c'est un énorme plaisir de voir des gens défendre des reflexions qu'on croit etre seuls a developper dans son coin. Je vis dans un milieu ou le intersectionalité et le post-colonialisme sont la pensée dominante, et le niveau d'incohérances ainsi que l'approche culpabilisatrice d'individus qui n'ont rien demandé est juste hallucinante. Je lirai votre livre.
Fatiha Boudjalath ou l'intelligence du coeur, qui dépasse et inclut toutes les formes d'intelligences, et qui exclut tous les rétrécissements racistes ostracistes racialistes communautaristes séparatistes islamistes et indigénistes de la triste vie humaine française d'aujourd'hui. Merci madame. Respect. Longue vie heureuse en France, pays endémique de la tolérance, des libertés, de l'égalité et de la fraternité, et de tous ceux qui les défendent. Finalement c'est ce qu'on appellera de l'intelligence, par opposition à tout le reste, défendu par l'imbécilité humaine, mais qui se croit intelligente, combattante, subversive et libertaire. Mais qui ne sont rien de tout ça, mais essentiellement de la dictature du totalitarisme et de la tyrannie.
Hier encore, je ne connaissais pas Fatiha Agag-Boudjahlat. C'est la deuxième vidéo d'elle que je regarde. Je trouve son discours très cohérent et très argumenté.
Alors paraît il que tu es né hier, et tata Fatih t a accueillit dans ce monde mais tu sais il n est pas si laid que ça le monde il y aussi d autres femmes cultivées intelligente par millions mais toi tu n as connu que Fatiha c est pas ta faute bientôt quand tu seras plus grand tu connaîtras clara Morgane, Marine l’épée, Nadine Morano une femme âgée qui doit crier pour se faire entendre, elysabrth Lévis notre spécialiste du blanc et du rouge de Bordeaux très grande spécialiste du vin et tata Caroline fourest qui t apprendra à manipuler, mentir, tricher, pour gagner bref une grande vie t attend et surtout méfies toi de allah je sais pas qui c est mais la moitié l aime l autre le déteste, ils disent que c est lui l inventeur du voile, du halal, Fatiha l a rencontré au mac do mais elle n a pu lui parler car elle parle qu au femmes dommage, sinon courage il reste chalgoumi qui pourra tu guider vers l’illumination mais en Arabe parce que le français c est du chinois pour lui alors dès bénévole du crif on décide par charité de lui préparer ses discours aux pti ognons. Bah les français tous croient que chalgoumi et le pape, Fatiha la femme du peuple d en haut, rufiol et praud les nouveaux inquisiteur de république et comme bourreau ils ont choisit bhl.
Non l'animateur est raciste puisqu'il considère les Maghrébins comme non-Blancs et tient donc le même discours que les indigénistes qui désignent comme Blancs les seuls Occidentaux pour mieux les culpabiliser de tous les maux des minorités ethniques ou religieuses !
Un IMMENSE BRAVO à cette femme absolument remarquable de lumineuse d'intelligence et exemplaire de courage! Voilà l'exemple même des femmes d'origine étrangère qui font honneur à elles-mêmes et à la France qu'elles incarnent!
La stratégie des laïcards est de faire passer le dévoilement non comme une contrainte mais comme une revendication. Hé oui, ça marche dans les deux sens.
@@lella113 Sauf que cette laïcarde-là n'est pas contre le port du voile, si tu l'as bien écouté. Elle veut juste que les femmes qui le portent le fassent *aussi* en tant que choix éclairé, conscientes des implications du port de ce voile (notamment des conséquences inévitables qui viennent avec le fait d'afficher ouvertement une conviction religieuse), et pas seulement pour le respect d'une coutume (ce qui est surtout le produit d'une force coercitive, même quand on choisi de bon gré de s'y soumettre : c'est aussi le cas pour des choses bien plus mondaines, comme les formules de politesses, par exemple).
@@Harold046 Elle a quand même écrit un livre qui s'appelle "Combatte le Voilement". Je pense que ça en dit long sur son état d'esprit. Il n'est pas juste question de pousser les femmes à porter le hijab en tant que choix éclairée car justement elle ne considère pas cela comme un acte éclairé. Elle n'apporte rien de nouveau au débat. C'est un travail prémâché, le discours traditionnel sur la prétendue soumission des femmes "voilées" ( je déteste ce terme très péjorative), l'influence de leur communauté/ frère/ père/ mari, la pression du patriarcat, etc... Bref, même ton, même registre, même vocabulaire que beaucoup d'autres. Le port du hijab ne soumet pas plus que beaucoup d'autres actes dans cette société capitaliste et individualiste.
@@lella113 mais dis moi si j'ai tord mais le voile c'est bien la marque de la femme croyante qui se soumet à son dieu non ? On est donc bien dans un processus de soumission. Je suis cependant d'accord avec toi que la femme peut très bien par choix, se soumettre aux volontés de son dieu.
Que le ciel vous bénisse, Mme Fathia. Vous êtes un rayon de soleil dans cette niaiserie des intellectuels "gauchos bobos" ! Tout ve que vous dites nous interpelle avec force et durablement. Merci d'être là et d'être ce que vous êtes.
Vous pourrez Le trouver chez « salam la famille » il n accepte les paiements qu en dinars saoudiens que vous pourrez trouver à la mosquée de drancy le banquier et l imam chalgoumi notre pape et notre grand rabbin. Pour les grands fans comme vous vous serez inviter à rompre le jeun avec un bon couscous merguez et une initiation aux féminisme orientale « comment porter ton voile avec charme » pour votre fidélité vous recevrez un migrant pour 15 jrs afin de vous familiariser avec la vrai vie. Sachez que la présence de henda ayhari la plus grande féministe du monde est déjà actée, son sujet sera « tarin ramadan à viole mon frère de 45 ans ». Pour terminer Caroline Fourest sera présente pour détecter d éventuel islamiste, frère musulmans, jihadiste, salafiste, cintégriste et terroriste. Donc rassurez vous cette soirée est celle du féminisme radicale pas une seul mec
"Dites les fachos, vous êtes vache de pas faire plaisir aux islamistes et à leurs idiots en ne faisant pas un carton, ils en rêvent. Parce que le score est toujours de 300 à zéro. De deux décapitations à zéro. D’un prêtre egorgé à zéro. D’enfants juifs abattus à zéro." Fatiha-agag
Fatiha agag-Boudjahlat, super! cette dame est une grande dame sur ce sujet de l'alienation consentie des femmes. bravo à votre revolte contre le lâchage de gauchistes et feministes qui ne savent pas qu'elles cautionnent un certain racisme;.
