Je vis avec un trouble bipolaire type 1 J'ai vécu un état psychotiques très sévère et la Clozapine semblait être pour les médecins la dernière solution En effet les effets secondaires étaient très important, 20 kilos de + , sédation, hypersalivation. J'ai réussi à arrêter ce traitement avec mon psychiatre libérale ce qui à pris 1 ans. Il est vrai que j'ai eu tendance à diaboliser cette molécule, je suis contente de pouvoir m'en passer et je suis à ce jour rétabli avec comme unique traitement la lamotrigine. Je suis à ce jour consciente que chaque malade est différent pour travailler en tant que pair-aidante dans le médico-social. La balance bénéfice risque est constamment questionné. En tout cas je n'avais pas notion de pouvoir arrêter les prises de sang après 1 ans. Merci pour toutes ces informations. Je me demande si chez un patient schizophrène prenant ce médicament et étant rétabli, il serait possible de diminuer voir d'arrêter le traitement en passant à un médicament plus soft ?
Les psy ont pour la plupart la gâchette trop facile sur la prescription des neuroleptiques plus que la discution avec leurs patients, surtout la clozapine qui a un effet de dépense énorme ainsi que des effets de sevrage tres durs et qui sont confondues énormément par les psy comme le retour de la maladie où l'aggravation de la maladie, du coup comment se débarrasser de ce produit qui m'a plus gâché mon existence que de l'améliorer car âpres plusieurs tentatives de réductions progressives je désespère à retirer ce poison qui depuis 6 ans ne m'a montré aucune utilité à mon bien être, bien sûr chaque personne aura des réactions différentes certains la clozapine est un bien mais pour d'autres ils faudrait que les psy prennent en comptes leurs paroles de désespoir
Mon psychiatre m'a prescrit de la clozapine au cours d'un épisode où je n'ai pas dormi pendant 10 jours. La clozapine m'a fait dormir mais le dosage était difficile, il n'en fallait que très peu, sinon j'articulais mal, marchais comme si j'étais saoule. J'ai mis du temps à pouvoir prendre 1 comprimé sans tous ces effets secondaires, hélas je n'avais pas remarqué qu'il ouvrait l'appétit et j'ai pris presque 10kg en 2 mois. Ce n'était pas possible car j'étais déjà sévèrement obèse (100kg). J'ai donc dû arrêter avec regrets la clozapine qui par ailleurs résolvait tous mes problèmes de sommeil, d'angoisse, d'idées noires. Toutefois c'est pour cause de bipolarité résistante aux traitements que mon médecin me l'avait prescrit. Je regrette vraiment de ne pas pouvoir le prendre régulièrement car mes souffrances mentales sont revenues. Je les traite à la clozapine au moment où elles arrivent, mais comme ça me fait dormir, je dois attendre d'avoir fini le travail pour le prendre. Ce sont de sales moments passés dans des abîmes de déprime avec des idées suicidaires. Je prends la clozapine et tout cela s'envole pour mon plus grand bonheur mais comme j'aimerais ne plus connaître ces moments déstabilisants et éprouvants.
Bonjour Professeur, evoquez vous la myocardite ? Effectuez vous dans votre service un dosage de la troponine ou crp dans la surveillance biologique les premiers semaines ou + tard?
aucum mot sur la forme galenique!! pas d'injection retard, traitement contraignant a prendre, consentement a negocier a chaque prise difficile en cas de psychose
Je vis avec un trouble bipolaire type 1
J'ai vécu un état psychotiques très sévère et la Clozapine semblait être pour les médecins la dernière solution
En effet les effets secondaires étaient très important, 20 kilos de + , sédation, hypersalivation.
J'ai réussi à arrêter ce traitement avec mon psychiatre libérale ce qui à pris 1 ans.
Il est vrai que j'ai eu tendance à diaboliser cette molécule, je suis contente de pouvoir m'en passer et je suis à ce jour rétabli avec comme unique traitement la lamotrigine.
Je suis à ce jour consciente que chaque malade est différent pour travailler en tant que pair-aidante dans le médico-social.
La balance bénéfice risque est constamment questionné.
En tout cas je n'avais pas notion de pouvoir arrêter les prises de sang après 1 ans. Merci pour toutes ces informations.
Je me demande si chez un patient schizophrène prenant ce médicament et étant rétabli, il serait possible de diminuer voir d'arrêter le traitement en passant à un médicament plus soft ?
Les psy ont pour la plupart la gâchette trop facile sur la prescription des neuroleptiques plus que la discution avec leurs patients, surtout la clozapine qui a un effet de dépense énorme ainsi que des effets de sevrage tres durs et qui sont confondues énormément par les psy comme le retour de la maladie où l'aggravation de la maladie, du coup comment se débarrasser de ce produit qui m'a plus gâché mon existence que de l'améliorer car âpres plusieurs tentatives de réductions progressives je désespère à retirer ce poison qui depuis 6 ans ne m'a montré aucune utilité à mon bien être, bien sûr chaque personne aura des réactions différentes certains la clozapine est un bien mais pour d'autres ils faudrait que les psy prennent en comptes leurs paroles de désespoir
Un de mes patients a développé un TOC résistant sous clozapine
Mon psychiatre m'a prescrit de la clozapine au cours d'un épisode où je n'ai pas dormi pendant 10 jours. La clozapine m'a fait dormir mais le dosage était difficile, il n'en fallait que très peu, sinon j'articulais mal, marchais comme si j'étais saoule. J'ai mis du temps à pouvoir prendre 1 comprimé sans tous ces effets secondaires, hélas je n'avais pas remarqué qu'il ouvrait l'appétit et j'ai pris presque 10kg en 2 mois. Ce n'était pas possible car j'étais déjà sévèrement obèse (100kg). J'ai donc dû arrêter avec regrets la clozapine qui par ailleurs résolvait tous mes problèmes de sommeil, d'angoisse, d'idées noires. Toutefois c'est pour cause de bipolarité résistante aux traitements que mon médecin me l'avait prescrit. Je regrette vraiment de ne pas pouvoir le prendre régulièrement car mes souffrances mentales sont revenues. Je les traite à la clozapine au moment où elles arrivent, mais comme ça me fait dormir, je dois attendre d'avoir fini le travail pour le prendre. Ce sont de sales moments passés dans des abîmes de déprime avec des idées suicidaires. Je prends la clozapine et tout cela s'envole pour mon plus grand bonheur mais comme j'aimerais ne plus connaître ces moments déstabilisants et éprouvants.
Bon courage !
Bonjour Professeur, evoquez vous la myocardite ? Effectuez vous dans votre service un dosage de la troponine ou crp dans la surveillance biologique les premiers semaines ou + tard?
aucum mot sur la forme galenique!! pas d'injection retard, traitement contraignant a prendre, consentement a negocier a chaque prise difficile en cas de psychose
Attention au risque d'occlusion/iléus paralytique
Attention au risque non négligeable de myocardite
Le lithium peut se montrer efficace en cas de leucopénie/agranulocytose en raison de son effet myéloprolifératif
Chez nous au maroc elle est tout le temps en rupture malheureusement
La clonidine serait efficace sur l'hypersialorrhée iatrogène