément déconnecté de l'époque actuelle, Dirty Black Summer revisite les codes du genre en y incorporant une touche sulfureuse. Si l’oreille pense au post-grunge, l'œil remarque de nombreuses influences cinématographiques accentuant ce voyage dans le temps.

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