La modestie, pudeur et virginité plaquée avec la règle absolue de ne point y adjoindre d'adjectifs, de nuance ou de contextualisation servent les sexistes et pervers en tous genres ...hommes et femmes. Ce sont des valeurs et pratiques nobles . L'absence de lieux pour nous les femmes, ainsi que pour les hommes sensibles au femina condamnent nos corps à vouloir nous échapper de ces trois notions car encore manipulées par les ennemis des femmes, des hommes et du monde. Le tribalisme, le fétichisme , l'opposition entre le côté nature, sauvage "wild" et la modestie tout en exigeant de ne pas être réduite au "bon sauvage" est une contradiction manifeste et s'exprimer sur un sujet dont on sait que le fast food de l'information, les non-dits , l'absence d'engagement et d'échange dans le réel entre citoyens sont beaucoup plus néfastes voire délétères est un acte que je me refuse à qualifier. Nous sommes femmes et refusons tout cantonnement et réduction à "la critique de ..", "née de l'oppression". Ces personnes qui guettent entre fascination (elle parle super bieeen !! on peut ajouter un youyou mais pas trop fort car c'est l'exception française ) et suspicion ( "bon on ok voit ce que vous voulez dire, sans adjectifs si vous voulez gloussements..) . J'ai cependant apprécié ce désir d'osciller entre déterminisme et existentialisme, le portrait de sa mère était émouvant et sublime mais l'opposer au père et à la Mecque , mélanger excision et voile replonge le spectateur dans la confusion. La Mecque était un centre de la spiritualité ou le savoir provenant de différents continents était consulté et discuté . Point de vantardise mais un souci didactique . Hommes et femmes en islam ne sont pas opposés mais complémentaires et voici quelques références (liste au débotté non exhaustive) : Nana Asma'u , Aziza Othmana, Sutayta Al Mahmali , Yasmin Mogahed, Mariam Al Astrolabiyya, Clare Forestier de thereisnofacts, Farah Chamma, Queen Effat, Suheir Hammad, Dr Amira Ayad, Zara Chaudhary de sacred footsteps, Dana Dajani , Sameer Ahmad "barabbas" "berceuse babylonnienne", Omar Offendum traduisant le poète Langston hughes pour interpréter " the arab speaks of rivers", Fayçal "baroud d'honneur" et tant d'autres perles, Rafeef Ziadeh "we teach life , sir " "shades of anger" , Milton Hatoum "deux frères" "cendres d'amazonie", Le prophète Job/Ayyub traité par deux maîtres Andrée Chedid et Badr Shakir Sayyab, la grande Nazik Al Mala'ika, la maitrise académique et vocale de Jaheeda Wehbe, l'oeuvre d' Ibn Zaydun et ses lettres sur l'Alhambra de Grenade, le livre "genuine islam" par le nobel George Bernard Shaw, les vers d'Ibn Hamdis et la Sicile entre autres fulgurances et pérégrinations, l'hyperglotte Abeer Nehme, l'incroyable Nathalie Handal, le génie Eva de vitray-meyerovitch, l'imprésentable Jorge Enrique Adoum, la figure Armando Bukele Kattan, le photographe Tharik Hussain, Annie Besant, Khalil Gibran, l'itinéraire de Jacques Santi, le regretté Juan José Saer, Sarojini Naidu et ses propos sur l'islam et la démocratie, l'anglo-pakistanais Nouman Ali Khan, Naomi Shihab Nye, le palestino-américain Omar Suleiman, les hadiths compilés par Tolstoi, l'histoire du peintre français Etienne Dinet, le poème de Victor Hugo " l'an neuf de l'hégire", le divan de Goethe, l'expérience de Cervantes à Alger, le conférencier afro-américain globe-trotter Abd Al Hakim Quick, le physicien anglo-irakien Jim Al-Khalili, Et les exemples pleuvent ... Diffusez , déposez , glissez délicatemment, précieusement ces noms à toute personne ayant à coeur d'éviter les pervers insistants exigeant un nom, un "blaze" lorsque l'on nous voit dans la rue, ou s'étonnant de nous "croiser" à l'université. Parlez à des jeunes, offrez leurs ces noms sous forme de cadeau, de compliments, d'encouragements cela vaut toutes les politiques et gros titres.
« (...) Ce n’est pas ici le lieu de discuter de la réalité d’une telle situation ni de savoir si elle est le lot de toutes les femmes ; quoi qu’il en soit, ce qui est certain, c’est qu’à partir du moment où s’évanouit la finalité transcendante qui, dans le cadre d’une conception traditionnelle, constituait le sens et la fin de l’existence pour la femme, tout ce qui lui reste n’est qu’un fatras d’obligations privées de signification. Ce qui, jadis, était un sexe qu’il convenait de défendre et de protéger, parce que « sexe faible », est devenu aujourd’hui faible tout court, et doit se défendre tout seul. Et cette fatale faiblesse est le terrain le plus fertile pour les mythes apocalyptiques. Par ailleurs, le féminisme présente tous les traits du chiliasme révolutionnaire : il se prétend, de façon cabotine, protégé par un pouvoir mystérieux (les sorcières) auquel il voudrait s’identifier, et il charge l’homme des mêmes turpitudes que, par exemple, l’antisémitisme millénariste médiéval attribuait aux Juifs : sadisme, volupté de castration, sévices. « Insérés dans l’imaginaire eschatologique, le Juif et l’ecclésiastique devinrent les doucereuses figures d’un type absolument terrifiant (...) Les millénaristes (...) y voyaient un monstre de fureur destructrice et de puissance phallique ». Aujourd’hui, les féministes voient tout cela chez l’homme, lequel joue désormais, dans le drame eschatologique, le rôle du démon médiéval. Les innombrables légions de femmes qui, dans le monde entier, ont identifié le mâle à la Grande Bête johannique, seront les propagatrices d’une nouvelle guerre sainte où elles feront exploser cette « rage » qui couve en elles depuis très longtemps. Selon Spengler, l’ultime processus d’une civilisation matérialisée, désormais en pleine débâcle, consiste en l’irruption d’une spiritualité sauvage, la « seconde religiosité » (à laquelle appartient, pour nous, le néo-spiritualisme, cf. Ier partie, chap. I) : la mystique apocalyptique du féminisme peut être considérée comme sa manifestation la plus achevée. C’est une moitié du monde qui se révolte contre l’autre en vue de détruire, plus que la vie, le sens de la vie, réduisant aussi à néant les liens élémentaires qui rattachaient encore l'humanité à sa forme biologique la plus simple : la sexuation. » Edy Minguzzi - Féminité et féminisme.
Alors toi tu as fumé de la bonne.....je suis sûr que tu comprends même pas ce que tu écris....d ailleurs personne ne peut comprendre ce charabia débile...a moins d etre complètement bourré..
