en 1950 la batteuse était encore entrainée par une machine à vapeur ,les gerbes liées étaint jetées à la fouche sur la batteuse et le lien coupé pour alimenter la batteuse ,les sacs de grains d e75/80kgs étaient montés à dos d'homme au grenier par une échelle
Des gars qui ne pleurnichaient pas que le travail était difficile et ne pointaient pas a l'entrée. Merci pour le réveil des souvenirs de ma petite enfance (6 et 7 ans )
Super intéressant dont je n'ai pas connu cette époque avec toutes ces machines agricoles d'antan. Avoir vu de près quelques machines en démonstration à une foire. Je me suis régalée. 👍👍👍👍
J'ai fait 10 ans de campagne de batteuse avec les Vierzon et des Merlin ou Breloux . Dernière campagne en 1972 pour battre des parcelles non accessibles en tracteur et plantées en sapin en 1975. C'était dur, mais on ne se plaignait pas et je l'ai très bien vécu. Ca permet toute sa vie de la trouver cool et d'accepter les 50 ou 60 h de travail Je me souvient bien de tout et ça ferait du bien d'obliger tous les gens aujourd'hui de refaire une semaine de battage au même rythme, en dormant peu car on faisait aussi la fête le soir. Peut être qu'ils seraient contents de reprendre leur "travail" à la SNCF ou RATP
N’avez 12 ans je monte sur la batteuse pour couper les cordes ci je le cessait mal attentions à mois je couche dans le avec les pigeons, l hiver sans chauffage il fallait pas que je me peine, sinon là punitions au vîmes, quand tout le monde errait partie, il ne fallait pas que je me plaigne tout les jours on le pèse la pain’ ci n’avez le malheur de manger des pomme de terres pour les cochon il vfallait me cacher sinon’ la séance de volé et aller me coucher sans manger
C'était le temps ou les paysans "se donnaient la main " ! 1952 aux Fouquereaux de la commune de PRUNOY ( 89120 ) ou tout était encore authentique ......miséreux mais heureux de vivre !!! Que l'eau du puits était fraiche et bonne , le cidre parfurmé .......belle région qu'est la Puisaye chère à COLETTE et à Jean d'ORMESSON
Quand le journal LeMonde était Paroles d'Évangile. On se mariait devant Dieu et les Hommes . Et les enfants naissaient d'une VRAIE MÈRE et avaient UN VRAI PÈRE. Les ruisseaux étaient clairs et la campagne sentait bon le crottin.... J'ai des larmes de nostalgie. 1944.
"miséreux", je ne pense pas.....et 100% oui, pour le reste. J'ai aussi (tres petit) assisté à ces activités à Nailly, pres de Sens (89) et n'ai jamais ressenti les gens miséreux, mais plutot hardis et courageux.
@@agrotte Oh ! tant mieux pour vous ! Mes parents , fermiers sur 15 ha , vivaient dans une maison sans électricité , sans eau , lézardée dans un coin , laissant voir , par la fente , la lune de l'intérieur ! On se chauffait à l'aide d'une vieille cuisinière et on chauffait l'ensemble des 3 pieces et la nuit le feu s'éteignait ......... Mes parents qui débutaient sur cette ferme , vendaient tout ce qui était possible pour les besoins de la ferme en laissant à la famille juste de quoi acheter des grosses miches de pain et du saindoux , sans plus ..........pas de viande ou volaille aux repas : les repas une soupe de légumes avec un nuage de lait et un peu de fromage blanc ou une pomme ..........une enfance affamée et au froid ............ voilà les années 1947 à 1956 ;.....chacun son destin !!!!!!! Je vous parle d'Agadir en ce moment .... bien au chaud depuis début janvier ....et merci d'avoir répondu !
