“La Zone d’intérêt” : une œuvre nécessaire sur la Shoah ou un exercice contestable ?
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- Опубліковано 17 жов 2024
- Si la Shoah était une maison, comment serait-elle ? C’est à partir de ce postulat un peu fou que "La Zone d’intérêt" prend forme.
S’inspirant du roman de Martin Amis, Jonathan Glazer nous reçoit dans un « charmant » pavillon avec piscine, qui jouxte le camp d’Auschwitz. C’est là où vivent Rudolf Höss, le commandant du camp, sa femme, Hedwig, et leurs cinq enfants blonds.
Une allégorie puissante ou bien une esthétisation facile… Le Grand Prix de Cannes 2023 divise nos critiques : www.telerama.f...
#histoire #cinema
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Cela a été dit et écrit partout, la bande-son du film est remarquable, mais j’ajouterai une précision : il faut vraiment demeurer dans la salle jusqu’à la dernière seconde du générique de fin, car la musique qui accompagne cette ultime séquence est douloureuse, physiquement terrible pour l’oreille et donc pour le cœur, l’âme, appelons cela comme vous voulez, elle exprime puissamment toute l’indicible souffrance imposée aux déportés.
C'est tout à fait exact. Jusqu'à la toute fin. C'est un film hors-norme. Extraordinaire!
On ne ressort pas indemne de la salle. C'est tout bonnement effrayant. A voir absolument.
Ce genre de phrase : "on se ressort pas indemne" 🤣🤣🤣🤣🤣🤣 J'en peux plus de cette fausse pleurniche de Khazarie
On en a plein le cul de la Shoah. Sous prétexte que Hollywood et le cinéma en général est aux mains de qui vous savez, on a eu au choix , Schindler, la vie est belle, le pianiste, Shoa etc.. Et bous savez quoi de ? Et bien tout ces films on eu des prix, parce que ceux qui les fonts et ceux qui les récompensent, et bien c'est les mêmes. Des génocides il y en a partout et tout le temps. Et forcément c'est toujours des mêmes que l'on parle.
matin midi et soir
Allez super merci l'antisémitisme assumé
Demeure pour moi un mystère : personne n'évoque "La mort est mon métier", le récit fictionnel publié par Robert Merle en 1955 , roman dans lequel il raconte le quotidien du directeur du camp d'Auschwitz avec, il est vrai , un choix d'auteur , à savoir le changement du patronyme de l'intéressé. Là, effectivement, Merle nous introduit DANS le camp. La lecture du roman devient alors le pendant des images de Glazer, en quelque sorte l'autre-côté du miroir, soit un continuum infernal.
Enfin, quelqu’un qui fait le parallèle entre « la mort est mon métier »et « zone d’intérêt. » J’ai immédiatement pensé à ce livre Bouleversant au moment où j’ai entendu parler du film et encore plus après l’avoir vu.
Au risque, tant pis, de paraître pédant, serait-ce l'indice du développement d'une tendance à l'inculture ou, au minimum, à l'oubli ou encore, un simple manque de curiosité ? Mais de la part des journalistes et autres commentateurs culturels, c'est un peu étonnant, pour ne pas dire inquiétant. Au "Masque et la Plume", personne n'a évoqué le bouquin de Merle : eux, ils n'ont aucune excuse !
J'avais lu il y a longtemps " la mort est mon métier " et relu après avoir vu le film " La zone d'intérêt " sans grand intérêt à mon avis. Le livre de Merle ne semble beaucoup intéressant que le film. On entre dans la vie de Höss, son parcours et son ascension est décrite dans les moindres détails. Ce qui permet de mieux appréhender ce sinistre individu mais aussi son entourage. Ce que ne fait pas le film de Glazer. J'ai appris que le nom de Lang utilisé par Robert Merle est celui que Höss a emprunté pendant sa fuite jusqu'à son arrestation ( dénoncé par sa femme qui vécut paisiblement aux USA jusqu'à sa mort dans les années 80 ).
Encore un film sur la Shoah .. qui sort en plein Génocide du Peuple Palestinien, et La en Palestine c'est pas .... "dérangeant ".?... c'est pas "terrible " ?
