RAISON PRATIQUE - Février 2024 - Bertin Nivor et Catherine Blanchard l'art caribéen

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  • Опубліковано 14 січ 2025

КОМЕНТАРІ • 4

  • @nefertarimerion6976
    @nefertarimerion6976 10 місяців тому +3

    ❤ ❤❤ Encore une émission où j'ai beaucoup appris ! Merci beaucoup à Monsieur Emmanuel GRANIER, Directeur de la chaîne ZOUK TV de diffuser l'émission "Raison Pratique" d'une sociologue, et à Manuela à la technique,
    Merci à Madame Juliette SMERALDA, de nous proposer RAISON PRATIQUE. Votre émission enrichit fortement nos connaissances et réflexions, ainsi nous nous libérons des carcans et pièges psychologiques grâce à vos questionnements et analyses de sociologue, et par la grande qualité de vos intervenants qui ont le temps de s'exprimer et nous apporter avec vous des compléments de socle. Notre population, notre peuple mérite et a droit à la qualité de cette émission.
    Merci à Madame Catherine BLANCHARD et à Monsieur Bertin NIVOR pour cet apport de savoirs dans le domaine de notre art visuel, tant sur les problématiques des artistes, sur la mise en place d'un langage décolonisé, sur la lecture des oeuvres

    • @juliettesmeralda1398
      @juliettesmeralda1398  10 місяців тому +2

      Merci pour vos encouragements et pour le temps que vous avez pris à regarder l'émission dans son entièreté!

  • @rosehelenecmrh3939
    @rosehelenecmrh3939 10 місяців тому +1

    Bonjour merci pour l’émission. Je comprends très bien les interrogations d’Esmeralda. Mais en même temps tout est fait pour nous couper de notre part africaine et pour nous diviser, donc pour nous rendre plus faible. Ces émissions sur ces sujets particuliers participent à réparer notre inconscient malmené.

  • @yaakemet9408
    @yaakemet9408 10 місяців тому +1

    Donc on ne peut plus trouver vos ouvrages dans les librairies en Martinique? C'est que ça veut dire que vous faîtes un EXCELLENT travail de DÉZOMBIFICATION. CONTINUEZ, nous vous soutenons à travers le monde. Ce n'est ni un village comme la Martinique ou la France qui feront leur loi. À l'ère des réseaux sociaux, ils n'ont toujours pas capté que la parole est maintenant libérée. Ils finiront pas s'habituer.