Відео

Bonjour, en vous lisant, vous me renvoyer un état d'esprit que je cherche à retransmettre. Merci de votre retour, ça me fait vraiment plaisir !!! 😃 Antoine

Merci ! 😃

Avec grand plaisir ! 😃

Un grand de rien ! 😉

Oui

Merci 😃

Avec plaisir 😊

De rien !

Merci ! 😃

Bonjour, Il m'est difficile d'être précis sur mon retour, ne voyant pas la situation. Cependant, dans un premier temps, je cherche le calme par un rythme lent et une grande présence de mes aides. (j'aime faire l'exercice suivant à l'arrêt : je sers mes mollets, si le cheval avance je maintiens mes mollets serré tout en lui demandant l'arrêt par le demi arrêt en douceur et lent pour ne pas le surprendre, une fois qu'il maintient l'arrêt je relâche mes mollets, je recommence 10 fois, 100 fois s'il le faut. Une fois l'exercice compris, je serre mes mollets puis renforce celui-ci pour demander le pas. Une fois au pas, je relâche ma pression sans perdre mon premier niveau de serrage. Le niveau de présence requis avec mes jambes est celui-là. Cela peut faire un peu mal aux adducteurs dans un premier temps, jusqu'à ce que votre corps s'habitue. C'est ce contact qui va vous paraitre intense dans un premier temps qui rassurera votre cheval. Ainsi, votre jambe ne le surprendra plus par manque de contact). Même si c'est au détriment de l'engagement, l'engagement n'a pas d'importance dans un premier temps. Puis je recherche l'extension d'encolure (j'ai fait une vidéo à ce sujet) qui apportera dans un second temps de l'amplitude (augmentation de la distance parcourue par une foulée, plus l'encolure est étendue plus la foulée sera longue, à l'inverse plus l'encolure est courte avec nuque au point le plus haut plus la foulée sera courte), cette longue amplitude aidera l'engagement des postérieurs. Sans le calme, aucune compréhension n'est possible. Un cheval stressé ne répond pas aux aides, il y réagit. Autrement dit, le cheval stressé exécute les mouvements en fuyant et non en comprenant. En 1ᵉʳ, s'occuper du stress par votre présence accrue, en 2 étendre l'encolure : cela génère de l'endorphine et augmente l'amplitude. C'est seulement une fois que cela est acquis aux trois allures avec un cheval qui peut travailler rênes longues qu'il sera temps de se préoccuper de l'engagement des postérieurs. J'espère avoir en partie répondu à votre question ! Bonne soirée😊 , Antoine.

Bonjour, oui, nous en ferons une. Bonne soirée.

Bonjour, Il m'est difficile d'être précis sur mon retour, ne voyant pas la situation. Cependant, dans un premier temps, je cherche le calme par un rythme lent et une grande présence de mes aides. (j'aime faire l'exercice suivant à l'arrêt : je sers mes mollets, si le cheval avance je maintiens mes mollets serré tout en lui demandant l'arrêt par le demi arrêt en douceur et lent pour ne pas le surprendre, une fois qu'il maintient l'arrêt je relâche mes mollets, je recommence 10 fois, 100 fois s'il le faut. Une fois l'exercice compris, je serre mes mollets puis renforce celui-ci pour demander le pas. Une fois au pas, je relâche ma pression sans perdre mon premier niveau de serrage. Le niveau de présence requis avec mes jambes est celui-là. Cela peut faire un peu mal aux adducteurs dans un premier temps, jusqu'à ce que votre corps s'habitue. C'est ce contact qui va vous paraitre intense dans un premier temps qui rassurera votre cheval. Ainsi, votre jambe ne le surprendra plus par manque de contact). Même si c'est au détriment de l'engagement, l'engagement n'a pas d'importance dans un premier temps. Puis je recherche l'extension d'encolure (j'ai fait une vidéo à ce sujet) qui apportera dans un second temps de l'amplitude (augmentation de la distance parcourue par une foulée, plus l'encolure est étendue plus la foulée sera longue, à l'inverse plus l'encolure est courte avec nuque au point le plus haut plus la foulée sera courte), cette longue amplitude aidera l'engagement des postérieurs. Sans le calme, aucune compréhension n'est possible. Un cheval stressé ne répond pas aux aides, il y réagit. Autrement dit, le cheval stressé exécute les mouvements en fuyant et non en comprenant. En 1ᵉʳ, s'occuper du stress par votre présence accrue, en 2 étendre l'encolure : cela génère de l'endorphine et augmente l'amplitude. C'est seulement une fois que cela est acquis aux trois allures avec un cheval qui peut travailler rênes longues qu'il sera temps de se préoccuper de l'engagement des postérieurs. J'espère avoir en partie répondu à votre question ! Bonne soirée 😊, Antoine.