Matin, midi et soir
Film incroyable, captivant, une sorte de chambre d'écho avec des niveaux differents. Ce film m'a touché, sidéré. Mon film de la décennie.Le son que l'on entend perpétuellement lorsque' nous sommes à Auschwitz, comme des acouphènes. Monsieur Glazer met il des clins d'oeil dans son film, comme par exemple le tambour d'un fils pouvant faire reference au tambour de Volker Schlöndorff (palme d'or à Cannes en 1979), ou le cochon juste derriere les gardes SS, me rappelant la bande dessinée "Maus" de Art Spigelman (prix Pullitzer), ou l'histoire de Hansel et Gretel racontée également dans "la forêt silencieuse"? Ce film est d'une beauté noire, profondément noire. Je l'ai vu deux fois, également par loyauté, par respect et hommage envers tous ces déportés qui ont vécu l'horreur et le cynisme total de ce qui ressemble fort au capitalisme le plus débridé, le plus "pur". Ce qui me fait penser également à cet aspect, c'est le regard du réalisateur en ce qui concerne les usines en place, et évidemment la fin du film......
Je voudrais savoir avant tout si le film est en version originale ou en français ? Merci de me répondre.
Ce film est projeté uniquement en VO
J’espère bien! Sinon ça n’a aucun intérêt vu que le soundtrack est de prime importance !!
La véritable Zone d'intérêt se trouve dans la Torah (bien comprise) à partir de sa Règle d'or universelle : "Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse" (comme la Shoah), là est toute la Torah, le reste n'est que commentaire (dixit Hillel) ou mise au positif : "Aime ton prochain comme toi-même" (Lévitique 19 et Marc 12). Aimer à travers l'Esprit ou la pleine Conscience et non à travers l'amour amical émotionnel ou religieux qui n'est qu'éphémère. Elle est ici la vraie ZONE d'INTERET, en chacun de nous. Mais cette Règle d'or universelle donnée à l'Humanité ne sera jamais réalisée, ni par les juifs, ni par les chrétiens, ni par le Monde, d'où les rapports de force, les violences et les guerres depuis l'aube de l'Adam (l'Humain) conséquence de la Faute originelle. Donc la Shoah peut encore revenir puisque cette Loi ontologique et divine (Règle d'or) qui régit l'Homme et l'Univers n'est pas encore mise en pratique et vécue, à travers un cœur circoncis.
Sérieusement, entendre le commentateur Samuel Douhaire évoquer « le Loft » à propos de « La zone d’intérêt », c’est assez ahurissant. Je le cite : « c’est un peu un dispositif de téléréalité… on a un peu l’impression d’être dans le Loft ... » . Bien, chacun a le droit défendre ses références et sa sensibilité.
Pour ce qui me concerne, je rêve d’un film qui saura traiter avec autant de force un épisode de l’histoire du Goulag soviétique ou d’une quelconque autre ignominie. Attention amis cinéastes, évitez l’ambiance Loft !
Oui bon... c'est une image...
Son image est je pense volontairement choquante, car c'est bien ce que voulait le réalisateur.
Dommage que tout soit dit avant. Vu sans aucun renseignement au préalable et comme Glazer veut nous faire deviner ce qui se passe sans jamais nous le montrer frontalement, comprendre à mesure du film ce qui s’y déroulait était totalement effrayant. L’une de mes plus fortes expériences cinéma
Pourquoi dommage que tout serait dit avant ??!
Je ne crois pas que coller des ados issus de quartiers, majoritairement cultivés discount directement devant un film sur la Shoah sans passer par la case formation, les sensibiliseraient davantage à la question de l’antisémitisme
Quand je lis un livre susceptible d’être adapté, « j’enregistre deux informations distinctes »
Le vision âge de ce film devrait être obligatoire pour tous les moins de 25ans dont plus de 28%?ne savent même pas ce qu’est la Shoah !! C’est ça que je trouve le plus effrayant !!!
L’un n’empêche pas l’autre! Mais si tu connais la prose de Martin amis je doute que les élèves français qui savent à peine lire et écrire puisse passer le premier chapitre !! 🙄🙄
Il ne faut vraiment pas regarder cette critique avant de voir le film ! Tout ce qui doit surprendre et décontenancer dans le métrage est dévoilé, notamment ce final qui m'a scotché à mon siège
D'accord avec eux. J'adore Marie Sauvion mais une fois de plus elle a surtout retenu le personnage féminin et le grand talent de son interprète. Je rajouterai donc que son partenaire, Christian Friedel, est tout aussi excellent et "terrassant" dans un rôle qui m'a paru un chouia plus nuancé.
OK pour votre critique mais c'est pas cool de spoiler la fin...
Il se passe exactement la même chose actuellement.
Ce film est fabuleusement intelligent...mais bon dieu, pourquoi avoir "révélé" le dispositif final du film? C'est vraiment idiot, ça m'a gâché l'effet que ça voulait me faire en tant que spectateur! Je ne vous remercie vraiment pas pour cette bourde!