Julius Evola dans "Métaphysique du sexe", à propos du féminisme et de l'égalitarisme, disait : «La civilisation moderne, empiriste, intellectualiste et socialisée, pour avoir accordé de plus en plus d’importance à ce qui est sans relation avec le côté essentiel des êtres humains, est inorganique et potentiellement standardisée ; ses valeurs dérivent, pour une part, d’une régression des types, et, pour une autre part, alimentent et renforcent cette régression. C’est ainsi que la femme moderne a pu s’introduire rapidement dans tous les domaines, se voulant à égalité avec l’homme : précisément parce que les dons, les qualités, les comportements, les activités les plus caractéristiques et les plus répandus dans la civilisation moderne n’ont plus qu’un rapport très ténu avec le plan profond, où vaut la loi du sexe, en des termes ontologiques plus encore que physiques, biologiques ou même psychologiques. L’erreur qui se tient à la racine de la compétition féministe et qui en a rendu possible le succès, c’est précisément la surestimation, propre à la civilisation moderne, de l’intelligence logique et pratique, simple accessoire de la vie et de l’esprit, qui sont, l’une comme l’autre, différenciés, tandis que l’intelligence est informe et « neutre », susceptible de se développer dans une mesure presque égale aussi bien chez la femme que chez l’homme. La vexata quaestio de l’infériorité, égalité ou supériorité de la femme par rapport à l’homme ne sera traitée ici qu’en passant. Cette question est en effet privée de sens, car elle suppose une commensurabilité. En revanche, si l’on met de côté tout ce qui est construit, susceptible d’être acquis, extérieur, et si l’on exclut les rares cas signalés où l’on ne peut plus parler de sexe parce que la condition humaine, à un moment donné, a été dépassée, on peut dire qu’il existe entre homme et femme, par référence au type, à leur « idée platonicienne », une diversité qui exclut toute commune mesure ; même des facultés ou dons apparemment communs aux deux sexes et « neutres », ont une fonction et une empreinte différentes selon qu’ils sont présents chez l’homme ou chez la femme. On ne peut pas plus se demander si la « femme » est supérieure ou inférieure à l'« homme » que se demander si l’eau est supérieure ou inférieure au feu. Pour chacun des sexes, le critère de mesure ne peut donc pas être fourni par le sexe opposé, mais seulement par « idée » du sexe auquel on appartient. En d’autres termes, c’est établir la supériorité ou l’infériorité d’une femme donnée en fonction de sa plus ou moins grande proximité de la typicité féminine, de la femme pure ou absolue ; et la même chose vaut pour l’homme. Les « revendications » de la femme moderne dérivent donc d’ambitions erronées, ainsi que d’un complexe d’infériorité - de l’idée fausse qu’une femme en tant que telle, en tant qu’elle est « seulement femme », est inférieure à l’homme. On a pu dire avec raison que le féminisme ne s’est pas réellement battu pour les « droits de la femme », mais bien, sans s’en rendre compte, pour le droit de la femme de devenir égale à l’homme : chose qui, quand bien même serait-elle possible en dehors du domaine extérieur pratique et intellectuel, reviendrait au droit, pour la femme, de se dénaturer, de déchoir Le seul critère qualitatif, c’est, répétons-le, celui du degré de plus ou moins parfaite réalisation de sa propre nature. Il ne fait aucun doute qu’une femme parfaitement féminine est supérieure à un homme imparfaitement masculin, de même qu’un paysan fidèle à sa terre qui assume parfaitement sa fonction est supérieur à un roi incapable de remplir la sienne. Dans l’ordre d’idées dont nous traitons, il faut donc se convaincre que la masculinité et la féminité sont avant tout des faits d’ordre interne. Et ce au point que le sexe intérieur peut ne pas correspondre au sexe physique. C’est une chose bien connue qu’on peut être homme par le corps sans l’être pour autant par l’âme {anima mulieris in corpore inclusa virilî) et vice versa, la même chose valant aussi, naturellement, pour la femme. Ce sont là des cas d’asymétrie dus à divers facteurs, analogues aux cas qu’on rencontre dans la sphère raciale (des individus possédant les caractères somatiques d’une race, et les caractères psychiques et spirituels d’une autre race). Mais cela ne porte pas préjudice à la qualité-base du fluide d’un être, selon qu’il est physiquement homme ou femme, ni à l’unité du processus de sexualisation. On peut expliquer le phénomène signalé par le fait que, dans certains cas, ce processus s’est fortement concentré sur un domaine donné, créant précisément des asymétries parce que le reste n’en a pas été in-formé dans une égale mesure. Sur le plan typologique, c’est cependant le fait interne, le sexe intérieur, qui reste toujours décisif ; une sexualisation perceptible sur le seul plan physique est d’une certaine façon; si développée soit-elle, une sexualisation tronquée et vide. Celui qui n’est pas homme quant à l’esprit et l’âme, n’est pas vraiment un homme - et l’on peut en dire autant de la femme. Tout cela, il est bon de le souligner, parce qu’il faut tenir compte de la loi de l’attraction sexuelle. Les «quantités» de masculinité et de féminité qui se complètent tour à tour, et dont il est question dans cette loi, doivent être entendues au sens le plus vaste, donc dans toute leur complexité éventuelle. En effet, c’est la virilité spirituelle qui, fût-ce obscurément, excite et réveille la femme absolue : dans le cas limite, lorsque cette virilité, dépassant le stade du guerrier et du dominateur, s'oriente carrément vers le surnaturel. Nous parlerons plus loin des aspects métaphysique et existentiel de ce dernier cas. Expressif est un exemple créé par l’art, celui de la Salomé de Wilde. Salomé ne voit pas le centurion fou d’amour pour elle, qui lui offre tout et, à la fin, se tue pour elle. Elle est fascinée par Jokanan, le prophète, l’ascète. Elle, la vierge, lui dit : «J’étais chaste, et tu m’as contaminée ; j’étais pure, et tu m’as rempli les veines de feu... Que ferai-je sans toi ? Ni les fleuves, ni les grands lacs ne pourront éteindre le feu de ma passion»». Julius Evola, "Métaphysique du sexe", Ed. Guy Trédaniel, Coll. L'Age d'Homme, 2005, pp.50-51 La question de la supériorité et de l’infériorité de la femme vis-à-vis de l’homme ou vice versa n’a aucun sens en soi, puisqu’on compare deux identités ayant chacune leur raison d’être et leurs propres spécificités. C’est d’ailleurs une ambition erronée et une cause absurde caractéristiques du monde moderne, car