Mon cher René Guillaume On travaillait toute la journée et le soir on buvait des canons. Dès 8 ans, au gerbier et à 16-17 ans je portait des sacs de 80 / 100 kg sur 100 ou 150 m pour monter à l'échelle au grenier. Se plaindre ? on y pensait pas. A 14 ans, j'ai commencé a travaillé 12 heures par dans les fermes et on faisait la compétition du plus résistant. Je n'ai que des bons souvenirs et aujourd'hui, je travaille toujours au minimum 8 heures et me lève entre 5 et 6 heures et avec grand plaisir Cette jeunesse a été une magnifique école du travail, du respect, du courage et je remercie chaque jour mes parents et grands parents de cette éducation (nés en 1880/1890). Je ne comprends pas cette société de merde que nous avons crée et qu'on va laisser à nos arrières petits enfants. Comment avons nous si mal évolué en 75 ans ? Ce qui me fatigue le plus ? Ecouter les gens se plaindre et geindre sans arrêt. Ramassis de fainéants. Confinement obligatoire 15 jours pas an pour apprendre à supporter son voisin et surtout s'endurer soi même. Bonne journée
Tout à fait d'accord , je pense qu'on est un peu de la même génération . Par contre ces commémorations qui ont le mérite d'exister sont présentées comme des fêtes alors que c'était si dur . Quand je vois comment certains tiennent une fourche chargent un sac de blé ou lient une gerbe .j'ai envie de pleurer .Que dire du travail des femmes qui devaient assurer l'intendance de tous ces gaillards qui avaient soif et bon appétit . L'entraide existait . Ils ne s'en rendaient même pas compte mais c'était des héros.
Bonjour CER969.D'accord avec vous, mais un battage à l'ancienne est fait avec les moyens du bord. Le Soméca utilisé ici a sa poulie du côté opposé à l'habitude, ce qui empêche de croiser la courroie. Idem pour la presse: c'est le sens de rotation de la presse utilisée qui commande de croiser ou pas. Je fais de nombreux battages à l'ancienne tous les étés, et notre matériel est de modèle très varié. Mais autrefois, et vous avez raison, pour la courroie motrice, l'adhérence est bien meilleure avec un recouvrement plus important qui s'accentue encore lors des efforts. Idem pour la presse qui fonctionne bien mieux avec une courroie croisée qui absorbe les à coups. Gab 29
jean Paul GAYRAUD Je confirme ce que dit Michel Merlin et j'ajoute que la courroie d'entraînement doit être croisée .Par contre, on n'entend pas le bruit caractéristique du batteur (pièce cylindrique munie de crochets qui servait à extraire le grain de l'épi ). Effectivement on pratiquait l'entraide entre voisins (on appelait ça rendre le temps) . Travail pénible (chaleur ,bruit et poussière) mais , souvenirs inoubliables des fêtes de fin de battage , nous étions jeunes , durs au mal et pleins d'enthousiasme .
On voit tout de suite les spécialistes: pour croiser la courroie on fait comment avec un Vierzon dont le sens de rotation de la poulie est celui d'une montre
La batteuse commence par un B Comme le BAGNE ..larmes d enfance je n etais que des bras pas question de se plaindre c etait du temps perdu.....gamin va chercher un litre??👎👎👎👎
J'ai fait 10 ans de campagne de batteuse avec les Vierzon et des Merlin ou Breloux . Dernière campagne en 1972 pour battre des parcelles non accessibles en tracteur et plantées en sapin en 1975. C'était dur, mais on ne se plaignait pas et je l'ai très bien vécu. Je me souvient bien de tout et ça ferait du bien d'obliger tous les gens aujourd'hui de refaire une semaine de battage au même rythme, en dormant peu car on faisait aussi la fête le soir. Peut être qu'ils seraient contents de reprendre leur "travail" à la SNCF ou RATP
journée de travail éprouvante et ça durait plusieurs jours , les cultivateurs se donnaient la main et les semaines n'étaient pas de 35h . le battoir commençait au lever du jour et se terminait tard . Après un bon décrassage repas copieux bien arrosé et souvent tout les participant chantaient jusque tard dans la nuit et on se disait à demain chez un autre cultivateur .
