Paroles : Que sont mes amis devenus Qua j'avais de si près tenus et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Je crois le vent les a ôtés L'amour est mort-e Ce sont amis que vent emporte Et il ventait devant ma porte les emporta Avec le temps qu'arbre défeuille Quand il ne reste en branche feuille Qui n'aille à terre Avec pauvreté qui m'atterre Qui de partout me fait la guerre L'amour est mort-e Ne convient pas que vous raconte Comment je me suis mis à ho En quelle manière que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Je crois le vent les a ôtés L'amour est mort-e Le mal ne sait pas seul venir Tout ce qui m'était à venir m'est avenu Pauvre sens et pauvre mémoire M'a Dieu donné le roi de gloire Et pauvre rente Et droit sur moi quand bise vente Le vent me vient le vent m'évente L'amour est mort-e Ce sont amis que vent emporte Et il ventait devant ma porte les emporta Les emporta
Merci pour ces paroles très belles. Quelques petites corrections. ... "Comment je me suis mis à honte" ... "Et droit au cul quand bise vente" ... Et puis il termine sur : "Espérance du lendemain, ce sont mes fêtes." A moins que ce ne soit "méfaites", comme le dit @camousjoel1661 ?
avec le mot d'ancien français ""méfaites "" (je l'ai conjugué à tort ci-dessous)= défaites ou disparues il y a bien sûr "mes fêtes " qui parait plus séduidant au premier coup d'oeil quoique le ton de la chanson le ferai paraitre ironique ou désabusé ....on discutait de l'un ou de l'autre en 1993-1995 avec des amis dans des soirées _chanson arrosée....
@@dab9742 Ce sont mes fêtes, mais il y a déjà eu controverse là dessus et en lisant "le dit de la grièche d'hiver" et "complainte de Rutebeuf" ( poèmes d'où est tirée la chanson), je ne trouve pas ces deux vers qui sont traduits. Ferré aurait été bien capable de les rajouter ?? Pour moi les deux sont plausibles mais avec des fautes assez grossières pour méfaites. Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés Ils ont été trop clair semés Le vent je crois les m'a otés L'amour est morte Ce sont amis que vent emporte Et il ventait devant ma porte Les emporta Avec le temps qu'arbre défeuille Quand il ne reste en branche feuille Qui n'aille à terre Avec pauvreté qui m'atterre Qui de partout me fait la guerre Au temps d'hiver Ne convient pas que vous raconte Comment je me suis mis à honte En quelle manière Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Le vent je crois les m'a otés L'amour est morte Le mal ne sait pas seul venir Tout ce qui m'était à venir M'est avenu Pauvre sens et pauvre mémoire M'a Dieu donné le roi de gloire Et pauvre rente Et froid au cul quand bise vente Le vent me vient le vent m'évente L'amour est morte Ce sont amis que vent emporte Et il ventait devant ma porte Les emporta L'espérance de lendemain Ce sont mes fêtes
La musique, écrite par Leo Ferré lui-même, est une merveille...
j adore cette chanson tirée d un poème trés ancien je ne m en lasse pas..merci merci Léo pour tout..
Quelle magnifique chanson, musique, poésie du texte, interprétation fantastique de Ferré... inoubliable parce qu'éternelle...
Poème
Personne écoute sa aujourd'hui un chef-d'œuvre merci Léo Ferré
Ce chanson n'a pas pris une ride. Leo a pu l'interprèter en concert des années durant. Et à chaque fois, la même magie. Merci Léo !
FERRE ,magnifique !...
Magnifique
Paroles :
Que sont mes amis devenus
Qua j'avais de si près tenus et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est mort-e
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte les emporta
Avec le temps qu'arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n'aille à terre
Avec pauvreté qui m'atterre
Qui de partout me fait la guerre
L'amour est mort-e
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à ho
En quelle manière que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est mort-e
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m'était à venir m'est avenu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M'a Dieu donné le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit sur moi quand bise vente
Le vent me vient le vent m'évente
L'amour est mort-e
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte les emporta
Les emporta
Merci pour ces paroles très belles.
Quelques petites corrections.
...
"Comment je me suis mis à honte"
...
"Et droit au cul quand bise vente"
...
Et puis il termine sur :
"Espérance du lendemain, ce sont mes fêtes."
A moins que ce ne soit "méfaites", comme le dit @camousjoel1661 ?
Cabalcos 0:24
@@CH-tn3fnTutebeif.PzuvreRutebeuf.
Mais. Le 0:24
La chanson dédiée à mon père pour sa cremationk9❤
avec le mot d'ancien français ""méfaites "" (je l'ai conjugué à tort ci-dessous)= défaites ou disparues il y a bien sûr "mes fêtes " qui parait plus séduidant au premier coup d'oeil quoique le ton de la chanson le ferai paraitre ironique ou désabusé ....on discutait de l'un ou de l'autre en 1993-1995 avec des amis dans des soirées _chanson arrosée....
putin c genie
musique de Leo Ferre
Et nous: que sommes nous devenus?
chanson pour monsieur Macron.......ses amis le lachent ....
L'espérance des lendemains se sont méfaitent (?)
Mes fêtes
@@pascomptant9695 Pour moi, il est évident que c'est se sont méfaites !
C'est plus en phase avec ce qui précède !
@@dab9742
Ce sont mes fêtes, mais il y a déjà eu controverse là dessus et en lisant "le dit de la grièche d'hiver" et "complainte de Rutebeuf" ( poèmes d'où est tirée la chanson), je ne trouve pas ces deux vers qui sont traduits.
Ferré aurait été bien capable de les rajouter ?? Pour moi les deux sont plausibles mais avec des fautes assez grossières pour méfaites.
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clair semés
Le vent je crois les m'a otés
L'amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu'arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n'aille à terre
Avec pauvreté qui m'atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d'hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Le vent je crois les m'a otés
L'amour est morte
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m'était à venir
M'est avenu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M'a Dieu donné le roi de gloire
Et pauvre rente
Et froid au cul quand bise vente
Le vent me vient le vent m'évente
L'amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
L'espérance de lendemain
Ce sont mes fêtes