auparavant, le problème se situait simplement dans une sorte de mépris d’un sexe vis-à-vis de l’autre (de l’homme vis-à-vis de la femme, de la femme vis-à-vis de l’homme, ou ou encore de leur part, d’un mépris généralisé à l’ensemble de l’humanité), mais pas d’une remise en cause des spécificités de chaque sexe dans ses fonctions. C’est comme si l’on engageait toute une lutte pour remettre en cause les spécificités et fonctions de l’eau par rapport à celles du feu, et que l’on voudrait que le feu soit privé de ses propriétés pour parler «d’égalité» avec l’eau, alors que si le feu perd ses propriétés, il ne deviendra non seulement pas «eau», mais il perdra de plus ses qualités propres, et sera donc vidé de son essence et de sa raison d’être. Va-t-on également parler de l’égalité, de l’infériorité ou de la supériorité de l’état «enfant» par rapport à l’état de «parent» ? Si les deux sont aussi d’essence noble, leurs spécificités sont bien différentes et exigent donc des rôles particuliers, sans tomber pour autant dans le mépris (d’un état par rapport à l’autre), ni dans la maltraitance ou le débat stérile de savoir s’il faut comparer les parents aux enfants (et selon quels critères ?) pour savoir s’ils sont égaux ou non, comme si cela avait un sens, car non seulement cela n’apporte rien, mais cela engendre de terribles confusions, un peu comme si l’on devait savoir si les formes géométriques entre elles seraient «égales» telles que le triangle par rapport au carré ? En définitive, l’homme et la femme sont complémentaires, tous les deux issus d’une essence unique, mais aux déterminations délicatement différentes, toutes les deux étant nobles, dignes et utiles, et capables de manifester leurs potentialités aux plus hauts degrés, d’être utiles pour l’humanité, de développer une grande intelligence, un esprit rationnel, une profonde spiritualité et des qualités morales des plus nobles, en plus du fait qu’ils seront tous deux récompensés par le Tout-Puissant pour leurs bonnes actions et leurs nobles pensées. De même que les deux sont capables du pire, de l’ignorance, de l’insouciance ou de la dépravation. Un autre paradoxe, est que les féministes de type agressive et hystérique, passent leur temps à critiquer et à mépriser les hommes, et donc ce qu’ils sont, - sans nuances ni équité -, mais leur lutte consiste essentiellement à imiter les hommes, et donc chercher à devenir ce qu’elles prétendent détester.
Quelle finesse d'analyse ! Une vraie féministe universaliste. Édit : elle vient de se décrédibiliser en utilisant cette expression absurde : "femme forte".
Presque envie de vous dire. Et vous aussi par votre Edit. Comment un discours aussi complet et intelligent peut être décrédibilisé en adjoignant forte à femme ???
On parle encore, sans nommer correctement les choses, en l'occurrence d'une mère qui ne veut pas retirer son voile, elle préfère voir son fils pleurer- eh oui, son voile pour elle est plus important que sont fils. Rappelons, une fois de plus qu'il ne s'agit pas d'une mère voilée qui accompagne son enfant mais de l'accompagnatrice d'une classe, L'école commence à 8h 30 et se termine à 16h 30 que ce soit dans ou en dehors de la classe. Morale : ne tombez pas dans le piège tendu par le fanatisme religieux. . Suite laicite-moderne.blogspot.com/2019/11/enfoulardement-sans-frontiere.html
Intéressant mais un peu à coté de la plaque, les féministes de gauche refuse de s'en prendre aux "racisés" homme tout simplement parce qu’ils ont peur d'être traité de raciste, d'islamophobe, leur reprocher une culture et une religion pour le coup vraiment patriarcale ce serait admettre que la "diversité" n'a pas que du bon et qu'il serait peut-être tant d'envisagé d'assimiler cette population un peu trop communautariste. L'autre raison étant purement électoraliste, en évitant de s'en prendre au communautarisme les politiciens de gauche (qui se revendiquent tous du féminisme) s'assure leur soutient.
je pense qu'a travers ses arguments, elle dénonce ce que vous exprimer dans votre commentaire. Pa directement évidement, mais elle pointe les incohérences du discours gauchiste féministe.
Le féminisme n'existe pas. Il existe plusieurs courants féministes. Grande féministe, je suis totalement d'accord avec ce discours. L'un n'empêche pas l'autre et ce n'est d'ailleurs pas ce qu'elle dit.
Je comprend son propos mais toutes les femmes n'ont pas besoin des même choses, la culture influence et c'est normal en France on a un principe de liberté mais dans d'autre pays pas que musulman bah on fait ce qu'on a faire par devoir parce que c'est comme ça et pas autrement. Donc non les femmes n'ont pas les même besoin partout dans le monde
c'est un énorme plaisir de voir des gens défendre des reflexions qu'on croit etre seuls a developper dans son coin. Je vis dans un milieu ou le intersectionalité et le post-colonialisme sont la pensée dominante, et le niveau d'incohérances ainsi que l'approche culpabilisatrice d'individus qui n'ont rien demandé est juste hallucinante. Je lirai votre livre.
"Le savoir, c'est la liberte !" (proverbe Zen)
J'espère que vous avez changé de milieu
Merci d'avoir inviter cette femme. Il faudrait la réinviter souvent. Un pur bonheur de l'écouter.
Fatiha Boudjalath ou l'intelligence du coeur, qui dépasse et inclut toutes les formes d'intelligences, et qui exclut tous les rétrécissements racistes ostracistes racialistes communautaristes séparatistes islamistes et indigénistes de la triste vie humaine française d'aujourd'hui.
Merci madame. Respect. Longue vie heureuse en France, pays endémique de la tolérance, des libertés, de l'égalité et de la fraternité, et de tous ceux qui les défendent. Finalement c'est ce qu'on appellera de l'intelligence, par opposition à tout le reste, défendu par l'imbécilité humaine, mais qui se croit intelligente, combattante, subversive et libertaire. Mais qui ne sont rien de tout ça, mais essentiellement de la dictature du totalitarisme et de la tyrannie.
Fatiha est exceptionnelle. Structurée et intelligible. Un plaisir de l'écouter.
Ça bien elle a écrit une chanson « le voile m a fait connaître » sortie en 2019 chez salam aleykoum. Pour 95€
Elle le vaut bien
Il y a des gens qui sont un bonbon pour l'esprit. Madame Agag-Boudjahlat en fait partie.
Heureusement on peut encore écouter des réflexions si intelligentes, courageuses, authentiques.
Bravo Madame, vous écouter est un bonheur.
Hier encore, je ne connaissais pas Fatiha Agag-Boudjahlat. C'est la deuxième vidéo d'elle que je regarde. Je trouve son discours très cohérent et très argumenté.
