Une présentation très intéressante de cet essai qui amène avec douceur, une dépendance à l'égard du cosmos que l'existentialisme primaire avait supprimé. Toutefois, malgré cette présentation fluide, je reste résolument chtonien mais d'une terre meuble, fertile d'humidité. Sortir d'un modèle de souveraineté me paraît top idéal, le vivant étant bien trop tourné vers la puissance (Will zur Macht). En tout cas, ce duel intellectuel est enivrant : la vie sort-elle de la mer ? ou de la Terre (Adamah) ?
Une présentation très intéressante de cet essai qui amène avec douceur, une dépendance à l'égard du cosmos que l'existentialisme primaire avait supprimé. Toutefois, malgré cette présentation fluide, je reste résolument chtonien mais d'une terre meuble, fertile d'humidité. Sortir d'un modèle de souveraineté me paraît top idéal, le vivant étant bien trop tourné vers la puissance (Will zur Macht). En tout cas, ce duel intellectuel est enivrant : la vie sort-elle de la mer ? ou de la Terre (Adamah) ?
merci Corine Pelluchon !! j'apprécie beaucoup vos analyses ; habitant à Arcachon je serais venu à Mollat si j'avais su .
Merci. En fait, l'enregistrement a eu lieu à Paris. Donc n'ayez aucun regret.
Moi j'aime bien me baigner quand il y a des vagues.
Michel est où ?
21'03 ; lapsus ou enchainement étrange ? "Saint John Perse Le cimetière marin par lequel je termine cet ouvrage" ( de Valéry et non Perse ) /
lapsus... Dans le livre, je ne fais pas la faute. A l'oral, cela va parfois très vite. Désolée.