@@EcurieCastillon merci beaucoup pour cette réponse bien détaillée

Merci 😊

Bonjour, Nous avons des contenus à aborder avant, de façon à pouvoir demander des cabrés en équilibre et avec le dos correctement placé. Cependant, c'est prévu ! 😀

Avec plaisir 😊

Bonsoir, Quand je rencontre votre problème, je cesse instantanément mon appuyer pour remettre mon cheval dans son rythme. Le rythme est la base de construction de toutes les allures. Si celui-ci déraille, je remets mon cheval en avant, puis je reprends l'exercice sur quelques foulées et je re-complexifie peu à peu. Cdt, Antoine

Avec plaisir 😊

😊 merci

Bonjour, J'ai tendance à changer de main régulièrement de façon à ne pas créer de tension musculaire. Un peu comme si l'on cherche à s'assouplir et que l'on reste trop longtemps dans la même posture, on finit par se rigidifier et donc avoir un effet contraire. Plus le cercle est petit, moins j'en fais. Je dirais que sur un cercle de 15 mètres, j'en fais entre 3 et 5, il peut arriver que j'en fasse davantage si je suis sur le point de lui faire comprendre quelque chose. D'une manière générale, j'aime changer souvent de figure, je trouve que ça capte davantage l'attention du cheval. Un cheval attentif est un cheval qui comprend plus rapidement là où on veut en venir. Cdt, Antoine

Bonjour, Quand je travaille un cheval qui a tendance à s'enfermer, je reviens sur l'extension d'encolure, voici le lien : ua-cam.com/video/NMSPRytYQLo/v-deo.htmlsi=X7lZB0vwlNhiFuw9 Quand je lui demande d'étendre son bout du nez, s'il a encore envie de s'enfermer, je lui demande d'allonger ses allures dans l'extension, ce qui devrait l'amener à se rouvrir. En règle générale, le trot me parait être l'allure la plus simple pour ce travail. Cdt, Antoine

@@EcurieCastillon super merci

Avec plaisir 😊

Bonjour, Vous pouvez passer à l'étape de la longe dès que le cheval est à l'aise pour descendre en révérence avec la main et la friandise. J'intègre le stick dans la révérence quand le cheval la réalise correctement avec la longe. En revanche, vous pouvez l'habituer à lever le pied avec le stick (sans demander la descente en révérence au départ) assez tôt dans le travail. On combine ensuite les deux actions : lever le pied + descendre en révérence. Bonne continuation :-)

Avec plaisir ! 😊

Bonsoir, Merci beaucoup, c'est avec plaisir ! 😀

Avec plaisir ! 😊

Avec plaisir 😀

Bonjour Édith, Oui le cheval doit déjà avoir une impulsion suffisante pour étendre et rassembler ses allures. Dans le cas où il manque d'impulsion le remettre en priorité en avant puis reprendre l'exercice. Bonne journée 😊

Avec plaisir 😊

Bonjour, En effet, il est dissymétrique, mais rien de pathologique, me semble-t-il. Il reprend le travail après sept ans de repos parce que compliqué a monté de par la précipitation aigüe. Bonne journée.

