You probably dont give a shit but does anybody know of a trick to log back into an instagram account? I was stupid forgot the password. I would love any tricks you can give me!
WERTHER (après un moment d'accablement, avec résolution) Oui! ce qu'elle m'ordonne... pour son repos... je le ferai! Et si la force m'abandonne... Ah! c'est moi pour toujours qui me reposerai! (songeant fiévreusement) Pourquoi trembler devant la mort? devant la nôtre? On lève le rideau... (mystérieux) puis on passe de l'autre côté, Voilà ce qu'on nomme mourir! (songeant encore) Offensons-nous le ciel en cessant de souffrir? Lorsque l'enfant revient d'un voyage, avant l'heure, bien loin lui garder quelque ressentiment, au seul bruit de ses pas tressaille la demeure et le père joyeux l'embrasse longuement! O Dieu! qui m'as créé, serais-tu moins clément? Non, tu ne saurais pas, dérobé sous voiles rejeter dans la nuit ton fils infortuné! ton fils! Devinant ton sourire au travers des étoiles il reviendrait vers toi d'avance pardonné! Père! Père! Père, que je ne connais pas, en qui pourtant j'ai foi, parle à mon coeur, appelle-moi! Appelle-moi! (sans voix, presque parlé) Appelle-moi! (Werther va s'éloigner lorsque paraît Sophie sur le seuil du presbytère.)
WERTHER (Resuelto, después de un momento de profunda desesperación) Sí; esto que me ordena... para su tranquilidad, he de hacerlo... Y si la fuerza me abandona, ¡seré yo quien alcanzará la paz eterna! (Pensando, febrilmente) ¿Por qué temer ante la muerte... ante nuestra muerte? ¡Se levanta el telón y... (Misterioso) ...pasamos a la otra orilla! Eso es a lo que llamamos morir. (Pensando todavía) ¿Ofendemos al cielo si cesamos de sufrir? Cuando el niño vuelve de un viaje, anticipadamente, no se le mira con resentimiento. Al solo sonido de sus pisadas, el padre, dichoso, le da un abrazo. ¡Oh, Dios! Tú, que me has creado, ¿serás menos clemente?... ¡no rechazarás a tu hijo desafortunado! Intuyendo tu sonrisa entre las estrellas, él llegará hasta Ti... ¡Perdonado de antemano! ¡Padre! Padre, al que no conozco, y en quien sin embargo creo, háblale a mi corazón, ¡Llámame! ¡Llámame! (Sin voz, casi hablado) ¡Llámame! (A punto de irse Werther, aparece Sofía, bajo el umbral del presbiterio)
I was in the room with Neil when this was made. He was in great form, especially dealing with a completely antipatico conductor.
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@Marcus Beckham Instablaster =)
A true tragedian singer.
Very rare.
WERTHER
(après un moment d'accablement,
avec résolution)
Oui! ce qu'elle m'ordonne...
pour son repos... je le ferai!
Et si la force m'abandonne...
Ah! c'est moi pour toujours
qui me reposerai!
(songeant fiévreusement)
Pourquoi trembler devant la mort?
devant la nôtre?
On lève le rideau...
(mystérieux)
puis on passe de l'autre côté,
Voilà ce qu'on nomme mourir!
(songeant encore)
Offensons-nous le ciel
en cessant de souffrir?
Lorsque l'enfant revient d'un voyage,
avant l'heure,
bien loin lui garder quelque ressentiment,
au seul bruit de ses pas
tressaille la demeure
et le père joyeux l'embrasse longuement!
O Dieu! qui m'as créé,
serais-tu moins clément?
Non, tu ne saurais pas, dérobé sous voiles
rejeter dans la nuit ton fils infortuné!
ton fils!
Devinant ton sourire au travers des étoiles
il reviendrait vers toi d'avance pardonné!
Père! Père!
Père, que je ne connais pas,
en qui pourtant j'ai foi,
parle à mon coeur,
appelle-moi! Appelle-moi!
(sans voix, presque parlé)
Appelle-moi!
(Werther va s'éloigner lorsque paraît
Sophie sur le seuil du presbytère.)
WERTHER
(Resuelto, después de un momento
de profunda desesperación)
Sí; esto que me ordena...
para su tranquilidad,
he de hacerlo...
Y si la fuerza me abandona,
¡seré yo quien alcanzará la paz eterna!
(Pensando, febrilmente)
¿Por qué temer ante la muerte...
ante nuestra muerte?
¡Se levanta el telón y...
(Misterioso)
...pasamos a la otra orilla!
Eso es a lo que llamamos morir.
(Pensando todavía)
¿Ofendemos al cielo
si cesamos de sufrir?
Cuando el niño
vuelve de un viaje,
anticipadamente,
no se le mira con resentimiento.
Al solo sonido de sus pisadas,
el padre, dichoso, le da un abrazo.
¡Oh, Dios! Tú, que me has creado,
¿serás menos clemente?...
¡no rechazarás
a tu hijo desafortunado!
Intuyendo tu sonrisa
entre las estrellas,
él llegará hasta Ti...
¡Perdonado de antemano! ¡Padre!
Padre, al que no conozco,
y en quien sin embargo creo,
háblale a mi corazón,
¡Llámame! ¡Llámame!
(Sin voz, casi hablado)
¡Llámame!
(A punto de irse Werther, aparece
Sofía, bajo el umbral del presbiterio)