Découverte de cette fenêtre historique extraordinaire seulement ce jour. Une narration protohistorique sobre et chronologique d'une précision graduelle authentiquement vécue. Depuis le Néolithique et jusqu'à nos jours, la présence d'un peuple singulier, tant dans ses mœurs que dans sa génétique quasi unique, par son rhésus sanguin universel rarissime dans le monde . (Découverte de peintures rupestres explicites.) Bravo et merci à Xavier LANUSSE......on en redemande. (Un cadet de famille nombreuse.) Gizona Parizen, bena biotza Eskual Herrian.
Cela donne matière aussi à faire réfléchir...nos anciens sont-ils bien traités en ephad? A un moment, le Basque né Basque, mais ne l'est plus...chacun a le libre arbitre...
Je suis très étonné qu'il insiste plusieurs fois sur "jusque dans les années 50". Il me semble que tout ce dont il parle (hormis le droit d'ainesse) est encore bien ancré dans les coutumes basques. J'ai 30 ans et j'ai été élevé dans une ferme familiale avec mes grands-parents présents dans la maison. J'ai quitté la ferme à ma majorité au profit de mon frère qui a repris l'exploitation depuis, et je sais que j'ai abandonné mes droits d'héritage sur la maison. Et ça ne me pose aucun problème, c'est un choix que j'ai fait. Et il en va de même dans toutes les familles de mon village. C'est pour ça que je ne comprends pas que la vidéo en parle comme d'un temps révolu.
Ce doit être une tendance, c'est vrai qu'il n'est pas très correct d'être catégorique comme il peut l'être dans ces propos. Je pense que l'idée serait plus "de manière systématique jusque dans les années 50".
Romaina.6241. Légalement la transmission de l’etxe à l’aîné a cessé avec la Révolution puisque le 4 août 1789 ont été abolis tous les ‘privilèges’ y compris les lois et libertés basques, les fors (Lege Zaharra en basque). Mais ces lois ont continué à être appliquées par habitude jusque dans les années 1950-1960. Depuis cette règle recule progressivement. Ca et là elle est encore appliquée dans certaines familles, mais en 2024 cela est devenu rarissime.
Je ne sais pas de quel village 5:52 vous êtes mais à Ustaritz ,plus personne ne veut abandonner sa part d’héritage .le prix de l’immobilier en est sûrement une des raisons .pour info ma grand mère a abandonné sa part d’héritage au profit de son frère et les enfants (cousin germain de ma mère ) ont tout vendu quelques années après sans partager …dorénavant les maisons se vendent quand tous les héritiers sont d’accord pour vendre ou aux enchères lorsqu’ils ne sont pas de accord
Critique constructive: l'histoire est intéressante mais la réalisation est trop statique. Cela aurait été bien d'illustrer le pb de la transmission du patrimoine avec des témoignages d'autres personnes. D'autre part, le narrateur aurait pu se déplacer ailleurs pour mieux dynamiser ses propos. Éviter l'utilisation excessive d'images fixes (photos) qui figent la mise en scène. Bien cordialement
Découverte de cette fenêtre historique extraordinaire seulement ce jour. Une narration protohistorique sobre et chronologique d'une précision graduelle authentiquement vécue. Depuis le Néolithique et jusqu'à nos jours, la présence d'un peuple singulier, tant dans ses mœurs que dans sa génétique quasi unique, par son rhésus sanguin universel rarissime dans le monde . (Découverte de peintures rupestres explicites.) Bravo et merci à Xavier LANUSSE......on en redemande. (Un cadet de famille nombreuse.) Gizona Parizen, bena biotza Eskual Herrian.
Nous y sommes allés plusieurs années a Guétary exactement ,MAGNIFIQUE !
Super vidéo malheureusement les choses changent😔😔
Esuskalherri maitea ❤💚🤍🤍💚❤
Super intéressant et bien réalisé.
Très intéressant....Quel dommage que certaines de ces traditions se perdent....
voyez avec une fille déshéritée !!surtout si elle n est pas soumise et vit par exemple a bordeaux avec un non basque !
Cela donne matière aussi à faire réfléchir...nos anciens sont-ils bien traités en ephad? A un moment, le Basque né Basque, mais ne l'est plus...chacun a le libre arbitre...
Merci pour cette belle vidéo! Je m'intéresse à l'architecture basque, connaîtriez-vous d'autres liens ? Merci !
La tradition ancestrale d'un peuple matrilinéaire sur le droit d'ainesse, fut aboli officiellement par un Pitiane béarnais...Henri IV.
Je suis très étonné qu'il insiste plusieurs fois sur "jusque dans les années 50". Il me semble que tout ce dont il parle (hormis le droit d'ainesse) est encore bien ancré dans les coutumes basques. J'ai 30 ans et j'ai été élevé dans une ferme familiale avec mes grands-parents présents dans la maison. J'ai quitté la ferme à ma majorité au profit de mon frère qui a repris l'exploitation depuis, et je sais que j'ai abandonné mes droits d'héritage sur la maison. Et ça ne me pose aucun problème, c'est un choix que j'ai fait.
Et il en va de même dans toutes les familles de mon village. C'est pour ça que je ne comprends pas que la vidéo en parle comme d'un temps révolu.
Ce doit être une tendance, c'est vrai qu'il n'est pas très correct d'être catégorique comme il peut l'être dans ces propos. Je pense que l'idée serait plus "de manière systématique jusque dans les années 50".
Romaina.6241. Légalement la transmission de l’etxe à l’aîné a cessé avec la Révolution puisque le 4 août 1789 ont été abolis tous les ‘privilèges’ y compris les lois et libertés basques, les fors (Lege Zaharra en basque). Mais ces lois ont continué à être appliquées par habitude jusque dans les années 1950-1960. Depuis cette règle recule progressivement. Ca et là elle est encore appliquée dans certaines familles, mais en 2024 cela est devenu rarissime.
Je ne sais pas de quel village 5:52 vous êtes mais à Ustaritz ,plus personne ne veut abandonner sa part d’héritage .le prix de l’immobilier en est sûrement une des raisons .pour info ma grand mère a abandonné sa part d’héritage au profit de son frère et les enfants (cousin germain de ma mère ) ont tout vendu quelques années après sans partager …dorénavant les maisons se vendent quand tous les héritiers sont d’accord pour vendre ou aux enchères lorsqu’ils ne sont pas de accord
@@xaballan4944 Je n'ai jamais parlé d'abandonner sa part d'héritage, ni du cas de la vente. Mais la maison va à celui qui y vit toujours.
Critique constructive: l'histoire est intéressante mais la réalisation est trop statique. Cela aurait été bien d'illustrer le pb de la transmission du patrimoine avec des témoignages d'autres personnes.
D'autre part, le narrateur aurait pu se déplacer ailleurs pour mieux dynamiser ses propos.
Éviter l'utilisation excessive d'images fixes (photos) qui figent la mise en scène.
Bien cordialement
Critique constructive Comme on dit "On voit la paille dans l'oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien".
C'est un peu comme en Corse, ils ont préféré que la maison tombe en ruine que la céder.