Avec plaisir 😊, merci !

Bonjour, Ci dessous le lien de la vidéo explicative du renvers. ua-cam.com/video/rGsMhsaIrhM/v-deo.html

Merci votre retour 😀

Bonjour, Je fais plusieurs séances au pas et au trot si c'est possible, cela me permet renforcer les acquis, puis une fois que le cheval se tient tout seul, qu'il reste en équilibre, qu'il n'a plus l'idée d'accélérer j'aborde le galop. Seulement quelques foulées dans un premier temps ( 4 ou 5 puis je repasse dans un tout petit pas décomposé et ainside suite )pour etre sur qu'il reste en équilibre, puis j'augmente progressivement le nombre de foulées. Cdt, Antoine Castillon

merci 😉

Bonjour Valérie, Merci pour votre retour ! 😀

@@EcurieCastillon avec plaisir, pour moi vous êtes un exemple et j Adore regarder vos vidéos, votre façon de demander dans la délicatesse....c est sans doute d ailleurs pour cela que ce cheval n a pas chauffé comme il aurait pu le faire avec quelqu'un qui n a pas les compétences !. MERCIiii de nous offrir tout ça 🙏 Bon week-end 😉🖐

Merci 😀

Bonsoir, Je ne me suis jamais fait la réflexion d'avoir détérioré la relation avec mon cheval en procédant de la sorte. Le fait d'avoir des mains qui agissent en direction de la commissure des lèvres du cheval limite la sensibilité que cela pourrait procurer dans sa bouche. On sait aujourd'hui qu'il y a beaucoup plus de nerfs sensitifs sur les barres et sur la langue que sur la commissure des lèvres (d'où le fait qu'il ne faut pas avoir d'action de main vers soi). De plus, il est très facile à intégrer pour le cheval que le relèvement de son encolure provoque une modification de son équilibre (l'encolure pouvant être considérée comme un grand bras de levier pour le cavalier). Un cheval dans le respect de l'équilibre devient très léger à la main, donc plus subtil aux aides du cavalier. La subtilité des aides me parait être la base d'une relation harmonieuse dans le couple cavalier-cheval. En espérant avoir répondu à votre question. Antoine Castillon

Bonsoir, Très bonne question, je vais faire une vidéo sur ce sujet prochainement. Cdt, Antoine Castillon

Bonjour, Voici le lien d'une vidéo ou j'espère repondre a votre question. ua-cam.com/video/QF0xytGEhxA/v-deo.htmlsi=DaWeRHDP-OzIRy4z Cdt, Antoine

Bonsoir, Ce sont des sujets que je vais aborder ultérieurement. Il me reste quelques vidéos explicatives à faire avant pour préparer le terrain du piaffé et du passage. Cdt, Antoine Castillon

@@EcurieCastillon merci beaucoup belle journée à vous

Merci ! 😃

De rien 😃

Bonsoir. Vous avez été plusieurs à poser différentes questions sur des problèmes que vous rencontrez, j'ai donc décidé de refaire une vidéo sur ce sujet. J'ai essayé d'avoir une approche un peu différente de la vidéo précédente. J'espère que cela pourra vous apporter des clés supplémentaires. Pour les chevaux qui se précipitent en extérieur, j'agis de la même façon qu'en carrière et surtout, j'évite de trotter et de galoper au même endroit, je mets pied à terre avant d'arriver à l'écurie et pas au même endroit non plus, je travaille dans les chemins en faisant des aller-retour, j'utilise des surfaces d'herbe comme des carrières en plein air, l'idée global est que le cheval arrête et ne puisse plus anticiper comment va se dérouler la ballade, comme quand il travaille dans une carrière il ne peut pas savoir ou il va aller et quand la séance s'arrête. Bonne soirée, Antoine Castillon