Le Réalisme Magique d'Eléonore Simon
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- Опубліковано 18 тра 2024
- Dans cette interview Planche Contact, Éléonore Simon partage son expérience et une série de photos prises à Valparaiso pendant le confinement du Covid-19.
Elle présente ensuite une série de photos prises dans une arrière-cour d'une église à Valparaiso, expliquant son processus de sélection et son choix de travailler en noir et blanc. Enfin, elle discute de son projet sur Valparaiso et partage son processus de sélection et d'édition des photos.
Éléonore explique comment elle choisit les images qui se démarquent et comment elle construit une séquence narrative. Elle discute également de son approche des personnages dans la photographie, en privilégiant les figures isolées ou ambiguës pour créer du mystère.
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Portfolio - www.eleonoresimon.com/
Le Portrait d'Éléonore Simon sur la vignette de la vidéo est réalisé par Maggie Steber www.maggiesteber.com/
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Merci Genaro pour cet échange, un grand plaisir d'écouter Eléonore Simon
Merci à toi Romain
Interview très intéressante ! Merci Genaro !!!
Superbe travail, belle découverte ! Merci !! ❤
Merci à toi Alexandre ☀️
D'abord ravi d'entendre Eléonore Simon, une photographe qui me touche beaucoup (avec Lise Sarfati et Géraldine Lay) et, effectivement la rapprocher du réalisme magique est pertinent. Ce réalisme magique (la réalité de tous les jours qui dérive vers celle du conte) est aussi lié au cinéma de marcel Carné et des décors d'alexandre Trauner qui, à mon sens, par-delà le temps, font écho aux photo D'éléonore Simon. Merci, merci pour cet entretien passionnant!
merci beaucoup pour ces références
Merci pour ce mot et pour les références. Je ne connais pas Carné et Trauner mais j’irai jeter un œil 🙏
Géniale vidéo et les photos de Eléonore sont magnifiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiques 📷📷🙂🙂
Merci beaucoup 😀
Encore une belle découverte 🙏
Merci à toi ☀️
Interview passionnante pendant laquelle j'étais totalement dans ce regard photographique. Expérience de ressenti incroyable. J'espère de tout cœur qu'il y aura un livre. Merci beaucoup Eléonore !
Merci pour ce mot, ça me touche beaucoup!
Un grand merci !
Excellente interview, j'ai été séduite par ce que j'ai vu, entendu, par ce regard sur cette ville . Belle découverte. Merci
Merci à vous
Je rêve de pouvoir un jour, faire d'aussi belles photos! Ben ouais Genaro les mots clés ! Il va falloir que tu t'y mettes! 😉Je n'utilise plus que les mots clefs pour le classement de mes photos et personnellement ça me convient très bien.
Le problème, c'est que j'ai 15 ans de rattrapage !
Quel regard et quel beau travail !
Merci Gaspard !
Merci pour cette interview, svp est ce que le travail plutôt vertical de Sergio Larrain, ne pourrait pas avoir implicitement orienté vers des cadrages horizontaux?
Impossible à dire pour ma part. Je crois avoir coupé le bref passage où elle mentionnait Sergio Larrain, mais simplement comme "pression" éventuelle à photographier Valparaiso (il n'y en avait aucune)
Excellente question. J’admire le travail de Larrain et ses compositions verticales en particulier. Je trouve beaucoup de liberté dans ses cadrages, souvent inattendus, très près du sol ou de détails que lui seul pouvait remarquer.
Mais comme disait Genaro, je n’ai pas ressenti son œuvre comme un poids, dont il fallait se détacher où dans la continuité de laquelle il faudrait au contraire s’inscrire. Je travaille beaucoup trop instinctivement pour cela ! Mais évidemment, par affinités ma série entre facilement en conversation avec le Valparaiso de Larrain (ou celui du film de Joris Ivens d’ailleurs).
@@eleonoresimon Merci de vos retours, je me suis mal exprimé, je voyais plus ça comme l'éventualité d' un biais cognitif et non comme quelque chose de volontaire, bref cette question n'a pas trop d'importance. Ce qui compte c'est que les photos soient là et que ces 5 années étaient belles.
Vous avez pas eu de la peur a Valparaiso avec vos cameras et tout?
J’étais un peu sur la défensive au début, parce que les locaux m’avaient souvent dit de faire attention, que la ville était dangereuse. Mais j’ai appris à bien connaître Valparaiso petit à petit et je ne m’y sentais pas du tout en insécurité (et d’ailleurs je n’ai jamais eu de problème). J’ai aussi opté pour un appareil petit et discret, que je ne sortais du sac qu’au moment de prendre une photo. Le où, quand et comment joue beaucoup.
@@eleonoresimon A 69 ans, je deviens une personne vulnérable. J'aimerais beaucoup m'essayer à la photo de rue mais la peur d'une agression et du vol de mon matériel m'en empêche! On en est là aujourd'hui en France notamment sur la région Lilloise!
C'est la même chose à Lille!