Alors paraît il que tu es né hier, et tata Fatih t a accueillit dans ce monde mais tu sais il n est pas si laid que ça le monde il y aussi d autres femmes cultivées intelligente par millions mais toi tu n as connu que Fatiha c est pas ta faute bientôt quand tu seras plus grand tu connaîtras clara Morgane, Marine l’épée, Nadine Morano une femme âgée qui doit crier pour se faire entendre, elysabrth Lévis notre spécialiste du blanc et du rouge de Bordeaux très grande spécialiste du vin et tata Caroline fourest qui t apprendra à manipuler, mentir, tricher, pour gagner bref une grande vie t attend et surtout méfies toi de allah je sais pas qui c est mais la moitié l aime l autre le déteste, ils disent que c est lui l inventeur du voile, du halal, Fatiha l a rencontré au mac do mais elle n a pu lui parler car elle parle qu au femmes dommage, sinon courage il reste chalgoumi qui pourra tu guider vers l’illumination mais en Arabe parce que le français c est du chinois pour lui alors dès bénévole du crif on décide par charité de lui préparer ses discours aux pti ognons. Bah les français tous croient que chalgoumi et le pape, Fatiha la femme du peuple d en haut, rufiol et praud les nouveaux inquisiteur de république et comme bourreau ils ont choisit bhl.
Encore une émission très réussie, bien préparée, avec des invités d'une grande qualité. Merci à tous.
Non l'animateur est raciste puisqu'il considère les Maghrébins comme non-Blancs et tient donc le même discours que les indigénistes qui désignent comme Blancs les seuls Occidentaux pour mieux les culpabiliser de tous les maux des minorités ethniques ou religieuses !
Quand le féminisme prend cette forme là, ces raisonnements là, ces mots là ... on ne peut qu' écouter et apprendre.
Un IMMENSE BRAVO à cette femme absolument remarquable de lumineuse d'intelligence et exemplaire de courage!
Voilà l'exemple même des femmes d'origine étrangère qui font honneur à elles-mêmes et à la France qu'elles
incarnent!
Bravo. Enfin une parole libre fondée sur une réflexion de fond, loin des injonctions communautaires qui font tant de mal.
"La stratégie des islamistes est de faire passer le port du voile non comme une contrainte mais comme une revendication".
pour les obliger par la suite pour le porter
La stratégie des laïcards est de faire passer le dévoilement non comme une contrainte mais comme une revendication. Hé oui, ça marche dans les deux sens.
@@lella113 Sauf que cette laïcarde-là n'est pas contre le port du voile, si tu l'as bien écouté. Elle veut juste que les femmes qui le portent le fassent *aussi* en tant que choix éclairé, conscientes des implications du port de ce voile (notamment des conséquences inévitables qui viennent avec le fait d'afficher ouvertement une conviction religieuse), et pas seulement pour le respect d'une coutume (ce qui est surtout le produit d'une force coercitive, même quand on choisi de bon gré de s'y soumettre : c'est aussi le cas pour des choses bien plus mondaines, comme les formules de politesses, par exemple).
@@Harold046 Elle a quand même écrit un livre qui s'appelle "Combatte le Voilement". Je pense que ça en dit long sur son état d'esprit. Il n'est pas juste question de pousser les femmes à porter le hijab en tant que choix éclairée car justement elle ne considère pas cela comme un acte éclairé. Elle n'apporte rien de nouveau au débat. C'est un travail prémâché, le discours traditionnel sur la prétendue soumission des femmes "voilées" ( je déteste ce terme très péjorative), l'influence de leur communauté/ frère/ père/ mari, la pression du patriarcat, etc... Bref, même ton, même registre, même vocabulaire que beaucoup d'autres. Le port du hijab ne soumet pas plus que beaucoup d'autres actes dans cette société capitaliste et individualiste.
@@lella113 mais dis moi si j'ai tord mais le voile c'est bien la marque de la femme croyante qui se soumet à son dieu non ? On est donc bien dans un processus de soumission. Je suis cependant d'accord avec toi que la femme peut très bien par choix, se soumettre aux volontés de son dieu.
Bravo madame toujours des mots justes
Je découvre cette femme. Son intelligence et sa rhétorique me parlent. J'aimerais avoir le quart de ses capacités.
Retourne à l école où plutôt dû aurai du y aller
Ça se travaille et c'est même un devoir. C'est le sens même de sa démarche
Que le ciel vous bénisse, Mme Fathia. Vous êtes un rayon de soleil dans cette niaiserie des intellectuels "gauchos bobos" ! Tout ve que vous dites nous interpelle avec force et durablement. Merci d'être là et d'être ce que vous êtes.
Bourgeoise et blanche ❤❤❤❤❤ merci madame de lui rappeler qui elle est
Pourquoi n'entends pas plus ce genre de personne
Merci Madame et Merci à la grande librairie!
Wow... Je cours acheter ce livre ! Quelle finesse. Quelle clairvoyance. Quelle intelligence ! Encore !
SirTKC tu l'as lu ??
Vous pourrez Le trouver chez « salam la famille » il n accepte les paiements qu en dinars saoudiens que vous pourrez trouver à la mosquée de drancy le banquier et l imam chalgoumi notre pape et notre grand rabbin. Pour les grands fans comme vous vous serez inviter à rompre le jeun avec un bon couscous merguez et une initiation aux féminisme orientale « comment porter ton voile avec charme » pour votre fidélité vous recevrez un migrant pour 15 jrs afin de vous familiariser avec la vrai vie. Sachez que la présence de henda ayhari la plus grande féministe du monde est déjà actée, son sujet sera « tarin ramadan à viole mon frère de 45 ans ». Pour terminer Caroline
Fourest sera présente pour détecter d éventuel islamiste, frère musulmans, jihadiste, salafiste, cintégriste et terroriste. Donc rassurez vous cette soirée est celle du féminisme radicale pas une seul mec
"Dites les fachos, vous êtes vache de pas faire plaisir aux islamistes et à leurs idiots en ne faisant pas un carton, ils en rêvent. Parce que le score est toujours de 300 à zéro. De deux décapitations à zéro. D’un prêtre egorgé à zéro. D’enfants juifs abattus à zéro." Fatiha-agag
Ça fait du bien un esprit éclairé 🤩
Merci Madame
Fatiha agag-Boudjahlat, super! cette dame est une grande dame sur ce sujet de l'alienation consentie des femmes. bravo à votre revolte contre le lâchage de gauchistes et feministes qui ne savent pas qu'elles cautionnent un certain racisme;.
J’adore cette femme!
Beau discours. Mais la religion n'est pas toujours un choix lorsqu'elle st imposee à la naissance ...
