Cette histoire de "service" est presque pire que le concept "d'environnement". Ca va les chevilles du bipède vertical? Vous savez il n'y a qu'une seule solution à toute cette affaire de nuisances occasionnées à la nature par une espèce dominante: Quand nous serons moins stupides, nous serons moins égocentrés et nous verrons plus lucidement notre place dans le schéma des choses. Alors automatiquement nous changerons nos conduites, au premier rang desquelles nous cesserons de placer à la tête de nos sociétés d'insatiables psychopathes, les pires d'entre nous. ILS nous soufflent, par l'intermédiaire des média qu'ils contrôlent totalement, cette rhétorique invraisemblable, qui nous habitue à désigner l'ensemble du reste des vivants du terme d'"environnement" (ce gros bidule qui sert juste à nous environner, voyez?) et à considérer la présence dans le monde de tout ce qui peut être utile à notre subsistance comme un ensemble de "services" (un genre de secteur tertiaire naturel spécialement conçu à notre usage, voyez?). Ce qui me fait hurler de rire, c'est que cette rhétorique à la con est particulièrement propagée par l'aile de la population que se dit "progressiste", c'est-à-dire supposément dégagée de toute emprise religieuse ou spirituelle, censément éprise d'objectivité scientifique et tout le bazar... Alors que vue d'un peu loin, cette affaire de "service" et "d'environnement" dénote une conception anthropocentrée directement issue du délire monothéiste qui met le monde à feu et à sang depuis plus de 2000 ans. Plus ou moins discrètement, cette gauche inéduquée et généralement inculte (ils appellent "culture" un salmigondis désordonné et superficiel d'informations glanées ici et là répandu à la surface de leur bêtise) admet pour l'humanité une dignité et un destin particuliers, au moins sur cette planète. C'est pathétique que ça ne vous chatouille même pas sous les bras... Recette magique et instantanée de compréhension de ce que vous êtes et de ce qu'est ce monde: Plongez votre regard, pendant 2 secondes (si vous le pouvez) dans les yeux d'un animal sauvage rencontré par hasard (vos yeux, pas votre téléobjectif - qui se trouve être surtout télé-subjectif, voyez?). Oui faut s'extirper de son appartement parisien. Non au zoo de Vincennes ça ne marche pas.
Cette histoire de "service" est presque pire que le concept "d'environnement".
Ca va les chevilles du bipède vertical?
Vous savez il n'y a qu'une seule solution à toute cette affaire de nuisances occasionnées à la nature par une espèce dominante:
Quand nous serons moins stupides, nous serons moins égocentrés et nous verrons plus lucidement notre place dans le schéma des choses. Alors automatiquement nous changerons nos conduites, au premier rang desquelles nous cesserons de placer à la tête de nos sociétés d'insatiables psychopathes, les pires d'entre nous.
ILS nous soufflent, par l'intermédiaire des média qu'ils contrôlent totalement, cette rhétorique invraisemblable, qui nous habitue à désigner l'ensemble du reste des vivants du terme d'"environnement" (ce gros bidule qui sert juste à nous environner, voyez?) et à considérer la présence dans le monde de tout ce qui peut être utile à notre subsistance comme un ensemble de "services" (un genre de secteur tertiaire naturel spécialement conçu à notre usage, voyez?).
Ce qui me fait hurler de rire, c'est que cette rhétorique à la con est particulièrement propagée par l'aile de la population que se dit "progressiste", c'est-à-dire supposément dégagée de toute emprise religieuse ou spirituelle, censément éprise d'objectivité scientifique et tout le bazar... Alors que vue d'un peu loin, cette affaire de "service" et "d'environnement" dénote une conception anthropocentrée directement issue du délire monothéiste qui met le monde à feu et à sang depuis plus de 2000 ans.
Plus ou moins discrètement, cette gauche inéduquée et généralement inculte (ils appellent "culture" un salmigondis désordonné et superficiel d'informations glanées ici et là répandu à la surface de leur bêtise) admet pour l'humanité une dignité et un destin particuliers, au moins sur cette planète.
C'est pathétique que ça ne vous chatouille même pas sous les bras...
Recette magique et instantanée de compréhension de ce que vous êtes et de ce qu'est ce monde: Plongez votre regard, pendant 2 secondes (si vous le pouvez) dans les yeux d'un animal sauvage rencontré par hasard (vos yeux, pas votre téléobjectif - qui se trouve être surtout télé-subjectif, voyez?).
Oui faut s'extirper de son appartement parisien.
Non au zoo de Vincennes ça ne marche pas.