Pour le rétrofit LED dans un luminaire prévu pour sodium ou iodure faut juste débrancher l'amorceur et le condensateur éventuellement, le ballast ne gène pas si il reste branché à moins qu'il soit électronique. Les luminaires LED intégré sont évidement plus efficaces que les rétrofit dans des luminaires pas prévu à la base pour du LED, surtout que les ampoules LED pour le rétrofit sont souvent plus volumineuses que les lampes à décharge à puissance lumineuse égale donc parfois ça peut poser des soucis de compatibilité et modifier la photométrie du luminaire en question. Mais si une LED grille dans un luminaire LED intégré est-ce réparable ? ou le luminaire part à la poubelle ? Si oui le module LED sera il encore trouvable sur le marché pendant plusieurs années pour la maintenance ? les modules LED et drivers sont ils standards et universels comme pour les ampoules à décharges et ballast qui étaient remplaçables facilement ?
Bonjour @sonny9546 et merci pour votre commentaire. La question peut en effet se poser sur les toutes premières générations de luminaires à LED intégrée, ou alors sur des luminaires "exotiques". Pour la majorité, sérieuse, des luminaires mis sur le marché aujourd'hui, cela devient plus simple. Les modules LED, depuis plusieurs années, respectent un format "Zhaga" qui définit les dimensions et entraxes de fixation. Cela permet non seulement un remplacement plus facile, mais aussi une conception (perçages notamment) plus uniforme pour les fabricants. Sans compter la facilité de changement de lentilles directionnelles :) Pour les drivers, c'est un peu plus récent. De plus en plus de fabricants intègrent des drivers certifiés D4i. Ce standard, évolution du DALI-2, intègre lui aussi l'aspect mécanique notamment (dimensions, entraxes de fixation). Une luminaire qui serait aujourd'hui équipé de modules LEDs Zhaga et de drivers D4i assure donc une maintenabilité dans le temps.
Pour le rétrofit LED dans un luminaire prévu pour sodium ou iodure faut juste débrancher l'amorceur et le condensateur éventuellement, le ballast ne gène pas si il reste branché à moins qu'il soit électronique.
Les luminaires LED intégré sont évidement plus efficaces que les rétrofit dans des luminaires pas prévu à la base pour du LED, surtout que les ampoules LED pour le rétrofit sont souvent plus volumineuses que les lampes à décharge à puissance lumineuse égale donc parfois ça peut poser des soucis de compatibilité et modifier la photométrie du luminaire en question.
Mais si une LED grille dans un luminaire LED intégré est-ce réparable ? ou le luminaire part à la poubelle ?
Si oui le module LED sera il encore trouvable sur le marché pendant plusieurs années pour la maintenance ? les modules LED et drivers sont ils standards et universels comme pour les ampoules à décharges et ballast qui étaient remplaçables facilement ?
Bonjour @sonny9546 et merci pour votre commentaire.
La question peut en effet se poser sur les toutes premières générations de luminaires à LED intégrée, ou alors sur des luminaires "exotiques".
Pour la majorité, sérieuse, des luminaires mis sur le marché aujourd'hui, cela devient plus simple.
Les modules LED, depuis plusieurs années, respectent un format "Zhaga" qui définit les dimensions et entraxes de fixation. Cela permet non seulement un remplacement plus facile, mais aussi une conception (perçages notamment) plus uniforme pour les fabricants. Sans compter la facilité de changement de lentilles directionnelles :)
Pour les drivers, c'est un peu plus récent. De plus en plus de fabricants intègrent des drivers certifiés D4i.
Ce standard, évolution du DALI-2, intègre lui aussi l'aspect mécanique notamment (dimensions, entraxes de fixation).
Une luminaire qui serait aujourd'hui équipé de modules LEDs Zhaga et de drivers D4i assure donc une maintenabilité dans le temps.