en 1950 la batteuse était encore entrainée par une machine à vapeur ,les gerbes liées étaint jetées à la fouche sur la batteuse et le lien coupé pour alimenter la batteuse ,les sacs de grains d e75/80kgs étaient montés à dos d'homme au grenier par une échelle
Des gars qui ne pleurnichaient pas que le travail était difficile et ne pointaient pas a l'entrée. Merci pour le réveil des souvenirs de ma petite enfance (6 et 7 ans )
Super intéressant dont je n'ai pas connu cette époque avec toutes ces machines agricoles d'antan. Avoir vu de près quelques machines en démonstration à une foire. Je me suis régalée. 👍👍👍👍
J'ai fait 10 ans de campagne de batteuse avec les Vierzon et des Merlin ou Breloux . Dernière campagne en 1972 pour battre des parcelles non accessibles en tracteur et plantées en sapin en 1975.
C'était dur, mais on ne se plaignait pas et je l'ai très bien vécu.
Ca permet toute sa vie de la trouver cool et d'accepter les 50 ou 60 h de travail
Je me souvient bien de tout et ça ferait du bien d'obliger tous les gens aujourd'hui de refaire une semaine de battage au même rythme, en dormant peu car on faisait aussi la fête le soir. Peut être qu'ils seraient contents de reprendre leur "travail" à la SNCF ou RATP
Vierzon, Merlin, Breloux c'était le Berry industriel...
N’avez 12 ans je monte sur la batteuse pour couper les cordes ci je le cessait mal attentions à mois je couche dans le avec les pigeons, l hiver sans chauffage il fallait pas que je me peine, sinon là punitions au vîmes, quand tout le monde errait partie, il ne fallait pas que je me plaigne tout les jours on le pèse la pain’ ci n’avez le malheur de manger des pomme de terres pour les cochon il vfallait me cacher sinon’ la séance de volé et aller me coucher sans manger
🎉
C'était le temps ou les paysans "se donnaient la main " ! 1952 aux Fouquereaux de la commune de PRUNOY ( 89120 ) ou tout était encore authentique ......miséreux mais heureux de vivre !!! Que l'eau du puits était fraiche et bonne , le cidre parfurmé .......belle région qu'est la Puisaye chère à COLETTE et à Jean d'ORMESSON
Quand le journal LeMonde était Paroles d'Évangile. On se mariait devant Dieu et les Hommes . Et les enfants naissaient d'une VRAIE MÈRE et avaient UN VRAI PÈRE.
Les ruisseaux étaient clairs et la campagne sentait bon le crottin....
J'ai des larmes de nostalgie. 1944.
@@BCPANORAMA La messe est dite, en effet....
je connais charny
"miséreux", je ne pense pas.....et 100% oui, pour le reste. J'ai aussi (tres petit) assisté à ces activités à Nailly, pres de Sens (89) et n'ai jamais ressenti les gens miséreux, mais plutot hardis et courageux.
@@agrotte Oh ! tant mieux pour vous ! Mes parents , fermiers sur 15 ha , vivaient dans une maison sans électricité , sans eau , lézardée dans un coin , laissant voir , par la fente , la lune de l'intérieur ! On se chauffait à l'aide d'une vieille cuisinière et on chauffait l'ensemble des 3 pieces et la nuit le feu s'éteignait ......... Mes parents qui débutaient sur cette ferme , vendaient tout ce qui était possible pour les besoins de la ferme en laissant à la famille juste de quoi acheter des grosses miches de pain et du saindoux , sans plus ..........pas de viande ou volaille aux repas : les repas une soupe de légumes avec un nuage de lait et un peu de fromage blanc ou une pomme ..........une enfance affamée et au froid ............ voilà les années 1947 à 1956 ;.....chacun son destin !!!!!!! Je vous parle d'Agadir en ce moment .... bien au chaud depuis début janvier ....et merci d'avoir répondu !