L'équation du trouble humaine est fort simple... Les extrémistes ne peuvent faire autrement que d'attirer l'attention des extrémistes de l'autre camp. point...c'est tout.
Un chef-d'œuvre absolu... je ne regarde jamais les films dans lesquels on doit pleurer les Juifs comme victimes, ceci est un exemple comment filmer ce sujet aujourd'hui ! Bravo !
Les juifs sont les victimes d'un génocide, donc les films qui abordent le sujet nécessairement suscitent l'émotion, comme La liste de Schindler, Le pianiste, La vie est belle, Le fils de Saul, La rafle, Le garçon au pyjama rayé, Elle s'appelait Sarah, Le choix de Sophie et j'en passe. Votre commentaire est très limite.
totu à fait ce commentaire n'a pas sa place, je pense que si l'on avait été à la place d'une seule personne juive mise dans un train de marchandise, je suis pas sûre que notre courage soit plus grand !
@@coco6936 Je précise que c'étaient des wagons à bestiaux...
Vous rendez vous compte ce ce que vous dites ? Scandaleux !
@@coco6936 Parce que les Juifs ont manqué de courage ???
Merci au réalisateur et aux acteurs pour ce film, qui permettra aux générations Tiktok de ne pas oublier cette histoire, et surtout qui ne date pas de plus de 100 ans.
Si la génération " Tiktok " se réfère uniquement à ce film pour " ne pas oublier cette histoire " comme vous le dites, c'est plutôt mal barré pour qu'elle comprenne quelque chose à " cette histoire ". Rien n'est dit, rien n'est montré, ni expliqué, tout est suggéré. Seule la vie ordinaire d'une famille nazie vivant " normalement " aux portes de l'enfer créé et dirigé par le chef de famille est montrée. Il faut être sacrément armé et avoir lu au préalable pour comprendre ce qu'il passe ici précisément. À commencer par lire " La mort de mon métier " de Robert Merle, et " Les Bienveillantes ", la bd " Maus ", " Le dernier des justes ", l'indispensable " Si c'est un homme " et tant d'autres auteurs ( Appelfeld, Wiesel, Kertész, Hilsenrath, etc ) et avoir vu " Shoah ", " Nuit et brouillard ", " Le fils de Saul " et aussi " Le chagrin et la pitié ".
Tout d'abord mon chère Watson@@philippetougeron
Etrange que l'on ne parle jamais nul part de ces scènes en négatif avec cette fille qui s'active à je ne sais trop quoi avec des pommes ou des poires. Cela m'a fait vraiment sortir du film sans en comprendre la signification vraiment. Déjà que le film frôle constamment justement une zone de confort, c'est à dire toute cette installation très "Palais de Tokyo" qui nous fait relativiser sur le sujet même du film et de toute cette entreprise, avec ces scènes oniriques en plus qui n'apportent strictement rien, on se demande finalement si le réalisateur n'est pas finalement dépassé par son projet en le saupoudrant ainsi de tics formels.
C'est une jeune résistante qui cache des fruits pour que les juifs, le lendemain, ait de quoi manger sur leur zone de travail. Seules scènes d'une froideur avec l'infrarouge, qui apporte, cependant, le plus d'espoir en opposition avec le jardin chaleureux et luxuriant des nazis.
Pour les scènes infrarouges il me semble que c'était pour tenter d'induire le spectateur en erreur en lui faisant croire qu'on se trouve dans le rêve de l'enfant. Alors que finalement ce qu'il se passe dans ces scènes est bien réel, mais personnellement je ne vois quand même pas l'intérêt de ces scènes.
@@benjibrcc Après, je suis d'accord que je les aies trouvées superflues aussi.
Tout à fait d'accord avec vous. Je n'ai pas compris l'intérêt de ces deux séquences.
Ca va avec le reste du film qui met en place un dispositif d'installation d'art contemporain et peine pour moi à aller au-delà de ce dispositif. Je n'ai pas vraiment compris la partie de la rencontre des chefs de camps de concentration, même si la dernière image fait sens (celle du Musée d'Auschwitz).
@@krisdel7952 le film aurait tenu en format moyen métrage. Oui toutes ces scènes extérieures au camp où l’on retrouve le commandant dans la ville, la réunions et les pallabres n’ont pas vraiment d’utilité vis à vis du sujet et comment il es traité au début. Cela dilue l’atmosphère qui jusque là était vraiment irrespirable. La tension retombe. Dommage car tout ce travail presque scientifique avec le dispositif des caméras placées partout dans la maison comme si on filmait des cochons dindes dans leur cage, est totalement angoissant. Dommage.