La modestie, pudeur et virginité plaquée avec la règle absolue de ne point y adjoindre d'adjectifs, de nuance ou de contextualisation servent les sexistes et pervers en tous genres ...hommes et femmes. Ce sont des valeurs et pratiques nobles . L'absence de lieux pour nous les femmes, ainsi que pour les hommes sensibles au femina condamnent nos corps à vouloir nous échapper de ces trois notions car encore manipulées par les ennemis des femmes, des hommes et du monde. Le tribalisme, le fétichisme , l'opposition entre le côté nature, sauvage "wild" et la modestie tout en exigeant de ne pas être réduite au "bon sauvage" est une contradiction manifeste et s'exprimer sur un sujet dont on sait que le fast food de l'information, les non-dits , l'absence d'engagement et d'échange dans le réel entre citoyens sont beaucoup plus néfastes voire délétères est un acte que je me refuse à qualifier. Nous sommes femmes et refusons tout cantonnement et réduction à "la critique de ..", "née de l'oppression". Ces personnes qui guettent entre fascination (elle parle super bieeen !! on peut ajouter un youyou mais pas trop fort car c'est l'exception française ) et suspicion ( "bon on ok voit ce que vous voulez dire, sans adjectifs si vous voulez gloussements..) . J'ai cependant apprécié ce désir d'osciller entre déterminisme et existentialisme, le portrait de sa mère était émouvant et sublime mais l'opposer au père et à la Mecque , mélanger excision et voile replonge le spectateur dans la confusion. La Mecque était un centre de la spiritualité ou le savoir provenant de différents continents était consulté et discuté . Point de vantardise mais un souci didactique . Hommes et femmes en islam ne sont pas opposés mais complémentaires et voici quelques références (liste au débotté non exhaustive) : Nana Asma'u , Aziza Othmana, Sutayta Al Mahmali , Yasmin Mogahed, Mariam Al Astrolabiyya, Clare Forestier de thereisnofacts, Farah Chamma, Queen Effat, Suheir Hammad, Dr Amira Ayad, Zara Chaudhary de sacred footsteps, Dana Dajani , Sameer Ahmad "barabbas" "berceuse babylonnienne", Omar Offendum traduisant le poète Langston hughes pour interpréter " the arab speaks of rivers", Fayçal "baroud d'honneur" et tant d'autres perles, Rafeef Ziadeh "we teach life , sir " "shades of anger" , Milton Hatoum "deux frères" "cendres d'amazonie", Le prophète Job/Ayyub traité par deux maîtres Andrée Chedid et Badr Shakir Sayyab, la grande Nazik Al Mala'ika, la maitrise académique et vocale de Jaheeda Wehbe, l'oeuvre d' Ibn Zaydun et ses lettres sur l'Alhambra de Grenade, le livre "genuine islam" par le nobel George Bernard Shaw, les vers d'Ibn Hamdis et la Sicile entre autres fulgurances et pérégrinations, l'hyperglotte Abeer Nehme, l'incroyable Nathalie Handal, le génie Eva de vitray-meyerovitch, l'imprésentable Jorge Enrique Adoum, la figure Armando Bukele Kattan, le photographe Tharik Hussain, Annie Besant, Khalil Gibran, l'itinéraire de Jacques Santi, le regretté Juan José Saer, Sarojini Naidu et ses propos sur l'islam et la démocratie, l'anglo-pakistanais Nouman Ali Khan, Naomi Shihab Nye, le palestino-américain Omar Suleiman, les hadiths compilés par Tolstoi, l'histoire du peintre français Etienne Dinet, le poème de Victor Hugo " l'an neuf de l'hégire", le divan de Goethe, l'expérience de Cervantes à Alger, le conférencier afro-américain globe-trotter Abd Al Hakim Quick, le physicien anglo-irakien Jim Al-Khalili, Et les exemples pleuvent ... Diffusez , déposez , glissez délicatemment, précieusement ces noms à toute personne ayant à coeur d'éviter les pervers insistants exigeant un nom, un "blaze" lorsque l'on nous voit dans la rue, ou s'étonnant de nous "croiser" à l'université. Parlez à des jeunes, offrez leurs ces noms sous forme de cadeau, de compliments, d'encouragements cela vaut toutes les politiques et gros titres.
C’est qui ses personnes, c’est intéressant, qu’est ce qu’on fait ces personnes ?
Rien que en France où le voile est une liberté individuelle ? dans les pays arabes le voile liberté n'a j'aimais était une liberté individuelle
Un vêtement sectaire ne sera jamais une liberté
Bravo Madame
68 islamistes ont mis un pouce rouge...
« (...) Ce n’est pas ici le lieu de discuter de la réalité d’une telle situation ni de savoir si elle est le lot de toutes les femmes ; quoi qu’il en soit, ce qui est certain, c’est qu’à partir du moment où s’évanouit la finalité transcendante qui, dans le cadre d’une conception traditionnelle, constituait le sens et la fin de l’existence pour la femme, tout ce qui lui reste n’est qu’un fatras d’obligations privées de signification. Ce qui, jadis, était un sexe qu’il convenait de défendre et de protéger, parce que « sexe faible », est devenu aujourd’hui faible tout court, et doit se défendre tout seul.
Et cette fatale faiblesse est le terrain le plus fertile pour les mythes apocalyptiques. Par ailleurs, le féminisme présente tous les traits du chiliasme révolutionnaire : il se prétend, de façon cabotine, protégé par un pouvoir mystérieux (les sorcières) auquel il voudrait s’identifier, et il charge l’homme des mêmes turpitudes que, par exemple, l’antisémitisme millénariste médiéval attribuait aux Juifs : sadisme, volupté de castration, sévices. « Insérés dans l’imaginaire eschatologique, le Juif et l’ecclésiastique devinrent les doucereuses figures d’un type absolument terrifiant (...) Les millénaristes (...) y voyaient un monstre de fureur destructrice et de puissance phallique ». Aujourd’hui, les féministes voient tout cela chez l’homme, lequel joue désormais, dans le drame eschatologique, le rôle du démon médiéval.
Les innombrables légions de femmes qui, dans le monde entier, ont identifié le mâle à la Grande Bête johannique, seront les propagatrices d’une nouvelle guerre sainte où elles feront exploser cette « rage » qui couve en elles depuis très longtemps.
Selon Spengler, l’ultime processus d’une civilisation matérialisée, désormais en pleine débâcle, consiste en l’irruption d’une spiritualité sauvage, la « seconde religiosité » (à laquelle appartient, pour nous, le néo-spiritualisme, cf. Ier partie, chap. I) : la mystique apocalyptique du féminisme peut être considérée comme sa manifestation la plus achevée. C’est une moitié du monde qui se révolte contre l’autre en vue de détruire, plus que la vie, le sens de la vie, réduisant aussi à néant les liens élémentaires qui rattachaient encore l'humanité à sa forme biologique la plus simple : la sexuation. »
Edy Minguzzi - Féminité et féminisme.
Alors toi tu as fumé de la bonne.....je suis sûr que tu comprends même pas ce que tu écris....d ailleurs personne ne peut comprendre ce charabia débile...a moins d etre complètement bourré..