Il faut préciser que l'échelle pour aller au grenier était branlante et qu'il fallait garder l'équilibre
jais connus ce travail dautrefois et jaimai il yavais du beu temp et des saisons
Et le repas du midi c était quelque chose !!!!en Normandie c était de la pirotte !!!bons souvenirs
exact!
Pamiętam z dzieciństwa.Pomagało się przy młocce.Frajda była.
tylko ze u nas mlocarnie poszly na zyletki.pozdro.
Mon cher René Guillaume
On travaillait toute la journée et le soir on buvait des canons. Dès 8 ans, au gerbier et à 16-17 ans je portait des sacs de 80 / 100 kg sur 100 ou 150 m pour monter à l'échelle au grenier. Se plaindre ? on y pensait pas. A 14 ans, j'ai commencé a travaillé 12 heures par dans les fermes et on faisait la compétition du plus résistant. Je n'ai que des bons souvenirs et aujourd'hui, je travaille toujours au minimum 8 heures et me lève entre 5 et 6 heures et avec grand plaisir Cette jeunesse a été une magnifique école du travail, du respect, du courage et je remercie chaque jour mes parents et grands parents de cette éducation (nés en 1880/1890). Je ne comprends pas cette société de merde que nous avons crée et qu'on va laisser à nos arrières petits enfants. Comment avons nous si mal évolué en 75 ans ?
Ce qui me fatigue le plus ? Ecouter les gens se plaindre et geindre sans arrêt. Ramassis de fainéants. Confinement obligatoire 15 jours pas an pour apprendre à supporter son voisin et surtout s'endurer soi même.
Bonne journée
Tout à fait d'accord , je pense qu'on est un peu de la même génération .
Par contre ces commémorations qui ont le mérite d'exister sont présentées comme des fêtes alors que c'était si dur . Quand je vois comment certains tiennent une fourche chargent un sac de blé ou lient une gerbe .j'ai envie de pleurer .Que dire du travail des femmes qui devaient assurer l'intendance de tous ces gaillards qui avaient soif et bon appétit .
L'entraide existait . Ils ne s'en rendaient même pas compte mais c'était des héros.
Super natural demonstration !
Bonjour CER969.D'accord avec vous, mais un battage à l'ancienne est fait avec les moyens du bord. Le Soméca utilisé ici a sa poulie du côté opposé à l'habitude, ce qui empêche de croiser la courroie. Idem pour la presse: c'est le sens de rotation de la presse utilisée qui commande de croiser ou pas. Je fais de nombreux battages à l'ancienne tous les étés, et notre matériel est de modèle très varié. Mais autrefois, et vous avez raison, pour la courroie motrice, l'adhérence est bien meilleure avec un recouvrement plus important qui s'accentue encore lors des efforts. Idem pour la presse qui fonctionne bien mieux avec une courroie croisée qui absorbe les à coups. Gab 29
bonjour ce n est pas un someca mais SFV
Chez nous la courroie de la presse n'était pas croisée
Vous êtes un connaisseur et je confirme Merci pour le souvenir
Quand le parle de la batteuse à mes grands enfants ils me demandent sur quelle planète j ai vécu mon enfance dialogue de sourd .
Ah ah ,tu as raison ,juste les vieux qui ont connu ca , moi j,ai 81,salutations
@@robertjeanhee1638 .
Está muy bien, en Soria hacíamos lo mismo. Lanz estaba en todo el mundo.
Ñw
et le soir.....poule au pot, jambon de pays, gros rouge qui tache et café gnole à volonté !...............rot, dodo et à demain..
old is gold .... from pakistan
Nunca vi isto a qui no Brasil parabéns
Un enfant qui a la chance de passer ses vacances à la ferme a beaucoup à raconter à ses copains , àla rentrée !