Je sors du film « La zone d’intérêt » avec la nausée non pas que le film ne remplisse pas son office, mais parce qu’il le remplît au-delà du supportable. Cette famille nazi si ordinaire, si médiocre à deux pas du mur d’ Auschwitz, génocide industrialisé, avec ses problèmes d’intendance, de vacances, de famille, de travail, de jardinage, de couple, nous ressemble tant, vertigineux. J’ai de suite pensé à notre position si confortable à nous aussi par rapport à l’Ukraine, chargée de défendre « jusqu’aux derniers » notre démocratie occidentale. A Gaza détruite pour supprimer des terroristes qui pourraient très bien venir troubler notre belle harmonie. Aux milliers de morts immigrés en Méditerranée, en mer du Nord, aux frontières…..Bien sûr cela se passe à quelques kilomètres de notre « home sweet home » Nous voyons tout ça par le prisme de l’écran de télévision, en spectateurs curieux et attentifs. Mais nous sommes tout autant concernés et impliqués au premier chef par ces massacres.
Dans le film un haut dignitaire nazi dit à un entrepreneur: « Ne vous faites pas du souci tous ne passeront pas par les fours, vous aurez vos ouvriers ». Tout est planifié, sordide, jusqu’au nettoyage du musée de la Shoah qui attend des milliers de touristes. C’est un film d’intérêt national à voir absolument, même par des collégiens.(prévoyez des sacs vomitifs).
Le réalisateur a dit de manière prémonitoire que : « le danger c’était de faire un film d’horreur » À vous de juger.
Commentaire de bobo macroniste , c’est caricatural
Vous cochez toutes les cases du normi , Ukraine, « migrants », antifa radicalisé,croyance en certains faits historiques devenus religions d’état, « terrorisme au moyen orient mais terrorisme à sens unique »…
Besoin pathologique de pervertir les petites têtes blondes qui sont devenus crépus..
que vous devez être heureux devant bfm avec vos quatres voire cinq vaccins Covid..😂 en écouta la propagande « démocratique »
J’en sors … je marche comme un zombie sans réfléchir ! Ce film ça me rester ! Je suis prof d’histoire en lycée donc, emmener mes élèves de terminale, va s’imposer
Prof d histoire? Et ce film là où on ne voit rien avec aucun témoignage vous marque ? Non mais emmènes tes eleves de Terminale voir le film Shoah…
Les Hoss sont nous
Commentaire fort pertinent. Ne sommes-nous pas ces individus qui profitent de l'extractivisme, des délocalisations dans des pays "en voie de développement", de la main-d'œuvre peu onéreuse. Nous sous-traitons l'exploitation humaine pour ne pas avoir à nous en préoccuper.
@@IDPREFERNOT Les dernières interviews de Chapoutot sont tout a fait dans ce sens
@@felipetillier4976 René Dumont ne disait pas non plus autre chose...
Tristement OUI !
Un film dont le visionage est encore plus enrichi en ayant lu "Comprendre le nazisme" de J. Chapouteau.
❤❤❤
Les films de Choa c'est un genre en soi, comme les Westerns. Au bout d'un moment il devient difficile d'éviter les poncifs et de renouveler le genre. En tout cas, avec ce qui se passe actuellement à Gaza c'est d'actualité.
Shoah svp ce n'est pas difficile il y a 5 lettres à retenir. Courage.
@@Fibromatose Bof, on peut l'écrire comme on veut, je suis pour la liberté ortographique.
@@ottonormalo4638
C’est votre choa…
Ce n’est pas une liberté orthographique c’est un événement historique, un mot qui représente un événement spécifique , un terme hébraïque mais c’est peut être ça qui te dérange ! La Shoah ce n’est pas un genre de films comme rom-com ou slasher movie!! J’aurais tout entendu !! 😡😱
@@nevadak3424 Dans le monde anglo-saxon on utilise le plus souvent le terme "holocaust". Maintenant, si tu tiens à la graphie hébraïque, pourquoi ne pas écrire הַשּׁוֹאָה?
Peu importe la graphie, tu ne m'imposeras pas la tienne...
suis-je vraiment seule a avoir trouvé ce film d'un profond ennuie ? :(
Mk2 bibliothèque
C'était shoananas 😂
Je trouve personnellement que le film manque de radicalité. Le film est pas assez antipathique pour que la démarche fonctionne pleinement. Je trouve aussi que sa manière de nous prendre pour complice vis à vis de ce qui se passe en hors champ est assez lourdingue : MERCI On a compris au bout d'un moment qu'on est à côté d'Auschwitz pas besoin de faire des répliques ironique pour nous chuchoter ta démarche qu'on a compris au bout de 5min.