Julius Evola dans "Métaphysique du sexe", à propos du féminisme et de l'égalitarisme, disait : «La civilisation moderne, empiriste, intellectualiste et socialisée, pour avoir accordé de plus en plus d’importance à ce qui est sans relation avec le côté essentiel des êtres humains, est inorganique et potentiellement standardisée ; ses valeurs dérivent, pour une part, d’une régression des types, et, pour une autre part, alimentent et renforcent cette régression. C’est ainsi que la femme moderne a pu s’introduire rapidement dans tous les domaines, se voulant à égalité avec l’homme : précisément parce que les dons, les qualités, les comportements, les activités les plus caractéristiques et les plus répandus dans la civilisation moderne n’ont plus qu’un rapport très ténu avec le plan profond, où vaut la loi du sexe, en des termes ontologiques plus encore que physiques, biologiques ou même psychologiques. L’erreur qui se tient à la racine de la compétition féministe et qui en a rendu possible le succès, c’est précisément la surestimation, propre à la civilisation moderne, de l’intelligence logique et pratique, simple accessoire de la vie et de l’esprit, qui sont, l’une comme l’autre, différenciés, tandis que l’intelligence est informe et « neutre », susceptible de se développer dans une mesure presque égale aussi bien chez la femme que chez l’homme. La vexata quaestio de l’infériorité, égalité ou supériorité de la femme par rapport à l’homme ne sera traitée ici qu’en passant. Cette question est en effet privée de sens, car elle suppose une commensurabilité. En revanche, si l’on met de côté tout ce qui est construit, susceptible d’être acquis, extérieur, et si l’on exclut les rares cas signalés où l’on ne peut plus parler de sexe parce que la condition humaine, à un moment donné, a été dépassée, on peut dire qu’il existe entre homme et femme, par référence au type, à leur « idée platonicienne », une diversité qui exclut toute commune mesure ; même des facultés ou dons apparemment communs aux deux sexes et « neutres », ont une fonction et une empreinte différentes selon qu’ils sont présents chez l’homme ou chez la femme. On ne peut pas plus se demander si la « femme » est supérieure ou inférieure à l'« homme » que se demander si l’eau est supérieure ou inférieure au feu. Pour chacun des sexes, le critère de mesure ne peut donc pas être fourni par le sexe opposé, mais seulement par « idée » du sexe auquel on appartient. En d’autres termes, c’est établir la supériorité ou l’infériorité d’une femme donnée en fonction de sa plus ou moins grande proximité de la typicité féminine, de la femme pure ou absolue ; et la même chose vaut pour l’homme. Les « revendications » de la femme moderne dérivent donc d’ambitions erronées, ainsi que d’un complexe d’infériorité - de l’idée fausse qu’une femme en tant que telle, en tant qu’elle est « seulement femme », est inférieure à l’homme. On a pu dire avec raison que le féminisme ne s’est pas réellement battu pour les « droits de la femme », mais bien, sans s’en rendre compte, pour le droit de la femme de devenir égale à l’homme : chose qui, quand bien même serait-elle possible en dehors du domaine extérieur pratique et intellectuel, reviendrait au droit, pour la femme, de se dénaturer, de déchoir Le seul critère qualitatif, c’est, répétons-le, celui du degré de plus ou moins parfaite réalisation de sa propre nature. Il ne fait aucun doute qu’une femme parfaitement féminine est supérieure à un homme imparfaitement masculin, de même qu’un paysan fidèle à sa terre qui assume parfaitement sa fonction est supérieur à un roi incapable de remplir la sienne. Dans l’ordre d’idées dont nous traitons, il faut donc se convaincre que la masculinité et la féminité sont avant tout des faits d’ordre interne. Et ce au point que le sexe intérieur peut ne pas correspondre au sexe physique. C’est une chose bien connue qu’on peut être homme par le corps sans l’être pour autant par l’âme {anima mulieris in corpore inclusa virilî) et vice versa, la même chose valant aussi, naturellement, pour la femme. Ce sont là des cas d’asymétrie dus à divers facteurs, analogues aux cas qu’on rencontre dans la sphère raciale (des individus possédant les caractères somatiques d’une race, et les caractères psychiques et spirituels d’une autre race). Mais cela ne porte pas préjudice à la qualité-base du fluide d’un être, selon qu’il est physiquement homme ou femme, ni à l’unité du processus de sexualisation. On peut expliquer le phénomène signalé par le fait que, dans certains cas, ce processus s’est fortement concentré sur un domaine donné, créant précisément des asymétries parce que le reste n’en a pas été in-formé dans une égale mesure. Sur le plan typologique, c’est cependant le fait interne, le sexe intérieur, qui reste toujours décisif ; une sexualisation perceptible sur le seul plan physique est d’une certaine façon; si développée soit-elle, une sexualisation tronquée et vide. Celui qui n’est pas homme quant à l’esprit et l’âme, n’est pas vraiment un homme - et l’on peut en dire autant de la femme. Tout cela, il est bon de le souligner, parce qu’il faut tenir compte de la loi de l’attraction sexuelle. Les «quantités» de masculinité et de féminité qui se complètent tour à tour, et dont il est question dans cette loi, doivent être entendues au sens le plus vaste, donc dans toute leur complexité éventuelle. En effet, c’est la virilité spirituelle qui, fût-ce obscurément, excite et réveille la femme absolue : dans le cas limite, lorsque cette virilité, dépassant le stade du guerrier et du dominateur, s'oriente carrément vers le surnaturel. Nous parlerons plus loin des aspects métaphysique et existentiel de ce dernier cas. Expressif est un exemple créé par l’art, celui de la Salomé de Wilde. Salomé ne voit pas le centurion fou d’amour pour elle, qui lui offre tout et, à la fin, se tue pour elle. Elle est fascinée par Jokanan, le prophète, l’ascète. Elle, la vierge, lui dit : «J’étais chaste, et tu m’as contaminée ; j’étais pure, et tu m’as rempli les veines de feu... Que ferai-je sans toi ? Ni les fleuves, ni les grands lacs ne pourront éteindre le feu de ma passion»». Julius Evola, "Métaphysique du sexe", Ed. Guy Trédaniel, Coll. L'Age d'Homme, 2005, pp.50-51 La question de la supériorité et de l’infériorité de la femme vis-à-vis de l’homme ou vice versa n’a aucun sens en soi, puisqu’on compare deux identités ayant chacune leur raison d’être et leurs propres spécificités. C’est d’ailleurs une ambition erronée et une cause absurde caractéristiques du monde moderne, car auparavant, le problème se situait simplement dans une sorte de mépris d’un sexe vis-à-vis