Entre colère et indifférence, entre dépit et désir pour d'autres femmes, entre aspiration à la liberté et pressentiment de la mort, le Narrateur ne sait plus s'il souhaite le départ d'Albertine ou craint de la perdre quand il entend le bruit d'une fenêtre qui s'ouvre. Quand Françoise lui apprend qu'Albertine est partie, il comprend que la fin de l'Habitude est "plus cruelle que la mort". De cette fin de l'amour, Géraldine Martineau nous propose une lecture vivante et expressive .
Lecture des plus impressionnantes (d'impressions légères et douces), mais quel dommage de n'avoir pas continuer avec la "vraie" Albertine disparue, redécouverte en 1986, la dernière version souhaitée par Proust remaniée en 1922 par l'auteur juste avant sa disparition (la sienne).
Qu'il est bête avec Albertine l'auteur! Les amours hypersexuels à tendance saphique d'Albertine étaient plutôt un atout, quelque chose qu'il aurait pu partager et en jouir...
Lecture infiniment touchante et délicate,la douceur de la voix a quelque chose de l’enfance,qui habitait tant Marcel.
Merci Géraldine Martineau pour cette lecture fine et juste.
Quel plaisir de vous entendre lire ! Merci beaucoup 💕
Superbement bien lu. Merci. Merci beaucoup.
Magnifique lecture. Merci !
Admirable lecture, pleine de vie de tendresse de beauté de poésie.Bravo. 🐈
Merci pour cette très belle lecture ! Quand le geôlier pleure les souris dansent !
Lecture très agréable avec l'écoute de votre voix si douce en écho avec la cruauté du départ d"Albertine.
Albertine s'en va et la souffrance redouble....belle leçture .
Merci 👏👏👏
Lecture tout en finesse. Magnifique. Merci.
Aussi agréable à écouter qu’à regarder, puisqu’il n’y a pas eu un seul geste de trop. Bravo !
"Mon souffle fut coupé, je tins mon coeur de mes deux mains" "On ne va pas te laisser souffrir comme cela" Très belle lecture...
Elle fait vivre Proust !!
Entre colère et indifférence, entre dépit et désir pour d'autres femmes, entre aspiration à la liberté et pressentiment de la mort, le Narrateur ne sait plus s'il souhaite le départ d'Albertine ou craint de la perdre quand il entend le bruit d'une fenêtre qui s'ouvre. Quand Françoise lui apprend qu'Albertine est partie, il comprend que la fin de l'Habitude est "plus cruelle que la mort". De cette fin de l'amour, Géraldine Martineau nous propose une lecture vivante et expressive .
Lecture des plus impressionnantes (d'impressions légères et douces), mais quel dommage de n'avoir pas continuer avec la "vraie" Albertine disparue, redécouverte en 1986, la dernière version souhaitée par Proust remaniée en 1922 par l'auteur juste avant sa disparition (la sienne).
49:18 Albertine disparue
Qu'il est bête avec Albertine l'auteur! Les amours hypersexuels à tendance saphique d'Albertine étaient plutôt un atout, quelque chose qu'il aurait pu partager et en jouir...