Quelle merveille que cette lecture ! Finesse et expressivité, phrasé admirable et un timbre aux couleurs somptueuses. Merci, Monsieur pour cette heure délectable.
Merci pour vos lectures qui m’ont permis d’aborder Proust, grâce à elles, je repère dans les différents livres les éléments de langage propre à ce génie.
Merveilleuse lecture. La phrase est habitée jusque dans ses méandres les plus cachés, et elle ouvre naturellement sur la suivante avec une cohérence et une fluidité admirable.
C’est beau. C’est merveilleusement bien lu. Un méli-melo de paroles d’oisifs dont j’ai du mal à faire un résumé pour moi-même. Je vais plonger dans ma piscine un ananas à la main. Merci Monsieur Génovèse et la CF. .
Avec ce nouvel épisode, Éric Génovèse confirme être l’un des plus brillants lecteurs de La Recherche, dont il restitue merveilleusement le style, en se jouant des traquenards qui ponctuent ces phrases d’une longueur légendaire.
Une grande scène d'hypocrisie mondaine que celle où Mme Verdurin calomnie le baron devant Morel pour lui subtiliser son affection. Quelle ambiguïté chez les êtres : le baron, si éloquent d'habitude, demeure muet devant le rejet de son protégé, la reine de Naples, d'abord aimable avec Mme Verdurin, l'ignore ensuite pour choisir le clan du baron, M. Verdurin, dont Saniette est le souffre-douleur, envisage de lui verser une rente... Quant à la fin de la lecture, elle évoque superbement la "servitude éternelle du Narrateur" derrière "les inflexibles barreaux d'or" de la chambre d'Albertine. Un texte porté par la voix envoûtante d'Éric Génovèse, selon moi un des meilleurs lecteurs parmi les Comédiens-Français.
Quelle merveille que cette lecture ! Finesse et expressivité, phrasé admirable et un timbre aux couleurs somptueuses. Merci, Monsieur pour cette heure délectable.
C'est une grande joie de vous entendre. Merci!
Merci pour vos lectures qui m’ont permis d’aborder Proust, grâce à elles, je repère dans les différents livres les éléments de langage propre à ce génie.
Merveilleuse lecture. La phrase est habitée jusque dans ses méandres les plus cachés, et elle ouvre naturellement sur la suivante avec une cohérence et une fluidité admirable.
Comme toujours avec Eric Genoveses. Une lecture sensible habitée tout en nuance.
Un immense merci.
Bravo bravo 🎉🍾🎈 pour la lecture 🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏
Au fil de la lecture, toujours cette voix envoûtante qui captive et entraîne . Merci , merci
C’est beau. C’est merveilleusement bien lu. Un méli-melo de paroles d’oisifs dont j’ai du mal à faire un résumé pour moi-même. Je vais plonger dans ma piscine un ananas à la main. Merci Monsieur Génovèse et la CF. .
Avec ce nouvel épisode, Éric Génovèse confirme être l’un des plus brillants lecteurs de La Recherche, dont il restitue merveilleusement le style, en se jouant des traquenards qui ponctuent ces phrases d’une longueur légendaire.
🌺🌸🌼🍀🎍à nouveau une joie.
Comme à chaque fois avec vous c'est une lecture somptueuse
Lecture magique! Un grand merci!
Le son de cette lecture est de très bonne qualité, ce qui n'est pas toujours le cas. Merci à Eric Genovese pour la dite lecture.
Merci Monsieur « le temps ..» est passé bien trop vite à votre lecture !
Belle lecture inspirée de ce passage dont l ironie et la férocité sont subtilement rendues .
Éblouissante lecture..
Une grande scène d'hypocrisie mondaine que celle où Mme Verdurin calomnie le baron devant Morel pour lui subtiliser son affection. Quelle ambiguïté chez les êtres : le baron, si éloquent d'habitude, demeure muet devant le rejet de son protégé, la reine de Naples, d'abord aimable avec Mme Verdurin, l'ignore ensuite pour choisir le clan du baron, M. Verdurin, dont Saniette est le souffre-douleur, envisage de lui verser une rente... Quant à la fin de la lecture, elle évoque superbement la "servitude éternelle du Narrateur" derrière "les inflexibles barreaux d'or" de la chambre d'Albertine. Un texte porté par la voix envoûtante d'Éric Génovèse, selon moi un des meilleurs lecteurs parmi les Comédiens-Français.