Mi Abuelo tuvo una maquina trilladora igual a estas la trilla hera una fiesta para la familia y vecinos mas alla del trabajo
Super classique
jean Paul GAYRAUD Je confirme ce que dit Michel Merlin et j'ajoute que la courroie d'entraînement doit être croisée .Par contre, on n'entend pas le bruit caractéristique du batteur (pièce cylindrique munie de crochets qui servait à extraire le grain de l'épi ). Effectivement on pratiquait l'entraide entre voisins (on appelait ça rendre le temps) . Travail pénible (chaleur ,bruit et poussière) mais , souvenirs inoubliables des fêtes de fin de battage , nous étions jeunes , durs au mal et pleins d'enthousiasme .
Pour info la poulie du Vierzon à un seul sens de rotation celui du batteur donc on ne croise pas la courroie.
Que país esse estao atrasado na agricultura
Warmianka 4😜byla lepsza.
لماذا لايتحرك المصور في عملية التصوير؟؟؟؟؟
la courroie du tracteur vers la batteuse doit être croisée
et la courroie vers la presse non croisée
de la part d'un vieux de la batteuse
pour tourner a l'envers ?
Pour tourner à l'envers ?
c'est tout a fait exact
On voit tout de suite les spécialistes: pour croiser la courroie on fait comment avec un Vierzon dont le sens de rotation de la poulie est celui d'une montre
Christian Laroche n
Alla loro epoca facevano il loro lavoro meglio di oggi
J'ai bien connu ca
X5
Quelqu'un peut-il me dire que les sangles sont faites, à mon avis, elles étaient faites de poils de chameau.
11
Deux questions.
De quoi sont faites les sangles?
Parce qu'ils sont si longs.
Bon pour garder même cette tradition.
toile de chanvre tressée
Quem se lembra desta coisa.
Great old memories
Bonjour, pas d'électronique et ça fonctionnait, mais le boulot était plus pénible que maintenant !!!
Gu Buu no
@@josemiltonlonguinho3206 bfhlg
vivre les battage
pt1 trop de vent dans le micro
Sans effluves polluées par Monsanto.
Nice video very hard working but it's to old
Normalement il y 'aurais un monte paille, pour monter les gerbes de ble au batteuse
Très bon souvenir de mon enfance. Très bien.Bravo
C'est pas un someca ?
bonne question non société française de Vierzon
Moi aussi j'ai travaille dur
tu as raison c'est un SFV
Brawa dla PASJONATÓW.
fabien Roussel président de la république française en 2022
Commentaires hors sujet et ridicule.
les gars
La batteuse commence par un B Comme le BAGNE ..larmes d enfance je n etais que des bras pas question de se plaindre c etait du temps perdu.....gamin va chercher un litre??👎👎👎👎
N'exagerons rien, j'ai survécu, j'ai même connu des feignasses et autres tire au flanc qui disparaissent au moment de porter les sacs
Pas d'accord c'était l'époque de l'entraide entre les agriculteurs et les familles. Il y avait aussi des tire au flanc et des feignasses
J'ai fait 10 ans de campagne de batteuse avec les Vierzon et des Merlin ou Breloux . Dernière campagne en 1972 pour battre des parcelles non accessibles en tracteur et plantées en sapin en 1975.
C'était dur, mais on ne se plaignait pas et je l'ai très bien vécu.
Je me souvient bien de tout et ça ferait du bien d'obliger tous les gens aujourd'hui de refaire une semaine de battage au même rythme, en dormant peu car on faisait aussi la fête le soir. Peut être qu'ils seraient contents de reprendre leur "travail" à la SNCF ou RATP
j ai connu des bons moments tous solidaire pas de C G T !
⁹a was 90999pp90999⁹
RIMO7%*RCHIO
les cars
journée de travail éprouvante et ça durait plusieurs jours , les cultivateurs se donnaient la main et les semaines n'étaient pas de 35h . le battoir commençait au lever du jour et se terminait tard . Après un bon décrassage repas copieux bien arrosé et souvent tout les participant chantaient jusque tard dans la nuit et on se disait à demain chez un autre cultivateur .
Bau
Macmac
finalmente mettete su il video che mi piace