de l’autre (de l’homme vis-à-vis de la femme, de la femme vis-à-vis de l’homme, ou ou encore de leur part, d’un mépris généralisé à l’ensemble de l’humanité), mais pas d’une remise en cause des spécificités de chaque sexe dans ses fonctions. C’est comme si l’on engageait toute une lutte pour remettre en cause les spécificités et fonctions de l’eau par rapport à celles du feu, et que l’on voudrait que le feu soit privé de ses propriétés pour parler «d’égalité» avec l’eau, alors que si le feu perd ses propriétés, il ne deviendra non seulement pas «eau», mais il perdra de plus ses qualités propres, et sera donc vidé de son essence et de sa raison d’être. Va-t-on également parler de l’égalité, de l’infériorité ou de la supériorité de l’état «enfant» par rapport à l’état de «parent» ? Si les deux sont aussi d’essence noble, leurs spécificités sont bien différentes et exigent donc des rôles particuliers, sans tomber pour autant dans le mépris (d’un état par rapport à l’autre), ni dans la maltraitance ou le débat stérile de savoir s’il faut comparer les parents aux enfants (et selon quels critères ?) pour savoir s’ils sont égaux ou non, comme si cela avait un sens, car non seulement cela n’apporte rien, mais cela engendre de terribles confusions, un peu comme si l’on devait savoir si les formes géométriques entre elles seraient «égales» telles que le triangle par rapport au carré ? En définitive, l’homme et la femme sont complémentaires, tous les deux issus d’une essence unique, mais aux déterminations délicatement différentes, toutes les deux étant nobles, dignes et utiles, et capables de manifester leurs potentialités aux plus hauts degrés, d’être utiles pour l’humanité, de développer une grande intelligence, un esprit rationnel, une profonde spiritualité et des qualités morales des plus nobles, en plus du fait qu’ils seront tous deux récompensés par le Tout-Puissant pour leurs bonnes actions et leurs nobles pensées. De même que les deux sont capables du pire, de l’ignorance, de l’insouciance ou de la dépravation. Un autre paradoxe, est que les féministes de type agressive et hystérique, passent leur temps à critiquer et à mépriser les hommes, et donc ce qu’ils sont, - sans nuances ni équité -, mais leur lutte consiste essentiellement à imiter les hommes, et donc chercher à devenir ce qu’elles prétendent détester.
C'est sûrement intéressant mais fait plus court...je me suis endormi 2 fois et j en suis pas à la moitié
@@fredericmartinez1118 et Julius Evola est surtout un intellectuel fasciste italien
@@jeanvanlaer9901 et alors pourquoi me dire ça ?
Quelle finesse d'analyse ! Une vraie féministe universaliste.
Édit : elle vient de se décrédibiliser en utilisant cette expression absurde : "femme forte".
Presque envie de vous dire. Et vous aussi par votre Edit.
Comment un discours aussi complet et intelligent peut être décrédibilisé en adjoignant forte à femme ???
Bravo 😇🧡❣💝😻🤗
Choix contrainte bravo.
Top
Femme formidable, bravo !!!
Brava!
elle est juste énorme je dirai même touchante
🙏🙏
Fatiha presidente
Bien que je ne suis pas d'accord avec elle, je reconnais qu'elle est la seule féministe qui a un discours cohérent et consistant.
On parle encore, sans nommer correctement les choses, en l'occurrence d'une mère qui ne veut pas retirer son voile, elle préfère voir son fils pleurer- eh oui, son voile pour elle est plus important que sont fils. Rappelons, une fois de plus qu'il ne s'agit pas d'une mère voilée qui accompagne son enfant mais de l'accompagnatrice d'une classe, L'école commence à 8h 30 et se termine à 16h 30 que ce soit dans ou en dehors de la classe. Morale : ne tombez pas dans le piège tendu par le fanatisme religieux.
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Suite
laicite-moderne.blogspot.com/2019/11/enfoulardement-sans-frontiere.html
Intéressant mais un peu à coté de la plaque, les féministes de gauche refuse de s'en prendre aux "racisés" homme tout simplement parce qu’ils ont peur d'être traité de raciste, d'islamophobe, leur reprocher une culture et une religion pour le coup vraiment patriarcale ce serait admettre que la "diversité" n'a pas que du bon et qu'il serait peut-être tant d'envisagé d'assimiler cette population un peu trop communautariste. L'autre raison étant purement électoraliste, en évitant de s'en prendre au communautarisme les politiciens de gauche (qui se revendiquent tous du féminisme) s'assure leur soutient.
je pense qu'a travers ses arguments, elle dénonce ce que vous exprimer dans votre commentaire. Pa directement évidement, mais elle pointe les incohérences du discours gauchiste féministe.
Merci
De rien à bientôt
bravo Fatiha
Le féminisme c'est le fond des toilettes de la pensée.
Le féminisme n'existe pas. Il existe plusieurs courants féministes. Grande féministe, je suis totalement d'accord avec ce discours. L'un n'empêche pas l'autre et ce n'est d'ailleurs pas ce qu'elle dit.
@@a2d644
"Grande féministe" qui ce revendique d'un courant qui n'existe pas.
C'est tres cohérent votre truc.
Bravo Fatiha :)
Admirable. Chapeau !
A lire absolument...
Comme zemmour, cette femme a la haine contre ses origines, une complexité identitaire
Oula.. bonjour le niveau.
@@mrjackspencer1890 bonjour monsieur le facho naze
Libre choix ?! Qu'en est-il de ces femmes battues ou décapitées en pleine rue dans certains états islamiques ?
Je comprend son propos mais toutes les femmes n'ont pas besoin des même choses, la culture influence et c'est normal en France on a un principe de liberté mais dans d'autre pays pas que musulman bah on fait ce qu'on a faire par devoir parce que c'est comme ça et pas autrement. Donc non les femmes n'ont pas les même besoin partout dans le monde
Pourquoi elle a grossi à ce point ?
Elle gagne plus de tune mtn,
discours qui doit plaire en effet c vrai qu'une femme qui travaille et s'occupe comme un esclave de 7 gamins est une femme LIBREEEEEE !
La frisée !!! A la gueule de Freddy kueger
Intelligente votre remarque !
Et la votre de gueule ? Frisée aussi je suppose
@@jeromenesa1787 oh que non ! Un bel aryen de race supérieur
@@bm6106 plus probablement un bon à rien
Les femmes sont libre!!de porter ou de pas porter le voile.
Mais elle ne dit pas le contraire .
4'30'' pff, affligeant; elle condamne le choix de religiosité mais élude le sujet de la discrimination à l'embauche.
Elle ne condamne pas le choix de la "religiosite" , mais elle declare qu il faut assumer les conséquences de ses choix .
Oh my god ! Tant de conneries !
oui comme ta naissance
Pololooooo!!!!!
Tu lui fait honte à ta mere
A priori, non .
Et vous?
@@jeromenesa1787 certainement pas comme toi
Esprit tordue !
Mollo sur les arguments