КОМЕНТАРІ •

  • @patriciafior915
    @patriciafior915 5 місяців тому +3

    Magnifique de simplicité 💫🌟🙏gratitude 👍🥰🌟🙏

  • @juliennenebig2798
    @juliennenebig2798 Місяць тому

    Superbe merci 💝💝💝💝

  • @amelie5791
    @amelie5791 3 місяці тому

    "J'ai déposé toutes croyances que j'avais un problème" ❤❤❤❤

  • @user-fn3tt1sx4h
    @user-fn3tt1sx4h 5 місяців тому +1

    Très efficace en effet et simple '' signé la plante verte😉

  • @elsat1998
    @elsat1998 5 місяців тому +1

    Whaou. ❤Super la piste pr l'anxiété. Merci

  • @erickbedoya435
    @erickbedoya435 Місяць тому

  • @vincentGALLAND
    @vincentGALLAND 5 місяців тому +1

    Se soustraire à l'identification Pour mieux s'incarner à soi même...❤

  • @djmixamor
    @djmixamor Місяць тому

    Wow !!! Où va le monde.....

  • @nicolasjoie
    @nicolasjoie 5 місяців тому

    Merci ❤❤

  • @brunodelorme
    @brunodelorme 4 місяці тому

    Dit autrement et plus brièvement, si c'est la pratique qui pose problème, ou si c'est l'expérience qui est problématique, comme je l'ai expliqué ci-dessous, alors aucune solution ne viendra de la pratique elle-même ni du recours systématique à l'expérience, toujours préconisés par E. Errera et tous les gurus de la non-dualité dans leurs enseignements.

  • @marcbarbier7734
    @marcbarbier7734 5 місяців тому +1

    😊🙏

  • @levasseurroger6250
    @levasseurroger6250 5 місяців тому +1

    Ce qu'on nomme la spiritualité aujourd'hui a remplacé petit à petit la religion d'hier , puis viendra le jour ou la spiritualité sera remplacée à son tour ... il n'est pas de fin à l'évolution humaine , heureux qu'il en soit ainsi . L'infini est notre nature , et ramener cela à des explications c'est se perdre dans les mots . La pensée piège constamment mais cette même pensée à toute sa valeur pour comprendre et faire avancer les sciences . L'intellect n'a pas sa place dans l'évolution , VOIR suffit. L'existentiel se vit ne se pense pas.

  • @brunodelorme
    @brunodelorme 4 місяці тому +1

    Le problème inhérent à ce type de pratique et d'éveil spirituel est sa pente létale, c'est-à-dire mortifère. Celle-ci n'apparaît jamais comme une évidence, et elle demeure invisible aux adeptes qui sont aveuglés par leurs ressentis. Cette pente comme cet aveuglement contredisent la prétention à un "éveil" spirituel, et sont les signes d'un repli narcissique où l'on se mire indéfiniment dans un Soi qui n'est que le moi fantasmatiquement étendu aux dimensions de l'univers. Mais cet état n'est qu'un leurre qui entraîne le sujet vers une tension organique proche du zéro (terme employé par E. Errera dans une autre vidéo) donc de la mort, et aboutit à une régression d'ordre psychologique où l'on peut jouir impunément d'une union symboliquement incestueuse qui n'est pas différente de l'inceste maternel, mais rejoué dans la vie adulte et sous des prétextes spirituels.

    • @brunodelorme
      @brunodelorme 3 місяці тому

      ​@@stpi2013 Y croire, comme vous dites, n'est pas la question. Il s'agit de le vérifier, non seulement en soi-même, mais aussi en s'appuyant sur l'expérience d'autrui comme sur les textes qui prônent la non-dualité. J'ai donc pu moi-même constaté par mes propres expériences que ces états induisent une vision du monde où les limites, les différences et les frontières mentales et humaines sont floutées ou transgressées selon le désir profond de chaque être humain, celui de vouloir revenir à l'état de béatitude qu'il a connu lorsqu'il était dans le sein maternel. Cette réalité universelle est aujourd'hui parfaitement documentée depuis les travaux d'auteurs comme S. Freud, O. Rank (je vous recommande la lecture de son livre "Le traumatisme de la naissance" paru il y a un siècle et qui n'a pas pris une ride...), jusqu'à ceux d'auteurs contemporains comme D. Muhlmann, P. Mérot... Ce n'est pas parce qu'un état de conscience nous emporte et nous ravit par sa puissance affective ou sa prégnance émotionnelle qu'il est nécessairement vrai et pur. Tout au contraire. Et il peut même nous tromper grâce à cette même puissance. Il est donc important, après l'avoir éprouvé, de l'analyser pour comprendre ce qu'il est vraiment au-delà de ses effets, surtout s'il a la capacité à nous faire sortir de nous-même et à effacer nos limites psychosomatiques, c'est-à-dire notre finitude. Sans quoi, nous nous laissons simplement emporter par l'expérience elle-même qui devient envahissante et totalisante, mais au risque de ne rien comprendre à sa dynamique interne, et de nous leurrer sur celle-ci comme sur nous-même...

    • @brunodelorme
      @brunodelorme 3 місяці тому

      ​@@stpi2013 Vous êtes bien évidemment tout excusé(e), d'autant plus que vous acceptez d'échanger avec franchise, ce qui est plutôt rare sur ces plateformes et vous honore. Observer ses pensées est une activité effectivement qui prend la forme d'une ascèse, parfois menée sans concession avec soi-même. Encore faudrait-il savoir qui observe précisément, comme vous l'écrivez, et peut rendre compte ou évaluer ce flux cognitif ou d'activité mentale. Si c'est la conscience, il faut savoir que celle-ci est aussi productrice de ces mêmes pensées. Si c'est un observateur impersonnel, il faudra l'identifier dans le psychisme humain. Si c'est autre chose ou un Autre, là encore il serait bon de le spécifier. Je souligne qu'il n'est pas anodin que l'expérience à laquelle se livrent les adeptes de la non-dualité s'appelle l'expérience du "Soi". Et non pas "expérience de l'Autre", ou d'une altérité, d'une extériorité... Ce qui signifie qu'il s'agit encore de soi-même, jusque dans les états où l'on ne se perçoit plus comme "moi" ou comme "soi"...
      C'est donc le mental ou la conscience qui observe la conscience en activité, ou s'auto-observe. Ce jeu d’observation est au cœur de pratiques méditatives comme celle de la pleine conscience ou d’exercices de yoga. Mais cette ascèse produit aussi des effets dont l’observateur est rarement conscient. De fait, l'observation impassible de l'activité mentale a pour effet d'influer sur le flux de cette activité, ce qui signifie qu'elle ne s'en différencie jamais totalement. L'idée d'une pensée sans penseur, sans ego, ni moi, ni je, à laquelle vous faites sans doute allusion dans votre dernière question, et qui a fait les beaux jours de la pensée post-moderne avide de détruire toute forme de subjectivité au nom d’une vision impersonnelle du monde et de l’être humain, a été réfutée. Et avec elle, les présupposés des courants de la non-dualité comme le bouddhisme, le vedanta, le dzogchen, le zen...
      Refuser de tenir compte de cette vérité, à la fois philosophique, psychologique et spirituelle, est une forme de déni qui montre l'aveuglement de ces adeptes comme l'inanité de leur sagesse... Mais, bien évidemment, ce n'est qu'un point de vue..., quoique fondé sur une base un peu plus solide que les ressentis et les impressions subjectives qui déferlent dans ces vidéos. Merci à vous.