Ironiquement j'ai passé un moment Finalement assez agréable et c'est un peu tout le problème que j'ai avec ce film.
C’est parce que c’est à la mode que vous employez le mot radicalité ?!
@@dominiquejacqueline5115 Non parce que c'est le mot utilisé pour encenser Le film , sur lequel je rebondis en disant que justement il en manque. Et parce que c'est pertinent vis à vis de mon point de vue mais si tu veux une paraphrase parce-que ça fait trop " SNOB" : "Le film aurait pu aller bien plus loins dans sa démarche et son parti pris"
Je le trouve assez radical quand on le met en perspective avec nos vies actuelles. On s'affaire dans nos jardins, on fait nos expos/sorties en ville, alors "qu'à nos portes", un génocide à lieu, des gens meurent noyés. Mais notre confort, notre quotidien prime sur la cruauté qui nous entoure et contre laquelle on se bat très peu.
@@rubyr01 Ça c'est le parti pris du film mais je trouve que justement dans ce parti pris là il n'est pas assez radical.
J’avoue que la qualification de « moment assez agréable devant le film » me sidère totalement !
Je ne comprends pas qu’on puisse éprouver ce sentiment.
Honte à vous de dévoiler la fin.
Règle d'or: ne jamais écouter une critique avant d'avoir vu le film.
@@ottonormalo4638 ce n'est pas le problème, j'ai vu le film il y a un mois.
@@guimauve1969 Je fais comme vous, je préviens les autres...
Ça me fait penser au comportement des Israéliens envers les palestiniens. Sacrée mise en abîme.
District 9 en parler déjà
Un film proche de celui ci . "le garçon au pyjama rayé". Avec une fin bouleversante.
@@jeanleysens9156oui, tout à fait d'accord avec vous
Film-concept rasant, qui ne réussit jamais à décoller... OK, on a compris pour le côté "gentille famille à côté de l'horreur absolue", mais, en tant qu'objet cinématographique, ça ne "prend" pas... Le rédacteur en chef l'a dit : c'est peu ou prou Loft Story, mais avec le concept !
Est si justement ( c est vrai que certains plan ressemble à love story) c etait justement de raconter l horreur dans sa banalité ( je lui ai même trouvé avec la maison un cote monsieur Hulot) et si c est l intention je trouve que c est réussit.
D’accord avec vous.
Ça ne prend pas du tout
super ..on voit déjà l' ambiance de m.... dans laquelle on va se baigner durant 2 h ...ce qui est fou c'est que ce ne sont ni les livres d' histoire ni des films de ce genre qui arrêteront le mal humain sur cette terre...y a qu a voir ce qui se passe actuellement. il ne faut pas être naïf ! de plus faire un film et faire de l' argent sur ces horreurs est assez morbide et malheureusement le morbide attire beaucoup et a beaucoup de succès aujourd'hui
Entièrement d accord.
Vous devriez écrire "ça ne prend pas Pour Moi". Sinon, les lecteurs vont peut être penser que vous détenez la vérité.
On apprend rien, pas d'intrigues, pas de plans sur les visages, fade, ennuyeux à mourir.
On peut être intrigué par le dispositif et les affèteries de mise en scène comme les scènes infra rouges mais on peut aussi trouver cela sans aucun intérêt.
Le génocide juif est selon moi un mauvais sujet. D'abord il y a l'obligation respectueuse d'en rester à l'histoire. Ensuite il y a l'hypermnésie. On en a tellement parlé. Enfin le sujet est tellement horrible qu'il est repoussant.
Il faut oser le dire, tellement c'est répugnant et blessant pour les familles qui ont souffert de ce génocide. non, c'est un film essentiel, qui nous met face à nous même : un film brillant, d'une grande intelligence : surtout à l'heure où l'extrême droite se fait plus pressante, plus menaçante. un film très important qui aurait mérite la palme d'or
C’est un film vulgaire et inutile.
😢non c trop réducteur de dire cela
Auriez-vous svp l' extrême amabilité de développer votre commentaire ? En quoi ce film serait-il "vulgaire " ? En quoi serait-il "inutile" ?
Votre commentaire n'est pas assez justifié. Pouvez vous être plus précis, sinon votre commentaire devient vulgaire et inutile.